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Sujet: Vidéo : Donald Trump à partir de la 15e minute confie l’Amérique À Dieu avec un coeur sincère Sam 21 Jan 2017 - 15:41
Qu’on l’aime ou pas, c’est lui le nouveau Président des États-Unis et les décisions mondiales que Mr Donald Trump prendra auront des répercussions sur toute la planète, pour cette raison prions pour lui afin que Dieu l’éclaire dans toutes ses décisions ! Amen !
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: Etats-Unis: Donald Trump tient le feu nucléaire à portée de main ! Sam 21 Jan 2017 - 19:17
20 janvier 2017
Un officier de l'armée américaine suit le président dans ses moindres déplacements avec la valise noire des codes nucléaires.
Etats-Unis: Donald Trump tient le feu nucléaire à portée de main
Donald Trump a été officiellement investi 45e président des Etats-Unis, ce vendredi 20 janvier, au cours d’une journée très protocolaire. Entre autres moments clés, la transmission de codes secrets qui permettent le déclenchement d’une attaque nucléaire sur le seul ordre du président. Presque comme s’il s’agissait d’un sujet de conversation courante, le nucléaire militaire aura été un leitmotiv, initié pendant la campagne électorale américaine et poursuivi depuis l’élection de Donald Trump, le 8 novembre dernier.
Le sujet de l’arme nucléaire, légitimement abordé par les médias américains, a été régulièrement alimenté par le candidat républicain, puis le président élu, à travers ses réponses à la fois belliqueuses, provocatrices, floues et contradictoires. En résulte une inquiétante incertitude, comme le traduisent articles et éditoriaux de ce D-Day, en France : « On ressent tous un filet de sueur glacée couler le long de notre colonne vertébrale en imaginant Barack Obama remettre à Donald Trump la petite mallette contenant les codes nucléaires américains. » (Libération)… comme outre-Atlantique : « Les Etats-Unis s’apprêtent à donner son arsenal à quelqu’un qui est clairement incompétent pour commander ces armes. » (CNN)
Bouton, codes et mallettes
Au cours d’un meeting à San Diego, en pleine campagne, Hillary Clinton, encore dans la course à la Maison Blanche, avait harangué la foule de ses partisans : « Est-ce que nous souhaitons vraiment voir son doigt près du bouton rouge ? » De bouton rouge, déclenchant l’apocalypse par une simple pression, il n’y a point. Il n’existe que comme symbole dans l’imaginaire collectif. Mais il rappelle que le feu nucléaire est une réalité bien concrète. C’est ce pouvoir, parmi d’autres, que reçoit Donald Trump ce vendredi.
Aux Etats-Unis, comme dans d’autres pays détenteurs de la bombe, c’est une mallette qui contient la procédure à suivre en cas de décision de son utilisation. Il s’agit d’une sacoche noire, extérieur cuir, intérieur aluminium, qui pèse une vingtaine de kilos et relativement bombée : un drôle l’a donc surnommée « le ballon de football nucléaire », son nom quasi officiel depuis 1963. Après la crise des missiles à Cuba, « le ballon » suit le président comme son ombre, rapporte le Smithsonian Magazine, durant toute la durée du mandat. Il est transporté par des officiers triés sur le volet qui se relaient en permanence, que le président soit dans son bureau, en vacances ou encore… au Vatican.
La mallette de la marque Zero Halliburton porteuse des codes nucléaires
Plus précisément, la « sacoche d’urgence présidentielle » comporte quatre choses principales, indique dans un livre l’ancien directeur du bureau militaire de la Maison Blanche, Bill Gulley : « Il y a un livre noir qui présente le menu des options d’attaques ; une liste des bunkers sécurisés où le président peut être abrité ; les instructions pour mettre en œuvre l’Emergency Broadcast System ; et une carte de 3 pouces sur 5 avec des codes d’identification afin que le président puisse confirmer son identité. »
Cette petite carte de plastique, le « biscuit », est une pièce essentielle du processus. Elle est générée par l’Agence nationale de sécurité (NSA). Elle n’est pas nécessairement placée dans la mallette : le président peut aussi simplement la porter dans ses poches. Par le passé, elle s’est régulièrement fait la malle : Bill Clinton l’aurait égarée plusieurs mois et Gerald Ford l’avait oubliée au pressing.
Une chaîne de déclenchement… sans veto légal
La décision d’utiliser l’arme nucléaire est souveraine : elle ne revient qu’au commandant suprême des armées incarné par le président. « Un président ne peut être stoppé que par une mutinerie, et plus d’une personne (dans l’appareil militaire, ndlr) devrait désobéir à ses ordres » pour l’en empêcher, détaille Kingston Reif, directeur à l’Association de contrôle des armes.
« Donald Trump pourrait certes, tout seul, ordonner une frappe nucléaire. Mais cet ordre devrait être vérifié par le secrétaire à la Défense. Dans le cas d’un ordre absurde, le système peut bloquer », assure de son côté à Libérationle chercheur Bruno Tertrais, coauteur du livre Le Président et la bombe.
En réalité, officiellement, le secrétaire d’Etat à la Défense ne vérifie pas l’ordre, mais l’identité du président. « Est-ce qu’il existe un quelconque droit de regard sur le pouvoir du président de lancer un missile nucléaire qui pourrait détruire des villes ou des pays entiers ?, s’est demandé le New York Times. La réponse immédiate est non, bien que l’histoire montre qu’en pratique, il peut y avoir des moyens de ralentir, voire de faire dérailler la prise de décision. »
« Il n’y a pas de veto dès lors que le président a ordonné une frappe », tranche pour le journal new-yorkais Franklin C. Miller, spécialiste nucléaire à la Maison Blanche et au département de la Défense pendant 31 ans. De surcroît, des spécialistes s’accordent à dire qu’il n’y a aucun filet de protection dans le cas d’un président mentalement malade.
Quoi qu’il en soit, la transmission des codes et de la mallette est au coeur d’un rite de passage entre les présidents. Traditionnellement, ce moment singulier a lieu plusieurs heures avant la cérémonie publique. A l’abri des regards et en comité réduit, le chef d’Etat intronisé est instruit sur sa nouvelle « compétence ». Mais la transmission physique a bien lieu devant tous : « Aux États-Unis, on peut le voir sur les images de l'inauguration : l'officier change de place et se met derrière le nouveau président dès que celui-ci a prêté serment », explique Bruno Tertrais au Figaro.
Mais celui-ci est faillible. Aussi le vice-président (Mike Pence en l’occurrence) tient-il lui aussi à sa disposition un « ballon de foot ». Le ministre de la Défense serait le troisième personnage à qui reviendrait l’autorité militaire en cas d’incapacité des deux autres.
« Comment lui faire confiance ? »
Barack Obama, pour ne citer que le président sortant, n’a pas pris de gants pour dévoiler le fond assombri de sa pensée : il juge son successeur trop « inconstant » pour se voir confier une arme aussi destructrice. « Comment pouvez-vous lui faire confiance avec les codes nucléaires? Vous ne pouvez pas », avait-il clamé en octobre. « Si quelqu'un ne peut pas gérer un compte Twitter, il ne peut pas gérer les codes nucléaires ».
L’impulsivité du 45e président américain interroge au minimum, et donne carrément des suées dans les cénacles les plus concernés. « A minuit précisément, le contrôle de cette mallette passera dans les mains d’un homme qui a été décrit par les experts sécurité de son propre camp comme manquant de jugement, de tempérance et de connaissance pour commander des armes nucléaires », enfonce encore CNN, dans un éditorial le 18 janvier dernier.
Des déclarations intempestives et contradictoires
Parce qu’il ne sait pas foncièrement de quoi il parle - son ignorance en géostratégie a été étalée sur les écrans de télévisions -, Donald Trump maintient le flou sur sa conception de l’arme nucléaire et de son utilisation. « Je crois personnellement que c’est le plus gros problème du monde, la capacité nucléaire, sa prolifération », confiait-il le 26 mars au New York Times. « Je ne voudrais vraiment pas être le premier à les utiliser », poursuivait-il.
Quelques mois plus tard, il tweetait : « les Etats-Unis doivent grandement renforcer et accroître leur capacité nucléaire tant que le monde n’aura pas retrouvé la raison dans le domaine des armes nucléaires. » Le lendemain, vendredi, il aurait renchéri, lors d’une conversation avec une journaliste de la chaîne d’information MSNBC, Mika Brzezinski. « S’il le faut, il y aura une course à l’armement », aurait-il déclaré, selon la journaliste. « Nous les dépasserons à chaque étape et nous leur survivrons », aurait-il ajouté, visant les rivaux des Américains.
Cette déclaration était une réponse au président russe Vladimir Poutine, qui avait déclaré la veille vouloir « renforcer le potentiel militaire des forces nucléaires stratégiques ». Cette soudaine surenchère verbale avec la Russie s’inscrivait déjà dans un continuum amorcé durant la campagne.
Quant à l’Iran, le président américain n’a jamais fait mystère de son opposition à l’accord entré en vigueur il y a un an, « l’un des pires jamais conclus, l’un des plus stupides », selon lui, sans jamais dire pour autant qu’il le remettrait en cause. Mardi 17 janvier, le président iranien a rejeté par avance toute renégociation du traité.
En mars 2016, la chaîne MSNBC rapportait un propos que Trump aurait tenu, par trois fois, à l’un de ses conseillers : « Pourquoi les Etats-Unis fabriquent-ils des armes nucléaires si ce n'est pas pour les utiliser ? » Toutefois, l’ancien homme d’affaires a estimé que l’arme nucléaire restait avant tout une « option », une « possibilité », des « cartes sur la table » : « nous (les Etats-Unis) serions les derniers à utiliser l'arme nucléaire. »
Bref, les signaux contradictoires se sont multipliés ces derniers mois. Donald Trump redéfinit-il la dissuasion nucléaire ? L’influent média américain Foreign Policy a pour sa part statué, dans une grande perplexité : « Donald Trump est un idiot savant de la politique nucléaire », « il ne sait absolument pas ce qu’il va faire avec son arsenal. »
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Sam 21 Jan 2017 - 20:37
Voici comment Trump peut maintenant déclencher l'arme nucléaire Officiellement investi 45e président des États-Unis, il va être accompagné dans tous ses déplacements par le «nuclear football», un dispositif permettant d'ordonner le déclenchement à distance d'une frappe.
En novembre dernier, lors d'un meeting à Durham, en Caroline du Nord, Barack Obama s'interrogeait: comment était-il possible de faire confiance à un candidat comme Donald Trump pour devenir le détenteur des codes nucléaires? «Si quelqu'un ne peut pas gérer un compte Twitter, il ne peut pas non plus s’occuper des codes nucléaires.» Et pourtant, Donald Trump est devenu, ce vendredi 20 janvier, commander-in-chief et propriétaire d’une superbe mallette en cuir capable de tout détruire.
Voici comment Trump peut maintenant déclencher l'arme nucléaire ...
Invité Invité
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Sam 21 Jan 2017 - 21:44
Le Pape François a adressé un message au nouveau président américain Donald Trump, investi ce vendredi 20 janvier 2017.
«Sous votre direction, puisse la stature de l'Amérique continuer à être mesurée avant tout par son souci pour les pauvres, les exclus et les nécessiteux qui, comme Lazare, se tiennent devant notre porte» écrit le Saint-Père, lui offrant ses vœux cordiaux pour cette nouvelle présidence.
«À une époque où notre famille humaine est assaillie par de graves crises humanitaires exigeant des réponses politiques ambitieuses et unies, je prie pour que vos décisions soient guidées par les riches valeurs spirituelles et éthiques qui ont façonné l'histoire du peuple américain et l'engagement de votre nation à la promotion de la dignité humaine et de la liberté dans le monde entier» souligne François. Donald Trump a été investi ce vendredi 20 janvier. Dans son discours sur les marches du Capitole, il s’est engagé à ce que sa présidence montre la voie pour l’Amérique et pour le monde «pour des années», dans un discours aux allures de discours de campagne.
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Sam 21 Jan 2017 - 21:48
Le pape François appelle D. Trump à se soucier des pauvres
«Sous votre direction, puisse la stature de l’Amérique continuer à être mesurée avant tout par son souci pour les pauvres, les exclus et les nécessiteux qui, comme Lazare, se tiennent devant notre porte» écrit le pape dans sa lettre au président Trump, lui offrant ses vœux cordiaux pour cette nouvelle présidence.
Le pape François souligne également : «À une époque où notre famille humaine est assaillie par de graves crises humanitaires exigeant des réponses politiques ambitieuses et unies, je prie pour que vos décisions soient guidées par les riches valeurs spirituelles et éthiques qui ont façonné l’histoire du peuple américain et l'engagement de votre nation à la promotion de la dignité humaine et de la liberté dans le monde entier».
« Une chose est d’être candidat, une autre est d’être président »
Mercredi 9 novembre Secrétaire d’État du Saint-Siège, le cardinal Pietro Parolin avait réagi à l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis, insistant particulièrement sur le rôle du pays « pour le bien-être et la paix dans le monde ».
« Nous l’assurons aussi de nos prières pour que le Seigneur l’éclaire et le soutienne au service de sa patrie, naturellement, mais aussi pour le bien-être et la paix dans le monde », avait-il assuré, soulignant ainsi le rôle des États-Unis sur la scène internationale « Je crois qu’aujourd’hui, il y a justement besoin du travail de tous pour changer la situation du monde, qui est dans une situation de grave lacération, de grave conflit. »
« Nous allons voir comment évolue le président », a répondu le principal collaborateur du pape François à une question sur l’échange rugueux qui avait opposé, en février dernier, le candidat Trump eu pape, sur la construction d’un mur avec le Mexique.
« On dit d’habitude qu’une chose est d’être candidat, une autre est d’être président, d’être aux responsabilités. Il me semble que, dans ce sens, de ce que j’ai entendu sans l’approfondir, le futur président s’est déjà exprimé en dirigeant », a relativisé le cardinal Parolin qui, « sur les questions spécifiques » estime « prématuré de donner un jugement ».
« Nous verrons les choix qu’il fera et sur cette question nous pourrons alors poser un jugement », avait mis en garde le Secrétaire d’État du Saint-Siège qui s’exprimait en marge de l’inauguration de l’année académique de l’Université pontificale du Latran, où il devait s’exprimer sur le rôle de la diplomatie pontificale.
« Nous verrons les choix qu’il fera »
« Sans doute la diplomatie, la diplomatie pontificale, est-elle appelée à trouver de nouvelles formules pour répondre aux nouveaux problèmes auxquels qui se posent à la communauté internationale », a-t-il assuré
En 2008, après l’élection de Barack Obama, Benoît XVI avait adressé dès le mercredi un télégramme au nouveau président saluant l’événement « historique » de son élection, qui l’avait rappelé une semaine plus tard pour le remercier de ses vœux.
Je n'ai entendu parler que de droit des femmes. Pas de droits des hommes, ni de droits des enfants (y compris les enfants à naître). Bref, un gros pow-wow féministe...
-ysov-
Messages : 16517 Inscription : 03/07/2010
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Dim 22 Jan 2017 - 0:21
Adamev vs Abenader. Les AA
Invité Invité
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Dim 22 Jan 2017 - 3:52
Oser tenter un rapprochement, même par allusion, entre Hitler et Trump est honteux. Bergoglio oublie un peu vite que c'est le Congrès, dans la plus vieille république démocratique du monde, les États-Unis, qui énonce la loi, pas le président! De plus, le port d'armes, par 80 millions d'Américains, garantit le respect de la fonction du Congrès...
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Dim 22 Jan 2017 - 12:15
saint Zibou a écrit:
Oser tenter un rapprochement, même par allusion, entre Hitler et Trump est honteux. Bergoglio oublie un peu vite que c'est le Congrès, dans la plus vieille république démocratique du monde, les États-Unis, qui énonce la loi, pas le président! De plus, le port d'armes, par 80 millions d'Américains, garantit le respect de la fonction du Congrès...
Encore une fois, le bon Pape François est décevant. Mais bon, il y a longtemps que le malaise des tout débuts est passé. On l'a compris notre cher Pape François, et on s'en fiche de son positionnement politique, et encore plus de ses "analyses" politiques qui le font ressembler à un piètre perroquet des hommes politiques de gauche qu'ils soient de parties ou d'associations qui nous bassinent et tentent d'intimider de la sorte, faute d'avoir de vrais arguments et pour détourner du constat de la réalité. Les cœurs de Dame Merkel et Pape François Ier savent être durs et froids face aux conséquences indéniables et exorbitantes de leurs idées politiques et idéologiques. Le Cathéchisme catholique contredit le Pape François sur l'immigration.
Il y a ne serait-ce que vingt ans, un homme venu du futur m'aurait parlé : du terrorisme musulman, de l'invasion migratoire largement musulmane en provenance de l'Afrique et de l'Orient, d'un million de personne en Allemagne en cinq mois, d'agressions sexuelles de masse, d'incivilités et de criminalités largement dissimulées ou édulcorés par les médias...
Je lui aurait dit :" CASSE-TOI SALE CO NNARD D'EXTRÊME DROITE! "
Aujourd'hui, c'est simplement la réalité, la vérité. Être chrétien, c'est d'abord être honnête, de la vérité.
Pignon
Messages : 19590 Inscription : 18/01/2016
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Dim 22 Jan 2017 - 15:00
Scrogneugneu a écrit:
saint Zibou a écrit:
Oser tenter un rapprochement, même par allusion, entre Hitler et Trump est honteux. Bergoglio oublie un peu vite que c'est le Congrès, dans la plus vieille république démocratique du monde, les États-Unis, qui énonce la loi, pas le président! De plus, le port d'armes, par 80 millions d'Américains, garantit le respect de la fonction du Congrès...
Encore une fois, le bon Pape François est décevant. Mais bon, il y a longtemps que le malaise des tout débuts est passé. On l'a compris notre cher Pape François, et on s'en fiche de son positionnement politique, et encore plus de ses "analyses" politiques qui le font ressembler à un piètre perroquet des hommes politiques de gauche qu'ils soient de parties ou d'associations qui nous bassinent et tentent d'intimider de la sorte, faute d'avoir de vrais arguments et pour détourner du constat de la réalité. Les cœurs de Dame Merkel et Pape François Ier savent être durs et froids face aux conséquences indéniables et exorbitantes de leurs idées politiques et idéologiques. Le Cathéchisme catholique contredit le Pape François sur l'immigration.
Il y a ne serait-ce que vingt ans, un homme venu du futur m'aurait parlé : du terrorisme musulman, de l'invasion migratoire largement musulmane en provenance de l'Afrique et de l'Orient, d'un million de personne en Allemagne en cinq mois, d'agressions sexuelles de masse, d'incivilités et de criminalités largement dissimulées ou édulcorés par les médias...
Je lui aurait dit :" CASSE-TOI SALE CO NNARD D'EXTRÊME DROITE! "
Aujourd'hui, c'est simplement la réalité, la vérité. Être chrétien, c'est d'abord être honnête, de la vérité.
JMLP a tout annoncé non depuis 20 ans mais 40.... il a tout annoncé à la virgule près... vous en pensiez du mal, j'en suis quasi certain. Or personnellement je savais qu'il avait raison et voilà pourquoi je n'ai jamais eu honte de dire que je soutiens Le Pen depuis mes 14 ans... L'analyse de le Pen est devenue une évidence aujourd'hui et Trump est un le Pen puissance 10 sur la forme... le monde a changé mais nous savons maintenant qui étaient les visionnaires...
Invité Invité
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Dim 22 Jan 2017 - 17:50
Investiture de Donald Trump : une manifestation de soutien à Paris
Le vendredi 20 janvier 2017, une page de l’histoire des USA [s'est tournée] avec le départ de Barack Obama de la Maison blanche et l’arrivée de Donald Trump. Ce dernier [est devenu] officiellement président des États-Unis après la cérémonie d’investiture.
Les deux personnalités étant totalement opposées, c’est une nouvelle ère qui s’ouvre et qui aura des conséquences dans le monde entier, et notamment en Europe, où si une partie de la population semble se réjouir de l’arrivée de Donald Trump, ce n’est pas le cas des principaux dirigeants politiques en place, en France notamment.
Néanmoins, il suffit de lire le dernier sondage réalisé en partenariat entre Science-Po et le Cevipov pour s’apercevoir du peu de confiance et de crédibilité qu’apporte, dans sa majorité, la population aux principales personnalités politiques dans le pays.
A Paris, une manifestation de soutien à Donald Trump [s'est déroulée] entre 19h et 21h, ce vendredi 20 janvier 2017, sur le parvis des Droits de l’Homme, au Trocadéro. « Cet événement est remarquable pour les Américains qui retrouvent un dirigeant digne de leur pays, mais aussi pour tout le monde occidental et par conséquent pour les Français. Cette élection contre l’establishment politique et médiatique est un rafraîchissement pour les patriotes occidentaux et une défaite pour tous les internationalistes pressés de voir la disparition des états nations.» expliquent les initiateurs du rassemblement, dont il est difficile de prédire la portée et le nombre.
« En tant que citoyens français, attachés à notre pays et à notre civilisation, nous [invitions] nos concitoyens et tous ceux qui se reconnaissent dans les valeurs défendues par les millions d’électeurs de Donald Trump à venir manifester leur joie et leurs souhaits de réussite ce 20 janvier 2017, à Paris.» poursuivent-ils dans un communiqué posté sur la page facebook dédiée à l’évènement.
Charles, un Breton de la diaspora habitant à Paris , y [était] : « c’est un nouvel espoir pour les États-Unis, mais aussi pour l’Europe. Avec Poutine d’un côté, Trump de l’autre, les Européens ont désormais toutes les cartes en main pour reprendre en main leur destin. C’est la fin d’un monde, et c’est bien pour cela que nos dirigeants, mais aussi tout le système médiatique et une partie du système économique a peur » nous dit-il. « Enfin une partie seulement, parce qu’il suffit de voir comment les bourses se portent et comment les chefs de grandes entreprises américaines se bousculent au chevet de Trump pour se rendre compte que de l’autre côté de l’Atlantique, ils ont bien compris que tout cela est très positif. A nous de ne pas devenir des nains dans ce monde et de nous engouffrer dans la brèche ».
Sujet: Un pasteur français de Normandie parle de Donald Trump et prie pour lui... Dim 22 Jan 2017 - 18:08
Invité Invité
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Dim 22 Jan 2017 - 18:16
Les médias mettent l'accent sur les manifestations anti Donald Trump mais ne soyons pas dupes, il s'agit de désinformation. Ces manifestants ne sont certainement pas si nombreux mais les médias cherchent à nous le faire croire. De même qu'ils cherchent à nous faire croire qu'il y avait peu de monde lors du discours d'investiture du nouveau Président des Etats Unis. Il suffisait de voir la foule entassée devant la maison blanche et s'étalant loin à l'horizon pour comprendre combien les américains étaient nombreux à répondre présents. Evidemment l'astuce des médias que j'ai encore constatée cette fois ci est de placer un envoyé spécial sur place et de lui demander d'être filmé avec derrière lui très peu de personnes. Ainsi ils font croire aux téléspectateurs que les américains étaient peu présents pour ce discours d'investiture, témoignant ainsi fallacieusement qu'ils sont majoritairement mécontents de l'arrivée de ce nouveau président. Ce qui est faux et stupide sachant qu'ils furent majoritaires à le soutenir par leurs votes - contrairement aux mensonges des médias qui prétendent le contraire en ne prenant en compte que les jeunes et les américains non blancs ayant voté pour Clinton (en effet 53 % des femmes blanches, 63% des hommes blancs, tout comme les américains de plus de 45 ans ont préféré Trump : si on prend en compte l’âge et la communauté, les conclusions sont les mêmes : peu importe l’âge, les citoyens blancs ont voté pour Trump et les citoyens afro-américains, les latinos et les autres ont préféré Clinton. source : http://www.lesoir.be)
Ces médias du système qui ne savent que manipuler l'opinion publique ont peur et c'est tant mieux car de moins en moins de personnes croient à leurs mensonges et ils font partie d'un monde qui bientot sera complètement balayé.
A nous à présent de faire leur boulot en partageant des informations honnêtes !
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: Ils ont prié Dieu pour bénir Donald Trump et les États-Unis : Alléluia ! Dim 22 Jan 2017 - 18:29
Invité Invité
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Dim 22 Jan 2017 - 18:34
Gilles pouvez vous poster vos messages concernant Donald Trump dans le sujet qui lui est consacre svp plutot que d'ouvrir un nouveau sujet à chaque fois ?
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Dim 22 Jan 2017 - 18:38
Ils ont prié Dieu pour bénir Donald Trump et les États-Unis : Alléluia !
Invité Invité
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Dim 22 Jan 2017 - 18:41
Grande absente de l'interview de Trump, la France n'est pas à la tête de l'actualité européenne
L'Allemagne continue de dominer la politique européenne au détriment des intérêts français, donc Donald Trump a raison de dire que l'Europe est un outil pour l'Allemagne, considère le président du Parti chrétien-démocrate Jean-Frédéric Poisson.
RT France : Dans une récente interview aux médias européens Donald Trump a critiqué Angela Merkel à cause de sa gestion de la crise des réfugiés. Pensez-vous que les relations entre l'Allemagne et la nouvelle administration américaine prennent un mauvais départ ?
Jean-Frédéric Poisson (J.-F. P.) : Ce n'est pas la meilleure manière d'engager un mandat. Mais l'Europe entière a beaucoup interrogé Angela Merkel sur la question de la crise des migrants. Je fais partie de ceux qui se sont beaucoup étonnés, en France, de cette position du gouvernement allemand. J'observe d'ailleurs qu'Angela Merkel, quelques mois après avoir pris sa première décision, a quand même changé de pied et reconnu elle-même qu'elle avait exagéré et traité cela d'une manière inopportune. Le franc-parler de Donald Trump et la manière avec laquelle il aborde les questions internationales sont une nouveauté dans le paysage international. Il va falloir s'y faire, mais, par ailleurs, le fond de sa remarque est pertinent. Je fais moi-même partie de ceux qui ont vivement critiqué la politique allemande à l'époque. Comme je l'ai dit à la primaire de la droite et du centre, les Français sont généreux – comme, je suppose, tous les peuples européens d'ailleurs –, mais ils ont atteint aujourd'hui un certain niveau de saturation et sont difficilement capables d'accueillir des migrants de manière massive. Je suis parfaitement d'accord avec Donald Trump (j'avais d'ailleurs milité pour cette cause) que les pays du Golfe doivent participer très activement à l'acceuil des migrants et des réfugiés. J'observe que ce n'est pas le cas aujourd'hui et je pense que l'Europe – et la France et l'Allemagne particulièrement – commet une erreur assez lourde.
Citation :
La France a perdu du terrain au sein du continent européen
RT France : Donald Trump n'a quasiment pas évoqué la France dans son interview. Pourquoi pensez-vous que la France ait été la grande absente de cet entretien ?
J.-F. P. : Pour citer à peu près les mots de son interview au Times, l'Europe est un outil pour l'Allemagne. Je fais également partie de ceux qui pensent que la France a perdu du terrain au sein du continent européen. Effectivement, l'actualité, aujourd'hui, c'est la sortie du Royaume-Uni d'un côté et le fait que l'Allemagne continue à dominer la politique européenne au détriment des intérêts français de l'autre. Visiblement, pour ces raisons, la France n'est pas à la tête de l'actualité européenne. Maintenant, j'espère qu'avec l'élection de François Fillon que j'attends et que j'espère, tout cela pourra se rééquilibrer.
Citation :
La sortie du Royaume-Uni de l'UE et l'élection de Donald Trump à la tête des Etats-Unis donnent à l'Europe une formidable opportunité de repenser complétement son mode de fonctionnement
RT France : Au cours de l'interview, Donald Trump a avoué qu'il était un «grand fan» du Royaume-Uni. Il a également promis un accord commercial qui aiderait ce pays à quitter l'Union européenne. Viserait-il la fin de l'UE ?
J.-F. P.: Je suis certain que l'intérêt stratégique des Etats-Unis depuis des décennies consiste à avoir en face d'eux un interlocuteur européen qui soit faible. Je ne suis pas surpris que Donald Trump, qui n'a jamais caché sa volonté de défendre avant tout les intérêts américains, veuille contribuer lui-même à cet affaiblissement. Cela suffira-t-il ? Je ne crois pas. Mais cela contraint d'une certaine manière les Européens à réformer leur politique et à se renforcer de cette façon. Ce qui est sûr c'est que la sortie du Royaume-Uni de l'UE et l'élection de Donald Trump à la tête des Etats-Unis donnent à l'Europe une formidable opportunité de repenser complétement son mode de fonctionnement. Je suis persuadé qu'une partie des intérêts français ne peut pas se penser en dehors de l'Europe. Mais pas cette Europe-là, qui est d'ailleurs en train de s'effondrer sous nos yeux. Il faut que l'Europe se recentre, se renforce et qu'elle soit capable de cette façon de traiter aussi bien avec les Etats-Unis qu'avec la Russie, parce que c'est dans cet équilibre-là que je vois l'avenir de l'Europe.
RT France : Evoquant l’OTAN, Donald Trump a déclaré que c’était une structure obsolète. Il a également évoqué la possibilité d'une levée des sanctions antirusses. Est-ce possible ? Ces deux choses-là sont-elles liées ?
J.-F. P.: L'OTAN a été constituée pour faire face à la menace de l'Europe communiste. Il est assez peu raisonnable de considérer qu'aujourd'hui la principale menace vienne d'Europe de l'Est et de la Russie. Je considère même que la manière dont l'OTAN a traité jusqu'ici la Russie a accru le niveau de menace qui pèse sur les Russes. C'est un fait que les pays contributeurs ne payent pas à hauteur des engagements qui ont été pris pour faire en sorte qu'en 2014 les dépenses de chacun des membres de l'organisation représentent 2% de leur PIB. Cela signifie que nous avons - et je suis d'accord sur ce point de vue-là avec le nouveau président américain - beaucoup trop compté sur la présence et la puissance des Etats-Unis pour assurer notre sécurité. J'ai milité pour que la France reconstitue son outil de défense, j'ai milité également pour une sortie du commandement intégré de l'OTAN parce que je continue à ne pas comprendre à quoi cela sert aujourd'hui. Là-dessus je suis d'accord avec le président américain. Le point de désaccord est que je trouve que l'autorité et l'indépendance de la France et de l'Europe doivent se renforcer. Sur ce point là il y aura matière à discussion.
Citation :
Nous avons tout intérêt à considérer les Russes comme des amis et des alliés solides
Quant aux sanctions antirusses, c'est quoi qu'il arrive vers cela, [leur levée], que l'on va. Je pense, après avoir observé la campagne électorale de Donald Trump et la manière dont il voit la Russie, que la décision est prise sur la levée de ces sanctions. Maintenant il faut un peu de temps pour les aménager et un peu de rhétorique pour faire en sorte que tout cela passe tranquillement. Mais, de toute manière, nous allons vers un dégel des relations entre les Etats-Unis et la Russie. C'est très bien pour la sécurité du monde parce que je suis absolument convaincu que la première menace pour les Européens ne vient pas de la Russie - loin de là. Nous avons tout intérêt à considérer les Russes comme des amis et des alliés solides, car nous avons les mêmes ennemis qui sont, au fond, les fondementalistes islamistes. C'est une réalité.
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Dim 22 Jan 2017 - 18:44
«Сe que dit Donald Trump, 80 % des Européens le pensent»
Le fait que la France soit totalement absente des sujets abordés par Donald Trump dans son interview aux médias européens montre qu'il n'y a qu'un patron aujourd’hui en Europe qui est l’Allemagne, estime le député LR Thierry Mariani.
RT France : Donald Trump a beaucoup critiqué Angela Merkel pour sa gestion de la crise des réfugiés. Pensez-vous que ce sera difficile pour les deux leaders de s'entendre ?
Thierry Mariani (T. M.) : Сe que dit Donald Trump, 80 % des Européens le pensent. Si vous demandez aux Français, je suis persuadé que le pourcentage est un peu identique en France. Il fait simplement un constat. Ce qui m’a choqué dans cette interview, c’est qu’on parle des Etats-Unis, de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne… et la France est totalement absente. Je pense que si Donald Trump avait parlé de la France, on l’aurait sûrement mentionné. Il s’adresse à deux quotidiens, l'un allemand, l'autre britannique. Les journaux français se contentent de reprendre ce qui est dit chez les Britanniques ou les Allemands. Déjà je trouve que le choix des intervieweurs est révélateur. Il a dit clairement qu’il y avait un patron aujourd’hui en Europe qui est l’Allemagne. Comme il n’y a pas de contrepoids réel, compte tenu de la situation économique, l’Europe se retrouve entraînée par les erreurs de l’Allemagne. La crise migratoire en est un excellent exemple.
Citation :
L'intérêt des Américains c’est effectivement que l’Europe se disloque
RT France : Donald Trump a également évoqué un éventuel accord commercial à des conditions équitables avec la Grande-Bretagne pour favoriser le Brexit. Pensez-vous que son but soit de semer la crise au sein de l’UE ?
T. M. : Trump est, comme tous les présidents qui ont fait la campagne des années 1960, American First, il joue avant tout les intérêts des Américains, ce qui est normal. Et l'intérêt des Américains c’est effectivement que l’Europe se disloque.
RT France : Le président élu américain Donald Trump a déclaré que l'OTAN était obsolète. Peut-on s'attendre à une réforme complète de l'organisation ?
T. M. : Elle est doublement obsolète. D'ailleurs, du point de vue américain, j'avoue que si j'étais un élu américain, je dirais qu'effectivement les Européens ne prennent pas leur part de fardeau, comme Donald Trump l'affirme. Dans les dépenses on voit très bien que certains pays de l'Europe sont très loin des 2%, du seuil des dépenses. Deuxièmement, ce qui est sûr, c'est qu'aujourd'hui elle est toujours tournée vers la Russie principalement, comme le montrent les évolutions récentes, les envois de troupes américaines dans les pays baltes, Roumanie, etc, alors qu'à mon avis, la Russie ce n'est pas du tout le danger. L'OTAN est obsolète parce qu'elle n'a pas actualisé la menace.
Citation :
L'OTAN c'est surtout aujourd'hui un «logiciel» obsolète, c'est surtout cela qu'il faut revoir
Le 11 septembre, aux Etats-Unis, ce n'étaient pas les Russes. Les attentats à Boston ou ailleurs, ce n'étaient pas les Russes. L'armée américaine s'est battue en Irak, au Moyen-Orient, et là aussi, pas contre les Russes – par moment même contre ses propres alliés, parce qu'on sait bien qu'une partie des troupes contre lesquelles les Américains se battent sont financées par l'Arabie saoudite ou le Qatar.
Donc l'OTAN c'est surtout aujourd'hui un «logiciel» obsolète, c'est surtout cela qu'il faut revoir.
RT France : Trump déclare qu’il lèvera les sanctions au cas où il parviendrait à un accord avec la Russie sur la réduction du potentiel nucléaire. Pensez-vous qu'il est réaliste de s’attendre à un accord pareil entre les Etats-Unis et la Russie ?
T. M. : C’est tout à fait possible. Aujourd’hui, tout le monde sait très bien que l’arsenal nucléaire est surdimensionné des deux côtés, aussi bien du côté russe, que du côté américain. Et d’autre part on voit très bien qu’en réalité tous les conflits depuis 40 ans sont des conflits beaucoup plus localisés et conventionnels. Qu'il y ait une réduction de l’arsenal nucléaire, je pense que ça va changer les choses. Je pense que ça va être un accord acceptable.
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Dim 22 Jan 2017 - 18:53
Donald Trump le Révolutionnaire ?
J'ai lu et relu le discours de Donald Trump à son peuple au moment d'assumer la présidence des États-Unis d'Amérique. Un discours que bien des chefs d'État des pays émergents en Amérique latine et ailleurs dans le monde pourraient faire leur sur de nombreux points.
Le diagnostique, trop sombre pour certains, qu'il fait sur l'état de la Nation met en évidence les faiblesses d'un système qui a servi les intérêts d'une certaine élite, mais qui a laissé dépérir les conditions des travailleurs et du peuple.
Citation :
« Pendant des décennies, nous avons enrichi l'industrie étrangère aux dépens de l'industrie américaine; subventionné les armées d'autres pays tout en permettant le très triste appauvrissement de notre armée; nous avons défendu les frontières d'une autre nation tout en refusant de défendre les nôtres; et dépensé des milliards de milliards de dollars à l'étranger pendant que les infrastructures de l'Amérique se sont délabrées et abîmées. »
C'est le genre de diagnostique que font bien des pays du Tiers-monde qui ont souffert de la colonisation de pays puissants venus s'enrichir au dépens des populations et avec la complicité d'une certaine élite nationale corrompue et de politiciens soumis.
Que l'on pense à Fidel Castro qui s'est porté au secours de son peuple, soumis à la dictature de Batista et aux multinationales qui en ratissaient les richesses. Que l'on pense au Chili d'Allende soucieux de redonner à son peuple son indépendance et les richesses de son pays pour vaincre la pauvreté, assurer des écoles gratuites, des services de santé et redonner espoir et confiance à tous et à toutes. C'est également le cas de la Bolivie d'Évo Morales, de l'Équateur de Rafael Correa, du Venezuela d'Hugo Chavez et de Maduro. Tous veulent redonner le pouvoir à leur peuple et lui assurer la priorité sur ses propres richesses, son indépendance, l'accès à l'éducation, à la santé et à un niveau de vie respectueux de la personne humaine.
N'en va-t-il pas de même avec Donald Trump ?
Citation :
« Les Américains veulent de bonnes écoles pour leurs enfants, des quartiers sûrs pour leurs familles et de bons emplois pour eux-mêmes.
Ce sont des revendications légitimes et raisonnables pour un public juste. »
Comment ne pas partager ce point de vue et vouloir qu'il en soit ainsi pour tous les peuples de la terre?
Ces objectifs comportent toutefois des mesures concrètes qui ne seront pas sans affecter ceux et celles qui s'accommodaient bien du système existant.
Citation :
« Chaque décision sur le commerce, les impôts, l'immigration, les affaires étrangères sera prise au bénéfice des familles et des travailleurs américains. Nous devons protéger nos frontières des ravages des autres pays fabriquant nos produits, spoliant nos entreprises et détruisant nos emplois. La protection conduira à une grande force et prospérité. »
Ces mesures ne sont pas sans nous rappeler celles prises par plusieurs pays émergents dans le monde. De nombreuses nationalisations se sont avérées nécessaires pour que les pays concernés puissent retrouver leur plein pouvoir sur leurs richesses. Il y eut également l'expulsion de diplomates, d'organisations humanitaires aux objectifs malveillants. Des mesures que les grandes puissances qui en bénéficiaient n'apprécièrent guère.
Un des points, sans doute le plus important sur le plan des relations internationales, est celui de reconnaître que chaque peuple dispose de ces mêmes droits et qu'il n'est pas dans sa politique d'intervenir par la force ou les menaces dans les affaires internes des autres peuples.
Citation :
« Nous rechercherons l'amitié et la bonne volonté des autres nations du monde, mais nous le ferons avec l'idée que c'est le droit de tout pays de mettre ses propres intérêts en avant.
Nous ne cherchons pas à imposer notre mode de vie, mais plutôt à le rendre éclatant comme un exemple à suivre. »
Si Donald Trump donne suite à cette promesse, bien des peuples, victimes de l'interventionnisme étasunien, lui en seront grandement reconnaissants. Il en va de même pour ces centaines de bases militaires qui s'imposent à de nombreux peuples à travers le monde. Le rapatriement de ces bases militaires lui permettra de faire de grandes économies pour son peuple tout en redonnant aux nations concernées leur indépendance.
La vision que nous livre Donald Trump le rapproche davantage d'un monde multipolaire que d'un monde unipolaire. À ce titre, il se montre ouvert au respect de chaque peuple au droit de chacun de travailler en priorité pour ses propres intérêts. Dans une telle optique, le monde des échanges se convertira en gagnant-gagnant, chacun y trouvant ses propres intérêts. Un principe avancé par le Président chinois au sommet tout récent de Davos.
L'avenir nous dira si les paroles de Donald Trump seront suivies d'actions concrètes et cohérentes avec ces dernières. La non-intervention dans les affaires internes des autres pays fait partie de celles-là. À y donner suite, les relations internationales entre les peuples en seront profondément modifiées pour le mieux-être de ces peuples.
Ses rencontres à venir avec Vladimir Poutine et le Président chinois nous donneront une première idée jusqu'où il est prêt à aller dans cette révolution.
Commentaire : Evidemment Trump n'est pas seul à décider et certains sont bien décidés à lui savonner la planche pour garder leurs privilèges.
par Oscar Fortin
site web :http://fr.sott.net/
Invité Invité
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Dim 22 Jan 2017 - 23:12
Spoiler:
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Lun 23 Jan 2017 - 1:14
Chrysostome a écrit:
Spoiler:
Ces "dames" auraient intérêt à se repentir de leurs sales iniquités, et d'implorer le pardon de Dieu pour leurs agissements pervers.
Et surtout, qu'elles laissent Donald Trump tranquille ! Elles n'ont pas à lui faire la leçon même s'il n'est pas de leur avis.
-ysov-
Messages : 16517 Inscription : 03/07/2010
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Lun 23 Jan 2017 - 1:21
C'est la conséquence d'une pensée thomiste dans la société ayant durée 700 ans.
Invité Invité
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Lun 23 Jan 2017 - 3:01
Gilles de Québec a écrit:
Spoiler:
Chrysostome a écrit:
Ces "dames" auraient intérêt à se repentir de leurs sales iniquités, et d'implorer le pardon de Dieu pour leurs agissements pervers.
Et surtout, qu'elles laissent Donald Trump tranquille ! Elles n'ont pas à lui faire la leçon même s'il n'est pas de leur avis.
Madonna n'a rien de la vraie Madone !
-ysov-
Messages : 16517 Inscription : 03/07/2010
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Lun 23 Jan 2017 - 3:31
La vierge est la nouvelle Eve. Madonna est la nouvelle Lilith.
Invité Invité
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Lun 23 Jan 2017 - 18:34
Chrysostome a écrit:
Spoiler:
En réalité Donald Trump ne fait que donner aux femmes ce qu'elles demandent inconsciemment. Cela fait longtemps qu'elles ne se respectent plus elles mêmes, qu'elles sont pour beaucoup devenues superficielles et donnent une piètre image de la femme, c'est tout naturel que Donald Trump les prenne au mot et s'adressent à elles pour ce qu'elles prétendent être. Je suis sur qu'avec son épouse Donald Trump est tout différent tout comme avec n'importe quelle femme qui sait se respecter en tant que femme et ainsi se faire respecter.
Finalement Donald Trump c'est comme un miroir mis devant la femme et le féminisme idéologique et identitaire pour lui montrer ce qu'elle est bien souvent devenue. Si cela ne leur plait pas elles n'ont qu'à s'en prendre qu'à elles mêmes.
C'est pareil pour la France, Donald Trump dédaigne cette nation parce qu'elle a perdu son identité et donc il lui donne la considération qu'elle demande inconsciemment. Quand la France aura retrouvé et réassumé son identité chrétienne et catholique vous verrez comme Trump et le reste du monde aura un tout autre jugement à son égard !
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Lun 23 Jan 2017 - 18:37
23 janvier 2017
Spoiler:
«Il ne faut pas croire que Donald Trump est un ami de la Russie»
L’Europe tend à considérer comme acquise la collusion entre le président américain et Vladimir Poutine. Mais les relations pourraient être plus compliquée que prévues. Voilà pourquoi, nous explique le spécialiste Dmitri Trenin.
Dmitri Trenin, qui dirige à Moscou le Think Thank Carnegie, spécialisé dans les relations internationales, analyse les futures relations du nouveau président des Etats-Unis Donald Trump avec la Russie. (*)
"Il faut abandonner l’illusion selon laquelle le nouveau président est un ami de la Russie, de même que l’idée qu’avec lui, les relations entre Moscou et Washington seraient forcément plus faciles qu’avec son prédécesseur."
Certes, selon lui, la victoire de Donald Trump ouvre de nouvelles chances de dialogue, qui avaient disparu ces dernières années : "Elle ne va pas entraîner une refonte de fond en comble des relations entre les Etats-Unis et la Russie mais pourrait à certaines conditions ouvrir un champ d’opportunités pour une amélioration des relations entre les deux puissances."
Pacte faustien
Rien n’est joué pour autant : "En novembre, les célébrations qui ont eu lieu à Moscou pour fêter les élections Américaines auraient dû saluer la défaite d’Hillary et non la victoire de Trump." Selon le politologue, l’entourage du nouveau président, de même qu’une partie de l’establishment de Washington, est loin d’être pro-Russe :
"Certes, le programme de politique internationale n’a pas encore été défini, mais on peut déjà noter que le président s’est entouré de personnalités connues pour leur scepticisme, voire même leur hostilité vis à vis de la Russie."
Dmitri Trenin va même plus loin : "On peut raisonnablement penser que les élites politiques de Washington ont offert à Donald Trump un pacte faustien, lui accordant sa légitimité, mais en échange, son administration reconnaît la Russie comme un ennemi des Etats-Unis. Trump ne l'a pas encore accepté." En tout cas pour l'instant.
Des objectifs divergents
Les pronostics basés sur une amitié virile entre deux "hommes forts" ne tient pas plus la route, ajoute l'expert. Les personnalité des deux hommes, calculateur pour l’un, impulsif pour l’autre, sont radicalement différentes. Principal point commun en revanche : ils sont profondément nationalistes. Résultat :
"Quelles que soient les relations entre les deux leaders, leurs décisions seront basées sur ce qu’ils considéreront comme les seuls intérêts des pays qu’ils représentent.
Or, dans un avenir proche, les intérêts fondamentaux de la Fédération de Russie et ceux des Etats Unis resteront divergents. Les Etats-Unis vont tacher de maintenir l’hégémonie d’un 'leadership global' sur le monde.
De son côté, la Russie va vraisemblablement tenter d’y résister en bâtissant un réseau de relations autour de la Grande Eurasie, libre de toute domination américaine. Cette rivalité va être l’élément central des relations entre la Russie et les Etats-Unis dans les années à venir."
Ce clivage pourra-t-il être dépassé ? Pas si simple. "Il faudrait pour cela que la classe politique américaine – et pas juste Donald Trump – commence à considérer que les intérêts nationaux américains sont plus importants que la domination du monde, et accepte d’envisager une forme de gouvernance mondiale alternative intégrant la participation d‘autres joueurs de premier plan. Une telle révolution dans la politique étrangère, si elle a jamais lieu aux Etats-Unis, n’est pas pour demain."
Un langage commun?
Dans ce contexte, plusieurs défis attendent pour lui la Russie :
- "Eviter une collision frontale avec les Etats-Unis", un risque majeur compte tenu des conflits en Ukraine et en Syrie.
- "Obtenir des Etats-Unis la reconnaissance des enjeux sécuritaires russes en Europe afin de prévenir l’émergence d’une dangereuse nouvelle crise."
- "Obtenir des résultats diplomatiques ménageant les intérêts des deux camps, - depuis la réponse effective au terrorisme international, jusqu’au renforcement du programme de non prolifération nucléaire, tout en maintenant une politique de stabilité globale."
Mais attention : "Moscou ne doit pas mendier de concessions à Washington. Les sanctions américaines contre la Russie sont secondaires pour l’économie de la Russie et les contraintes personnelles contre des individus et des hommes d’affaires sont purement symboliques. [...]"
Il est essentiel selon lui que la Russie soit considéré par les Etats-Unis comme un partenaire de premier plan : "Une coalition militaire impliquant les Etats-Unis et la Russie contre Isis est possible, mais seulement s’il s’agit d’une coalition entre égaux." [...]
"Moscou devrait inclure les Etats-Unis dans la résolution de la crise en Syrie ou au moins s’assurer qu’ils n’interfèrent pas dans ce processus. Il est aussi possible de travailler sur l’amélioration concrète des accords de Minsk en Ukraine [...]. La Russie et les Etats Unis peuvent aussi initier un dialogue sur la stabilité dans le monde, la cybersécurité, le programme nucléaire nord-coréen. De son côté, la Russie peut engager une coopération en Arctique en impliquant des compagnies américaines dans des projets d’infrastructure dans le Grand Nord [...].
En revanche, alors que Donald Trump a ouvert un front contre la Chine, désigné comme l'ennemi, les divergences des deux pays sur le sujet restent irréconciliables : "La Russie ne doit à aucun prix entrer dans le débat américain sur l’opportunité de mettre la pression sur la Chine. Un partenariat stratégique et une coopération avec la Chine et d’autres grands pays d’Asie, comme l’Inde, sont la base de la stratégie Russe pour une grande Eurasie, la priorité économique et géopolitique pour la Russie du XXIe siècle."
Conclusion du politologue :
"Ces cinq dernières années, les relations entre la Fédération de Russie et les Etats-Unis ont été marquées par l’instabilité, des surprises déplaisantes et des accusations mutuelles, en même temps qu’une absence totale de confiance et de respect mutuel.
Si Vladimir Poutine et Donald Trump sont capable de trouver un langage commun autour d’intérêts nationaux, et ce en dépit de différences fondamentales, et d’une rivalité inévitable, l’opposition Russie-Etats-Unis peut devenir plus gérable. Dans les circonstances actuelles, on peut considérer cela comme une victoire."
Spoiler:
(*) Cette analyse est parue dans sa version intégrale le 18 janvier sur le site d’Euronews.
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Mar 24 Jan 2017 - 2:44
L’Église Marble Collegiate sur la 5ème avenue à New-York
Voici l'Église que fréquentait Donald Trump dans la vingtaine
Trump a été baptisé et confirmé dans l’église presbitérienne du quartier nommé Jamaica, situé dans le Queens à New York. Ses parents l’ont élevé dans l’austérité typique des personnes pratiquantes de la Basse Eglise (Low Chuch). C’est pourquoi il ne fait pas de pari, ne fume pas, ne boit pas – y compris quand le stimulant est de la caféine. « Je n’ai jamais fumé une cigarette. Je n’ai jamais bu un verre d'alcool. Je ne boirai même pas une tasse de café » a-t-il déclaré à l’Esquire l’an dernier (Quand on fait mention de l'abstinence de Trump, il est difficile d’oublier que ni Hitler, ni Mussolini n’ont jamais fumé ni bu).
La vingtaine avancée, Trump a commencé à fréquenter l’Eglise Marble Collegiate sur la 5ème avenue. Fondée en 1628 dans la colonie néerlandaise de la Nouvelle Amsterdam, l’Eglise Marble Collegiate est l’une des rares institutions qui ait survécu depuis la fondation de la ville. Peter Minuit, le gouverneur de la Nouvelle Amsterdam, était le premier Ancien de l’église, et Peter Stuyvesant, le directeur général de la colonie, dirigeait tous les dimanches les fidèles durant le service religieux. Le haut clocher de sa maison, érigé en 1854, s’élève à soixante et un mètre au-dessus du sol, un symbole de droiture dans la pierre. Ici Trump marcha dans l'allée après avoir échangé ses vœux avec Ivana et entendu les sermons de Norman Vincent Peale, un homme dont la philosophie allait devenir celle de Trump lui-même.
Lorsque Trump a rencontré Peale, ce dernier était déjà célèbre pour être l’auteur de La Puissance de la Pensée Positive, un livre qui se vendra par la suite à presque cinq millions d'exemplaires. Peale occupait une position centrale dans la classe dirigeante, bien que ce statut fut ébranlé en 1960, quand il rejoignit un groupe de 150 pasteurs protestants -dont Billy Graham- qui voulait empêcher Kennedy d’entrer à la Maison Blanche. Le groupe publia un manifeste qui demandait si on pouvait faire confiance à un catholique comme président, alors que Rome faisait des «efforts déterminés. . . pour franchir le mur de séparation entre l'Eglise et l'Etat ». Peale se chargea de la présentation publique du document et dut faire face à une réaction immédiate du Séminaire de l’Union Theologique de Reinhold Niebuhr et de John Bennett, qui l'accusaient de commettre un « préjudice aveugle ». Peale, honteux, présenta ses excuses et à partir de ce moment, son enseignement prit de la distance par rapport aux dures réalités de la vie politique.
Avant que Trump ne fasse son incursion dans le monde politique, il a lu le livre de Peal et a adopté son programme de « pensée positive ». Les deux hommes ont commencé à échanger des compliments publics. Peale, toujours généreux dans ses évaluations de la nature humaine, disait de Trump qu’il avait un « trait profond d’humilité honnête ». Trump, sans vraiment arborer ce trait d’humilité, a déclaré que Peale « pensait que j’étais son meilleur élève de tous les temps ». En un certain sens, Trump avait raison. Peale n’a jamais eu de disciple plus parfait.
Peale distille l’optimisme et l’auto-suffisance du caractère américain en un credo simple. Le premier article de sa foi étant un fort patriotisme. Il appelait les États-Unis « le plus grand pays du monde » et adressait ses écrits aux « gens ordinaires de cette terre » qui « sont les miens que je connais, que j’aime et qui ont une grand foi ». Ce sont ces gens qu’il a rencontrés dans les loges maçonniques, les hôtels de villégiatures et les salles de conférence des bateaux de croisières. En eux, il a senti une morale innée et un certain potentiel. N’importe lequel d’entre eux pourrait être efficace et couronné de succès – si seulement il pouvait croire en lui-même, en utilisant la puissance de la pensée positive.
Peale promet à ses lecteurs une « énergie constante » à condition qu’ils pensent positivement. Les pensées optimistes ouvrent à une force vitale qui vient directement de Dieu. Les pensées négatives, et spécialement la tendance à s’attarder sur ses propre fautes, peuvent interférer avec la force divine. Il met en garde ceux qui ont une conscience active car « la quantité de force vitales nécessaire au soulagement de la personnalité en face de la culpabilité ou de la peur » est si grande qu’il ne reste « qu’une fraction d’énergie » pour vaquer à ses tâches ; la productivité et la gaité devenant pour lui les signes de l’élection éternelle (En attaquant Jeb Bush sur sa « faible énergie » Trump l’accuse en fait d’être dépourvu du Saint Esprit).
Selon Peale, « les attitudes sont plus importantes que les faits ». L’homme qui montre « un schéma de pensée confiant et optimiste peut entièrement modifier et surmonter les faits ». Le premier fait que la pensée positive de Peale a dû surmonter est celui de la fragilité humaine. Peale connaissait les difficultés que certains rencontrent dans l’alcool, dans un mariage difficile, ou des problèmes économiques, mais il n’a jamais accepté l’inéluctabilité de l’infortune et le fait que tous doivent payer le prix du péché. Comme l’un des consolateurs de Job, il dit aux malheureux qu’il leur faut simplement regarder du coté lumineux. Lorsque la Bible exhorte l'homme à scruter son cœur et à connaître ses défauts, Peale l'encourage à « faire une estimation réelle de sa propre capacité, puis à l’augmenter de dix pour cent ». Pour Jérémie, le cœur est par-dessus tout trompeur et désespérément mauvais, mais pour Peale ses recoins les plus sombres sont baignés du soleil de Californie.
Ainsi, la nécessité de la repentance disparaît. Il est important de penser positivement, et une pensée négative, telle que Domine, non sum dignus, peut être préjudiciable à la santé spirituelle. Pourtant, l'aspect sombre de la pratique chrétienne traditionnelle est aussi la source de la compassion chrétienne. Au moment où un chrétien demande le pardon, il lui faut reconnaître sa propre faiblesse et regarder avec miséricorde la faiblesse des autres. Dans le Notre Père, le chrétien demande d’être pardonné, de la même façon que lui-même pardonne. De la terreur sacrée que Peale appelle «la pensées peureuse» vient la lumière de l'amour chrétien.
A un rassemblement de campagne électorale dans l’Iowa, Trump a choqué le public en disant qu’il n’a jamais demandé pardon à Dieu. Toutes ses autres déclarations troublantes -ses attaques envers chaque groupe vulnérable- deviennent compréhensibles à partir de celle-là. La foi auto-suffisante de Peale absorbée par Trump ne laisse pas de place à la faiblesse humaine. La fragilité humaine, la dépendance, et le péché ne peuvent pas être reconnus ; ils doivent être vaincus. Ceci ouvre la possibilité d’une grande cruauté envers ceux qui ne peuvent se souhaiter à eux-mêmes d’être des vainqueurs. Un homme, qui n’a pas besoin de demander pardon, n’a jamais besoin de pardonner aux autres. Il ne reconnait pas sa propre faiblesse, et donc se moque et injurie tous les signes de faiblesse de ses semblables.
Parce que Peale était un homme honnête et d’une foi chrétienne sincère, si ce n’est tout à fait orthodoxe, il n’a jamais tiré les rudes implications de son point de vue. Trump ne ressent pas cette retenue, et a donc tiré les conclusions logiques de l’enseignement de Peale. Il a traité la veuve dont il a essayé de prendre la maison d’«effroyable être humain » dont l’avocat est de toute façon un «perdant». Il s’est moqué d’un journaliste pour avoir une main déformée. Il a dénigré une concurrente d’un de ses spectacles de télé réalité en suggérant à quoi elle pourrait ressembler dans un scénario pornographique. Et il a applaudi le programme de Planification Parental pour le « très bon travail » réalisé.
Aujourd’hui Peale est largement oublié, et son Best-seller traine dans les magasins de livres usagés. Ce fait est une honte car il nous a entrainé à sous-estimer l’influence et le pouvoir de la foi auto-suffisante qu’il a promue et qu’il transmettait à ses meilleurs étudiants. Peale voulait prêcher un credo tendre qui fait du feu de l’enfer et de la terreur une réflexion de seconde importance. En Trump, il s’est transformé en un dédain païen. Les deux formes de cette philosophie ont capté l’imagination du public, et les deux sont en désaccord avec la foi enseignée par le Christ.
Le christianisme est une religion de perdants. Aux faibles et aux humbles, il offre un Seigneur dépouillé et humilié. A ceux qui n’ont pas de raison d’être optimistes, il brandit la croix comme signe d’espérance. A tous ceux qui ne réussissent pas dans la vie, il fait la promesse suivante : qui perd sa vie pour l’amour du Christ la trouvera. En son centre se trouve une vérité que nous sommes enclin à oublier. Il y a des personnes qui ne peuvent pas être transformés en vainqueur, quelque soit l’intensité positive de leurs pensées. Ils ont besoin de quelque chose de plus paradoxal et cruciforme.
Après l'un des emportements de Trump, je marchais jusqu'à l’église Marble Collegiate pour voir où il avait autrefois prié. J’ai essayé d’entrer par la porte de devant, puis par la porte latérale avant de réaliser que l’église était fermée. Lorsque que j’étais sur le point de faire demi-tour, un gardien sortit du bâtiment. Il me demanda ce que je voulais et me conduisit à l’intérieur. Le sanctuaire était peint en bordeaux et or, avec une moquette moelleuse et des bancs avec supports pour maintenir les tasses en plastique utilisées pour la communion. Le concierge signala un vitrail récemment installé représentant la Crucifixion. « Avant que ce vitrail soit installé, il n’y avait pas de croix ici », me dit-il. Je lui ai demandé s’il était un fidèle de cette église et il me répondit que non, qu’il était catholique.
Matthew Schmitz, Rédacteur de la rubrique littéraire de First Things.
Source : Donald Trump, a man of faith, First Things, Août 2016
Erkos
Messages : 608 Inscription : 23/01/2014
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Mar 24 Jan 2017 - 19:59
Ce matin 23 01 2017, Donald Trump a signé trois décrets importants.
Le nouveau président a réinstallé d’abord ce qui a été appelé la Mexico City Policy. Celle-ci bloque toute subvention aux organisations internationales non gouvernementales (ONG) qui pratiquent ou font la promotion de l’avortement. Autrement dit, toute organisation de planification familiale ou non qui en même temps fait des avortements ou milite pour l’IVG à l’étranger sera privée de toute aide de l’Agence Américaine pour le Développement international.
Mexico City Policy avait été mise en place par Ronald Reagan à partir de 1984. Elle connaîtra des vicissitudes. Supprimée par Bill Clinton en 1993, puis réinstaurée par George Bush en 2001. La Mexico City Policy était très restrictive car elle visait aussi des organisations nationales qui sous couvert de contraception faisaient des avortements. « C’est dans mes convictions que l’argent des contribuables ne devrait pas être utilisé pour payer des avortements ou ses partisans et tous ceux qui font une promotion active de l’avortement, ici et à l’étranger » déclara Bush à l’époque. Cette décision visait principalement l’UNFPA (United Nation for Population Fund) qui comme son nom l’indique est un organisme onusien d’aide économique au populations.
En 2009 3 jours après son investiture Obama abroge la Mexico Policy pour célébrer le 36ème anniversaire de la loi d’avortement Roe versus Wade ; même jour que celui de La Grande Marche pour la Vie. Le Vatican condamnera immédiatement cette décision.
Désormais, depuis lundi, l’Amérique en aucun cas n’aidera à « exporter » l’avortement sous quelque forme que ce soit.
Passons sur les communiqués de fureur des tenants de la culture de mort et autres féministes. Le second texte signé par Trump, tend à mettre fin au TPP ou Trans-Pacific- Partnership ; il s’agit d’un traité de libre-échange avec les pays d’Asie aboli afin de protéger l’économie américaine. Le troisième décret vise à bloquer les embauches concernent les fonctionnaires de l’Etat, à l’exception de l’armée.
Il faut d’abord constater que le décret de Trump sur la Mexico Policy est le tout premier de ses quatre années de présidence. Le symbole est très fort. Le nouveau président se présente de manière spectaculaire comme un défenseur de la vie.
Ainsi la Mexico City Policy va supprimer les fonds que reçoivent des milliers d’ONG et associations pratiquant l’IVG ou la soutenant ; elles ne toucheront plus un sous à moins de renoncer à leurs actions mortifères.
La quasi-totalité des commentateurs estime que l’enjeu fondamental est la suppression des subventions à International Planning Parenthood . Cet organisme est sur la sellette. Il fait 80 % des avortements aux Etats-Unis. Le Congrès (parlement) a déjà fait un rapport de 450 pages sur la vente de morceaux de fœtus ; laquelle apparemment n’est pas autorisé par la loi. De plus le Sénat est en train lui aussi d’enquêter dans ce sens. Les inculpations suivront. De plus, Trump et le Parti Républicain ont la majorité dans les deux Chambres. Enfin 59 % des Américains sont opposés à l’avortement ; rappelons qu’Hillary Clinton prévoyait de pouvoir tuer les enfants in utero jusqu’à l’accouchement. L’IVG n’est plus soutenue que par 33 % de la population.
Il faut ajouter le fait que Trump a depuis longtemps annoncé qu’il ferait nommer des juges pro-vie à la Cour Suprême.
Telle est la plus grande victoire pro-vie depuis cinquante ans.
Jean-Pierre Dickè
Invité Invité
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Mar 24 Jan 2017 - 22:26
L'État n'a pas à financer l'infanticide !
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: L’avènement de Donald Trump nous rapproche-t-il un peu plus de la fin du monde ? Jeu 26 Jan 2017 - 18:19
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Jeu 26 Jan 2017 - 18:25
L'horloge de l'apocalypse se rapproche de minuit
C'est la première fois depuis 2015 que l'heure de la célèbre horloge est avancée. C'est la faute à Trump.
L'horloge de l'apocalypse, qui symbolise l'imminence d'un cataclysme planétaire, a été avancée de 30 secondes à 2 minutes et 30 secondes avant minuit, ont annoncé jeudi des scientifiques, invoquant entre autres la rhétorique de Donald Trump.
C'est la première fois depuis 2015 que l'heure de la célèbre horloge est changée. Cette année-là, elle avait été avancée de deux minutes, à 23h57. Elle est régulièrement mise à jour par les directeurs du Bulletin des scientifiques atomistes de l'Université de Chicago.
Ces scientifiques, dont quinze prix Nobel, justifient leur inquiétude en raison «de la forte montée du nationalisme dans le monde, des déclarations du président Donald Trump sur les armes nucléaires, du réchauffement climatique, de la détérioration de la sécurité mondiale dans un contexte de technologies de plus en plus sophistiquées ainsi que l'ignorance grandissante de l'expertise scientifique».
Depuis sa création en 1947, l'horloge de l'apocalypse a été ajustée 19 fois, de 23h58 en 1953, quand les États-Unis ont décidé de produire la bombe à hydrogène, à minuit moins 17 minutes en 1991, à la fin de la Guerre Froide.
Depuis 1991, elle n'a pratiquement pas cessé de se rapprocher de minuit, exception faite de 2010, lorsqu'elle a été reculée d'une minute. Basée à l'origine sur la menace nucléaire, elle prend en compte aujourd'hui d'autres facteurs comme le changement climatique ou les nouvelles technologies.
joker911
Messages : 3032 Inscription : 22/11/2009
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Jeu 26 Jan 2017 - 19:03
Gilles de Québec a écrit:
L'horloge de l'apocalypse se rapproche de minuit
C'est la première fois depuis 2015 que l'heure de la célèbre horloge est avancée. C'est la faute à Trump.
L'horloge de l'apocalypse, qui symbolise l'imminence d'un cataclysme planétaire, a été avancée de 30 secondes à 2 minutes et 30 secondes avant minuit, ont annoncé jeudi des scientifiques, invoquant entre autres la rhétorique de Donald Trump.
C'est la première fois depuis 2015 que l'heure de la célèbre horloge est changée. Cette année-là, elle avait été avancée de deux minutes, à 23h57. Elle est régulièrement mise à jour par les directeurs du Bulletin des scientifiques atomistes de l'Université de Chicago.
Ces scientifiques, dont quinze prix Nobel, justifient leur inquiétude en raison «de la forte montée du nationalisme dans le monde, des déclarations du président Donald Trump sur les armes nucléaires, du réchauffement climatique, de la détérioration de la sécurité mondiale dans un contexte de technologies de plus en plus sophistiquées ainsi que l'ignorance grandissante de l'expertise scientifique».
Depuis sa création en 1947, l'horloge de l'apocalypse a été ajustée 19 fois, de 23h58 en 1953, quand les États-Unis ont décidé de produire la bombe à hydrogène, à minuit moins 17 minutes en 1991, à la fin de la Guerre Froide.
Depuis 1991, elle n'a pratiquement pas cessé de se rapprocher de minuit, exception faite de 2010, lorsqu'elle a été reculée d'une minute. Basée à l'origine sur la menace nucléaire, elle prend en compte aujourd'hui d'autres facteurs comme le changement climatique ou les nouvelles technologies.
La mode a changé ?! Tout n'est plus a cause de Poutine? 21eme siècle c'est la mode de Bouc émissaire
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Jeu 26 Jan 2017 - 19:09
joker911 a écrit:
La mode a changé ?! Tout n'est plus a cause de Poutine? 21eme siècle c'est la mode de Bouc émissaire
Avec les médias, un jour c'est noir et l'autre jour c'est blanc !!!
Théodéric
Messages : 23072 Inscription : 21/08/2007
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Ven 27 Jan 2017 - 0:17
si Trump confirme sa volonté de déplacer l'ambassade Us a Jérusalem là ils vont pouvoir mettre l'horloge sur minuit 5 !!
il faut bien que cela arrive , mais si il fait cela il relance le rassemblement des armées du monde prés d’Israël !! et une tension énorme ! ce qui ne veut pas dire Armageddon imminent mais on va faire chauffer l'ambiance !!
les arabes voient qu'actuellement c'est favorable pour eux et que le monde s'organise pour passer a d'autres énergies que le pétrole , donc leur domination financière ne durera pas encore des siècles !! chacun va vouloir profiter du moment ; y en a qui ne vont pas dormir et vont mourir de frayeur !
ça va péter dans le monde , c'est la suite logique de nos choix on a sabré une bonne part des fondations et bâtît sur le sable , donc la tempête arrive ça va être pénible !
pour moi en plus on va avoir des tremblement de terre sous marin énormes, l'atlantique va bouger sans que l'on s'y attende ça va produire des vagues destructrices ! une des grande villes commerciale du monde va disparaitre prochainement . j'espére que cela aider les hommes a saisir combien leurs choix du 'tout pour le fric et la domination sont futiles !' on entre vraiment dans le temps des douleurs si on avait écouter Le Seigneur Jésus on serait prés a faire face là 0 ou presque !!
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Ven 27 Jan 2017 - 1:16
Théodéric a écrit:
si Trump confirme sa volonté de déplacer l'ambassade Us a Jérusalem là ils vont pouvoir mettre l'horloge sur minuit 5 !!
Effectivement !!!
Heureusement et Gloire à Dieu, ce n'est pas pour tout-de-suite !
L'administration Trump aurait suspendu le projet de transfert de l'ambassade américaine à Jérusalem
ptrem
Messages : 3796 Inscription : 31/12/2010
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Ven 27 Jan 2017 - 20:26
@ Gilles de Québec J'ai cherché avec Google" les moments clé de l'Histoire" et je suis tombé sur
Son Excellence John Ralston Saul Allocution d'ouverture de la conférence du Conseil international d'études canadiennes Son Excellence John Ralston Saul Allocution d'ouverture de la conférence du Conseil international d'études canadiennes
Université d'Ottawa le jeudi 18 mai 2000 Université d'Ottawa le jeudi 18 mai 2000
http://archive.gg.ca/media/doc.asp?lang=f&DocID=1357#top Penser-vous que l'on peut extrapoler à l'échelle mondiale
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Ven 27 Jan 2017 - 20:47
ptrem a écrit:
Pensez-vous que l'on peut extrapoler à l'échelle mondiale ?
Je ne sais pas. Il y a beaucoup trop de différences entre les différents gouvernements de la planète.
Invité Invité
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Ven 27 Jan 2017 - 22:39
On s'y approche de jour en jour mais je ne crois pas que Trump a quelque chose à y voir.
Certes, il a pris des mesures anti-avortement mais les légions de l'antichrist ne baisseront pas la garde.
-ysov-
Messages : 16517 Inscription : 03/07/2010
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Ven 27 Jan 2017 - 22:45
Je le souhaite que Trump mette à exécution le déménagement de l'ambassade.
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Sam 28 Jan 2017 - 2:30
-ysov- a écrit:
Je le souhaite que Trump mette à exécution le déménagement de l'ambassade.
Il faut que le Congrès et le Sénat US approuvent... Je ne suis pas certain que Mr. Trump pourra agir unilatéralement dans ce dossier.
Invité Invité
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Sam 28 Jan 2017 - 10:07
Avec Soros, la grosse finance mondialiste derrière la campagne anti-Trump
Les manifestations et les violences de la campagne anti-Trump sont montées par des organisations radicales que finance indirectement George Soros. Le milliardaire mondialiste n’est pas seul à financer la révolution par l’intermédiaire d’associations écrans. Il finance aussi les émeutes anti-police et la propagande réchauffiste.
Soros, l’homme des Rothschild, derrière la campagne anti-Trump
On se souvient qu’Obama a tout fait pour mettre des bâtons dans les roues de Trump après l’élection de celui-ci, tant par ses nominations et décrets de dernière minute que par la campagne de dénigrement à propos de la prétendue interférence des services russes dans la campagne. Il agit ainsi en tant que patron des Démocrates, Hillary Clinton demeurant KO debout après sa défaite, et au nom de la grosse finance mondialiste qui le commandite.
Derrière cette marionnette politico-médiatique rompue à la communication, le vrai pouvoir est en effet représenté par quelques gros représentants de la finance mondialiste, dont en particulier Georges Soros, obligé des Rothschild. Il arrose à la fois les réseaux qui influencent les médias et les intellectuels et les organisations militantes, y compris celles qui ont une stratégie de violence illégale.
La grosse finance mondialiste se cache derrière des sociétés écrans
Naturellement le porte-parole de George Soros, Michael Vachon, a juré ses grands dieux dans Value Walk que « George Soros ne finance pas les manifestations anti-Trump ». C’est ce qu’il avait déjà fait lors de l’opération Occupy Wall Street. Mais la liste de financement du mouvement montrait qu’Occupy Wall Street avait reçu des fonds importants de la Tides Foundation – laquelle sert d’intermédiaire à toutes les grandes fondations (Rockefeller, Ford, Carnegie), lorsqu’il s’agit de fournir discrètement la rue en argent liquide, et se trouve notamment alimentée par des dizaines de millions de dollars venus d’un certain George Soros ! Il ne s’est pas foulé pour imaginer un système compliqué.
C’est la même chose pour les casseurs de « Not My President » qui ont provoqué des échauffourées après l’élection et le jour de l’investiture de Trump, occupant rues et autoroutes, cassant les vitrines, blessant les policiers, allumant des incendies et jetant des cocktails Molotov. Soros ne va pas avouer qu’il les stipendie. Mais on voit que des organisations comme Black Lives Matter and MoveOn.org sont mouillées jusqu’au cou dans l’organisation des manifestations (en fait, de mini-émeutes) : or elles sont financées par Soros.
Soros finance Black Lives Matter et les émeutes
Black Lives Matter, qui est aujourd’hui l’une des associations spécialistes de l’émeute les plus efficaces, a été fondée par trois lesbiennes marxistes dont le modèle étaient les révolutionnaires communistes Angela Davis et Assata Shakur, et les Black Panther. Le Washington Times a établi par une enquête en 2015 que Soros a donné plus de trente-trois millions de dollars à Black Lives Matter et à sa nébuleuse d’associations. Il se trouve d’ailleurs battu sur ce terrain par un autre fleuron de la finance mondialiste, la Ford Foundation, qui vient de mettre cent millions dans un fonds nouveau dont Black Live Matters sera le bénéficiaire principal.
Pour ne pas être en reste, George Soros a décidé de donner un petit coup de pouce en plus à l’agitation anti-Trump grâce à une petite structure qu’il a fondée, la Washington Community Action Network, qui s’est payé des publicités sur le site géant de petites annonces Craiglist et dans les journaux demandant des « organisateurs à plein temps », payés 15 dollars de l’heure, plus les congés payés et l’intéressement aux bénéfices, pour « combattre l’Agenda de Trump ». Voilà qui a le mérite de la clarté.
Cherche organisateur de la campagne anti-Trump, temps plein
Black Live Matters a bénéficié des largesses de Soros dès ses premiers pas mais ce n’est qu’en 2014, à l’occasion des émeutes de Ferguson dans le Missouri, que le mouvement a pris une ampleur nationale et internationale. Deux des filiales de Black Live Matters s’y sont distinguées par leur violence (il y a eu notamment des tirs contre la police), l’Organisation de lutte noire (OBS) et les Missouriens pour la réforme et la prise de pouvoir (More). Toutes deux sont de pure obédience marxiste-léniniste, dirigées par des militants chevronnés qui organisent des émeutes depuis des décennies. Un des patrons et fondateurs d’OBS est Jamala Rogers, qui est organisateur de communauté comme Obama à ses débuts, ancien du Black Power et de la Ligue communiste révolutionnaire.
Soros donne aussi de l’argent à Colorlines, un site qui a beaucoup contribué à faire de l’affaire de Ferguson un show américain et mondial. Akiba Solomon, l’un de ses rédacteurs, avoue : « Plus de cinq cents d’entre nous ont voyagé de toutes les grandes villes des États-Unis pour venir soutenir les gens de Ferguson et faire d’un mouvement local un mouvement national ».
Soros, conscience de la planète et finance des révolutionnaires
La presse américaine fait état d’autres faits de ce type qui établissent solidement que la finance mondialiste et Soros en particulier financent les émeutes radicales en matière de « droits civiques », comme ils financent la propagande réchauffiste. On comprend mieux pourquoi quand on lit les livres de Soros. Dans L’alchimie de la finance, paru en 1987, il avouait qu’il lui arrivait de se prendre pour Dieu, avec aussi des envies de suicide. Depuis, il se dit guéri mais sa mégalomanie vise toujours à réformer la planète. Il se sent « la conscience du monde ». Et il ajoute : « Je n’accepte pas les règles imposées par d’autres ». En conséquence, il tend à imposer les siennes aux autres.
Son Open society foundation est l’instrument financier de cette réforme de l’univers. Mais il ne s’en tient pas là. Il a fondé la Democracy Alliance pour amener milliardaires et millionnaires à financer les causes qui lui sont chères. Selon un rapport de l’IMI (l’Institut des migrations international) c’est lui qui a financé le rapport Sutherland, feuille de route de l’invasion en cours de l’Europe, et qui finance aussi le CGPI (l’initiative pour une politique mondialiste de l’université de Columbia) qui abrite le secrétariat de Sutherland pour le bureau des migrations à l’ONU.
Quand la finance mondialiste se réunit pour abattre Trump
Bref, il est clair que Donald Trump est pour lui un ennemi à abattre. C’est d’ailleurs pourquoi il avait placé John Podesta, président du centre pour le progrès américain, qu’il finance, au poste de directeur de campagne d’Hillary Clinton. Aussi, pour contrer le président élu, a-t-il immédiatement organisé, entre le quinze et le dix-sept novembre dernier, une conférence d’investissement avec les têtes pensantes du parti démocrate et les donateurs de Wall Street et de Hollywood à l’hôtel Mandarin Oriental de Washington.
Avec les donateurs de l’Alliance pour la démocratie, ils alimentent les associations-écrans qui financent elles-mêmes les manifestations illégales contre Trump, comme la Tide foundation. Des fuites et des vidéos d’interviews diffusées par le « Project Veritas » le montrent. On y voit notamment une chargée d’affaires de l’équipe Clinton, Zulema Rodriguez organiser une marche anti-Trump à Chicago en mars 2016, marche où des policiers ont été insulté et qui a forcé Trump à annuler sa réunion. Soros et les Démocrates ont donc payé les violences dont ils ont ensuite fait grief à Trump. Cela continue tranquillement aujourd’hui, et il est à parier que cela va continuer un bout de temps.
Après Jérusalem, il faudra songer à retrouver l'Arche d'Alliance ( voir vidéos d'Arnaud ) . Mais, comme elle se trouve probablement en Jordanie (Mont Nebo ? ) ou peut-être en territoire palestinien ( désert/montagnes de Judée, entre Massada et Qumran ), ça promet un sérieux clash si Israël y met les pieds. Encore trente seconde de plus, à mon avis !
ptrem
Messages : 3796 Inscription : 31/12/2010
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Sam 28 Jan 2017 - 12:06
Le théologien suisse dit son attachement à la figure du Fils de Dieu. JESUS de Hans Küng Traduit de l’allemand par Éric Haeussler Editions du Seuil, 288 p., 21,50 € Pourquoi Hans Küng a-t-il choisi de republier, après quelques remaniements, de larges extraits de son Être chrétien paru en 1974 (traduit en français en 1978) et de donner à ce livre un titre simple – Jésus ? Trois hypothèses, peuvent être avancées. Hypothèse 1 : le théologien suisse, né en 1928, qui fut interdit d’enseignement en faculté de théologie en 1979, veut simplement dire son attachement à la figure de Jésus et à l’Église catholique qui demeure sa «patrie spirituelle» «malgré les nombreuses expériences de la dureté du système romain», selon les mots de la courte notice bibliographique. ____________________________________________________________
http://finsdumonde.free.fr/approches_chretiennes/catholiques/fins-hans-kung.html Extrait de l'ouvrage de de Hans Küng Mais quel est alors le sens de ces images et de ces récits poétiques du commencement et de la fin? Ils sont là pour ce qui n’est pas accessible à l’étude par la raison, pour dire ce qu’on espère et ce qu’on craint. Dans les énoncés bibliques sur la fin du monde, il est question d’un témoignage de la foi en faveur de l’achèvement de l’oeuvre de Dieu dans sa Création. Même à la fin de l’histoire du monde et de l’homme il y a... Dieu! Aussi la théologie n’a-telle aucune raison de favoriser l’un ou l’autre modèle scientifique du monde, mais plutôt de faire comprendre aux hommes que Dieu est l’origine et l’achèvement du monde et de l’homme
Pour ma part je tire la conclusion: les scientifiques ne peuvent prédire ni l'heure ni le moment de la fin du monde; cela ne leur est pas strictement réservé; si vous lisez jusqu'à la fin le texte de Hans Küng vous y verrez les divagations de Reagan et Clinton. ptrem
ptrem
Messages : 3796 Inscription : 31/12/2010
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Sam 28 Jan 2017 - 12:23
Pour ceux qui ont du temps pour lire et étudier la Bible avec l' Eglise Catholique ptrem
Saint Paul: le retour du Christ -Benoit XVI
Audience générale du 12 novembre 2008 Texte original italien dans l'Osservatore Romano du 13 novembre 2008 (*)
Chers Frères et Sœurs,
Le thème de la résurrection sur lequel nous nous sommes arrêtés la semaine dernière ouvre une perspective nouvelle, celle de l'attente du retour du Seigneur, thème qui nous porte à réfléchir au rapport entre le temps présent, temps de l'Église et Royaume du Christ, et l'avenir (eschaton) qui nous attend et qui est celui où le Christ remettra le Royaume au Père (cf. 1 Co 15, 24). Tout discours chrétien sur les derniers temps, que nous appelons « eschatologie », part toujours de l'événement de la résurrection : en celui-ci, les derniers temps sont déjà en route et, dans un certain sens, sont déjà commencés.
Eleison
Messages : 540 Inscription : 08/12/2015
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Sam 28 Jan 2017 - 12:48
Hans KÜng : Le Retour ? On s'en passerait fort bien ! Et même, affirmer que " la théologie n’a (-telle) aucune raison de favoriser l’un ou l’autre modèle scientifique du monde, mais plutôt de faire comprendre aux hommes que Dieu est l’origine et l’achèvement du monde et de l’homme ", ce n'est pas un scoop mais un simple truisme. Cela n'apporte rien au débat qui demeure bien concret, quoiqu'il en pense.
Par ailleurs, cette horloge des scientifiques n'est qu'une image, une sorte de calcul de probabilités tirées de faits bien réels , hélas. Cela ne nous donne pas l'heure, malgré l'image, mais cela donne une idée de l'époque, comme le font les évangiles eux-mêmes, par ex. en Luc 21, 7-36. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'on n'en est pas très loin, inutile de se mettre la tête dans le sable !
Voir la série de vidéos d'Arnaud à ce sujet : très instructif, même si je le trouve un peu trop optimiste...
ptrem
Messages : 3796 Inscription : 31/12/2010
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Sam 28 Jan 2017 - 13:25
Eleison a écrit:
Hans KÜng : Le Retour ? On s'en passerait fort bien ! Et même, affirmer que " la théologie n’a (-telle) aucune raison de favoriser l’un ou l’autre modèle scientifique du monde, mais plutôt de faire comprendre aux hommes que Dieu est l’origine et l’achèvement du monde et de l’homme ", ce n'est pas un scoop mais un simple truisme. Cela n'apporte rien au débat qui demeure bien concret, quoiqu'il en pense.
Par ailleurs, cette horloge des scientifiques n'est qu'une image, une sorte de calcul de probabilités tirées de faits bien réels , hélas. Cela ne nous donne pas l'heure, malgré l'image, mais cela donne une idée de l'époque, comme le font les évangiles eux-mêmes, par ex. en Luc 21, 7-36. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'on n'en est pas très loin, inutile de se mettre la tête dans le sable !
Voir la série de vidéos d'Arnaud à ce sujet : très instructif, même si je le trouve un peu trop optimiste...
Je vais dans votre sens Sur la page verso du livre de René Girard" Achever Clausewitz" il est écrit:"Achever Clausewitz", c'est lever un tabou: celui qui nous empêchait de voir que l'apocalypse a commencé. Ca la violence des hommes, échappant à tout contrôle , menace aujourd'hui la planète entière.
ptrem
Messages : 3796 Inscription : 31/12/2010
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Sam 28 Jan 2017 - 16:45
@Eleison Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'on n'en est pas très loin, inutile de se mettre la tête dans le sable !
Et le moins qu'on puisse dire: nul ne connait les temps de Dieu, seulement le Père Ptrem Cela ne permet absolument pas de faire des calculs! même de probabilités ?
/7 décembre 2016 / A la une, Actualités, Actualités internationales
« Renouvelle tes merveilles en notre époque comme une nouvelle Pentecôte », demandait à Dieu le Pape Jean XXIII. Il y eut le Concile Vatican II et peu de temps après l’éclosion du renouveau charismatique catholique. 50 ans après, le Pape François a lui aussi le désir d’une nouvelle Pentecôte pour l’Église. Que va-t-il se passer ?
Découvrez l’invitation du pape :
/7 décembre 2016 / A la une, Actualités, Actualités internationales
Voyons maintenant le célèbre verset de 2 Pierre 3.8: Mais il est une chose, bien–aimés, que vous ne devez pas ignorer, c'est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour.
Pierre a dit cela à ceux qui s'impatientaient de ce que Christ ne soit pas encore revenu. Il leur explique que Dieu ne calcule pas le temps comme les humains si limités. Nous devons tout d'abord nous rappeler que Dieu est intemporel. Il ne vit pas dans une sphère temporelle comme nous. Après tout, le temps se détermine par la relation du soleil à la terre, et Dieu n'est pas limité par cette relation. Devant le Seigneur, un jour est comme 1000 ans, et 1000 ans sont comme un jour: il peut prolonger l'activité d'un jour pendant 1000 ans, ou au contraire concentrer les activités de 1000 ans en un seul jour. Cela ne permet absolument pas de faire des calculs!
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: Donald Trump veut accueillir en priorité les réfugiés chrétiens ayant subi la persécution Sam 28 Jan 2017 - 17:03
samedi 28 janvier 2017
Donald Trump veut accueillir en priorité les réfugiés chrétiens ayant subi la persécution
Dans une entrevue exclusive accordée au Brody File, le président Donald Trump a déclaré que les chrétiens persécutés seraient prioritaires pour obtenir le statut de réfugiés aux États-Unis.
L‘interview a eu lieu vendredi 27 janvier au matin dans la salle bleue de la Maison Blanche. L’intégralité de la vidéo sera diffusée dimanche sur la télévision câblée Freeform, lors d’une émission spéciale de CBN News. Cette entrevue du nouveau Président élu est la troisième à être réalisée depuis la Maison Blanche, et sera la première à être diffusée en intégralité. Nous vous proposons d’en découvrir la retranscription de l’extrait diffusé sur CBN.
Suite de l'article en entier : Donald Trump veut accueillir en priorité les réfugiés chrétiens ayant subi la persécution
Donald Trump veut accueillir en priorité les réfugiés chrétiens ayant subi la persécution
Invité Invité
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Sam 28 Jan 2017 - 18:02
Tout ça est rassurant. Si cela avait été Hillary Clinton qui était devenue Présidente des USA je pense que l'horloge de l'apocalypse aurait été de suite réglée sur minuit.
Gilles de Québec
Messages : 1415 Inscription : 15/11/2016
Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump Sam 28 Jan 2017 - 19:08
PhilippeB a écrit:
Tout ça est rassurant. Si cela avait été Hillary Clinton qui était devenue Présidente des USA je pense que l'horloge de l'apocalypse aurait été de suite réglée sur minuit.
J'en suis persuadé cher Philippe.
Si Hillary Clinton avait été élue, elle aurait provoqué plus de guerres ...
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Sujet: Re: Sujet consacré au président Donald Trump