Parce que vous pensez que des personnes homosexuel vous décrivant leur sexualité pourrais vous informer vraiment si on ne devient pas homosexuel, on l'est ou on ne l'est pas?Moi j 'ai encore un témoignage ( 3 eme) dans le cadre d 'une thérapie il s 'agit de Jenny :
« La thérapie primale peut-elle guérir l’homosexualité ? » C’est une question qui a souvent été posée et qui a reçu beaucoup de réponses pendant la période de ma thérapie, surtout des « non ». À la clinique du Dr Janov, on explique même aux éventuels patients homosexuels que leur objectif ne doit pas être de guérir leur homosexualité.
Personnellement, j’ai commencé une thérapie primale il y a quatre ans et demi pour ne plus être lesbienne. Je me suis beaucoup intéressée à la question et, pendant deux ans et demi, j’ai cru que la réponse était oui. Puis, au cours de ma thérapie, j’ai opté pour le non, car j’ai alors vécu la relation homosexuelle la plus intense de ma vie. Mais cela fait maintenant presque un an que je suis libérée de ce besoin compulsif de trouver une femme qui veut de moi, et je sais que la réponse est « oui ».
Je me souviens avoir entendu il y a longtemps le Dr Janov dire un jour au cours d’une séance de thérapie de groupe qu’un de ses patients homosexuels ne déjouait plus, non parce qu’il en avait la volonté, mais parce qu’il n’en avait plus envie ! Cela m’avait paru incroyable. Les femmes m’ont toujours semblé si attirantes. Je n’ai jamais connu d’excitation sexuelle aussi forte que celle qu’une femme peut provoquer en moi, et c’est encore vrai même si je n’ai rien déjoué depuis plusieurs mois maintenant, simplement parce que je n’en ai pas envie. En revanche, mon attirance pour les hommes augmente progressivement............ Voilà pourquoi je réponds désormais que oui, la thérapie primale peut guérir l’homosexualité, même si cela prend du temps. https://psycha.ru/fr/janov/2006/sexualite_et_subconscient10.html