La Grèce va-t-elle rompre avec l'Europe ?

Les besoins en énergie éolienne sont beaucoup plus grands que par le passé . Anciennement , des voiles suffisaient à la capter et à s'en servir ( les grecs ont été des pionniers à cet égard : relire le drame " Iphigénie " avec des yeux de logisticien du transport de troupes ) .

Maintenant , il faut de grosses structures d'acier .

Pour relier les petites îles grecques à équiper de ces puissants aérogénérateurs , je pense à des bateaux comme " l'Alcyone " , le dernier bateau du commandant Cousteau ( qui est en train de pourrir à La Rochelle ) . La France aurait une belle carte à jouer à les produire en série .




La question de l' " appartenance à l'Europe " est un autre problème . Ce n'est pas parce que des Etats européens contourneraient la BCE et le FMI , que l'Europe cesserait de se construire . Au contraire , ai-je la faiblesse de croire .

http://www.france24.com/fr/20150708-le-debat-grece-dette-union-europeenne
bon débat
même si je jamais aimé cette présentatrice qui ne sait pas rester neutre durant le debat.

Qu'est-ce qu'il faut en penser de ce  Jovanovic ? Il est sérieux ?  ou il a pris  le créneau de l'apocalypse financière , comme tant d'autres , qui disent de planquer nos économies à droite ou à gauche et instruisent toujours un problème   dans le sens du catastrophisme ambiant ??
c'est pas en faisant paniquer les braves gens qu'on va s'en sortir ??

sinon dans le style Nihil Novo Sub Sole  autant lire Edmont About  sur la Grèce
petit ouvrage de  1858  de 450 petites pages disponibles à

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k28630w/f7.image

http://www.les-crises.fr/la-grece-contemporaine/

http://www.francoisasselineau.fr/2015/07/syriza-etait-bien-un-leurre-europeiste.html

Grèce : où Alexis Tsipras veut-il en venir ?
http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/grece-ou-alexis-tsipras-veut-il-en-venir-491234.html

La trahison de Tsipras ? (Jacques Sapir) http://russeurope.hypotheses.org/4080

omajoie a écrit:

La trahison de Tsipras ? (Jacques Sapir) http://russeurope.hypotheses.org/4080

Comme  le signale Sapir, la fin de la récré a été sifflée par Obama qui a appelé Merkel pour la contraindre aux concessions que nous connaissons. En effet innaceptable pour Obama de laisser filer la Grèce chez Poutine et les BRICS.
Les problèmatiques économiques et sociales sont passées au 2nd plan derrière la géostratégie. Comme souvent.

A 20 heures , la crise n'était pas résolue et le gouvernement allemand restait ferme vis-à-vis de la Grèce et des Etats-Unis .

Toutes ces comédies m'horripilent . La seule issue est d'ordre technologique mais semble n'intéresser personne , dans aucun camp .

boulo a écrit:

A 20 heures , la crise n'était pas résolue et le gouvernement allemand restait ferme vis-à-vis de la Grèce et des Etats-Unis .

Toutes ces comédies m'horripilent . La seule issue est d'ordre technologique mais semble n'intéresser personne , dans aucun camp .

Union des pays Européen essaye de trouver un accord pour "Faire un pays esclave"

Vous connaissez John Perkins ? (cet assassin économique (agent d'influence comme on dit pudiquement) de la CIA pour l'Amérique latine, repenti (pour ceux qui ne le connaissent pas).)




Une interview de lui sur le cas grec. (daté de Septembre dernier, et toujours plus d'actualité...)

http://lesakerfrancophone.net/un-assassin-financier-parle-john-perkins-explique-comment-la-grece-a-ete-victime-des-assassins-financiers/

"Ce qui a été fait sur la Grèce ressemble beaucoup à mon job en Amérique Latine."


Autre réaction de sa part sur le cas grec.
Récente, juste avant le référendum.
Une prophétie accomplie ?
http://www.johnperkins.org/greece-a-prophecy-fulfilled/

John Perkins aurait donc voté " non " ( comme moi ) .

Mais sans sortie de la zone euro , le résultat est hélas le même .

La " corporatocratie " nous tient en tenaille . Pour continuer à construire l'Europe , je crains qu'il faille
faire momentanément un pas en arrière et , pour beaucoup de pays , revenir aux monnaies nationales .

Puis concerter les économies et les industries et , au fur et à mesure du progrès de ce concert , réinstaurer l'euro dans chaque pays qui l'a quitté .

boulo a écrit:

concerter les économies et les industries 

Douce utopie in my opinion.

Jamais les pays du nord ne consentiront à durablement (éternellement) transférer chaque année 10% , voir plus, de leur pib vers les pays du sud.
(Déja que ça frictionne à l'intérieur même de certains pays pour des raisons similaires... alors dans une zone euro ou il n'y aura jamais un sentiment suffisant d'appartenance à une même communauté...)

Formidable discours de Nigel Farage au Parlement européen la semaine dernière, face à Tspiras.

Rien à jeter.

"M. Tsipras, si vous en avez le courage, vous devriez sortir le peuple grec de la zone euro, la tête haute."



La tête de Tsipras durant son discours.  




Il sait que Farage a raison. Je pense qu'il doit en rêver tous les soirs (de dire zut à tout ces [auto-censure-activée]. Mais il est fermement tenu par les ....

Quoiqu'il en soit, l'épreuve du miroir va être compliquée pour lui...(Quand au retour devant les électeurs...)

voir aussi ce billet de Jacques Sapir , ainsi que tout le contenu récent du Blog du site les crises


http://www.les-crises.fr/et-tsipras-capitula/

J'aime beaucoup :

Ray a écrit:

Vous connaissez John Perkins ?...

Très intéressant ce gars.

un extrait de l'article wikipedia :

"Il nie tout apport aux théories du complot, soutenant que nous ne pouvons jeter le blâme sur une conspiration quelconque car bien que l'empire global dépende de l'efficacité des banques, des compagnies et des gouvernements, c'est nous même qui en permettons l'existence étant donné que nous travaillons aussi pour ces sociétés et consommons les produits qu’elles commercialisent, bien qu'il soit plus facile de jeter le blâme sur un bouc émissaire. Pour lui, l'élite qui travaille pour l'empire global est une simple association d'intérêts et de croyances communes, non de comploteurs maléfiques."

En ce qui concerna la Grèce, son statut de maillon faible fait qu'on lui fait des cadeaux incroyables pour qu'elle ne soit pas le premier domino à tomber sur le chateau de carte Européen.
Et ça marche.

Quelle belle Europe démocratique où on a bien compris lors du dernier référendum qu'il ne faudrait plus jamais nous demander notre avis.

Je recommande cet article de l'Express sur le livre de François Baroin (ministre du gouvernement Fillon) "Journal de crise".

http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/black-swan-le-secret-d-etat-revele-par-francois-baroin_1407124.html

Il révèle que le Grexit et les conséquences potentielles de l'éclatement de la zone euro avaient déjà été envisagés en 2011 au plus haut niveau de l’État.
(Bon jusque là rien d’intéressant, le contraire aurait été anormal...)

Beaucoup plus instructifs sont les échanges que Baroin relate entre les grands de ce monde (je vais vite fait vomir un coup, et je reviens).
Le passage sur la Grèce révèle, encore une fois, la nature de la construction européenne que DeGaulle avait bien compris et dont il ne voulait pas.


21 septembre 2011, Obama n'est pas content
New York. Siège des Nations unies. Sarkozy prononce un discours fondateur sur la situation au Proche-Orient. Il y annonce sa position en faveur d'un État palestinien. [Suit une réunion de travail avec le président américain.] Obama se dresse à l'entrée de la salle. Grand, souriant, la main tendue, la tape dans le dos. Accueil chaleureux, convivial. Il y a là Hillary Clinton, mon homologue [NDLR : secrétaire au Trésor ] Tim Geithner, brillant et efficace. Juppé embrasse Clinton. Photo de famille. Les journalistes s'en vont. Tout le monde s'installe. Obama s'assure qu'il n'y a personne d'autre que nous. Son visage se ferme. Il regarde Sarkozy et prend la parole. "Écoute, Nicolas, entre amis on se dit les choses. Alors je vais te dire. Tu aurais dû me prévenir pour ton discours. Je viens d'en prendre connaissance. Cela nous met en difficulté." Sarkozy l'interrompt : "Écoute, Barack, si je t'avais prévenu, tu m'aurais mis une grosse pression. Je voulais prononcer ce discours, je l'ai fait. Je suis désolé de ne pas t'avoir prévenu, mais j'avais des raisons." Obama ne cille pas. Son regard plonge dans celui du président français : "Écoute, Nicolas, tu vois, moi, j'ai le prix Nobel de la paix et pourtant je n'ai pas encore fait la paix. Toi, tu n'as pas encore fait la paix et tu n'as pas le prix Nobel. J'ai de l'avance. Entre amis, on se dit tout, il faut se parler."  

3 novembre 2011, morts en direct
Nous sommes à Cannes, où se déroule le G 20. Le Premier ministre grec, qui vient d'annoncer son intention de soumettre le plan d'aide à la Grèce à un référendum national, est convoqué pour s'expliquer. [...] Les portes se ferment. La discussion dure près de deux heures, sans pause. Merkel est face à Papandréou. A la gauche de Merkel, Sarkozy, face à Obama. A la droite de la chancelière, Schäuble [NDLR : ministre fédéral des Finances]. A la gauche de Sarkozy, Juppé. Et à la gauche de Juppé, moi. Le climat est lourd, pesant ; la tension est extrême. Commence alors un bras de fer avec Papandréou, assisté de son ministre des Finances. Sarkozy lance au Premier ministre grec : "On te le dit clairement, si tu fais ce référendum, il n'y aura pas de plan de sauvetage." Papandréou fait mine de ne pas comprendre. Avec un regard d'acier, Merkel lui redit la même chose de façon très ferme. C'est une guerre psychologique. La tension grimpe alors d'un cran. Sarkozy lui répète nos conditions sur un ton d'ultimatum. Papandréou transpire, résiste, essaie d'argumenter. [...]  

Obama observe la scène, écoute attentivement. Il résume parfois la situation, calme le jeu quand le ton monte. Papandréou joue sa carrière. Il transpire de plus en plus, vacille dans ses propos, puis s'effondre. Acculé, il n'a pas d'autre choix que de se prononcer en faveur ou non de l'euro. Il comprend qu'il ne pourra pas échapper à cette question en la soumettant à son peuple. J'assiste à sa mort politique en direct. Après deux heures d'affrontement, il rend les armes.

Vient le tour de Berlusconi. Flanqué de son ministre Tremonti. Port altier, lifté, maquillé, Berlusconi arrive en Berlusconi. Tremonti est blafard. La discussion s'engage. Même ton général. Même tension dans la salle. L'Italie ploie sous une grande menace. Plus personne n'a confiance en Berlusconi. Les taux de financement du pays ne cessent de monter. Si l'Italie plonge, tout le monde plonge. L'Italie, c'est vraiment trop gros. C'est la huitième économie du monde. L'euro n'y résisterait pas. Berlusconi non plus ne semble pas vouloir comprendre ni admettre que le problème de l'Italie, c'est lui. Sans le dire aussi explicitement, le message est extrêmement clair - tous les protagonistes le laissent entendre.  

On obtient de Berlusconi que le FMI puisse effectuer une forme de contrôle sur les comptes publics. L'Italie est fière. Nous savions parfaitement qu'une fois de retour chez lui, Berlusconi ne pouvait pas tenir longtemps. Papandréou, Berlusconi, deux chefs de gouvernement viennent de tomber. Nous sommes en temps de paix. Deux chefs de gouvernement viennent de tomber sous la pression internationale.  

Novembre 2011, "Black Swan"
Je ne prendrai aucune note sur le sujet. Délibérément. Je le restitue de mémoire. "Black Swan", c'est le nom que j'ai choisi de donner à une réunion dont il n'y a aucune trace, et que j'évoque ici pour la première fois. Le "cygne noir", voilà l'image qui m'est venue à l'esprit. Il s'agissait d'imaginer l'hypothèse la plus sombre de notre histoire économique moderne. [...] Je réunis autour de moi trois personnes de confiance. Discrétion obligatoire. Ils ne devront en parler à personne, ni à la presse, évidemment, ni même à leur entourage. Le rendez-vous a lieu dans mon bureau, au sixième étage à Bercy. C'est une discussion sans documents. Pas de traces. Chacun sait que l'objet seul de la réunion, s'il était connu, pourrait avoir des conséquences désastreuses. Ce rendez-vous non officiel ne porte pourtant que sur des hypothèses de travail. Ce serait de l'inconscience de ne pas les envisager. Et de la folie d'en parler. A ce moment-là, le nouvel accord européen sur la Grèce, consistant à effacer 50 % de sa dette, est près d'échouer, l'Union européenne est dans un cyclone, l'euro, attaqué de toutes parts. [...]

Le pire ? La sortie de la Grèce de l'euro, un effet de contamination, une théorie des dominos qui entraînerait l'éclatement de la zone et de facto la sortie de la France. Un scénario cauchemar. Je demande à ces personnes de confiance de travailler sur deux hypothèses : le coût de la sortie de la Grèce de la zone euro pour la France et deux types de pertes : celles du secteur banques-assurances d'une part, et celles de l'éclatement de la zone tout entière d'autre part.

13 janvier 2012, la perte du triple A
10 h 30. Je suis à Bercy, Ramon Fernandez, le directeur du Trésor, m'envoie un SMS : "Rappelez-moi de toute urgence." Ce soir, à 22 h 30, l'agence de notation Standard & Poor's annoncera qu'elle abaisse d'un cran la note attribuée aux titres souverains de neuf pays de la zone euro, dont la France. [...] Je convaincs Xavier Musca de rompre l'embargo et de devancer le communiqué de l'agence, en annonçant moi-même la nouvelle au journal de 20 heures de France 2. J'ai vu Sarkozy en fin de journée pour adopter avec lui une stratégie de communication. On cale, comme on dit, les éléments de langage : la solidité de la France, son passé et je fais modifier ce qu'avait préparé son cabinet. On ne parle pas de dégradation qui traduit mal le mot "downgrade", mais d'abaissement de note. En rentrant dans la voiture, je songe à cette formule : "La perte du triple A, c'est un élève qui a eu 20 toute sa vie et qui vient d'avoir 19. C'est moins bien mais ce n'est pas une catastrophe." Pour expliquer et rassurer.

En arrivant à France 2, je n'écoute pas ce que disent mes conseillers, je suis dans ma bulle, concentré. [...] Après le journal, le président m'appelle dans la seconde pour me féliciter : "Je suis fier de toi."

Et oui , on est bien dans une Dictature Européiste irréformable et définitivement produisant le contraire de la prospérité, de la démocratie et de la paix : le contraire du lavage de cerveaux des 50 dernières années .
Il va bien falloir sortir du piège et certains pays vont surement nous y aider puissamment ....
dans un avenir proche !

Dragna Din a écrit:

Ray a écrit:

Oculus a écrit:

je suis assez pessimiste sur la capacité des élites européennes à défaire l'incroyable hostilité qu'ils vouent à Syriza et à revenir sur leur dogmatisme financier .
Il faudrait  mettre à la raison Schaüble et gabriel  symétriquement à la démission de Varoufakis ,
ça risque d'être plus difficile .
Pour une fois qu'Hollande à une carte à jouer , ça va être dur de lui demander d'avoir des convictions ,psychologiquement  il est incapable de faire autre chose qu'arbitrer des rapports de force toujours en faveur du plus fort ....
l'Europe va se détricoter , c'est le plus probable , sauf si Merkel est capable de politique ??

Oui. Bien d'accord avec cette analyse.

Le rubicon a été franchit trois fois en Grèce (les esprits chafouins me rétorqueront qu'il est en Italie ).
1. Le peuple grec, d'avoir élu un gouvernement gauchiste, anti-austérité, anti-UE (pléonasmes).
2. Ce gouvernement, d'avoir osé ce référendum, bravade intolérable !
3. A nouveau le peuple grec, d'avoir re-dit-non à ce merveilleux projet européen "démocratique, porteur de prospérité, d'emplois et de paix" (sic).

N'oublions pas non plus que les gouvernements conservateurs avaient triché sur les comptes publics afin d'obtenir leur entrée dans l'UE ; que le gouvernement grec a ensuite fait appel à GS afin de maquiller encore plus les comptes et de mettre en place des instruments douteux afin de maquiller le coup ; que la Grèce, dans son histoire, à son troisième défaut majeur de remboursement de sa dette.

N'oublions pas non plus que les Grecs, suivant les préceptes libéraux, jouaient tous - ou presque - au jeu de "je ne paie pas mes impôts et mes taxes" et que tout le monde, l'Etat grec en premier, avait décidé de vivre très largement à crédit.

Bref, qu'on fasse aujourd'hui de la Grèce un modèle anti-européen, soit, mais je trouve que ceux-là devraient plutôt critiquer l'Europe d'avoir fait entrer le Grèce plutôt que de refuser sa sortie...

c'est pas faux.
il reste a ceux qui voulaient voir rentrer la Turquie en europe, à se pendre.

Maintenant, le gouvernement grec actuel est de gauche extréme, anti-occidental et pro-russe.

Sans blague ?

Nigel farage:
En novembre 2009, il prononce un discours à l'occasion duquel il critique notamment durement Catherine Ashton, la nouvelle haute représentante de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, lui reprochant de n'avoir jamais été élue à une fonction publique de toute sa vie et affirmant que « les peuples d'Europe n'ont pas le pouvoir de lui demander des comptes ou de la destituer », discours qui lui vaut une remontrance du président de séance qui lui demande de « baisser d'un ton ».

En février 2010, Farage prononce au Parlement européen un discours dans lequel il critique violemment le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, lui attribuant « le charisme d'une serpillière humide et l'aspect d'un petit guichetier de banque » tout en lui attribuant l'intention d'être « l'assassin de la démocratie européenne et de toutes les nations européennes. » Et de rajouter : « Vous n'avez aucune idée de ce que peut être un pays uni, tout cela parce que vous venez de Belgique, qui est plutôt un non-pays. » La mention de la Belgique comme étant un « non-pays » provoque une levée de boucliers à la fois au Parlement européen et en Belgique Nigel Farage est condamné par le Parlement à une amende de 3 000 euros pour son comportement « incorrect et irrespectueux».

je deteste catherine ashton.
il est gonflé de parler ainsi de la belgique.
il est pro-israélien.

Avec toute l'admiration que j'ai pour le talent politique de Nigel Farage , je dois faire remarquer qu'il est fort inconvenant d'attaquer un adversaire politique sur son physique .

prinu a écrit:

pro-russe

C'est intéréssant ça. Quelles actions de sa part font-ils de lui, pour vous, un pro-russe ?

boulo a écrit:

Sans blague ?

Sans grand risque de me tromper il s'agit d'un petit message bateau histoire de donner l'impression qu'ils ne viennent pas uniquement pour les sujets sur Israël. Mais nous ne vous connaissons que trop bien cher prinu n'est-ce pas ?

prinu a écrit:

il est pro-israélien.

Et est-ce qu'il est pro-Guatemala ?  
Même dans un sujet qui n'a rien à voir, vous ne pouvez pas vous en empêcher, c'est plus fort que vous n'est-ce pas ?  

boulo a écrit:

Avec toute l'admiration que j'ai pour le talent politique de Nigel Farage , je dois faire remarquer qu'il est fort inconvenant d'attaquer un adversaire politique sur son physique .

Absolument, mais ça n'est pas gratuit. Parce que lui (Rompuy), comme Ashton, sont là précisément parce qu'il n'ont pas de charisme. Le mécanisme de sélection abouti immanquablement à cela, bloquant les personnalités fortes. (C'est souvent ce qu'il pointe.)

Famine en Grèce : « On n’avait pas vu ça depuis l’Occupation. »

http://www.politique-actu.com/dossier/famine-grece-avait-grece-depuis-occupation/354003/#.VsLmeOQRw3A.facebook

On reparle de la Grèce ? Bah oui, sans surprise...

Il y a deux jours, Wikileaks publiait un document du FMI dans lequel des représentants du Fonds évoquent un prochain défaut du pays.

Aujourd'hui, la Grèce demande au FMI des explications.

« Le gouvernement grec exige des explications du FMI pour savoir si la recherche des conditions d'un défaut de la Grèce, peu avant le référendum (sur le maintien ou non dans l'Union européenne), est la position officielle du Fonds », a déclaré la porte-parole du gouvernement Olga Gerovassili dans un communiqué.

« Le Premier ministre va immédiatement envoyer une lettre officielle à Christine Lagarde sur cette question. »

http://www.20minutes.fr/monde/1818341-20160402-grece-demande-explications-fmi-document-publie-wikileaks?utm_medium=Social&utm_source=Twitter&utm_campaign=Echobox&utm_term=Autofeed#link_time=1459616129

La Grèce demande OFFICIELLEMENT 269 MILLIARDS D’EUROS DE RÉPARATIONS DE GUERRE À L’ALLEMAGNE.
L'affaire des réparations rebondit en ce 15 août 2016

Ray a écrit:

Vous connaissez John Perkins ? (cet assassin économique (agent d'influence comme on dit pudiquement) de la CIA pour l'Amérique latine, repenti (pour ceux qui ne le connaissent pas).)




Une interview de lui sur le cas grec. (daté de Septembre dernier, et toujours plus d'actualité...)

http://lesakerfrancophone.net/un-assassin-financier-parle-john-perkins-explique-comment-la-grece-a-ete-victime-des-assassins-financiers/

"Ce qui a été fait sur la Grèce ressemble beaucoup à mon job en Amérique Latine."


Autre réaction de sa part sur le cas grec.
Récente, juste avant le référendum.
Une prophétie accomplie ?
http://www.johnperkins.org/greece-a-prophecy-fulfilled/