Nouveau Sujet. Climate-Gate.

Oui vous avez raison, les glaciers vont et viennent depuis que la Terre existe au rythme des évolutions climatiques locales et globales. Tout le monde sait cela.

Ray a écrit:

Aucun lien n'a été établi entre activité humaine et évolution des glaciers.

(De plus, si certains glaciers reculent, d'autres pas du tout, contredisant les biperies des alarmistes. Par exemple les glaciers himalayiens.)

ps: Et non, vous avez tord. "Polluer" c'est très mal, il ne faut pas.

... Les glaciers himalayen reculent aussi comme ceux d'amérique du sud, les Alpes

Non, une étude récente conduite par les indiens eux-même (et non par le GIEC) montre qu'ils n'ont pas bougés.

Ray a écrit:

Non, une étude récente conduite par les indiens eux-même (et non par le GIEC) montre qu'ils n'ont pas bougés.

INDE Nord FONTE GLACIERS HIMALAYA

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Oui c'est un reportage relatant les travaux portants sur quelques glaciers.

L'étude dont je parle porte sur 2000 glaciers dans les différentes régions de l’Himalaya entre 2001 et 2011. Il s'agit de la plus grande étude de ce type jamais réalisée.
85% des glaciers étudiés étaient stables, 12% présentaient un retrait, 2% une progression. Pour une perte globale de surface de 0.2%.
(Les travaux avaient commencés avant ceux bâclés du GIEC de 2007. Travaux qui ont été intensifiés après cette date.)

Je suis pour les gaz polluants et le gaz de schiste (cette manne pour nos pays!) et pour les OGM.

A condition que ce gaz de schiste n'aboutisse pas dans le robinet de votre évier de cuisine , je présume .
La video montrant un américain enflammant le jet d'eau de son robinet , était assez impressionnante .

Non, le Soleil ne causera pas un mini âge glaciaire en 2030

J'adore la réaction pavlovienne de la blogosphère réchauffiste à chaque étude embarrassante.

C'est pas pour toi de toute façon, c'est pour ceux qui veulent une meilleure source d'informations, toi t'es un cas désespéré. Si les océans étaient en train de bouillir tu sais encore de train d'annoncer une ère glacière.

roll a écrit:

C'est pas pour toi de toute façon, c'est pour ceux qui veulent une meilleure source d'informations, toi t'es un cas désespéré. Si les océans étaient en train de bouillir tu sais encore de train d'annoncer une ère glacière.

Merci merci.

On savait déjà qu'Hitler rendait souvent bien des services dans, à peu près, toutes les discussions (certains ici se reconnaitront   ), et à l'approche de la COP21, il se faisait attendre impatiemment sur le terrain du climat.

C'est chose faite, la palme du ridicule revenant au site Slate.fr avec ce magnifique titre.  



http://www.slate.fr/story/107315/changement-climatique-monde-hitler-ressurgir




ps : Heureusement qu'il est là quand même. Comment feraient-ils sans lui ????

Ray a écrit:

On savait déjà qu'Hitler rendait souvent bien des services dans, à peu près, toutes les discussions (certains ici se reconnaitront   ), et à l'approche de la COP21, il se faisait attendre impatiemment sur le terrain du climat.

C'est chose faite, la palme du ridicule revenant au site Slate.fr avec ce magnifique titre.  



http://www.slate.fr/story/107315/changement-climatique-monde-hitler-ressurgir




ps : Heureusement qu'il est là quand même. Comment feraient-ils sans lui ????

:mortderire:

Alors qu'il y a deux semaines Nathalie Kosciusko-Morizet avait qualifié les climatosceptiques de "connards" (le niveau de nos élites......), voici la réponse d'un "connard", Benoit Rittaud, mathématicien, maître de conférences à l’université Paris-13, animateur du site Skyfall.fr, et auteur du livre "Le Mythe climatique".



On pensait avoir atteint les sommets de l’alarmisme climatique bête et méchant. Du côté bête, François Hollande avait lancé à la tribune des Nations-Unies que le «dérèglement» climatique causait des tremblements de terre - un sacré scoop qui devrait épater plus d’un géologue. Du côté méchant, Le Monde s’était illustré en ouvrant ses colonnes à un «historien» selon qui le «dérèglement» climatique fera bientôt émerger un nouvel Hitler dont, en quelque sorte, les climato-sceptiques seront les SS.

Impossible de faire mieux, se disait-on… Et pourtant si car, en fait de propagande climatique, l’imagination de nos élites plus vertes que vertes est sans limites. Dès lundi en effet, Nathalie Kosciusko-Morizet, en une brillante synthèse du bête et du méchant, a affirmé que les climato-sceptiques étaient des «connards». Tout simplement.

La presse mainstream ayant depuis longtemps fait le choix de la soumission intellectuelle à l’alarmisme climatique (et donc le choix collatéral de se faire le relais servile de la communication gouvernementale pour la conférence Paris Climat), il ne fallait pas compter sur l’esprit Charlie d’un éditorialiste pour prendre, fût-ce modestement, la défense de ceux qui osent une pensée non-conforme. La palme de la courtisanerie revient à Philippe Bilger qui, dans Le Figaro, a même réussi l’exploit de s’appuyer sur le mot de l’ancienne ministre pour faire un portrait de celle-ci qu’on classera, au choix, dans le rayon des hagiographies ou des lettres d’amour.

Le buzz autour du propos fin et délicat de Nathalie Kosciusko-Morizet aura eu au moins l’utilité pour elle de faire oublier l’argument (si l’on peut dire) qui étayait son jugement, «argument» qui consistait à ridiculiser l’affirmation qu’un réchauffement climatique serait bon pour le tourisme.

Il est certes plus facile de s’opposer à un propos de café du commerce qu’à tous les éléments scientifiques qui montrent de façon de plus en plus claire que l’alarmisme climatique n’a pas lieu d’être. Car non, il n’y a pas plus de cyclones aujourd’hui que par le passé. Non, la banquise n’est pas à la veille de disparaître. Non, depuis quinze ou vingt ans la Terre ne se réchauffe plus. Non, nous ne sommes pas menacés par le Déluge - ceux qui voudraient mentionner les Maldives sont invités à prévenir d’urgence tous ces idiots d’investisseurs qui, ces dernières années, ont financé la construction d’aéroports internationaux sur plusieurs de ces îles dont le point culminant est de l’ordre d’un mètre.

Un jour, il sera permis de parler de tout cela sans être traité de «connard» ni devoir faire face au complotisme ambiant selon lequel les climato-sceptiques seraient tous stipendiés par l’industrie des énergies fossiles.

Ce jour n’est plus si lointain. Bien sûr, il ne faut pas trop compter sur nos décideurs et faiseurs de (bonne) opinion pour le faire advenir, mais le rempart majeur au terrorisme intellectuel qu’est l’indifférence n’a jamais été si grand à moins de deux mois de la COP21. Mieux : certains, comme par exemple au sein du nouveau Collectif des climato-réalistes, ont décidé d’exprimer à visage découvert leur opposition à la doxa climatique régnante.

Ils sont scientifiques, ingénieurs, chefs d’entreprise, médecins, juristes, agriculteurs ou encore enseignants. Ils sont autant de «connards» avec lesquels il faut désormais compter.


http://www.lopinion.fr/7-octobre-2015/reponse-d-connard-a-nathalie-kosciusko-morizet-28864

De toutes façons la manipulation mediatique est évidente.
Quand il fait chaud, c'est à cause du rechauffement!
et quand il fait froid, ils sortent une étude pour expliquer que c'est à cause du rechauffement climatique......

Alors que la COP21 se rapproche avec son cortège d'amalgames en tout genres en matière de climat, voici une vidéo qui n'étonnera personne ici, qui illustre bien le climat (sans jeu de mot ) délétère qui règne sur le sujet, et particulièrement en France. La liberté d'expression version Charlie.

Pour synthétiser : Philippe Verdier, que certains connaissent probablement de nom et de visu, chef du service météo de France Télévision a écrit un livre (publié il y a quelques jours) intitulé "Climat Investigation" qui dénonce l'arnaque des conférences sur le climat, dans lequel "il balance tout" selon ses propres mots.
Mal lui en a pris, car la réaction de l'exécutif ne s'est pas fait attendre, il est aujourd'hui mis à pied et menacé de licenciement.




Comme il le dit en conclusion de l'interview, ce qui lui arrive est la preuve tangible que son livre a lieu d'être et fondé.

Le Collectif des climato-réalistes a lancé une pétition adressée à Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, pour que Philippe Verdier soit confirmé dans son emploi.

Et oui Licenciement

Marre des fascistes verts (et roses) pour qui donner un avis contraire à la pensée unique est interdit, et ce même en science

sur
http://www.lepoint.fr/environnement/climat-combien-de-chercheurs-n-ont-pas-le-courage-d-un-verdier-27-10-2015-1977260_1927.php

Climat : "Combien de chercheurs n'ont pas le courage d'un Verdier ?"
Benoît Rittaud, mathématicien et auteur de "La Peur exponentielle", s'insurge du sort réservé au Monsieur Météo de France Télévisions. Interview.

Lepoint a écrit:

Le Point.fr : Que vous inspire la décision de France Télévisions de procéder au licenciement de Philippe Verdier ?
Benoît Rittaud : Cette décision est parfaitement scandaleuse. Philippe Verdier, au fond, n'a rien fait d'autre que d'exprimer un avis, de donner son point de vue. On ne lui reproche pas de l'avoir fait à l'antenne, mais, pire que cela, on lui reproche d'avoir un avis non conforme. Je crois que nous sommes en train d'oublier ce qu'est une démocratie. En janvier, au lendemain des attentats de Charlie Hebdo, des millions de Français manifestaient pour la liberté d'expression. Comment a-t-on pu oublier si vite ? Au-delà du climatoscepticisme, de tout militantisme, cette fatwa illustre à quel point il est aujourd'hui difficile de parler dans notre pays. De nombreux chercheurs, journalistes ou citoyens ne partagent pas ce discours que l'on nous sert volontiers sur le réchauffement climatique. Mais combien sont muselés, n'ont pas le courage d'un Verdier ?
LIRE aussi l'article de Philippe Verdier « Non au sauvetage feint de la planète ! »
Comment expliquez-vous ce « musellement » ?
Depuis des années, les climatosceptiques sont étiquetés comme « les méchants », des gens pas fréquentables. On ne doit pas critiquer la thèse du réchauffement climatique. Je pense que celle-ci était avant tout l'occasion de critiquer notre modèle de société. Mais, aujourd'hui, ce discours se fissure. À vrai dire, cela date même de la conférence de Copenhague en 2009. On s'est aperçu à ce moment-là que personne ne paierait, n'investirait. Et maintenant, il faut bien admettre que les gens s'en fichent. Et comprennent bien que la science n'a jamais permis de mettre tout le monde d'accord. Comme dans tous les domaines, il y a différentes théories, des débats, des divergences… Mais sur le climat, étrangement, on n'accepte pas cela. Il faut que tout le monde s'accorde.
Pourquoi ?
C'est précisément la question que je me suis posée dans La Peur exponentielle (PUF, 2015) : pourquoi, parmi tous les récits de fin du monde, c'est celui sur le climat qui fonctionne aussi bien, qui fait consensus ? Je pense qu'il s'agit simplement du nouveau visage d'une peur plus profonde, basée sur l'interprétation d'un monde fini et dont la population ne cesse de croître. Dans les années 1960-1970, le grand truc, c'était la surpopulation. Aujourd'hui, c'est le climat. Qui sait ce qu'on inventera demain ? Derrière tout cela, il y a toujours cette peur existentielle profonde, sur laquelle on va construire de grands discours et théories scientifiques. Après le climat, on peut imaginer que la peur de l'anthropocène puisse prendre le relais, cette théorie post-moderne qui consiste à penser que l'homme est indigne de sa toute-puissance.
Le livre de Philippe Verdier n'est pas à proprement parler « climatosceptique ». Comment expliquer qu'il irrite à ce point ?
Cela me fait penser à la réplique de George Bush Junior pendant la guerre du Golfe : « Si vous n'êtes pas avec nous, vous êtes contre nous. » Tout ce qui ne correspond pas à la théorie ambiante est considéré comme renégat, apostat, mécréance. Le livre de Philippe Verdier n'est en effet même pas climatosceptique. Et, même parmi les climatosceptiques, il faut bien se rendre compte qu'il existe une multitude de nuances, de divergences. Le consensus est bon pour un gouvernement, pas pour la science. En politique, comme le disait Chevènement : « Si on n'est pas d'accord, on ferme sa gueule ou on démissionne. » En sciences, cela ne doit pas se passer comme ça.

Sur https://www.valeursactuelles.com/politique/vingt-cinq-academiciens-sopposent-une-censure-climatique-108074

Vingt-cinq Académiciens s’opposent à une censure climatique

Académie des sciences. Une mobilisation salutaire au service de la liberté de penser.
Les trois quarts des membres de la section chimie de l’Académie des sciences, dont deux prix Nobel, ont adressé avec succès un courrier pour empêcher la censure d’une tribune climato-réaliste.

Quand on pense à l’Académie des sciences et au climato-réalisme, c’est bien souvent le nom de Claude Allègre qui vient à l’esprit. Les plus informés citent également Vincent Courtillot, mais ne vont en général pas plus loin. « Isolés », dit-on volontiers de ceux dont les positions critiques sur l’évolution du climat ont maintes fois été dénoncées par l’orthodoxie alarmiste.

Cette fois-ci pourtant, la bien-pensance a fait un pas de trop en s’en prenant à une tribune publiée en mai par le mensuel L’Actualité chimique (la revue professionnelle de la Société chimique de France), donnant l’occasion à vingt-cinq Académiciens de rappeler ouvertement quelques vérités.

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SUR LE MÊME SUJET Lettre ouverte au CSA: non à la censure climatique !
L’auteur de la tribune incriminée, Jean-Claude Bernier, est professeur émérite de l’université de Strasbourg ainsi qu’ancien directeur scientifique des sciences chimiques du CNRS. Le tort de sa tribune ? Ne pas se soumettre à la doxa régnante qui nous présente l’humanité comme coupable d’un dérèglement climatique. Sur un ton détendu mais jamais agressif, sa tribune rappelle les inquiétudes des années 70 sur un possible refroidissement climatique, puis revient sur un certain nombre d’arguments erronés qui ont été avancés en faveur de l’idée d’un réchauffement climatique anthropique. Le texte, d’un contenu très professionnel, se complète d’une bibliographie scientifique à la fois sérieuse et fournie.

Mais les apprentis-censeurs veillaient, qui ne veulent à aucun prix que subsistent des îlots de liberté intellectuelle hostiles à leur vision du monde. Leurs courriers de vertueuse indignation contre la lèpre climatosceptique eurent tôt fait d’atteindre leur but : quelques jours après publication, la revue retirait de son site l’infâme tribune.

SUR LE MÊME SUJET Lettre ouverte à Fred Vargas sur l'imposture climatique
L’affaire aurait pu en rester là et le camp de la vérité compter une défaite de plus. Mais il n’est pas dit que tout soit perdu. Vingt-cinq membres de l’Académie des sciences, qui représentent les trois quarts de la section « chimie », réagissent à leur tour à cette inacceptable censure. Parmi eux, Jean-Marie Lehn et Jean-Pierre Sauvage, prix Nobel de chimie en 1987 et en 2016. « Même à l’intérieur des grands conglomérats de scientifiques tels que le giec, écrivent-ils, des chercheurs doutent, se remettent en question et acceptent d’être confrontés à des points de vue contradictoires. Imaginer le contraire, penser que tous ces travaux sont maintenant hors du champ de la discussion scientifique serait très inquiétant pour l’avenir des chercheurs. »

On peut déplorer qu’il ait fallu une telle mobilisation pour qu’un chimiste émérite ait le droit d’exprimer un point de vue dans une revue professionnelle de chimie, mais au moins le résultat est là : la tribune a finalement été republiée. C’est un euphémisme que de dire que, dans l’affaire climatique en général, la France ne brille pas toujours par son courage. Cette prise de position ouverte de certains parmi les plus éminents de nos scientifiques n’en est que plus remarquable et bienvenue. En des temps où il est de bon ton de critiquer nos institutions, soyons aujourd’hui fiers de notre Académie des sciences.