Des
signaux sismiques révèlent l’utilisation d’explosifs au WTC le 11/9,
selon le géophysicien André Rousseau (mise à jour de la précédente
publication) Posté par geantvert le 31/05/2010
Le
docteur André Rousseau, ancien chercheur du CNRS en
géologie-géophysique et spécialiste des ondes acoustiques nous livre
ici les résultats de ses analyses des signaux sismiques enregistrés le
11 septembre 2001 à New York et donne son point de vue de spécialiste
sur la question de la destruction des trois tours du World Trade Center. *** CE NOUVEL ARTICLE DE MR ROUSSEAU CONSTITUE UNE MISE À JOUR DE SON PRECEDENT ARTICLE PUBLIÉ LE 12 MARS 2010. IL INTÈGRE NOTAMMENT LES REPONSES DE MR ROUSSEAU AUX CRITIQUES RECUES LORS DE LA PRECEDENTE PUBLICATION *** Une nouvelle étude des signaux sismiques le 11 septembre 2001 à New Yorkpar André Rousseau (*), le 31 mai 2010 (Version PDF)
Des signaux sismiques ont été émis le
11 septembre 2001 pendant la période où les Tours Nord et Sud des Twin
Towers (respectivement le WTC1 et le WTC2) ont été percutées et se sont
effondrées, ainsi qu’au cours de l’effondrement du Bâtiment 7 du WTC
(aussi appelé WTC7), lequel n’a été percuté par aucun avion.
Parmi les données sismiques
publiées sur ce sujet, c’est la station d’enregistrement sismique de
Palisades, située à 34 km au nord-est de Manhattan, qui semble fournir
les trains d’ondes les plus aptes à être interprétés, particulièrement
pour la détermination de leurs sources. Ces trains d’ondes, extraits
des publications du Lamont-Doherty Earth Observatory of Columbia
University (LDEO), sont représentés dans les figures 1 et les figures 2.
Les sismologues se montrent
perplexes dans leurs analyses des signaux enregistrés à cette occasion,
tant les contradictions sont grandes et ils sont tout particulièrement
intrigués par la présence de "pics" sismiques avant les effondrements…
(voir la figure 4). Ce texte se concentre sur l’étude de ces signaux
sismiques et a pour objectif de montrer qu’une cohérence apparaît dès
que l’on sort des explications officielles. Cela donne lieu à une
nouvelle interprétation qui rend caduques les assertions de la "version
officielle".
Étude de la composition des différents trains d’ondes Les trains d’ondes dont nous disposons sont :
1. les signaux des figures 1a et 1b contemporains respectivement des percussions du WTC1 et du WTC2 par les avions,
2. les signaux des figures 2a et 2b contemporains respectivement des effondrements du WTC1 du WTC2,
3. le signal de la figure 2c contemporain de l’effondrement du WTC7.
• Détermination/indétermination du calage temporel du point origine des signaux Dans les cinq cas, l’origine des
signaux a été attribuée par les sismologues qui publient ces données,
aux percussions ou aux effondrements relatés par les vidéos (Kim et
al., 2001 ; Irvine, 2001 ; Hoffman, 2006). L’étude de la propagation de
tels signaux sismiques s’apparente à la géophysique appliquée de par
les distances de propagation et la nature des sources. Or, dans ce type
d’étude, les temps origine sont connus avec une grande précision (au
moins à la milliseconde) pour calculer les vitesses de propagation des
différentes ondes. Tel n’est pas le cas ici. Dans les cas présents, la
vidéo a été utilisée pour la Tour nord (WTC1) à partir de
l’enregistrement effectué par CNN et grâce à la bannière continue de
l’horloge sur l’écran (Hoffman, 2006), et les résultats ont été
comparés à la méthode utilisée par le Lamont (Kim et al., 2001). Cette
dernière a consisté à fixer approximativement une vitesse de 2 km/s
pour une onde de Rayleigh traversant plusieurs stations (voir la figure
3) situées à des distances croissantes du point origine. L’inconvénient
majeur de ce procédé provient de ce que ces stations ne sont pas
situées sur une ligne rectiligne, que les terrains superficiels – dans
lesquels se propagent les ondes de surface – sont différents et qu’en
plus ils n’ont pas la même vitesse de propagation. En effet, la rivière
Hudson se trouve sur une faille qui sépare à l’ouest des terrains
sédimentaires du Trias et du Jurassique avec des intrusions de
dolérite, le tout surmonté de sédiments récents holocènes, et à l’est
des formations cristallines et métamorphiques du Protérozoïque, du
Cambrien et de l’Ordovicien qui affleurent. Ces dernières formations
sont plus rapides que celles situées à l’ouest, ce qui explique que le
chemin WTC-MANY, le seul situé à l’est de l’Hudson, soit plus rapide
que tous les autres chemins, situés à l’ouest, ces derniers dépendant
étroitement de la vitesse de propagation de la couverture sédimentaire
traversée. Autrement dit, il n’est pas étonnant que seules les stations
de Palisades à 34 km, d’Arny à 67,5 km et de TBR à 51 km fournissent un
résultat semblable, car elles sont situées sur des formations
géologiques semblables. D’ailleurs, l’énorme indétermination de 2
secondes, attribuée par les auteurs eux-mêmes (Kim et al.) des calculs
à la fixation de l’origine du temps de chaque signal, oblige d’ores et
déjà à prendre de la distance par rapport aux conclusions officielles.
• Trains d’ondes attribués aux percussions des Tours (fig.1a et 1b) En premier lieu, il faut
s’interroger sur la signification de tels signaux en fonction de la
cause qui leur est attribuée. Alors que cette cause, la percussion d’un
avion, est semblable pour les deux tours, la magnitude – reflétée par
les amplitudes – des deux signaux est différente et l’onde générée n’a
pas la même vitesse apparente (voir les figures 1a et 1b), bien que les
Tours Jumelles puissent être considérées comme confondues au sens de
l’origine spatiale par rapport à la distance du lieu d’enregistrement.
En effet, le calcul des vitesses de propagation effectué à partir des
graphes des figures 1a et 1b, où l’origine a été fixée à l’heure
observée de la percussion correspondante, indique 2900 m/s pour le WTC1
et 2150 m/s pour le WTC2 : on a vraisemblablement affaire à des ondes
de Rayleigh. Or, même s’ils sont très amplifiés, ces signaux ne peuvent
pas avoir été générés par les percussions sur les Tours, car les ondes
réelles dues aux percussions ont été amorties avant d’arriver au sol,
en supposant même qu’on ait affaire aux mêmes (basses) fréquences… En
effet, les fréquences des ondes générées par des explosifs sont de
l’ordre du Hertz – ce qui est le cas ici -, alors que celles dues aux
percussions sont supérieures à 10 Hertz, pour se situer plutôt autour
de 100 hertz. D’ailleurs, la bande passante des enregistrements cités
ne permet pas l’enregistrement de telles ondes. Quant à la théorie de
l’oscillation des Tours, défendue par Irvine (2001), pour expliquer ces
signaux, elle ne tient pas la route, car dans ce cas on aurait un
signal "carré" de longue durée et d’amplitude constante, alors que nous
observons un signal "en cloche", représentatif d’une impulsion
puissante et brève, particulièrement évidente dans le cas du WTC2.
Dans la mesure où il est
géophysiquement impossible d’avoir deux vitesses de propagation
différentes pour la même onde, à la même fréquence – car les ondes de
surface sont dispersives, c’est-à-dire que les vitesses dépendent des
fréquences -, sur le même parcours et à quelques minutes d’intervalle,
il faut se rendre à l’évidence que les origines supposées des ondes
enregistrées ne sont pas correctes, et qu’en l’occurrence elles ne sont
pas liées aux percussions des avions, mais à une autre origine, tel un
déclenchement d’explosion, avec un décalage de temps non identique pour
les deux tours par rapport aux impacts des avions. De même, la
différence de magnitude des deux signaux ne peut qu’être liée à des
paramètres différents relatifs à un volume d’explosifs et/ou à leur
distance au sol.
• Trains d’ondes attribués aux effondrements des Tours (fig. 2a, 2b et 2c) Alors que, pour le géophysicien,
les Twin Towers ont approximativement la même masse, les mêmes hauteur
et largeur, et le même type de structure interne – en plus de
l’identité du point d’origine des ondes et de la distance par rapport à
la station d’enregistrement -, les signaux attribués au WTC1 (fig. 2a)
et au WTC2 (fig. 2b), au lieu d’être semblables comme l’imposerait la
thèse officielle qui attribue la source des ondes sismiques au simple
effondrement des Tours, sont en fait assez différents du point de vue
de leur « forme », de leur composition, et surtout de leur vitesse
apparente, celle calculée à partir de l’origine officielle.
En effet, l’enregistrement relatif
au WTC1 montre les trois types d’onde caractéristiques d’une source
explosive brève (type "Dirac") confinée dans un matériau solide compact
: une onde P de vitesse 6000 m/s, valeur usuelle pour un terrain
cristallin ou sédimentaire très consolidé (ce qui est le cas du
bed-rock de Manhattan), une onde S de vitesse 3500 m/s et une onde de
surface de vitesse 1800 m/s (onde de Rayleigh). Ces valeurs s’accordent
avec celles enregistrées pour les tremblements de terre ou en
prospection sismique.
En revanche, l’enregistrement
relatif au WTC2 ne fait pas apparaître les ondes de volume P et S
observées pour le WTC1, mais seulement une onde de surface, dont la
répartition des amplitudes sur la durée est différente de celle du
WTC1. En fonction de l’origine déterminée du signal, la vitesse de
propagation est aussi différente de celle du WTC1, et égale à 2125 m/s
(onde de Rayleigh). Cette onde semble suivie d’une deuxième onde de
Rayleigh à 4 secondes.
On retrouve le même cas de figure
pour le WTC7 où le calcul de la vitesse de l’onde en fonction de
l’origine déterminée s’apparente à une onde de Rayleigh avec 2200 m/s.
Notons que les amplitudes sont ici comparables à celles des ondes
émises en même temps que les percussions des Tours par les avions.
Cette onde semble suivie d’une deuxième onde de Rayleigh à 6,7 secondes.
Dans les trois cas, la forme des
ondes en "cloche" indique une source impulsive et non un ébranlement du
sol dû à la chute de matériaux, au demeurant de petites tailles, qui a
duré une dizaine de secondes (un temps très long pour un géophysicien).
Notons au passage que la durée du signal s’allonge en se propageant,
corrélativement avec son atténuation, et cette durée est augmentée pour
les ondes de surface qui, étant dispersives, ont des vitesses de phases
différentes. La durée de ces ondes ne renseigne donc pas sur la source,
contrairement à l’amplitude et surtout la fréquence.
Discussion
Le problème des ci-nommés «
décalages » entre les temps origine des ondes sismiques et les horaires
des percussions des tours par les avions, particulièrement celui
concernant le WTC1, est certainement la question la plus emblématique
de toutes les incohérences de la version officielle relative au 11
septembre 2001. Dans sa publication sur le web (Kim et al., 2001), le
LDEO a publié en fait deux séries différentes d’horaires des sources,
qui sont indiquées dans le tableau ci-dessous. Les premiers horaires
(LDEO [1]) sont ceux fournis avec la publication des graphes, puis le
LDEO les a modifiés (LDEO [2]) pour obtenir des vitesses sismiques
cohérentes. En fait, quelles sont les données indiscutables ? Il y en a
deux : l’heure d’arrivée des ondes à la station de Palisades,
relativement faciles à « pointer », et la distance WTC-Palisades, soit
34 km. Si l’onde enregistrée s’avère être une onde de Rayleigh, sa
vitesse (de groupe) de propagation est aux environs de 2000 m/s. Donc,
cette onde a été créée 17 secondes avant son passage à Palisades. Là où
le problème se corse pour les adeptes de la version officielle, c’est
que l’heure de la source de l’onde de Rayleigh attribuée à la
percussion de la WTC1 et qui arrive à Palisades à 8.46.42±1, doit donc
se situer aux environs de 8.46.25±1 ! Cette heure est à comparer avec
les horaires de la première colonne du tableau ci-dessous.
Les données fournies par le NTSB
(National Transportation Safety Board) proviennent des radars au sol et
sont fiables à la seconde près. Si l’on considère l’heure fournie par
le NTSB de l’impact du WTC1 par l’avion, à savoir 8.46.40 (Ritter,
2002), seule donnée fiable parce qu’elle ne procède pas d’hypothèses,
il y a un hiatus de 15 secondes entre l’heure plausible de l’origine de
l’onde de Rayleigh et l’heure – postérieure - de la percussion du WTC1
par l’avion. Quoi d’autre qu’une explosion peut être à l’origine de
cette onde sismique en l’absence de tremblement de terre ?
Concernant la génération d’ondes
sismiques à la suite de la percussion des tours par un Boeing, la
transformation de l’énergie cinétique en ondes sismiques aurait un sens
si on avait affaire à la percussion entre deux corps pleins, solides et
indéformables. Dans ce cas l'énergie cinétique du corps en mouvement
serait en partie transformée en chaleur et le reste transmis au corps
percuté sous la forme de vibrations, donc d'ondes sismiques. Or, ici,
ce n'est pas le cas, parce qu'on a affaire à deux corps creux et
déformables. Lors de la percussion, l'ensemble de l'énergie est
transformé en chaleur et déformation des enveloppes. Et au cas où il
resterait un peu d'énergie mécanique, les ondes créées dans l'enveloppe
percutée seraient vite dissipées par l'absence de continuité de cette
enveloppe alvéolaire. La condition nécessaire pour qu'une percussion
crée néanmoins des ondes sismiques serait la percussion directe des
colonnes centrales par un corps plein ; or même si un réacteur de
Boeing a réussi à heurter la colonne centrale, c'est avec une énergie
amoindrie par la traversée de l'enveloppe. En conclusion, même si dans
ce cas une onde sismique pourrait être créée dans une colonne
métallique, elle atteindrait le sol au plus sous forme de bruit, et
comme le passage métal-roche est une réfraction qui absorbe de
l'énergie, il ne resterait plus grand-chose pour la propagation dans le
sol.
La chute des tours a-t-elle pu
être la source d’ondes sismiques ? Dans le cadre d’une percussion du
sol générant des ondes sismiques, la masse énorme des tours jumelles
pourrait hypothétiquement être prise en compte si ces tours étaient
tombées d’un bloc compact, comme une météorite. Or, dans le cas
présent, ce sont des débris éparpillés qui sont tombés, souvent
transformés en poussières et la chute a duré plusieurs secondes. On est
loin de l’impulsion de type Dirac créatrice d’ondes sismiques, et dans
ce cas, les magnitudes ne s’additionnent pas.
Dans la mesure où ni la simple
percussion ou vibration d’une tour, ni la chute de débris ne peuvent
être la source d’ondes sismiques enregistrées à 34 km de distance, et
où les très basses fréquences ne peuvent avoir été provoquées que par
des sources explosives, il faut rechercher pourquoi les trains d’ondes
sont différents. Plusieurs cas de figure sont à considérer. On doit en
effet distinguer les explosions souterraines, subaériennes (près du
sol, sans le toucher) et aériennes.
Les explosions souterraines sont
assimilables aux tremblements de terre, en cela que l’énergie mécanique
est transmise au terrain sous la forme d’ondes de volume (P et S) -
soit directement dans ce dernier cas, soit par conversion des ondes à
partir d’une cavité dans le premier cas -, et d’ondes de surface
(Rayleigh et Love) quand le signal atteint une interface solide-fluide
(le cas de l’air atmosphérique par exemple) (cas 1). Les explosions
aériennes émettent toute leur énergie dans l’air (ondes P dites
sonores), et ce qu’il en reste en atteignant le sol – quand elle
l’atteint – est alors trop faible pour y créer des ondes de volume… (il
peut y avoir des ondes de surface sur une faible distance) (cas 2). Les
explosions subaériennes émettent une énergie qui se répartit en ondes
sonores principalement dans l’air, et en ondes de surface dans le sol.
Les ondes de volume dissipées dans l’air ne peuvent se retrouver
qu’amoindries dans le sol, mais les ondes de surface sont bien
présentes (cas 3).
En bref, une explosion souterraine
ne sera pas entendue dans l’air, mais le sol vibrera et initiera un
train d’ondes complet (ondes de volume et de surface), tandis que si
l’on entend une explosion, c’est qu’elle est, soit "aérienne" et elle
ne donnera pas de signal sismique, soit subaérienne et des ondes de
surface pourront être générées.
Ainsi, on peut affirmer que des
explosions qualifiées de "subaériennes " ont été déclenchées près de la
base des Tours simultanément à la percussion de chacune d’elles par les
avions, le bruit qui en découle pouvant se confondre alors avec celui
des percussions (cas 3). Ces tours ont alors été fragilisées par le
bris des colonnes porteuses. L’explosion à la base du WTC1 a été
entendue par le témoin William Rodriguez (2006) (voir aussi Spingola
(2005)).
En ce qui concerne les
effondrements de ces tours, il faut distinguer celui du WTC1 et ceux
des WTC2 et WTC7. D’après les types d’ondes provenant de ces deux
dernières tours, elles ont subi une très grosse explosion "subaérienne"
(cas 3), entendue par les témoins. Par exemple, en ce qui concerne le
WTC2, un pompier témoigne d’une explosion avant l’effondrement dans un
énorme nuage de poussières (voir [1]), apparemment pas très loin de la
base de la tour et accompagnée d’éclairs et de bruit d’après un «
Assistant-Commissioner » (voir [2]). Un autre pompier, présent au pied
du WTC2, a constaté une grande explosion au niveau de 20 étages au
dessous de la zone d’impact de l’avion juste avant que le sommet de la
Tour s’effondre (voir [3]). Ces explosions étaient trop hautes pour
générer dans le sol des ondes de volume, et l’onde de Rayleigh
enregistrée provient probablement uniquement de l’explosion située la
plus près du sol. Parmi les autres explosions entendues à la base du
WTC2 (Anonyme, 2009), l’une d’entre elles a généré la deuxième onde de
Rayleigh enregistrée 4 secondes après la première. C’est le même
phénomène qui a affecté le WTC7. Un témoin observant cette tour a
entendu comme un « coup de tonnerre » qui a fait exploser les fenêtres
vers l’extérieur, alors que la base du bâtiment en feu s’est affaissée
une seconde plus tard, avant que la tour entière suive le mouvement
(voir [4]), aidé par une seconde explosion qui a généré une onde de
Rayleigh enregistrée 6,7 secondes plus tard.
Quant au WTC1, dont l’effondrement
a commencé après celui du WTC2 en dépit du fait qu’il a été percuté
avant celui-ci, c’est une explosion souterraine (cas 1) qui a précédé
sa chute. Cette explosion n’a donc logiquement pas été entendue par les
témoins extérieurs à 10h28 EDT, sauf ceux situés à côté de cette tour
(voir [5]), mais elle a été "ressentie" par une caméra qui, en filmant
la tour et en étant solidaire du sol, est secouée par la vibration de
ce sol au moment de l’explosion (voir [6]). En revanche, il est tout
aussi logique que les nombreuses explosions que montrent les vidéos
dans les étages supérieurs avant et pendant les effondrements n’aient
pas provoqué d’ondes sismiques (cas 2), en raison de la fragmentation
dans le temps de l’énergie détonante avec multiplication de sources
successives, chacune d’entre elles ayant une impulsion limitée,
insuffisante pour générer des ondes sismiques dans le sol.
Même si les démolitions contrôlées
bien faites ne créent pas d'ondes sismiques (explosions aériennes), il
est utile de comparer ces observations avec les données sismiques
obtenues lors des démolitions contrôlées du Kingdome à Seattle (voir
Anonyme, 2000) et à Oklahoma City (États-Unis) (Holzer et al., 1996).
Le cas du Kingdome est particulier, car c'est à la demande expresse des
sismologues que les explosions ont été paramétrées (ils voulaient
profiter de l'occasion), et celui d'Oklahoma est consécutif à la
reconstitution d'un attentat à l'explosif. Ces deux exemples entrent
dans le cas 3 évoqué ci-dessus, avec une explosion subaérienne
puissante et l’émission consécutive d’ondes de Rayleigh, et où la chute
des débris est sans conséquence du point de vue sismique, même à des
distances plus faibles que 34 km (respectivement moins de 7 et de 26
km). Seuls les sismomètres situés près de la source lors de la
reconstitution de l’attentat d’Oklahoma City ont réagi à l’énergie
sismique créée par l’effondrement du bâtiment.
Les magnitudes locales ML, que les
sismologues ont calculées d’après les ondes de surface, donnent des
résultats qui confortent nos analyses. En effet, sur l’échelle de
Richter, elles se révèlent supérieures à 2 pour les ondes émises au
moment des effondrements. Or, il est impossible d’obtenir une telle
magnitude à partir de la seule chute de débris, et plus
particulièrement sur une durée d’une décade de secondes !!. Même si la
tour entière avait été ramenée à une boule compacte, il aurait fallu un
déplacement de vitesse "météoritique", en tout cas supérieure à celle
due à l’attraction terrestre, pour espérer atteindre une telle
magnitude !! De plus, il faut noter que la magnitude attribuée à
l’explosion souterraine, celle du WTC1, est ML=2,3 – comparable à celle
du séisme survenu à Manhattan le 17 janvier 2001 (ML=2,4) -, alors que
la magnitude provenant de l’explosion subaérienne du WTC2 est ML=2,1,
donc plus faible, et cet écart – logique pour les explosions décrites –
est particulièrement appréciable dans cette échelle logarithmique. Ceci
est à comparer au fait que les Tours étant de masse et de hauteur
semblables, la chute de leurs débris aurait dû générer une magnitude
semblable, si c’eût été la source des ondes…
Remarquons que la géophysique
appliquée sait générer des ondes sismiques dans le sol, en utilisant
des sources impulsives non explosives de type "weight dropping" – qui
consistent à laisser tomber une masse de 3 tonnes sur le sol – ou bien
des "vibrateurs" plaqués au sol. Mais les énergies des ondes
développées dans le sol sont alors trop faibles pour que ces ondes y
parcourent plus que quelques hectomètres…
Relations ondes sismiques/processus d’effondrement L’observation de l’effondrement de
chacune des trois tours montre qu’il a été différent, et cela est à
corréler avec les émissions d’ondes sismiques correspondantes.
L’effondrement du WTC7 est celui
qui se rapproche le plus de la démolition contrôlée classique, avec
effondrements successifs des étages à partir de la base du bâtiment
fragilisée par une puissante explosion subaérienne. En ce qui concerne
les Twin Towers, elles ont d’abord été fragilisées par des explosions à
leur base au moment où les avions les percutaient. Ensuite, il faut
distinguer la partie du bâtiment située au-dessus de la zone de
percussion des avions, et celle située en dessous. Si les ondes
sismiques n’ont pu être générées par les explosions visibles dans les
étages et qui ont permis les effondrements graduels du bas vers le
haut au dessus de la zone de percussion et du haut vers le bas au
dessous de cette zone, c’est une puissante explosion située à la base
du bâtiment pour le WTC2 et une autre souterraine pour le WTC1, qui ont
accéléré le processus de ruine totale, et ont émis les ondes sismiques
étudiées.
En ce qui concerne ce dernier cas,
celui du WTC1, l’organisme officiel FEMA (Federal Emergency Management
Agency) confirme implicitement ce scénario. En effet, il note que « les
vidéos de l’effondrement prises sous des angles variés montrent que
l'antenne des transmissions située sur le toit de la structure a
commencé à descendre verticalement et latéralement légèrement avant que
le mouvement du mur extérieur soit perceptible. Ceci laisse penser que
l'effondrement a commencé par une ou plusieurs ruptures de la zone
centrale de l'immeuble" (FEMA, World Trade Center Building Performance
Study, chapitre 2).(“Review of videotape recordings of the collapse
taken from various angles indicates that the transmission tower on top
of the structure began to move downward and laterally slightly before
movement was evident at the exterior wall. This suggests that collapse
began with one or more failures in the central core area of the
building.”). Comme cette antenne était un latti de poutres en I posées
en diagonale, appelé « hat struss », ce dernier reliait les murs du
périmètre à la structure centrale entre le 107e étage et le toit et
renforçait ainsi la structure centrale. Il soutenait l'antenne
installée au sommet de la tour. Contrairement à la version officielle,
qui déclare que c'est le hat truss qui a transféré l'instabilité des
colonnes centrales à celles du périmètre, lesquelles auraient ensuite «
lâché » suite à leur déformation due aux tirages des planchers, la
logique des évènements impose donc bien de considérer que les «
ruptures » des colonnes centrales proviennent d’un « découpage » à
l'explosif avant la chute du bâtiment.
Conclusion Au moment de la percussion des Twin
Towers par les avions et de l’effondrement de ces dernières, ainsi que
de celui du WTC7, des ondes sismiques ont été générées. Dans la mesure
où (1) les ondes sismiques ne sont créées que par des impulsions
brèves, et (2) les basses fréquences sont associées à une énergie
(magnitude) qui est comparable à celle d’un séisme instrumental, ces
ondes révèlent indubitablement une origine explosive. Même si la
percussion par les avions et la chute des débris des Tours sur le sol
ont pu générer des ondes sismiques, d’une part leur magnitude a été
insuffisante pour être enregistrée à 34 km, et d’autre part elles ne
pouvaient qu’être homogènes.
Or, les signaux sismiques montrent
des différences significatives dans leur composition et leur magnitude,
et surtout dans leurs vitesses de propagation, alors que leur parcours
est pourtant identique dans des conditions identiques. Cette dernière
différence étant physiquement inexplicable dans le cadre de la version
officielle, on doit remettre en question le calcul des vitesses
effectué à partir d’une origine calée sur les images vidéo. On ne peut
que conclure qu’en réalité la source (explosive) a été déclenchée
manuellement, donc avec un décalage variable pour chaque origine par
rapport aux vidéos.
La composition des ondes est
révélatrice de l’emplacement de la source et la magnitude dépend de
l’énergie transmise au sol. L’origine souterraine des ondes émises au
moment de l’effondrement du WTC1 est attestée par la présence des ondes
de volume (P et S) en plus des ondes de surface (ondes de Rayleigh),
lesquelles sont présentes dans les cinq cas. L’emplacement de la source
des quatre autres explosions est subaérien, ce qui est attesté par la
seule présence des ondes de Rayleigh. Les explosions aériennes visibles
sur les vidéos dans les étages supérieurs des Twin Towers ne
fournissent pas d’ondes sismiques à 34 km de distance de la source.
Il y a un facteur dix entre la
puissance des explosions contemporaines des percussions des Twin Towers
(ainsi que de celle contemporaine de l’effondrement du WTC7) et la
puissance de celles – les plus puissantes – contemporaines de leur
effondrement, l’explosion souterraine sous le WTC1 étant celle qui a
transmis le plus d’énergie au sol.
Notons aussi que dans la mesure où
les ondes de surface sont dispersives (la vitesse dépend de la
fréquence), la durée du signal enregistré n’est pas représentative de
la durée du signal à sa source.
Enfin, la démolition contrôlée des
trois tours, suggérée par les témoignages visuels et auditifs, ainsi
que par les observations sur leurs chutes, est donc démontrée par
l’analyse des ondes sismiques émises au moment des percussions par les
avions et aux moments des effondrements.
Notes de l’auteur : Les témoignages cités dans les notes (1), (2), (3) et (5) proviennent de :
Oral Histories From Sept. 11 Compiled by the New York Fire Department – The New York Times (2005) :
(http://graphics8.nytimes.com/packages/html/nyregion/20050812_WTC_GRAPHIC/met_WTC_histories_full_01.html
(1) Interview du pompier Richard Banaciski, situé dans la rue en face du WTC2« Je m’en souviens, on était… au début on était dans la rue, et puis
des gens ont commencé à sauter, alors tout le monde est revenu en
arrière vers le parking couvert, en direction du bâtiment, pour être à
l’abri de ce qui tombait.
On est restés là peut-être 10 ou 15
minutes et je me rappelle qu'il y a eu justement une explosion. Ça
ressemblait à ce qu’on voit à la télévision quand on détruit un
bâtiment. C’était comme si ça faisait tout le tour comme une ceinture,
toutes ces explosions. Tout le monde s’est alors écrié : « courez ! »,
on est partis en se retournant et on s'est rués dans le parking
couvert, parce que c’était de là qu’on venait. En courant tout droit
c’est là qu’on arrivait. On ne pensait pas que le bâtiment était en
train de s’écrouler. On pensait juste qu’il y avait eu une grosse
explosion, que des trucs allaient nous tomber dessus. Puis un énorme
nuage de fumée s'est engouffré dans le parking. »
http://graphics8.nytimes.com/packages/pdf/nyregion/20050812_WTC_GRAPHIC/9110253.PDF
(2) Interview de l’Assistant-Commissioner Stephen Gregory situé dans la rue devant le WTC2« A ce moment-là, on a entendu un bruit énorme, on a entendu du bruit et ensuite le bâtiment s’est effondré.
(…) Quand j’ai regardé en direction du World Trade Center avant qu’il
ne s’effondre, avant que la tour 2 ne s’effondre, (…) j’ai vu des
flashs vers le bas. Quand j’ai parlé avec le lieutenant Evangelista,
alors que je ne lui en avais pas parlé, il m’a demandé si j’avais vu
des flashs devant le bas du bâtiment, et je lui ai répondu oui parce
que je pensais, à ce moment-là, je n’avais aucune idée de ce que ça
pouvait être. Je veux dire, ça aurait pu être comme la conséquence de
l’effondrement du bâtiment, des choses qui explosent, mais j'ai vu des
flash flash flash et puis ça a fait comme si l’immeuble s’effondrait. »
Q. Est-ce que c’était au-dessous ou au-dessus de la zone touchée par les incendies ?
R. « Non, c’était sur la partie en dessous. Vous savez comme c'est
quand on démolit un bâtiment, quand on le fait sauter et qu'il
s’effondre ? C’est ce que je pense avoir vu. Je n’en ai pas parlé au
lieutenant, mais il m’a interrogé, lui. Il m’a dit : « je ne pense pas
être fou, mais je voudrais te demander quand même parce que tu étais
juste à côté de moi » il m’a demandé si j’avais vu quelque chose sur
l’immeuble. Je lui ai demandé ce qu’il voulait dire par « voir quelque
chose ». Il m’a demandé : « as-tu vu des flashs ? ». Je lui ai répondu
que oui, je pensais que j’avais dû rêver; il m’a dit que lui aussi
avait vu ces flashs. Je ne sais pas si ça fait sens. Je veux dire, j’ai
assimilé cela au bâtiment en train de s’effondrer en écrasant des
trucs, ça aurait pu être des explosions dues à l’électricité, ou à
n'importe quoi d’autre. Mais c’est quand même troublant que deux
personnes disent à peu près la même chose alors qu'aucune d'elles nous
n’en avait parlé. Je veux dire que je ne connais ce gars ni d'Eve ni
d'Adam. Je me tenais juste à côté de lui. Je ne l’avais jamais
rencontré de ma vie auparavant. Il savait qui j’étais par mon nom sur
ma veste, je suppose, et il m’a interpellé genre « comment ça va ? Tout
va bien ? Et puis, heu,au fait…» C’était juste un peu étrange. »
Q. A la télévision également on a vu,
avant le premier effondrement, qu’il y avait eu une explosion au niveau
des étages supérieurs.
R. « Je sais oui, l’explosion aux
étages supérieurs. C’était en face, je n’ai pas eu à regarder, j’avais
déjà le regard tourné dans cette direction. Je ne vais pas vous dire si
c’était au premier ou au deuxième étage, mais c’est quelque part par là
que j’ai vu ce qui m’a semblé être des flashs. Je ne sais pas où
c’était en bas. Je veux dire, on avait entendu le bruit, mais après
tout, je ne sais pas. »
http://graphics8.nytimes.com/packages/pdf/nyregion/20050812_WTC_GRAPHIC/9110008.PDF
(3) Interview du pompier William Reynolds situé devant le WTC2« Après un petit moment, je ne sais pas
combien de temps exactement, j’ai été très préoccupé par une grosse
explosion provenant de la tour sud. C'était comme si on tirait sur 50
mètres dans toutes les directions, et puis tout d’un coup le sommet de
la tour a commencé à s'effondrer comme un mille-feuille (...).
(Le feu) est apparu quelque part
au-dessous (des étages supérieurs où l’effondrement a commencé).
Peut-être vingt étages sous la zone percutée par l’avion. Je croyais
que c’était un incendie et puis quand ensuite j’ai vu ça à la
télévision, ça ne montrait apparemment pas du feu, ça montrait un jet
de fumée s’échappant de dessous la zone d'impact de l’avion. »
http://graphics8.nytimes.com/packages/pdf/nyregion/20050812_WTC_GRAPHIC/9110288.PDF
(4) 9/11/2001 radio broadcast, 9/11 Videos – The Controlled Collapse of WTC7« J’étais juste là, vous savez... on
regardait l’immeuble (le WTC7), il était en feu… Les étages du bas
étaient en feu et on a entendu ce bruit… comme un coup de tonnerre…
tout autour - on a été choqués de voir que le bâtiment était… Hé bien,
ça a fait comme une onde de choc parcourant l’immeuble, et toutes les
fenêtres ont éclaté… C’était horrible… Une seconde plus tard, l'étage
du bas s’est affaissé et l’immeuble a suivi… On a vu l’immeuble
s’effondrer tout entier vers le sol… on était en état de choc. »
http://whatreallyhappened.com/WRHARTICLES/wtc7.html
(5) Interview du Lieutenant EMS Bradley Mann arrivé dans l’entrepôt du WTC1« Nous étions sur place tout au long de
l’événement. Juste avant l’effondrement de la première tour, je me
rappelle avoir senti le sol trembler. J’ai entendu un énorme bruit, et
les débris ont commencé à voler de partout. Tout le monde s’est mis à
courir là-bas. (…)
Alors que tombaient les débris
provenant du ciel suite au premier effondrement, nous avons commencé à
retourner à l'est vers West Street et quelques minutes plus tard, je ne
me souviens plus exactement, parce qu'on était tellement occupés à voir
qui était là et qui manquait, il s’est passé la même chose. Le sol a
tremblé de nouveau, et nous avons entendu un autre bruit énorme, puis
nous avons su que la seconde tour s’effondrait. Et de nouveau on a
couru sur Vesez Street pour sauver notre peau. »
http://graphics8.nytimes.com/packages/pdf/nyregion/20050812_WTC_GRAPHIC/9110194.PDF
(6) Vidéo de la preuve d’une explosion survenue à la base du WTC1« Cette vidéo montre l’effondrement du
WTC1 (…). La caméra n'était pas tenue à la main, mais directement
reliée au sol par un trépied, ce qui permit à la caméra de saisir
visuellement un tremblement du sol qui est survenu environ 13 secondes
avant que l’immeuble ne s’effondre. La vidéo montre aussi un objet
tombant de la droite du bâtiment peu avant que la caméra ne commence à
trembler. La proximité dans le temps de ces deux événements indique
qu'ils sont liés. »
http://whatreallyhappened.com/WRHARTICLES/shake.html
Références :Anonyme (2000) : Kingdome implosion seismograms.
http://www.geophys.washington.edu/SEIS/PNSN/WEBICORDER/KINGDOME/
Anonyme (2009) : 9/11 Firefighters : Bombs and Explosions in the WTC.
http://whatreallyhappened.com/WRHARTICLES/911_firefighters.html
Hamburger R., Baker W., Barnett J., Marrion C., Milke J., and “Bud”
Nelson H. (2009) : World Trade Center Building Performance Study, Data
Collection, Preliminary Observations, and Recommendations, FEMA,
Chapter 2.
http://www.fema.gov/pdf/library/fema403_ch2.pdf
Hoffman J. (2006) : Seismic Records of the Twin Towers’ Destruction :
Clarifying the Relationship Between Seismic Evidence and Controlled
Demolition Theories.
http://911research.wtc7.net/wtc/analysis/collapses/freefall.html
Holzer T. L.,. Fletcher J. B, Fuis G. S., Ryberg T., Brocher T. M., and
Dietel C. M. (1996), Seismograms offer insight into Oklahoma City
bombing, Eos Trans. AGU, 77(41), pp393, 396-397.
http://209.85.229.132/search?q=cache:-VD6lxBuA9IJ:earth.agu.org/sci_soc/eosholzer.html+seismograms+offer+insight+into+Oklahoma+city+bombing&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=fr
Irvine T. (2001) : The World Trade Center Disaster: A Shock and Vibration Perspective.
http://www.vibrationdata.com/Newsletters/November2001_NL.pdf, pages 4-10
Kim Won-Young, Sykes L.R., Armitage J.H., Xie J.K., Jacob K.H.,
Richards P.G., West M., Waldhauser F., Armbruster J., Seeber L., Du
W.X., and Lerner-Lam A (2001) : Seismic Waves Generated by Aircraft
Impacts and Building Collapses at World Trade Center, New York City,
Eos, Transactions, American Geophysical Union, Vol. 82, No. 47, pages
565, 570-571, November 20, 2001.
http://www.ldeo.columbia.edu/LCSN/Eq/20010911_WTC/WTC_LDEO_KIM.pdf
Ritter J. (2002) : Flight Path Study-American Airlines Flight 11, NTSB, February 19, 2002.
http://www.gwu.edu/~nsarchiv/NSAEBB/NSAEBB196/doc01.pdf
Rodriguez W. (2006) : 9/11 Hero “last man out”, Wednesday, November 7th, American Scholars Symposium, Seattle Center.
Spingola D. (2005) : William Rodriguez, a 9-11 Survivor.
http://www.spingola.com/william_rodriguez.htm
Figures(À noter que pour des raisons de
lisibilité, ces figures sont reprises sans modification des échelles,
lesquelles sont dans un rapport de un à dix entre les enregistrements
au moment de l’effondrement des WTC1 et WTC2 et ceux au moment de leur
percussion, de même que pour l’enregistrement lors de l’effondrement du
WTC7.) Ondes émises aux moments des impacts des avionsFigure 1a : signal enregistré à Palisades lors de l'impact sur le WTC1
Figure 1b : signal enregistré à Palisades lors de l'impact sur le WTC2
Ondes émises aux moments des effondrements des ToursFigure 2a : signal enregistré à Palisades lors de la chute du WTC1
Figure 2b : signal enregistré à Palisades lors de la chute du WTC2
Figure 2c : signal enregistré à Palisades lors de la chute du WTC7
Figure 3 : Calage du temps origine du WTC1
Figure 4 : les "pics" sismiques
(*
) André Rousseau, Docteur d’État, est retraité du
CNRS, où il a étudié plus particulièrement les relations entre les
caractéristiques des ondes mécaniques progressives et la géologie. Il a
publié de nombreux articles sous comité de lecture sur la géophysique
ainsi que participé à de nombreux congrès, y compris à comité de
sélection. Dans cet article, il met en évidence que les ondes sismiques
enregistrées le 11 Septembre à New York sont le résultat d’explosions
souterraines et subaériennes participant à la démolition contrôlée des
Tours Jumelles et du Bâtiment 7.
CURRICULUM VITAE d'ANDRÉ ROUSSEAUFaculté des Sciences de Paris :
- Second cycle en Sciences de la Terre, Géophysique interne et externe,
- DEA de Tectonophysique-Océanographie,
- DEA de Géophysique Appliquée,
Université de Rennes 2 : thèse de 3
ème cycle,
Université de Bordeaux 1 : thèse d’Etat
(voir ci-après).
Ancien Chercheur titulaire au CNRS
LISTE DES PUBLICATIONS TRAVAUX DE THESES
[1]
ROUSSEAU A. (1971)
Géologie du Plateau continental nord-espagnol entre 2°20' et
3°35'. Considérations théoriques sur l'interprétation d'enregistrements
de sismique-réflexion (sparker).
Thése 3ème cycle, Université de Rennes, 146 p. [2]
ROUSSEAU A. (1980)
Apport de la gravimétrie à la connaissance de la lithosphère du Bassin d'Aquitaine.
Thèse d'Etat, Université de Bordeaux I, 98 p., 27 fig. H.T. PUBLICATIONS
PARTICIPATION A OUVRAGE COLLECTIF
AVEC COMITE DE LECTURE
[3]
ROUSSEAU A. and JEANTET D. (1997)
Some improvements in the processing of borehole acoustic signals for the characterization of geological structures.
in "Modern Geophysics in Engineering Geology", editor : D. M.
McCann, Geological Society Engineering Publication No. 12, p.75-88,
London. REVUES AVEC COMITE DE LECTURE
[4]
DUPEUBLE P.A. et ROUSSEAU A. (1971)
Stratigraphie des terrains affleurant sur le plateau continental nord-espagnol entre Santander et Guernica.
C.R.A.S.,série D, 272, p.1952-1955 [5]
BOILLOT G. et ROUSSEAU A. (1971)
Etude structurale du plateau continental nord-espagnol entre 2°20' et 2°30' de longitude Ouest.
C.R.A.S.,série D, 272, p.2056-2059 [6]
ROUSSEAU A. (1976)
Carte des anomalies de Bouguer dans la zone sud-orientale du Golfe de Gascogne (densité : 2,3).
Bull. B.R.G.M. (2), II, 3, p.285-294 [7]
MALZAC J. and ROUSSEAU A. (1978)
A "processing density" to calculate marine bouguer gravity free of topographic variations in case of unknown bottom density.
Geophysical Prospecting, 26, p.853-867 [8]
MALZAC J. and ROUSSEAU A. (1982)
Gravimétrie des Pyrénées ariègeoises : quelques conséquences structurales.
Bull. Soc. géol. France, (7), t. XXIV, n° 4, p.739-753 [9]
LAQUECHE H., ROUSSEAU A. and VALENTIN G. (1986)
Crack propagation in mode I and mode II in Slate Shist.
Int. J. Rock Mech. Min. Sci. and Geomech. Abst. Vol.23, No.5, p.347-354 [10]
ROUSSEAU A. (1992)
A new geodynamical model for the seismicity and in-situ stresses of the mediterranean region.
Tectonophysics,202, p.183-201 [11]
ROUSSEAU A. (1993)
How to point out easily the data enclosed in the "full waveforms" (sonic logs). Examples from the Balazuc 1 deep borehole.
Publications du BRGM (Documents n°223). VI Symposium
international sur l'observation de la croute continentale par forage,
p.319-333 [12]
ROUSSEAU A. and JEANTET D. (1994)
Contribution of the 3-D visualization of acoustic borehole signals (full waveforms) to a quick formation evaluation.
Journal of Applied Geophysics,31, p.213-260 CONFERENCES INVITEES
[13]
ROUSSEAU A. (1987)
(communication invitée)Application of the G.K.S. software to the study of signals : two examples in well-logging data processing.
Colloque International de Bordeaux sur le Graphique et l'Image, 5-7 mai 1987, Université de Bordeaux I [14]
ROUSSEAU A. (1987)
(communication invitée)Présentation de produit normé GKS : analyse interactive de spectres.
Réseau REUNIR : réunion nationale sur la norme CGI, Lille, 6-8 oct. 1987 [15]
ROUSSEAU A. (1989)
(sur invitation)A new geodynamical model for the seismicity and in-situ stresses of the mediterranean region.
International Symposium : Geodesy and Seismology : deformation and prognosis, Erevan (URSS), Oct. 1989 [16]
ROUSSEAU A. (1995)
(sur invitation)Contribution des diagraphies soniques à la caractérisation des
formations géologiques traversées en forage (fracturation, compétence
et porosité) et estimation de la qualité de la cimentation.
Réunion Technique S.A.I.D., I.F.P. (Rueil-Malmaison), 7 février 1995, intervenant unique [17]
ROUSSEAU A. et MARI J.L. (1995)
(sur invitation)Acquisition de données en forage : conséquences sur la modélisation.
Journée thématique du Pôle Modélisation du Centre de Ressources
Informatiques de Bordeaux I : Sols et sous-sols (6 Avril 1995) [18]
JEANTET D., MARI J.L. and ROUSSEAU A. (1996)
(sur invitation)Use of borehole acoustic and seismic waves in environment geophysics.
The Internal Congress on Environment/Climate (UNESCO), Rome, March 4-8,1996, p.89 [19]
ROUSSEAU A. (1997)
(sur invitation)Borehole acoustic signals and formation petrophysics : contribution and limits.
EAGO / EAGE / SEG International Geoscience Conference &
Exhibition, 15-18 September 1997, Moscow (Russia), abstract C2.5. [20]
ROUSSEAU A. (1998)
(sur invitation)Borehole acoustic signals and formation petrophysics : contribution and limits.
International Conference & Exhibition on Well Logging,
SPWLA / EAGO / RGUNG, 8-11 September 1998, Moscow (Russia), Technical
Abstracts F2.1. [21]
JEANTET D. and ROUSSEAU A. (1998)
(sur invitation)A new method for calculating acoustic body wave velocities. First results.
International Conference & Exhibition on Well Logging,
SPWLA / EAGO / RGUNG, 8-11 September 1998, Moscow (Russia), Technical
Abstracts B1.7 [22]
ROUSSEAU A. (1998)
(sur invitation)Diagraphies acoustiques et pétrophysique : présentation historique.
Réunion Technique commune S.A.I.D.-Association Française des
Techniciens du Pétrole, section Exploration-Gisement, 1 décembre 1998,
I.F.P. (Reuil-Malmaison) : Apport des diagraphies acoustiques aux
études pétrophysiques. Application aux réservoirs fracturés,
anisotropie et modélisation. Lettre de la SAID n°129 (mars-avril 1999), Paris, p.3-4.
[23]
ROUSSEAU A. et JEANTET D. (1998)
(sur invitation)Vitesses ultrarapides des ondes de pression en domaine d'anisotropie de contraintes horizontales (formations compétentes).
Réunion Technique commune S.A.I.D.-Association Française des
Techniciens du Pétrole, section Exploration-Gisement, 1 décembre 1998,
I.F.P. (Reuil-Malmaison) : Apport des diagraphies acoustiques aux
études pétrophysiques. Application aux réservoirs fracturés,
anisotropie et modélisation. Lettre de la SAID n°129 (mars-avril 1999), Paris, p.55-67.
[24]
ROUSSEAU A et BARAUD R. (2003)
(sur invitation)Caractérisation des décharges abandonnées par une méthode géophysique : le radar géologique.
Présentation des Projets de
Partenariat Recherche/Industrie (Conseil Régional et DRIRE
d'Aquitaine), Pau, 17 juin 2003. Actes, Pôle Environnement Aquitain,
p.26-30. CONGRES ET COLLOQUES AVEC COMITE DE SELECTION
[25]
ROUSSEAU A. (1982)
Structural deductions concerning the lithosphere of the Aquitaine Basin from the gravimetry of the vertical intrusions.
Proc. of the 17th general assembly of the European
Seismological Commission, Budapest, 1980. Rev. of the Hungarien Academy
of Sciences, p.549-555 [26]
ROUSSEAU A. (1989)
Représentation 3-D de signaux acoustiques.
Assemblée Générale du Club GKSBx, Montpellier, mai 1989 [27]
ROUSSEAU A. (1990)
Caractérisation géométrique de failles rencontrées en forage dans
un granite, à l'aide d'une visualisation en 3-D des signaux acoustiques
("full waveforms").
Colloque : Diagraphies et Mécanique des terrains, Bordeaux, nov. 1990, p.67-88 [28]
ROUSSEAU A. (1991)
Apport d'une visualization 3-D des signaux acoustiques pour l'étude des terrains traversés par forage.
Soc. Géol. Fr.-Soc. Int. Stéréologie : Journée du 8 février
1991, Paris. Objets géologiques : description quantitative et
modélisation, p.77-80 [29]
ROUSSEAU A. (1992)
Contribution of the 3-D visualization of acoustic logs ("full waveforms") to the geological interpretation.
VI Intern. Symp. Continental Scientific Drilling Programs, Paris, April 1992, P.227[30]
ROUSSEAU A. (1992)
Using of 3-D sonic images ("full waveforms") in order to
distinguish the main zones and characterize them ; the example of the
deep borehole Balazuc 1 (Ardèche, France).
VI Intern. Symp. Continental Scientific Drilling Programs, Paris, April 1992, P.229 [31]
ROUSSEAU A. and JEANTET D. (1993)
Contribution of the 3-D visualization of acoustic borehole signals (full waveforms) to a quick formation evaluation.
Intern. Symp. on Applications of Geophysics to Environmental Problems, Lausanne, April 1994, p.56-57 [32]
ROUSSEAU A. and JEANTET D. (1994)
Caractérisation des fractures par visualisation 3-D des diagraphies acoustiques.
Réunion Technique S.A.I.D., Schlumberger (Montrouge), 5 avril 1994 : Diagraphies et formations fracturées. [33]
ROUSSEAU A. and JEANTET D. (1994)
Some improvements in the processing of borehole acoustic signals.
30th Annual Conference of the Engineering Group of the
Geological Society (Liège, sept. 1994) : Modern Geophysics in
Engineering geology, p.243-260 [34]
JEANTET D. and ROUSSEAU A. (1995)
Body wave dispersion in formations crossed by boreholes : consequences on velocity calculation.
Proceedings of 1rst Meeting Environmental and Engineering
Geophysics, European Section, 25-27th Sept., Torino (Italy), p.222-225 [35]
ROUSSEAU A. (1996)
Characterisation of formation heterogeneities by new parameters of borehole acoustic waves.
Proceedings of 2nd Meeting Environmental and Engineering Geophysics, 2-5th Sept., Nantes (France), p.31-34 [36]
ROUSSEAU A. (1997)
Two causes of the deformation of borehole acoustic full waveforms : resonance and distortion.
EAGE 59th Conference and Technical Exhibition, 26-30 May 1997, Geneva (Switzerland), extended abstract P177 [37]
JEANTET D. and ROUSSEAU A. (1998)
A new method for calculating acoustic body wave velocities : First results.
Proceedings of IVth Meeting of the Environmental and
Engineering Geophysical Society, 14-17 September 1998, Barcelona
(Spain), p.613-616. [38]
JEANTET D. and ROUSSEAU A. (1999)
3D visualisation of borehole acoustic signals using animation techniques.
GEOVISION 99, International Symposium on Imaging Applications in Geology, University of Liège (Belgium), p.133-136.
[39]
ROUSSEAU A., BARAUD R., and JEANTET D. (1999)
3D imaging processing of borehole acoustic signals applied to GPR signals.
GEOVISION 99, International Symposium on Imaging Applications in Geology, University of Liège (Belgium), p.205-208.
[40]
ROUSSEAU A., BARAUD R., and JEANTET D. (1999)
Contribution of the 3D display of GPR signals in a noisy environment.
Proceedings of Vth Meeting of the Environmental and Engineering
Geophysical Society, 6-9 September 1999, Budapest (Hungary), Gr5, 2p. [41]
ROUSSEAU A., and JEANTET D. (1999)
Signaux acoustiques en champ total (full waveforms) et pétrophysique.
Journées Scientifiques de l’ANDRA 1999, Nancy, 7-9 déc. 99. Résumé
des Conférences et des Communications par Affiches, p.67-69
[42]
ROUSSEAU A. (2000)
Consequences on body wave velocities of the stress distribution modifications around a borehole.
EAGE 62nd Conference and Technical Exhibition, Glasgow, Scotland, 29 May-2 June, Abstract D-43. [43]
ROUSSEAU A. (2001)
Relationship between acoustic body waves and in situ stresses around a borehole.
EAGE 63rd Conference and Exhibition, Amsterdam, The Netherlands,11-15 June 2001, Extended Abstract M-029. [44]
ROUSSEAU A. (2003).
Horizontal stress anisotropy determined from acoustic full waveforms in borehole.
EGS-AGU-Joint Assembly, Nice, 6-11 April 2003, Geophysical Research Abstracts, Vol.5, 03564, 2003, European Geophysical Society 2003 AUTRES REUNIONS ET PUBLICATIONS SCIENTIFIQUES
[45]
ROUSSEAU A. (1977)
Anomalies de Bouguer dans le S-E du Golfe de Gascogne : quelques
déductions structurales en fonction du champ gravifique du Bassin
aquitain et des Pays basco-cantabriques.
5ème Réunion Annuelle des Sciences de la Terre, Rennes (19-22 avril 1977) [46]
ROUSSEAU A. (1978)
Anomalies gravimétriques circulaires : méthode permettant
l'unicité de solution avec abaques par la détermination successive des
paramètres du cylindre vertical : rayon, profondeur de la base et du
sommet, densité.
6ème Réunion Annuelle des Sciences de la Terre, Orsay (25-27 avril 1978) [47]
MALZAC J. and ROUSSEAU A. (1978)
Method of computing a "processing density" variable in the
horizontal space, for setting up Bouguer gravity free from broken
topography.
5th European Geophysical Society meeting, Strasbourg (29 august-5 sept.1978) [48]
ROUSSEAU A. (1979)
Calculs des profondeurs et des densités des intrusions verticales
du Bassin Aquitain et de ses environs. Déductions tectoniques et
structurales sur la lithosphère de cette région.
7ème Réunion Annuelle des Sciences de la Terre, Lyon (23-25 avril 1979)[49]
MALZAC J. et ROUSSEAU A. (1979)
Méthode de calcul d'une "densité de traitement" variable dans
l'espace horizontal, pour l'établissement d'anomalies de Bouguer
affranchies d'une topographie accidentée.
7ème Réunion Annuelle des Sciences de la Terre, Lyon (23-25 avril 1979) [50]
ROUSSEAU A. (1979)
Circular gravimetrical anomalies : method permitting to know
separately the geometry and the density of a vertical cylinder (unique
solution).
EOS, American Geophysical Union, vol.60, 32, p.565 (6th European Geophysical Society meeting, Vienne, 11-14 sept.1979) [51]
ROUSSEAU A. (1980)
Structural deductions about the lithosphere of the Aquitain Basin from the gravity of vertical intrusions.
7th European Geophysical Society meeting, Budapest (21-29 august 1980)[52]
MALZAC J. et ROUSSEAU A. (1981)
Gravity of the Central Pyrenees (France) : an example of its usefulness for resolving some tectonic problems.
8th European Geophysical Society meeting, Uppsala (24-29 august 1981) [53]
LAQUECHE H., ROUSSEAU A. and VALENTIN G. (1984)
Crack propagation in mode I and mode II in Slate Shist.
10th European Geophysical Society meeting, Louvain-la-Neuve (30 july-3 august 1984) [54]
AMOKRANE K. et ROUSSEAU A. (1986)
Reconnaissance et surveillance par diagraphies soniques et mécaniques.
GRECO Rhéologie des Géomatériaux : rapport scientifique 1986 [55]
ROUSSEAU A. (1987)
A conjectural explanation of some seismic observations in the
mediterranean region ; a new hypothesis and its quantitative analysis
after comparing the seismicity, the geoid and the Earth's surface
present motions of the mediterranean region. A possible key for seismic
prediction in this region.
Ed. IUT A de Bordeaux, 49p., 30 fig. H.T. [56]
AMOKRANE K., ROUSSEAU A., AZZOUZ R., FAUGERAS J.C. et BACONNET C. (1987)
Structure spatiale de la variabilité des propriétés des sols : fonctions d'autocorrélation et analyses variographiques.
GRECO Rhéologie des Géomatériaux : rapport scientifique 1987 [57]
MORLIER P., ROUSSEAU A., AMOKRANE K. et DUCHAMPS J.M. (1988)
Analyse statistique des diagraphies de forage.
GRECO Rhéologie des Géomatériaux : rapport scientifique 1988 [58]
ROUSSEAU A., and JEANTET D. (1999)
Signaux acoustiques en champ total (full waveforms) et pétrophysique.
Poster présenté au 9ème Congrès International de Métrologie à Bordeaux, 18-21 oct.1999 [59]
ROUSSEAU A., and JEANTET D. (1999)
Peut-on construire des capteurs de pression azimutaux fonctionnant
en milieu fluide pour l’acquisition de trains d’onde complets en
forage ?
Poster présenté au 9ème Congrès International de Métrologie à Bordeaux, 18-21 oct.1999 SUR LE WEB
[60]
ROUSSEAU A (2005)
A New Global Theory of the Earth's Dynamics : a Single Cause Can Explain All the Geophysical and Geological Phenomena.
http://fr.arxiv.org/ftp/physics/papers/0502/0502135.pdf,
ccsd-00004334 [61]
ROUSSEAU A (2005)
Relationship between acoustic body waves and
in situ stresses around a borehole.
http://fr.arxiv.org/ftp/physics/papers/0503/0503153.pdf, ccsd-00004342 [62]
ROUSSEAU A (2005)
Is the San Andreas Fracture a bayonet-shaped fracture as inferred from the acoustic body waves in the SAFOD Pilot hole ?
http://fr.arxiv.org/ftp/physics/papers/0503/0503183.pdf, ccsd-00004555 [63]
ROUSSEAU A (2005)
Comparative study of P and S wave amplitudes of acoustic logging
through solid formations : contribution to the knowledge of in situ
stresses and fractures
http://fr.arxiv.org/ftp/physics/papers/0507/0507025.pdf, ccsd-00005807 [64]
ROUSSEAU A (2006)
Model of horizontal stress in the Aigion10 well (Corinth) calculated from acoustic body waves
http://fr.arxiv.org/ftp/physics/papers/0602/0602014.pdf, ccsd-00018406