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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 27 Avr 2014 - 18:03
http://fr.timesofisrael.com/lapid-israel-devra-peut-etre-imposer-un-etat-de-force-aux-palestiniens/ source times of israel
Lapid : Israël devra peut-être imposer un Etat de force aux Palestiniens« Les Palestiniens voient l’Indépendance comme un jeu à somme nulle », affirme le ministre des Finances au Times of Israel
Dans d’amers commentaires sur s’effondrement des efforts de paix avec les Palestiniens, le ministre des Finances Yair Lapid se demande si la direction palestinienne de Mahmoud Abbas est réellement intéressée par un Etat, laissant entendre que les Palestiniens préféreraient plutôt « jouer aux éternelles victimes ».
Au bout du compte, affirme-t-il, Israël pourrait devoir leur imposer un Etat de force – « leur tordre le bras pour créer la Palestine libre. » Lapid, chef du parti centriste Yesh Atid, a confié au Times of Israel qu’il est « hanté » par la question de savoir « si les Palestiniens veulent vraiment avoir leur propre Etat. Je n’en suis pas sûr. »
Pour lui, les Palestiniens sont « la première nation dans l’histoire qui voit l’Indépendance comme un jeu à somme nulle. Ils disent : soit vous nous donnez 100 % de ce que nous voulons, soit nous ne voulons plus rien. »
Tandis que les États-Unis « ont été créés à partir d’une confédération fragile de 13 Etats », et qu’Israël a accepté à contrecœur la partition de l’ONU de la Palestine mandataire, alors que son leadership était loin d’être satisfait de la répartition de territoire, poursuit-il, « les Palestiniens disent : ils ne nous ont offert que 94 % du territoire que nous revendiquons. Nous ne l’accepterons pas.
Ils ne nous ont offert que 94 % de l’autogouvernement que nous avons demandé. Nous ne l’accepterons pas. C’est 100 % ou rien. Alors vous voyez cela et vous vous dites : peut-être n’y tiennent-ils pas tant que cela. »
Lapid, interviewé par le Times of Israel au moment même où le Fatah et le Hamas finalisaient leur accord d’unité, mercredi après-midi, a précisé que pour lui, un Etat palestinien est « une bonne idée » pour Israël. « Cela nous permet de nous séparer d’eux complètement. Contrairement à la droite israélienne, je ne pense pas que ce soit un combat entre notre Dieu et le leur. Contrairement à la gauche israélienne, je ne veux pas d’un mur plus bas. Je veux un mur plus élevé. »
Il a également affirmé être sûr que la Knesset et la majorité des Israéliens étaient en faveur d’un accord, tant qu’il protégeait les intérêts sécuritaires du pays.
Mais ses relations avec Shukri Bishara, son homologue de l’Autorité palestinienne, dit-il, ne sont pas encourageantes « en termes de capacité et de volonté d’établir, de construire et de gérer un Etat ».
A titre d’exemple, Lapid affirme avoir longtemps travaillé pour obtenir le soutien nécessaire, y compris de la part du Premier ministre Benjamin Netanyahu, pour proposer à l’Autorité palestinienne de créer sa propre compagnie d’électricité. (L’AP doit à Israël plus d’un milliard de shekels – environ 206 millions d’euros – et engrange 80 millions de shekels supplémentaires de dette chaque mois pour l’électricité qu’elle achète à Israël, souligne-t-il).
« J’ai obtenu toutes les autorisations et annoncé avec joie le coup d’envoi. [Les Palestiniens] m’ont regardé et m’ont dit, vous savez, nous ne sommes pas sûrs de savoir comment nous y prendre ».
Rappelant le refus des Palestiniens des propositions de paix d’Ehud Barak en 2000 et d’Ehud Olmert en 2008, Lapid interroge : « Pourquoi refusent-ils systématiquement ? »
Pour lui, « l’idée encore moins rassurante » concernant la position palestinienne n’est pas qu’ils ne veulent pas d’un Etat, mais que, peut-être, « ils ne veulent pas d’un Etat aux côtés de l’Etat d’Israël, parce qu’ils n’ont jamais renoncé à leur vision d’origine, qui est celle d’un Etat à la place d’Israël… Et si c’est le cas, qu’ils sachent simplement que cela n’arrivera jamais. »
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 27 Avr 2014 - 20:29
http://fr.timesofisrael.com/des-soeurs-lutheriennes-achevent-leur-mission-aux-survivants-de-la-shoah/ source times of israel
Des sœurs luthériennes achèvent leur mission aux survivants de la Shoah Pendant un demi-siècle, des sœurs ont géré une chambre d’hôtes gratuite à Jérusalem pour les victimes de l’Holocauste
Spoiler:
Les résidents du quartier de Talpiot à Jérusalem qui ont vu les sœurs dans leurs habits blancs entrer et sortir du numéro 10 de la rue Ein Guedi lors du dernier demi-siècle vont bientôt remarquer leur absence.
Beit Abraham (la Maison d’Abraham), comme l’ont appelée les sœurs de l’Association évangélique de Marie, est sur le point de fermer ses portes. AT-M Ad Cette époque est maintenant en train de s’achever, et les sœurs éprouvent elles-mêmes un sentiment de perte.
Depuis 1961, la résidence a servi de chambre d’hôtes pour des survivants de l’Holocauste. Pourtant, avec si peu de survivants encore en vie, et ceux qui sont trop faibles pour venir, les sœurs ont décidé que leur travail était terminé.
« Nous avons reçu notre mission du Tout-Puissant. Le Tout-Puissant donne et le Tout-Puissant reprend. Notre travail est terminé », explique la sœur Gratia au cours d’une conversation avec le Times of Israel dans la salle de réception de la Beit Abraham.
Sœur Gratia, âgée de 71 ans, est arrivée en 1975 d’Autriche pour aider à gérer la chambre d’hôtes. ..
Les sœurs offraient à leurs invités des chambres et de la nourriture (des repas casher à base de produits laitiers préparés par les sœurs elles-mêmes), des activités de loisir organisées, des visites de Jérusalem gratuites grâce aux dons de chrétiens allemands qui soutiennent le projet.
« Quand nous avons ouvert nos portes en avril 1961, on pouvait entendre à travers chaque fenêtre le procès Eichmann diffusé à la radio », se souvient sœur Gratia.
« Ce furent des moments difficiles. Nous ne savions pas si les survivants de l’Holocauste nous feraient confiance, s’ils allaient nous permettre de faire quelque chose pour eux, a-t-elle expliqué.
L’association Evangélique de Marie est un ordre luthérien, mais il est indépendant.
Tout a commencé comme une organisation chrétienne fondée en 1947 par la théologienne et intellectuelle allemande Dr Klara Schlink en compagnie d’Erika Madauss.
Lorsqu’elle était présidente du groupe féminin du Mouvement des étudiants chrétiens allemands de 1933 à 1935, Schlink a refusé d’obéir à la politique des nazis qui voulaient interdire aux étudiants nés juifs de participer aux rencontres.
Durant la Seconde Guerre mondiale, Schlink a été convoquée deux fois par la Gestapo pour sa défense inflexible des Juifs.
En 1948, Schlink et Madauss sont devenues sœurs et ont transformé leur groupe en un ordre religieux. Schlink est devenue Mère Basilea et Madauss a changé son nom en Mère Martyria.
Elles ont établi le quartier général de leur ordre dans un bâtiment appelé Canaan à Darmstadt en Allemagne, et aujourd’hui, environ 200 sœurs servent dans cet ordre dans 11 endroits à travers la planète.
Les sœurs étaient venues en Israël en 1957 pour travailler comme infirmières dans un hôpital israélien afin de faire pénitence, non seulement pour ce que les nazis avaient fait, mais aussi pour les « 2 000 ans de souffrances de Juifs à cause du christianisme », selon la formule de Sœur Gratia.
« Quelques années plus tard, nous avons décidé de donner le maximum aux survivants de la Shoah et nous avons ouvert le Beit Abraham », continue-t-elle.
« En tant que chrétiens, nous devions faire quelque chose pour Israël. Nous ne pouvions pas continuer comme si rien n’avait eu lieu », explique Sœur Gratia.
Sœur Gratia évoque avec fierté les exemples de survivants de l’Holocauste qui ont commencé à retrouver le chemin de Dieu, ou une forme de spiritualité, après avoir passé du temps à Beit Abraham.
« Nous ne faisons pas de prosélytisme », insiste-t-elle. « Nous chantons des chants et lisons des passages des Tehilim et du Tanach avec eux », explique-t-elle en employant les termes hébreux pour Psaumes et Bible.
Pendant la conversation, elle quitte un instant la pièce pour aller récupérer un objet. Elle revient avec un petit cadre à photo dans les mains. Une étoile jaune ayant appartenu à un survivant autrichien y est posée sur un fond noir.
Spoiler:
Le survivant, qui savait que Sœur Gratia était également autrichienne, la lui a donnée en remerciement. Il avait cherché la chose juste à faire avec cet objet depuis la guerre. « Ma vie va enfin pouvoir commencer », avait-il déclaré à la sœur en la lui présentant.
« Pour moi, ça vaut tout l’or du monde », explique Sœur Gratia, en esquissant sur son visage un regard d’extrême fierté contrastée par une profonde tristesse.
Elle et la Sœur finlandaise Yahalom ont également sorti deux livres gardés dans la pièce qui fait office de bureau à Beit Abraham afin de les présenter.
Le premier est un album de photos avec chacun des groupes de survivants de l’Holocauste qui a séjourné à la chambre d’hôte. L’autre est grand livre relié en cuir avec les noms des invités venus en groupe.
« C’est mon écriture, remarque Sœur Gratia tandis qu’elle pointe du doigt une page datant de 1975. Ce fut le premier groupe à venir après mon arrivée. »
Même si les sœurs ont gardé des traces de tous les noms des survivants, elles n’ont jamais essayé de compter exactement combien sont passés par Beit Abraham. « Ce n’était pas notre approche », explique Sœur Gratia, consciente des numéros tatoués sur les bras des invités.
Etant entourées de survivants de l’Holocauste vieillissants, les dernières années ont été éprouvantes pour les sœurs. « Il est toujours difficile de faire face à la Shoah », confie Sœur Gratia.
Un album recensant toutes les photos des survivants ayant séjourné à Beit Avraham
« Quand les survivants vieillissent, leurs souvenirs de la Shoah refont surface avec encore plus d’intensité. Les deux dernières années ont été si difficiles. Nous en sommes venues au point de demander aux invités de parler seulement avec nous, mais pas avec les autres hôtes, car cela devenait trop fort pour tout le monde. »
Sœur Gratia et Sœur Yahalom, âgée de 51 et unique autre sœur restée à Beit Abraham, ne savent pas encore précisément ce qu’elles feront ensuite.
A l’heure actuelle, elles veulent trouver un acheteur à la propriété évaluée à 4,5 millions de dollars qu’elles ont acquise il y a plus de 50 ans d’un vieux couple juif.
« A l’époque, la maison se trouvait très proche de la frontière jordanienne, donc beaucoup de personnes n’étaient pas intéressées par l’achat, » déclare Sœur Gratia à propos de la structure de 240 m2 (avec 80 m2 supplémentaires de caves), située sur un terrain d’une surface de presque 1 km2.
Les sœurs ont effectué elles-mêmes la restauration de la maison en pierre en conservant les quatre chambres doubles et deux chambres simples en excellent état. Jusqu’à présent, les sœurs se sont occupées également des jardins luxuriants et paysagés qui entourent la maison.
« C’est une maison très simple. Ce n’est pas le genre de logement auquel les gens sont habitués aujourd’hui », reconnaît Sœur Gratia, qui parle hébreu avec un accent allemand, à propos du décor ancien et de l’architecture de la maison. Aujourd’hui, plus que la maison en soi, c’est le terrain qui pourrait intéresser les investisseurs immobiliers.
Soeur Gratia tenant un livre dont la couverture comporte une étoile jaune de David qu’un survivant de la Shoah lui a donné (Crédit :a Renee Ghert-Zand) « La maison a l’autorisation de fonctionner en tant que chambre d’hôte, mais elle pourrait également être utilisée comme une petite boutique d’hôtel ou comme une résidence », affirme Batya Kenanie-Bram, l’agent immobilier qui gère la propriété.
Après avoir accueilli le dernier groupe de survivants l’année dernière et avoir mis en vente Beit Abraham, on pourrait croire que les sœurs ont hâte de rentrer au quartier général de leur ordre en Allemagne.
Pourtant, ce n’est pas le cas, tout du moins pour la Sœur Gratia, qui est devenue citoyenne israélienne deux ans auparavant et qui n’a aucune intention de quitter la Terre sainte.
« Je veux faire partie du peuple d’Israël », affirme-t-elle.
Elle est reconnaissante envers Israël et les survivants de l’Holocauste eux-mêmes pour lui avoir permis ainsi qu’aux autres sœurs de réaliser ce qu’elle croyait devoir faire.
« Israël nous a permis d’accomplir la vision de notre mère fondatrice de donner une goutte d’amour aux survivants », explique-t-elle. « Nous avons consacré nos vies à cette mission, mais c’est juste une goutte d’eau dans un océan de souffrance infinie. »
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 27 Avr 2014 - 20:35
http://fr.timesofisrael.com/nazisme-beatification-dun-pretre-italien-qui-aidait-les-juifs/ source Times of Israel
Béatification d’un prêtre italien qui aidait les juifsLe père dominicain Girotti a été un des 1 500 prêtres morts dans le camp de concentration nazi de Dachau
Le mur des Justes, allée des Justes à Paris, avec les noms des Justes parmi les nations français
Alors que les projecteurs sont braqués sur le Vatican où Jean Paul II et Jean XXIII doivent être canonisés dimanche, l’Eglise béatifie samedi un prêtre catholique, Giuseppe Girotti, victime du nazisme et défenseur des juifs, dans le nord de l’Italie, a annoncé le Vatican.
Le père dominicain Girotti (1905-1945), originaire d’Alba dans le Piémont, a été un des 1 500 prêtres, en majorité allemands, morts dans le camp de concentration nazi de Dachau en Bavière. Sur le bord de la paillasse du prêtre italien, dont l’aura spirituelle était grande, un codétenu avait gravé après sa mort: « San Giuseppe Girotti ».
Ce prêtre avait été arrêté parce qu’il portait secours aux juifs italiens, selon le registre des détenus de Dachau.
Philosophe de formation, passionné d’œcuménisme alors que les confessions chrétiennes étaient encore très divisées, le père Girotti étudiait, pendant le peu de temps libre qui lui restait, la Bible avec un pasteur protestant détenu avec lui, a révélé le quotidien du Vatican l’Osservatore Romano.
Le pape Jean XXIII, Giuseppe Angelo Roncalli, quand il était nonce à Istanbul, avait lui aussi apporté son aide aux juifs européens, en les aidant à émigrer vers la Terre Sainte.
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 27 Avr 2014 - 20:39
http://coolisrael.fr/17734/les-chretiens-disrael-a-lu-e-arretez-le-nettoyage-ethnique-des-chretiens-des-pays-arabes source cool israel Les Chrétiens d’Israël à l’U.E. : « Arrêtez le nettoyage ethnique des Chrétiens des Pays arabes »
150 citoyens chrétiens d’Israël ont manifesté le 23 mars dernier à l’extérieur de la délégation de l’Union européenne à Tel-Aviv contre le silence de l’Union européenne sur la question de ce qu’on appelle « le nettoyage ethnique des Chrétiens au Moyen-Orient. » Les manifestants ont exigé que l’UE d’agir pour les droits de l’Homme et se battre pour les Chrétiens dans tout le Moyen-Orient, qui tendent à disparaître dans toute la région, sauf en Israël.
Le Père Gabriel Nadaf, un prêtre grec-orthodoxe de Nazareth et fervent partisan de l’enrôlement des Chrétiens dans l’armée israélienne, a exigé que cessent les attaques contre les Chrétiens et a remercié Israël d’être un foyer chaleureux pour les Chrétiens.
Shadi Halul, porte-parole du Lobby Christian (CL), qui a organisé la manifestation, a déclaré: “nous avons assisté dans le passé, comment le monde était silencieux quand 6 millions de Juifs furent massacrés. Ici, en Israël, où nous jouissons de la liberté de culte, de la sécurité, de la protection de l’Etat et d’une vie normale, nous avons décidé de crier et d’appeler l’Union européenne pour protéger les Droits de l’Homme . Devenir actif, ne pas répéter les erreurs du passé. Nous recevons constamment des rapports de nos frères chrétiens dans tout le Moyen-Orient, implorant de l’ aide, nous enviant notre statut de citoyens israéliens. »
La semaine dernière le Lobby Chrétien a envoyé une lettre à l’Ambassadeur de l’UE en Israël et à 18 autres ambassadeurs occidentaux pour protester contre leur inaction :
« Nous, les membres du Lobby Chrétien en Israël, avons jugé approprié de se tourner vers vous afin de dénoncer les conditions des citoyens, de nos frères chrétiens, dans tout le Moyen-Orient. La mise à mort, la persécution, la discrimination, l’apartheid, le nettoyage ethnique et tous les crimes commis contre les Chrétiens indigènes et araméens du Moyen-Orient, en Egypte, Syrie, Irak, Gaza, Liban et de l’Autorité palestinienne, entre autres, continuent d’être perpétrées sans aucune intervention des pays occidentaux”.
Dans sa lettre, le Lobby chrétien exigent que l’UE prenne des mesures. “Nous nous tournons vers vous car vous représentez les pays occidentaux, dont les valeurs des Droits de l’Homme et du Citoyen sont gravées sur son drapeau. Nous devons nous lever et prendre des mesures. Les crimes et persécutions sont prouvés, si l’on croit en ces valeurs et il faut agir en conséquence, sans réserve et pas à moitié”.
De plus, ils attaquent l’UE pour leurs deux-poids deux-mesures concernant Israël. “Le manque de mesures concrètes par les pays européens et occidentaux, opposé à la duplicité et à l’hypocrisie de l’Europe de l’Ouest vers l’Etat d’Israël, le pays juif et démocratique qui offre une liberté de religion, de droits de l’homme et de défense de toutes les minorités religieuses et ethniques. Il n’y a aucun doute que l’endroit le plus sécuritaire et le plus libre pour les Chrétiens, mais aussi pour les autres minorités au Moyen-Orient, est l’Etat d’Israël… Au vue de l’absence de mesures prises pour les Chrétiens des pays arabes, au Moyen-Orient, on peut remettre en cause la sincérité des déclarations et des intentions des pays européens et occidentaux au sujet des Droits de l’Homme et de l’Humanisme. Il semble que le traitement envers Israël est une couverture des échecs de l’Occident au Moyen-Orient, des échecs qui permettent la poursuite des crimes et atrocités contre les Chrétiens. »
”Ici, de l’Etat d’Israël, Etat qui a été créé par une nation persécutée et abattue alors que le monde se tenait à côté en observant, nous les membres du Lobby israélien chrétien appellent à « Non, plus », nous ne serons plus silencieux. Non, plus d’abandon des Chrétiens au Moyen-Orient. Non, plus de duplicité et d’hypocrisie. Et oui pour la prise de mesures pour la minorité chrétienne persécutée. Nous exigeons l’implication de vos pays pour arrêter le nettoyage ethnique perpétré contre la nation chrétienne orientale dans les pays arabes et du Moyen-Orient, » conclut la lettre.
Une étude récente alerte des risques d’anéantissement du christianisme dans les terres bibliques du Moyen-Orient. Selon le London Daily Telegraph, qui cite l’étude, 10 % de Chrétiens dans le monde entier – environ 200 millions – sont “socialement défavorisés, harcelés ou opprimés activement pour leurs croyances.” Avec plus de 2,3 milliards de Chrétiens dans le monde, l’étude note que les Chrétiens font face à des persécutions et en majorité dans la région berceau du christiannisme – le Moyen-Orient.
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L’armée israélienne va commencer à envoyer des appels à la conscription à des Arabes israéliens de confession chrétienne. Cette mesure prendra effet « dans les prochaines semaines », a ajouté un porte-parole de l’armée sur son compte Twitter. Jusqu’à présent, les Arabes israéliens chrétiens pouvaient effectuer leurs services militaires en se portant volontaires. « Avec ces nouvelles dispositions, ils n’auront plus à présenter individuellement cette requête et à s’exposer à d’éventuelles pressions de leurs coreligionnaires chrétiens ou musulmans, hostiles dans leur immense majorité à la conscription », a indiqué la radio. Les Arabes chrétiens qui recevront la convocation pourront toutefois toujours refuser d’être enrôlés. « Une centaine d’Arabes chrétiens servent actuellement chaque année dans les rangs de l’armée. Dans un proche avenir, ce chiffre pourrait atteindre le millier », a précisé un commentateur. Le père Gabriel Nadaf, prêtre de l’Eglise grecque orthodoxe de Nazareth (nord d’Israël), s’est félicité de la décision de l’armée. « Il faut que les jeunes de la communauté chrétienne comprennent l’importance de servir et de s’impliuqer dans le pays où ils vivent et qui les protège, et dont nous sommes citoyens à part entière », a-t-il plaidé.
Alors que les musulmans sont bien accueillis et bénéficient d’une tolérance religieuse dans les autres pays du monde, les pays arabes et les pays à majorité musulmane ont choisi de discriminer les minorités chrétiennes qui vivent chez eux.
Environs 200 millions de chrétiens sont persécutés dans les pays à majorité musulmane.
Seul l’Etat d’Israël offre sécurité, paix et tolérance religieuse aux chrétiens du Moyen Orient.
Face à cette discrimination, les chrétiens d’Israël ont décidé d’élever la voix et de lancer un appel en faveur de leurs frères qui souffrent dans cette région du monde. Ils ont décidé de prendre leurs responsabilités.
Ils lancent un appel à l’Union européenne et au reste du monde afin que des actions en faveur des droits de l’Homme soient menées dans cette région du monde.
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 1:39
http://www.desinfos.com/ source désinfos: Pour Netanyahou, seule une reconnaissance publique par le Hamas de l’Etat hébreu peut sauver les pourparlers. Israël ne négociera pas la paix avec le nouveau gouvernement palestinien tant que le Hamas ne déclarera pas reconnaître l’Etat hébreu, a affirmé dimanche le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. Celui-ci a dit dans une interview sur CNN que le mieux pour que des pourparlers de paix reprennent serait que le président palestinien Mahmoud Abbas renonce à l’alliance avec le Hamas, le mouvement islamiste qui appelle à la destruction d’Israël. A défaut, une reconnaissance publique par le Hamas de l’Etat d’Israël pourrait ramener l’Etat juif à la table des négociations.
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 1:43
Un groupe d'étudiants israéliens, venus parler de leur pays sur les campus français, a été l'objet de manifestations de haine impressionnantes. L'un d'entre eux décrit ici, au prisme de sa subjectivité d'Israélien, ce qu'il a observé et compris de la France d'aujourd'hui.(NdT)
En Israël, ces derniers mois, on a beaucoup parlé et écrit concernant la France, et ce n'était pas très flatteur. C'est précisément pour cette raison qu'un groupe d'étudiants de l'organisation Israël c'est ça, dont j'ai fait partie, a décidé de faire un voyage dans les campus de ce pays en compagnie de l'Union des étudiants juifs de France (UE J.F.) pour promouvoir un dialogue plus équilibré sur Israël.
Les difficultés étaient innombrables. Jusque récemment, le spectacle le plus populaire des jeunes français était celui du comédien antisémite Dieudonné, qui a ressuscité un salut nazi inversé, faisant éclater la France de rire et provoquant un tollé en Europe. Ce tumulte connut un pic à Paris, au cours d'une grande manifestation de plusieurs milliers de personnes, en plein jour, qui appela à jeter les Juifs hors de France et scanda: « Juifs, ce n'est pas votre pays. » D'autres furent plus concrets et promirent d'envoyer les Juifs français dans des chambres à gaz. Cela conduisit à de nouveaux incidents antisémites qui contribuèrent au sentiment que quelque chose de très fâcheux était en train d'arriver dans la demeure de Voltaire de Descartes. Au cours de nos activités sur les campus, et avec mes yeux d'Israélien, j'ai vu beaucoup de sourires et une formidable curiosité pour Israël. Mais il y a eu des circonstances où j'ai réalisé que la haine des Juifs savait se dissimuler avec habileté.
À l'université Lyon I, j'ai rencontré Nicolas. Quand il a vu que des Israéliens étaient sur le campus, il s'est approché de notre stand et il a posé plusieurs questions sur le processus de paix israélo-palestinien. Quand nous avons terminé notre discussion, il s'est interrompu un moment, et puis il a dit qu'il était venu avec une solution simple au conflit du Moyen-Orient. « Il suffit de démanteler Israël » dit-il avec un sourire. Pour ma part j'ai ri, car je croyait qu'il persiflait, et je lui ai demandé pourquoi il fallait faire ça. «Vous voyez,» poursuivit-il «ce qui arrive au Moyen-Orient, c'est la même chose que ce qu'il y a ici en France. Les Juifs sont riches et achètent des biens pour jeter les gens hors de leur maison. Comment ces types peuvent avoir tant d'argent ?» Nicolas continuait à sourire, et les mots me manquaient. Il ne persiflait pas. Ce n'était pas un jeu. Il croyait réellement à ce qui venait de sortir de sa bouche.
À l'université Paris VIII, située dans la banlieue nord de la ville des Lumières, personne ne riait, à aucun moment. Le bruit de la venue d'Israéliens sur le campus, et leur audace effrontée de vouloir parler avec des étudiants français, se répandit comme une traînée de poudre. Tout a commencé par une manifestation silencieuse, avec une musique de fond, qui se transforma rapidement en hurlements, en appels au boycott d'Israël, en injures, et en franches menaces.
Quand j'ai essayé de fixer dans un film ce qui était en train de se produire, j'ai été physiquement attaqué par l'un de ces activistes. Honteusement, la sécurité du campus, soutenue par les responsables de l'université, décida que c'était nous qui troublions l'ordre public, et elle démonta notre stand. Le porte-parole de l'université alla même jusqu'à me conseiller de rassembler mes affaires, «avant que les gardes ne vous mettent dehors par la force.» Peu de temps après, nous avons été poussés hors du campus, sous les clameurs des activistes anti-israéliens qui chantaient que les Juifs sionistes n'étaient pas les bienvenus dans leur université. Quelques minutes plus tard, je fis en sorte d'avoir une brève conversation avec l'une d'entre eux. «Pourquoi Israël? » lui demandai-je. «Parce que je suis contre le racisme, et vous êtes des racistes, des impérialistes, des colonialistes, des fascistes et des nazis.» répliqua-t-elle. «Prenez-vous parti contre les injustices qui se produisent ailleurs dans le monde ?» «Non, » répondit-elle avec fermeté. «Je ne m'occupe que d'Israël.»
Elle ne releva pas naturellement la contradiction qu'il y avait dans ses paroles. Pourquoi les activistes favorables au boycott m'empêchèrent-ils de filmer leur action ? Tout simplement parce qu'ils avaient peur. Ils avaient peur que je montre leur vrai visage, peur que je mette en lumière la nature violente de leurs activités, et plus important encore, ils avaient peur que je révèle le plus terrible secret du mouvement de boycott : une haine ardente contre les Juifs et leur droit à l'autodétermination, l'unique secret dissimulé sous le voile de leurs slogans creux sur «les droits de l'homme» et «la justice».
L'antisémitisme a plusieurs visages. Cependant contrairement à ce que l'on croit généralement, il ne s'est jamais réinventé lui-même. L'image du « Juif » au cours des années est passée de «bourgeois capitalistes,» «banquiers avides,» «saboteurs communistes» et «traîtres bellicistes.» « Le Juif-sioniste» n'est pas différent, il a des caractéristiques très similaires : le colonisateur voleur de terres, l'oppresseur raciste des minorités, et même le meurtrier de masse national-socialiste.
La même France a établi les valeurs de base de la société moderne avec la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen; elle a tendance à oublier ce rôle qu'elle a joué, un peu plus jour après jour. L'année prochaine marquera le 120e anniversaire de l'affaire Dreyfus et de la bataille d'Émile Zola pour la liberté d'expression dans la République française : il serait bon qu'au Palais de l'Élysée on se rappelle aussi du jour où des étudiants, Israéliens et Juifs français ensemble, ont été expulsés d'une université qui porte le nom d'une ville où les grands philosophes de notre temps sont nés, ont vécu et sont morts. Il y a quelques années, le lauréat du prix Nobel de la paix, Élie Wiesel, a demandé à l'Assemblée générale des Nations unies, rassemblée à l'occasion de la journée mondiale de la Shoah: « Le monde a-t-il retenu cette leçon ? » Ce vendredi après-midi à l'université Paris VIII, j'ai réalisé que le monde n'avait rien retenu du tout.
Titre original : My anti-Israel French experience par Ido Daniel Times of Israel 24 avril 2014
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 1:50
Enfants palestiniens utilisés pour créer des incidents à des fins de propagande
On voit ici plusieurs enfants palestiniens, notamment une fillette, hurlant au visage de soldats de Tsahal. A première vue, la séquence laisse penser qu’une scène de violence va avoir lieu. Mais à y regarder de plus près, on peut voir comment les parents de ces enfants les poussent physiquement contre les soldats, se tiennent prêts, caméra à la main, à filmer une éventuelle bavure israélienne et de quelle manière les enfants attendent la présence d’un photographe pour se mettre en scène. Analyse d’une mise en scène palestinienne au service de la désinformation et de la diffamation.
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 1:51
Le colonel anglais Kemp salue l'éthique de l'armée d'Israël
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 2:01
Pourquoi Israël ne veut pas de l'État demandé à l’ONU par Mahmoud Abbas Pour obtenir la création d’un Etat palestinien, Mahmoud Abbas a choisi de ne pas négocier un traité avec Israël, mais de l’imposer, en s’appuyant sur une majorité « automatique de l’ONU ». A la place d’un processus coopératif et négocié, le chemin est celui d’une confrontation, augurant tout le contraire de l’État palestinien « vivant en paix aux côtés d’Israël. » Les déclarations des dirigeants palestiniens montrent que cet État n’est pas un aboutissement mais le point de départ d’une épreuve de force politico-judiciaire mais aussi militaire, comme dans le cas de Gaza. Enfin en faisant remonter « l’occupation » à la date de la création d’Israël , en refusant de renoncer au « droit au retour » et en annonçant un État judenrein, les Palestiniens « modérés » inscrivent clairement leur initiative dans leur traditionnelle stratégie de destruction d’Israël « par étapes ».
Quand la "communauté internationale" parle du futur État palestinien, elle utilise invariablement une formule qui fait l'unanimité ou presque: "un État palestinien vivant en paix aux cotés d'Israël". La question que se posent au-jourd'hui les autorités israéliennes, la seule, c'est de sa-voir si les Palestiniens qui demandent aujourd'hui à l'ONU de reconnaître leur État (Mahmoud Abbas appuyé par le Fatah, mais non par le Hamas) désirent vraiment ce fa-meux État vivant en paix aux côtés d'Israël. L'enjeu est essentiel et même vital pour l'État juif. Il a fait, il y a six ans, l'expérience de l'évacuation d'un territoire, la Bande de Gaza, remise au pouvoir local de l'époque, l'Au-torité palestinienne de Mahmoud Abbas. Dix huit mois plus tard il n'était pas face à un voisin construisant une vie meilleure pour sa population et désireux d'une coopéra-tion fructueuse. Il était face au Hamas, une organisation qui a inscrit dans sa Charte rien moins que le génocide intégral des Juifs au nom d'une soi-disant prophétie cora-nique. A la clé, une pluie de missiles, des attentats et des incursions armées, dont l'une a abouti à l'enlèvement d'un soldat, Guilad Shalit, que le président Sarkozy quali-fie justement d'otage. Cette situation de guerre empoi-sonne depuis la vie des habitants du sud d'Israël. Elle em-poisonne aussi les relations d'Israël avec son environne-ment arabo-musulman. En témoignent les crises très sévères qui viennent de se produire avec l'Égypte et la Turquie et qui s'enracinent dans l'évacuation de Gaza. Elle oblige Israël à entamer la construction d'une barrière de séparation avec le Sinaï égyptien et à déployer un nouveau dispositif militaire dans le sud du pays. Pour dire les choses sans détour, l'évacuation de Gaza qui a ouvert la voie à un pouvoir local palestinien aura été pour Israël une grande défaite stratégique. Les raisons intimes de ce désastre sont finalement simples. Les for-ces en place à Gaza au moment du retrait israélien en 2005, le Fatah et le Hamas, n'avaient aucune intention de nouer des relations pacifiques et coopératives avec lui. D'où l'importance capitale de la réponse à la question d'aujourd'hui: les Palestiniens qui demandent à l'ONU un État sont-ils dans une dynamique coopérative ou dans une dynamique d'affrontement, veulent-ils vivre côte à côte ou faire la guerre côte à côte, désirent-ils la paix ou "terminer le travail" de substitution d'un pouvoir arabo-musulman à l'État juif? Pour tenter de répondre à cette interrogation décisive, il n'y a pas d'autre moyen que d'observer ce que les auteurs de la demande palestinienne à l'ONU font, et ce qu'ils disent. Par exemple, à l'aube du sionisme moderne, lors du Congrès de Bâle de 1887, les architectes du futur état juif décidèrent de créer un institut technologique. Cette décision exprimait l'état d'esprit, le coeur de leur projet: entrer dans le monde moderne, construire, créer. Et l'ins-titut imaginé est né 25 ans plus tard: c'est le fameux Tech-nion de Haïfa. Elle était l'annonce de ce qu'est aujourd'hui Israël. Quelle est donc l'annonce de la demande actuelle de M. Abbas? Quelle méthode pour l'État palestinien ? Tous les textes ayant une force juridique en droit interna-tional sans exception qui traitent du conflit israélo-palestinien depuis 1967, renvoient la solution du conflit israélo-palestinien à des négociations entre les parties. La résolution 242 du Conseil de sécurité de l'ONU, la 338, les accords d'Oslo de 1993 et en particulier l'Accord intéri-maire de 1995, les stipulations du Quartet... Dans le silla-ge des accords d'Oslo un très long processus de négocia-tion s'était d'ailleurs ouvert et il a duré plus de 15 ans, avec des hauts et des bas. Or voici que Mahmoud Abbas rompt avec ce processus et demande unilatéralement une décision à l'ONU, où il sait qu'une majorité automatique condamne invariablement Israël et qu'elle est prête à souscrire à ses demandes pourvu qu'elles mettent Israël au pilori. C'est un coup de force juridique, la dénonciation de tous les engagements antérieurs de sa propre institution. Comment justifie-t-il sa démarche de rupture? Par l'ab-sence dans les faits de toute négociation, dont il impute la faute à Netanyahou. Du point de vue de la vérité cette affirmation est un déni, même si de grandes références occidentales comme le New York Times la reprennent { leur compte. Dès son arrivée en 2009, Netanyahou a af-firmé sa position en faveur de la solution à deux États, et il s'est déclaré prêt à négocier immédiatement sans pré-alables. Il a décrété aussi, en signe de bonne volonté, un moratoire de 10 mois sur les constructions dans les implantations des Territoires.
On pouvait imaginer que Abbas se précipiterait à la table des négociations, lui qui veut ardemment son État. Il refu-sa, proposant un subterfuge : des entretiens par personne interposée, qui bien sûr ne menèrent à rien. Fin décembre 2009, pour forcer sa réticence, l'administration Obama convoquait les parties à Washington pour une session de négociations sans préalables. Mahmoud Abbas accepta de prendre l'avion, mais d'emblée avec une restriction. Il quitterait la conférence en cas de reprise des construc-tions gelées pour 10 mois. Et on était tout prêt de l'expira-tion du moratoire. Il posait ainsi un préalable. Jamais les négociations israélo-palestiniennes n'avaient été condi-tionnées par un préalable. Mais ce préalable était en mê-me temps un prétexte de rupture idéal. Il savait que Neta-nyahou ne pouvait pas accepter publiquement de négo-cier en obéissant à un ukase qui en appellerait d'autres. Le dirigeant israélien accepta quand même un gel des cons-tructions "silencieux", non officiel mais bien réel, mais rien n'y fit, Abbas se cramponna à son refus. Obama tirait une leçon tardive de ces évènements en s'abstenant de toute rencontre et de toute communication téléphonique avec lui depuis février 2011. Il ne le rencontrera à nouveau que le 21 novembre pour une tentative ultime de dissuasion Mahmoud Abbas a donc torpillé les négociations en toute conscience, et avec le maximum d'habileté. Sa renoncia-tion à une démarche coopérative a été parfaitement déli-bérée. La reconnaissance unilatérale est rejetée en France par de nombreuses voix situées sur tout l'éventail politique. 150 parlementaires de gauche et de droite ont signé une let-tre au président de la République affirmant : "..la recon-naissance unilatérale d'un État palestinien conduira les par-ties dans une impasse et condamnera le processus de paix à une mort certaine..." Jean-Marie Le Guen souligne "[qu'] il est dangereux de pousser en faveur d'une décision unilaté-rale alors qu'on devrait réactiver la discussion multilatéra-le." (Le Monde du 20 septembre). Pour Manuel Vals, "...il est de la responsabilité de la France (...) de mettre toute sa force, son amitié et sa fermeté au service de la négociation entre Palestiniens et Israéliens" (Libération 19 septembre), une façon de demander au président de la République de voter "non" à l'ONU. Une stratégie coopérative et de paix? L'obstination de Mahmoud Abbas n'est pas la lubie d'un vieil homme. Il a montré sa finesse tout au long de sa lon-gue carrière. Sa décision a été murie et elle est fondée sur de très solides motifs, sans doute même sur une vision stratégique. S'il avait intérêt à éviter aussi opiniâtrement la voie coopérative, c'est parce qu'elle l'obligeait à pren-dre des engagements dont il ne voulait pas ou qu'il n'avait pas les moyens politiques d'assumer, par manque de po-pularité, d'autorité, de soutiens.
Un État obtenu à l'ONU lui permet de ne pas faire de compromis territorial avec Israël, de ne pas renoncer, mê-me partiellement, au "droit au retour" des réfugiés, de ne pas accepter l'encadrement incontournable de la souve-raineté de son État qui doit être démilitarisé, de ne pas mettre un point final au conflit avec Israël. Mais surtout, ce contournement de la négociation lui permet de ne pas avoir à signer un traité quelconque introduisant la recon-naissance réciproque d'un État non-musulman, un État juif, au Proche-Orient. Il est à noter d'ailleurs qu'aucun dirigeant Palestinien n'a jamais paraphé un document reconnaissant ce pouvoir-là, de l'époque du mufti Amin al-Husseini jusqu'à Mahmoud Abbas. On peut donc penser que le coup de force de Mahmoud Abbas vis-à-vis du processus de paix est à la fois un échap-patoire et une manière de préserver sa survie personnelle. Arafat n'avait-il pas dit à Clinton en 2000, que s'il signait à Camp David, il pourrait l'inviter en même temps à ses fu-nérailles. Mais cette explication des motifs de Mahmoud Abbas n'est pas suffisante car elle ne prend pas en compte nom-bre de ses déclarations, ni celles, édifiantes, de son entou-rage. Elle se contente de décrire une tactique visant à créer un l'Etat palestinien entendu comme un aboutisse-ment. Mais n'est-ce pas plutôt un point de départ, l'éta-pe et l'instrument d'un projet à venir. Dans une interview au New York Times du 17 mai 2011, Mahmoud Abbas donne des éclaircissements précieux sur sa vision du lendemain : "L'admission de la Palestine aux Nations-Unies pavera la voie de l'internationalisation du conflit du point de vue juridique, pas seulement au plan poli-tique. Elle permettra de porter nos exigences vis-à-vis d'Israël aux Nations-Unies, devant ses organes en charge des droits de l'homme et devant la Cour Pénale Internatio-nale." Et son chargé des négociations, Saeb Erekat, abon-de dans le même sens: "Cette avancée montrera Israël tel qu'il est, un État qui occupe un autre État..." L'intention est claire: utiliser la reconnaissance, ne fut-ce que comme Etat-membre observateur, pour enclencher une dynamique judiciaire internationale contre Israël. C'est pour cela que l'un des principaux enjeux pour les Palestiniens est le vote des 37 États européens, qui don-nerait une force politique suffisante à l'offensive politico-judiciaire en préparation. Il est à présent évident que la démarche unilatérale pales-tinienne est une démarche offensive, et extrêmement agressive pour Israël. Tout le contraire de la démarche coopérative et constructive d'un État qui viserait à "vivre en paix aux côtés d'Israël" et { se bâtir un avenir. C'est l'as-surance d'un véritable cauchemar: des mises en causes ininterrompues, des enquêtes et des rapports accusa-teurs, le risque de sanctions internationales, le champ libre à la délégitimation. Il est prévisible que dans ce contexte les relations des deux "États" se détériorent et entrent dans une spirale négative, à l'opposé des proces-sus coopératifs dont les peuples et la paix ont un besoin intense. Quand Israël disparaitra Voila une première raison pour Israël de redouter, et de désapprouver fortement, les projets actuels de Mahmoud Abbas. Mais on trouve dans les déclarations des Palesti-niens des raisons supplémentaires qui aggravent singuliè-rement le tableau. Au point où nous en sommes, la volonté palestinienne serait d'imposer un retrait israélien de la Judée, de la Sa-marie, et de Jérusalem Est. Les effets en seraient déjà explosifs. Mais à travers ces déclarations, cette volonté semble aller beaucoup plus loin. Le 5 septembre 2011, dans un nouveau commentaire repris par l'éternel New York Times, Mahmoud Abbas fait une confidence qui mé-rite une sérieuse attention. Il dit : "Nous allons faire valoir qu'en tant que Palestiniens, nous vivons sous occupation depuis 63 ans". 63 ans et non 44 ans. S'il avait parlé de 44 ans d'occupation, on aurait entendu "l'occupation depuis la guerre de juin 1967". Mais non, c'est depuis 63 ans, c'est { dire depuis 1948, date de la création d'Israël. Si l'on suit donc M. Abbas, son projet pour en finir avec l'occupation, ce n'est pas de récupérer la Cisjordanie et Jérusalem Est, c'est d'en finir avec l'État créé en 1948, c'est à dire d'en finir avec Israël. Pour confirmer que cette vue est bien celle de l'actuel lea-dership palestinien "modéré", voici une déclaration à ANB TV de M. Nabil Shaat, le chef de la diplomatie du Fatah, support de M. Abbas, le 13 juillet dernier. Celui-ci déclare: "La formule de deux États pour deux peuples est inaccepta-ble pour nous. Nous pouvons décrire Israël comme un État pour deux peuples, mais nous, nous serons un État pour un peuple. Nous n'accepterons jamais une clause empêchant les réfugiés palestiniens de retourner dans leur pays, que cette initiative soit française, américaine, ou tchécoslova-que..." M. Abbas veut en finir avec une occupation qui dure de-puis 1948, M. Shaat ne veut pas accepter "deux États pour deux peuples" et il veut assurer l'entrée en Israël des 4 ou 7 millions de réfugiés palestiniens. Il ne manque plus que la déclaration du 13 septembre de Maen Areikat, l'ambassa-deur de l'OLP aux Etats-Unis lors d'une réunion organisée par Christian Science Monitor pour parvenir { une vue d'ensemble: "Le futur État palestinien sera 'free of Jews' ". Traduisons: il sera "Judenrein", ou encore "interdit aux Juifs". Pas aux Israéliens, aux Juifs. En finir avec l'occupation de 1948, libérer toute entrave à l'entrée de l'État juif à des millions de réfugiés palesti-niens, refuser le moindre Juif dans l'aire de l'État reconnu par l'ONU. C'est pour le nouvel État un programme éradi-cateur et un programme raciste dans son essence. Et c'est bien ce programme qui est soumis à l'ONU par les "modérés" de l'Autorité palestinienne et du Fatah. Un tel État éradicateur, trouverait dans l'admission à l'ONU, ne fut-ce que comme membre observateur, tout un arsenal de mesures pour mener à bien son entreprise. Il pourrait interdire à Israël de survoler son territoire par où passe une route aérienne d'accès à l'aéroport Ben Gou-rion, il pourrait passer des accords avec la Syrie, avec l'Iran, ou avec tout autre État pour déployer par exemple un système de missiles à quelques centaines de mètres de la Knesset ou du quartier des administrations gouverne-mentales, il pourrait devenir à l'instar de Gaza un tremplin naturel de la guerre permanente. Ce programme n'est pas apparu avec la rosée du matin. Il s'inscrit dans la droite ligne d'une très vieille décision de l'OLP. En juin 1974, son comité central avait adopté au Caire une résolution, dite du "plan par étapes". Sous l'in-fluence des communistes vietnamiens, l'OLP abandonnait le programme consistant à "jeter les Juifs à la mer", pour une stratégie visant à dévorer Israël lentement, étape par étape, en saisissant toutes les occasions d'avancée par-tielles obtenues par tous moyens. La grande réalisation de ce plan a été la signature des Ac-cords d'Oslo qui octroyaient à l'OLP un territoire, une pe-tite armée, et une population. L'Intifada de septembre 2000 apportait ensuite Gaza, grâce { une combinaison originale de violences terroristes, de campagnes d'opinion et de diplomatie. L'étape d'aujourd'hui consiste à se saisir de la Cisjordanie et de Jérusalem Est. Demain, l'arme de l'État octroyé par l'ONU ouvrira de nouveaux horizons. On peut comprendre à présent qu'Israël s'alarme si gran-dement de la demande de reconnaissance d'un État pa-lestinien par une majorité automatique de l'ONU. On comprend mal par contre que toute l'Europe, si attachée aux valeurs démocratiques, dont la dette envers le peuple juif est si immense, ne se lève pas dans l'unanimité pour s'opposer à ce coup de force, cet État judenrein et raciste en gestation, cette promesse d'une guerre interminable aux Juifs sur une terre où la communauté internationale leur a maintes fois reconnu des droits historiques. Les dirigeants palestiniens ont-ils jamais tracé pour la "Palestine" une perspective inventive, ont-ils dessiné le moindre avenir de modernité et de prospérité pour leur peuple? Dans leur projet d'aujourd'hui, quel institut tech-nologique, quel programme agricole, quelle filière indus-trielle, quelle coopération scientifique, quelle modernisa-tion de l'enseignement, quelle émancipation de la fem-me? Quelle autre vision concrète que celle de faire la chasse aux Juifs ? Jean-Pierre Bensimon
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 2:06
En tant qu'association d'amitié entre la France et Israël, en recherche de compréhension mutuelle entre les deux pays, commençons par avoir une pensée pour les graves vicissitudes qui menacent la France et le peuple français. Nous ne perdons pas de vue que notre pays est assis sur deux bombes, une bombe financière et une bombe eth-nique. Derrière la crise de la dette, qui est la crise d'un leadership incompétent et il faut le dire en partie cor-rompu, aux commandes depuis des dizaines d'années, pointe le spectre de l'Argentine des années 90. Et, dans le quasi silence des média, les nuits de provocations et d'affrontements des centaines de banlieues-enclaves du pays signalent que le feu de l'explosion ethnique couve. Le Royaume Uni en a donné le spectacle cet été. Quelles en seraient les limites en France, beaucoup plus expo-sée ? De son coté, l'actualité d'Israël ne déçoit pas l'amateur d'émotions fortes. Un mouvement social d'ampleur iné-dite, des défis diplomatiques (le coup de force, ou la mascarade, que M. Abbas orchestre à l'ONU, la réunion Durban III), un environnement déstabilisé (Égypte, Syrie, Jordanie), la déferlante des ambitions turques en Médi-terranée, un petit pogrom contre la représentation diplo-matique en Égypte, des attentats féroces et des pluies de roquettes up to date sur le Sud. Enfin, last but not least, des informations toujours concordantes sur la poursuite des programmes balistique et nucléaire iraniens. Il faut souligner ici l'origine commune des deux crises les plus spectaculaires impliquant Israël ces dernières semai-nes. La crise avec la Turquie d'abord. Pour y voir clair, mieux vaut en reconstituer la chronologie à l'envers. Un rapport de l'ONU du 1er septembre, le rapport Palmer, provoque une explosion de violence haineuse de Erdogan et consorts. Le rapport justifie le blocus israélien de Gaza et met à jour le jeu du faux-nez d'Erdogan, l'IHH turque, déterminée à provoquer Israël avec la flottille de mai/juin 2010. Pourquoi la flottille? En conséquence du blocus de Gaza et de l'opération Plomb durci (c'est à ce moment que s'amorcent les déchainements anti israéliens des Turcs.). Pourquoi l'opération Plomb durci? Parce qu'Israël ayant évacué Gaza en aout 2005, ce territoire est devenu, non la Suisse de Méditerranée orientale, mais une enclave dédiée à la guerre sainte islamique. Et donc, à la racine de l'affrontement Israël-Turquie, il y a l'évacuation de Gaza... Seconde crise, la mise à sac de l'ambassade israélienne en Égypte. Ses motifs? Une foule furieuse d'apprendre la mort de policiers (ou de soldats) égyptiens dans le Sinaï (de trois à six selon les sources) suite à des tirs israéliens. Pourquoi ces tirs? Parce que de graves atten-tats coordonnés, impliquant plusieurs dizaines de jiha-distes venus de Gaza, en uniforme égyptien, ont été lancés en Israël en passant par le Sinaï égyptien. Puis les agresseurs se sont enfuis en repassant la frontière. Ils ont été poursuivis et des Égyptiens ont été touchés dans le chaos du combat. D’où la crise. Mais pourquoi des colonnes de "militants" venues de Gaza ont-elles pu se former et attaquer aux environs d'Eilat ? Parce qu'en 2005, Israël a évacué Gaza, transformée ipso facto en plate forme d'une guerre offensive. Et pourquoi tout le sud d'Israël, jusqu'à Tel Aviv se trouve depuis 6 ans sous le feu de batteries de missiles de plus en plus perfec-tionnées? A cause toujours de l'évacuation de Gaza. Le fil des deux grandes crises récentes, avec l’Égypte et avec la Turquie, { conduit { une cause unique, l’évacua-tion de Gaza. Revenons aux circonstances de cette évacuation. Des hommes de l'extrême gauche israélienne (Yossi Beilin) et du Fatah (Yasser Abed Rabbo coaché en coulisse par Arafat en personne) inventent avec l'appui des Euro-péens (incarnés par le Suisse Alexis Keller) un artefact diplomatique étrange, les "Accords de Genève", "signés" le 1 déc. 2003. Les États-Unis de Bush II, croyant vraiment aux motivations "nationalistes" des Palestiniens, s'emparent de cette curiosité (rien d’autre qu’une campagne internationale new look désignant Israël comme le fauteur du conflit) pour exercer une pression extrême sur Ariel Sharon, premier ministre de l’époque. Celui-ci accepte d'évacuer totalement Gaza contre la promesse américaine de frontières vraiment "sûres et reconnues" et du non retour aux lignes de 1967. L'engagement de Bush est confirmé par un vote massif des deux chambres américaines. Quelques an-nées plus tard Obama et son administration préten-dront qu'ils ne retrouvent pas le texte de l'engagement (une lettre dûment paraphée) et qu'il n'existe pas. Si l'évacuation de Gaza est bien la source de ce nouvel ébranlement d'Israël, des deux tsunamis des dernières semaines, quelle est sa nature, en allant au fond des choses ? Elle n'est rien d'autre en fait, que le fruit, la ré-tribution, le butin, de la seconde "Intifada", une étape de la longue guerre du courant arabe palestinien du mufti Amin al Husseini contre la présence d'un pouvoir non musulman au Proche-Orient. De ce point de vue, Israël n’a pas gagné mais perdu, sur le tapis diplomatique et médiatique, la bataille de l’Inti-fada al Aqsa. Cette leçon du passé proche est la donnée la plus décisi-ve que les actuels dirigeants d'Israël doivent prendre en compte, et que nous devons nous-mêmes comprendre et faire comprendre. Une coalition d'Israéliens égarés et de Palestiniens habiles, assise sur un fond de violences terroristes, et capable d'intoxiquer jusqu'aux sphères dirigeantes américaines, peut contraindre Israël à des concessions stratégiques, confortables à court terme mais véritablement désastreuses à moyen et long ter-me. En ces jours où le choeur de la bien-pensance occi-dentale rejoint les vociférations turques et les menaces égyptiennes pour exiger de nouveaux reculs, il nous ap-partient de rappeler, partout en Occident, que Munich c'est la guerre, et que donner plus d'espace aux bellicis-tes du Hamas comme du Fatah, c'est l'assurance d'une fournaise dont la langue incandescente n'épargnerait pas les rives nord de la Méditerranée.
Enfin, l'incitation à la haine des Juifs et le culte des héros terroristes, qui sont les deux ingrédients de la guerre perpé-tuelle, n'ont jamais cessé de fleurir en Cisjordanie sous l'autorité de M. Abbas, comme à Gaza sous la férule du Hamas. C'est une politique tout à fait surprenante pour une entité qui s'affiche comme "modérée " et en recherche de la paix. Et qui peut éviter de penser que M. Abbas craint en fait que tout accord avec Israël fasse de lui, à l'instar du courageux Anouar al Sadate, la cible première d'islamistes fanatiques? C'est en fait à une mascarade que M. Abbas invite la communauté internationale, entamant un peu plus la crédibilité de l'Assemblée générale de l'ONU, soumise à des majorités automatiques où l'on retrouve tout ce que la planète compte d'États racistes, dictatoriaux ou autoritaires. C'est un artifice destiné à isoler momentanément Israël et les Etats-Unis, qui peut conduire à l'affichage de divisions profondes au sein même de l'Union européenne. Il est du devoir de la France de s'opposer à ce coup de force, et de contribuer par la persuasion et par le vote au retour à des méthodes légales et pertinentes dans le processus de règlement du conflit israélo-palestinien. (lettre au président de la république) Avec nos respectueuses salutations, Pour le Bureau, le 14 septembre 2011, Jean-Pierre Bensimon, président
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 4:08
France, une politique étrangère illisible Extraits d’un article de Michel Gurfinkiel
La France s’en est toujours tenue, jusqu’à présent, à la définition classique de l’Etat : un gouvernement aux rouages clairement définis, exerçant de manière incontestée son autorité sur une population, à l’intérieur d’un territoire exactement délimité. De toute évidence, la Palestine (ou ce que l’on entend par là) ne correspond pas actuellement à ces critères. Elle n’a pas un gouvernement, mais au moins deux, qui prétendent chacun être le seul véritable. Ces deux pouvoirs exercent leur autorité, chacun dans sa sphère géographique, de manière arbitraire et tyrannique ; l’un et l’au-tre sont contraints de composer avec d’autres pouvoirs, soit domesti-ques (éléments dissi-dents), soit étrangers (Etat d’Israël, institutions internationales, autres Etats ou entités étrangè-res intervenant à des titres divers dans sa vie interne). Enfin, ils revendiquent l’un et l’autre des territoires relevant sans discussion aucune d’un Etat reconnu par la communauté internationale – Israël – ou susceptibles de lui être rattachés en fonction du droit international. Ces faits auraient dû persuader la France de s’opposer avec force, dans les circonstances actuelles, à la recon-naissance internationale d’un soi disant Etat de Palesti-ne. Elle ne l’a pas fait. Elle a même envisagé de s’abstenir dans les débats qui auront lieu sur ce sujet à l’Assemblée générale et peut-être au Conseil de Sécurité : ce qui revient à donner une même valeur aux deux thèses en présence, celle qui est conforme au droit et aux usages, et celle qui les ignore. La France qualifie la ligne de démarcation israélo-transjordanienne puis israélo-jordanienne en vigueur de 1949 à 1967 de « frontière internationale » et veut contraindre Israël à s’y retirer. Mais elle ne l’a pas re-connue elle-même pour telle, notamment à Jérusalem, puisqu’elle refuse, aujourd’hui encore, de considérer le secteur contrôlé par les Israéliens dans les années 1949-1967 – « Jérusalem-Ouest » - comme une partie inté-grante de l’Etat hébreu, et donc d’y installer une ambassade. Même si les lignes de 1949-1967 avaient un statut de «frontières internationales», la France ne pourrait re-mettre en question le droit d’Israël, explicitement ad-mis et affirmé par la résolution 242 du Conseil de Sécurité de l’Onu, consécutive aux agressions arabes qui avaient conduit à la guerre des Six Jours, de disposer de frontières « sûres et reconnues », et de conserver au moins une partie des territoires conquis à l’occasion de ce conflit, y compris à Jérusalem. Pourtant, elle le fait constamment. La France ne rejette pas d’emblée et explicitement la revendication tendant à faire de Jérusalem – ou de «Jérusalem-Est» - la capitale d’un Etat arabe de Palestine. Elle s’élève pourtant explicite-ment contre la revendication opposée, beaucoup plus fondée en droit, tendant à faire de cette ville, ou du moins de « Jérusa-lem-Ouest », la capitale de l’Etat d’Israël. La France affirme, selon la formule du général de Gaulle, que « sa cause est celle de l’homme ». Elle a fait du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, depuis que le roi Louis XVI a apporté son soutien à la cause des Insurgents améri-cains, un principe de sa politique étrangère. On ne comprend pas, dès lors, qu’elle n’exige pas des pays arabes et islamiques en général et des pouvoirs arabes palestiniens en particulier de reconnaître expli-citement, sans faux fuyant ni ruse sémantique, le droit des Israéliens à disposer d’eux-mêmes, avant de recon-naître celui des Palestiniens. Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes s’appli-que en particulier à Jérusalem. On ne comprend pas que la France, si prompte à invo-quer ses principes, n’ait pas accordé plus de considération à l’importance exceptionnelle que Jérusalem revêt pour le peuple juif et pour les Israéliens, ni au fait que les Juifs y constituent la majorité relative de la popula-tion depuis 1845, et la majorité absolue depuis 1868. On ne comprend pas non plus que la France soit indifférente aux sentiments des Arabes palestiniens vivant à «Jérusalem-Est» qui, selon un sondage réalisé en 2010 et actualisé en 2011, préfèrent à 70 % Israël à un Etat de Palestine. La France demande aujourd’hui à l’Union européenne d’adopter une attitude commune à l’Onu sur la question israélo-palestinienne. Ce qui, la moitié de l’Europe étant opposée à la reconnaissance, dans les circonstances présentes, d’un prétendu Etat de Palestine, revient à vouloir imposer à cette moitié le point de vue pro-palestinien de l’autre moitié. Ne nous y trompons pas! Le débat actuel sur la recon-naissance d'un État palestinien masque un autre débat, le seul vrai débat, celui qui porte sur la légitimité et la pérennité d'un État non-musulman, l'État juif, sur la terre de l'ancienne Palestine. Sur ce vrai débat, on entend clairement les voix du Hamas et du Hezbollah, cel-les de l'Iranien Ahmadinejad, du Turc Ahmet Davutoglu, et ces voix convergent pour dire "Non, pas d'État juif, destruction de l'entité sioniste, état binational, etc.". Du coté des musulmans "modérés", la parole publique est rare sur le sujet, prudence oblige, mais les moues sont entendues et les artifices rhétoriques assez explicites. Quant aux officiels occidentaux, derrière les pétitions de principes et les serments de fidélité aux valeurs, l'embarras est immense, le sarcasme affleure, et l'irritation est mal contenue. La question véritable et centrale étant celle de la légiti-mité et la pérennité d'Israël, il faut revenir aux données historiques et juridiques fondamentales. Il faut rappeler une fois encore la genèse de l'état juif à l'époque contemporaine, les engagements et les princi-pes édictés dans des actes et déclarations de la communauté internationale doués d'une grande valeur juridique. Israël est sans doute l'État sur lequel la communauté internationale s'est prononcée avec le plus de précision. De ce point de vue ses fondements sont parmi les plus solides au monde, sa création a été recommandée par deux votes des instances internationales les plus déterminantes de leur époque, la Société des Nations en 1922 et l'ONU en 1947. Si l'on veut être plus précis, il faut se référer à plusieurs actes: La Déclaration Balfour du 2 nov 1917; La résolution de la conférence de San Remo du 24 avril 1920, qui reprend intégralement la Déclaration Balfour et prévoit de remettre au Royaume Uni un mandat pour mener à bien le projet de foyer national juif. Le mandat britannique sera validé par la SDN le 24 juillet 1922 { Londres. Le plan de partage de l'ONU 1947 qui propose la création simultanée d'un État juif et d'un État arabe entre le Jourdain et la Méditerranée; Les accords d'Oslo (1993-1996) ne font pas partie de cette liste car ils renvoyaient l'élaboration d'un statut final à des négociations qui n'ont jamais abouti. Il faut souligner que la mention "étant clairement en-tendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civils et religieux des collectivités non juives existant en Palestine, ni aux droits et au statut politique dont les juifs jouissent dans tout autre pays" a été introduite dans la Déclaration Balfour pour apai-ser les objections de certains dirigeants juifs anglais de l'époque. Claude Montefiore et David Alexander publièrent leur manifeste dans The Time, juste avant la signature de la Déclaration et ils parvinrent à la faire modifier. Au cours de ses 63 ans d'existence Israël a scrupuleusement respecté les droits civils et religieux des collectivités non juives sur son territoire, tandis que ceux des Juifs ont été bafoués – c'est peu dire – aussi bien en Europe que dans le monde arabo-musulman aujourd'hui. C'est en fonction de ces décisions internationales que suite à la commémoration du 90ème anniversaire de la Conférence de San Remo les 24 et 25 avril 2010, l’Al-liance Européenne pour Israël a publié une déclaration synthétique qui mérite d'être rappelée aujourd'hui: « Nous réaffirmons l’importance de la Résolution de San Remo du 25 avril 1920, où la Déclaration Balfour était reprise dans sa totalité. Elle dessinait la carte d’un Moyen-Orient moderne en application des ac-cords intervenus au sein du Conseil Suprême des puissances Alliées (Grande Bretagne, France, Italie, Japon, et les Etats-Unis en tant qu’observateur). Ultérieurement approuvée { l’unanimité par la So-ciété des Nations, la Résolution demeure irrévoca-ble, et juridiquement valide et contraignante jusqu’{ ce jour. « Nous insistons sur le fait que la Résolution de San Remo de 1920 inscrivait les droits nationaux spécifi-ques des Juifs sur la terre d’Israël dans le droit international. Elle reconnaissait aussi la force du lien historique entre le peuple Juif et cette terre antérieurement connue sous le nom de Palestine. « Nous rappelons qu’un évènement aussi déterminant que la Conférence de San Remo de 1920 a été occulté et ignoré par la communauté des Nations, et que les droits qu’elle conférait au peuple Juif ont été illégalement méconnus, amputés et finalement dé-niés. « Nous affirmons qu’une paix juste et durable, fon-dée sur des frontières justes et reconnues par tous les Etats de la région, ne peut être établie que sur la base de la reconnaissance des droits du peuple juif édictés de longue date et désormais partie prenante du droit international. » Alors que la majorité automatique de l'Assemblée gén-rale de l'ONU va être saisie à la fin septembre d'un texte visant à une reconnaissance unilatérale d'un État palestinien, résumons: 1. La légalité d'un État juif dans l'ancienne Palestine découle de "la reconnaissance d’un lien historique entre le peuple juif et la terre de la Palestine" et non d'une volonté de "réparer" les horreurs de la Shoah; 2. Du fait de ce lien entre les Juifs et la terre de Palestine, les plus hautes instances internationales précédant et suivant la seconde guerre mondiale (SDN puis ONU) ont reconnu le droit des juifs à "un foyer national" et à "un état juif" entre le Jourdain et la Méditerranée. Ces droits perdurent en l'état dans la mesure où il n'a pas été possible à ce jour de signer un traité de paix israélo-arabe ou israélo-palestinien contenant de nouvelles dispositions; Qualifier "d'occupation" la présence actuelle d'Israël dans les anciennes Judée et Samarie est donc un contresens ou une manoeuvre idéologique d'intoxication; 3. C'est sur cette base que doivent être définies les frontières "sûres et reconnues" de l'État d'Israël et non sur les lignes de démarcation militaires de 1949, appelées abusivement – ou plutôt frauduleusement – "frontières de 1967"; 4 La souveraineté juive ayant été établie sur la base de ces dispositions de haute valeur historique et juridique, aucune instance internationale n'est habilitée à définir et à imposer unilatéralement un nouveau statut sans qu'il soit débattu avec la partie juive et qu'il ait recueilli son agrément.
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Extrait des "attendus" qui encadrent le Mandat britannique "Attendu que les Grandes puissances alliées ont décidé que le Mandat devra faire passer dans les faits la dé-claration du gouvernement de Sa Majesté britannique publiée le 2 novembre 1917 et adoptée par lesdites Puissances, en faveur de l'établissement d'un foyer national du peuple juif en Palestine, étant clairement en-tendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civils et religieux des collectivités non juives existant en Palestine, ni aux droits et au statut politique dont les juifs jouissent dans tout autre pays et "Attendu que cette reconnaissance est fondée sur le lien historique du peuple juif avec la Palestine et qu'elle est le socle de la reconstitution de son foyer national dans ce pays …"
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 4:46
Des zoizaux qui parlent tout seuls
le 5 septembre 2011, une organisation appelée NGO monitor rapportait qu'un sous-directeur du Nouveau Fonds Israélien (New Israel Fund ou NIF), était cité en février 2011 dans un câble du Département d'État publié par Wikileaks. Il avait dit que "la disparition d'un État juif ne serait pas la tragédie redoutée par les Israéliens, puisque ce serait une avancé démocratique."
Le NIF se définit lui-même comme un groupe "qui voit Israël comme à la fois la patrie des Juifs et une société partagée, en paix avec elle-même et avec ses voisins". Il est possible que le cas de ce responsable (désormais un an-cien responsable) du NIF soit relativement rare. Il est possi-ble aussi qu'il soit simplement rare que de tels propos, tenus hors micro, arrivent sur la place publique. Cependant, il n'est pas rare de rencontrer l'idée que la légitimité d'Israël dé-pend de son comportement moral, sachant le jugement de ce comportement est le monopole d'étrangers criti-ques ou de contempteurs israéliens attitrés. La légitimité du Pakistan ou du Zimbabwe est-elle remise en cause par le chaos qui préside aux prati-ques locales en tant qu'États auto-gouvernés ? Per-sonne ne la remet en cause. De même, y a-t-il beau-coup de gens pour dire que l'Autorité palestinienne, dont la moitié du territoire est régie par un groupe terroriste et l'autre moitié par un président dont le mandat a expiré depuis plus de deux ans, n'a pas vrai-ment gagné le droit moral de créer un État ? Seul Israël est perpétuellement sur la sellette. Seul Israël est tenu de rendre des comptes en permanence sur sa moralité, dans diverses circonstances, suite aux attentats que les terroristes lui infligent. Comme l'a dit en 1968 Eric Hoffer, les Juifs sont supposés être "les seuls Chrétiens authentiques au monde". Et ensuite vient l'argument qu'Israël occupe un pays qui appartient à un autre peuple. Et qu'il compromet son avenir en tant que démocratie comme le mon-trent des courbes démographiques bien connues. Et que tout cela a des effets destructeurs, on le dit sou-vent, sur l'âme d'Israel. Cependant, ceux qui se préoccupent de l'âme d'Israël seraient plus convaincants s'ils témoignaient d'un mi-nimum de respect pour l'esprit d'Israël. Aujourd'hui Israël est associé à un stéréotype détestable. Il serait trop intelligent pour commettre de grosses bourdes en matière militaire ou politique. Ses erreurs ne peu-vent donc être que malveillance délibérée. Mais Israël est aussi associé à un autre stéréotype, selon lequel il est trop aveugle et trop stupide pour reconnaître qu'il est de son intérêt stratégique d'ac-cepter un État palestinien. Viendra-t-il à l'esprit des soi-disant amis d'Israël que 18 ans d'efforts avortés pour se concilier les Palesti-niens n’incitent pas les Israéliens { déborder d'enthou-siasme à l'idée d'un État palestinien ? Qu’est-il advenu de leur offre d'un État repoussée avec dédain en 2000 et en 2008, de leur retrait des habitants des implanta-tions de Gaza en 2005. De quoi les convainc leur l'ex-périence de ce qu'une Bande de Gaza "libérée" est très vite devenue. Peut-on accepter chez nous l'idée que la menace démographique à long terme est un risque secondaire quand on est confronté à la menace immé-diate d'un Iran doté de l'arme nucléaire, d'une Egypte devenue hostile, et d'un leadership palestinien tou-jours aussi irrédentiste ? Peut-on donner tout son sens { l'intérêt que l’on manifeste pour la démocratie des Israéliens en accordant quelque crédit aux conclusions auxquelles ils aboutissent sur les véritables perspecti-ves de paix, et qu'il traduisent dans leur choix électo-raux ?. Aujourd'hui, la sombre menace existentielle qui pèse sur Israël ne hante aucune démocratie au monde de façon comparable. Les évènements du mois écoulé démontrent que la menace qui plane sur ce pays n'est pas seulement fantomatique. Les efforts qu'Israël a faits pour apaiser l'animosité de ses ennemis et désar-mer le mépris de ses détracteurs ont échoué. Mais est-il excessif de demander à ses amis de le soutenir en ce moment, et cette fois sans ergoter ou multiplier les réserves ?
Lettre des 14 sénateurs les plus influents, démocrates et républicains, au président Obama, avant son discours du 21 septembre 2011 devant l’Assemblée générale des Nations Unies
Cher Président, Au moment où vous vous préparez à vous adresser à l'Assemblée générale des Nations Unies, nous vous écrivons pour vous exprimer notre inquiétude devant un certain nombre de développements préoccupants du Moyen-Orient qui exposent Israël, notre allié, à de graves défis, et qui affectent tout autant nos propres intérêts de sécurité dans la région. Nous sommes profondément déçus de constater que le président Mahmoud Abbas semble déterminé à ne pas tenir compte de vos efforts continus pour le persuader de retourner à la table des négociations avec Israël, et à s'engager au contraire dans une action di-plomatique unilatérale à New York au détriment des intérêts de la paix. Nous sommes également préoccu-pés par la rhétorique anti-israélienne de ces dernières semaines du premier ministre turc Erdogan suite au rapport Palmer. Cela nuit à la réputation de la Turquie aux Etats-Unis, en particulier si cette rhétorique s'accompagne d'une attitude passive face à la répression brutale en Syrie. Pour finir, l'attaque de l'ambassade israélienne par la foule au Caire, au début du mois, a été un élément de profonde déstabilisation. Nous nous réjouissons de votre action immédiate et directe en direction des autorités égyptiennes pour sauver la vie des six membres du personnel de l'ambassade piégés dans ses locaux. Nous croyons qu'il est impératif que vous parliez avec force, directement et publiquement, de la préoccupa-tion des Etats-Unis face à ces développements. Nous devons indiquer clairement que nous ne tolérerons pas les menaces continuelles qui visent Israël, qu'elles émanent de gouvernements ou de particuliers de cette région, de même que les tentatives de délégitimation d'Israël à l'ONU ou dans d'autres forum internationaux. La violence et l'unilatéralisme visant Israel doivent ren-contrer l’opposition la plus forte des États-Unis. Les attaques politiques et physiques contre Israël re-présentent un danger réel pour les perspectives de paix au Moyen-Orient et elles risquent de plonger toute la région dans la violence. Un sentiment d'isolement croissant n'encouragerait pas beaucoup Israël à faire avancer le Moyen-Orient dans une direction positive. Nous vous invitons donc à saisir l'occasion de votre discours aux Nations Unies à la fin du mois pour réaffirmer la détermination de l'Amérique aux côtés d'Israel en ces heures difficiles et en expliquer les raisons.. Le monde entier vous observera et entendra votre voix quand vous parlerez à l'ONU la semaine prochaine. Le monde doit apprendre sans équivoque, de votre bouche, qu'Israël – notre ami, notre allié et partenaire stratégique -- n'est pas seul face à ces menaces. Nous attendons avec intérêt votre réponse.
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 4:50
http://www.dialexis.org/php/documents/Autre-regard-numero4.pdf source dialexis et kabylemag.com
Israël : 30 000 femmes otages Hemla lutte contre l’intifada silencieuse Magazine Kabyle Mag, le 2 septembre 2011 www.kabylemag.com
L’association Hemla lutte contre ce que l’on nomme en Israël «l’intifada silencieuse». L’information sur cette réalité n’est pas relayée en Europe . De quoi s’agit-il ? Des femmes juives israéliennes ou d’autres nationalités, sont régulièrement enlevées en Israël, séquestrées, maltraitées et violées dans les Kfars (villages) arabes.
L’association Hemla existe depuis 13 ans, avec à sa tête une rabbanite Ra’Hel Baranes qui consacre sa vie à sauver et à réparer les vies de ces femmes qui se sont échappées. Elle les recueille dans un foyer afin de pouvoir les relancer dans la vie. Hemla est composée de 3 équipes : Une équipe de sauvetage qui risque sa vie tous les jours pour sauver les jeunes filles. Une équipe de prévention qui cherche dans les 4 coins d’Israël, dans les restaurants, hôtels, bars, supermarchés, universités, écoles, et autres, des jeunes filles de tout milieu social risquant de tom-ber dans ce piège. Une équipe au bureau qui reçoit les appels au se-cours des filles, parents, grands-parents, amis, etc. qui doivent recevoir une réponse immédiate. Pour l’association Hemla, le plus difficile est de sauver ces filles “avant qu’elles n’aient d’enfants de ces viols innommables”. 30 000 femmes otages dans le plus grand silence L’association Hemla essaie, au travers des médias de poursuivre son travail de prévention et de sensibilisa-tion… Hélas et sans grande surprise, l’Europe se refuse à diffuser ce type d’information. Des témoignages très durs de femmes se multiplient. Une jeune fille séduite sur son lieu de travail d’étudian-te par un certain Avi… qui un jour de ballade ordinaire après 3 mois de fréquentation, l’emmènera de force dans un Kfar arabe, où elle est violée par Ibrahim (véritable prénom d’Avi) réduite à l’état d’esclave par la mère de ce dernier… elle avait subi pendant 1 an menaces, viols, coups, coupure totale avec le monde… et un enfant était né de ces atrocités, lorsque l’association Hemla l’a sauvée. Ces hommes sont fiers de pouvoir ramener une Juive à la maison, comme s’ils remportaient une victoire, la victoire du jihad sur le peu-ple juif, et ils sont payés pour chaque fille juive dé-tournée. Leur technique est très au point. Ils choisissent leur proie. Ibrahim, Moussa et Youssouf deviennent Avi, Moshé ou Yossi, montrant beaucoup d’intérêt et de respect au début. La jeune fille est piégée, prisonnière de cet homme. Si elle a le malheur de vouloir le quitter, les menaces et le calvaire commencent, pouvant se répercuter sur des familles entières. Le but est de corrompre le judaïsme en engrossant les filles détournées. Certaines jeunes filles prises au piège n’ont que 14 ans ! Les rencontres se font comme toutes les rencontres au monde, dans les universités, les boîtes de nuit, les bars, ou sur la plage… Plus de 30 000 filles sont actuellement otages des ara-bes israéliens et palestiniens… souvent avec des en-fants issus des viols. Une question : pourquoi l’Europe, grande avocate de la cause féministe, ne relaye pas cette information ?
boulo
Messages : 21137 Inscription : 25/12/2011
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 5:42
32 longs monologues du vendredi 25 avril 2014 à 15h39 au lundi 28 avril 2014 à 04h50 !
C'est plus que de la propagande , c'est un tsunami , collectif Prinu !
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 10:42
c'est des convictions, c'est sur.
DelpheS
Messages : 1089 Inscription : 13/04/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 12:58
convaincu (s, es) ou convainquant (s, es), deux formes différentes.
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 14:46
mais c'est passionant, aussi.
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 18:14
source: Israel Valley Les Druzes d’Israël
La communauté druze d’Israël croît lentement: au début 2014, elle représentait 1,7% de la population israélienne et 8% de la population arabe.
Du 24 au 28 avril 2014, les 134.000 Druzes d’Israël célèbrent la fête du Nevi Shoueib ; il s’agit d’un prophète mentionné par le Coran et qui a été identifié plus tard comme étant Jéthro, le beau-père de Moïse. Le tombeau de Jéthro est considéré comme un lieu saint par la communauté druze : il est situé en Galilée, non loin du lac de Tibériade. Le tombeau se trouve dans une salle en forme de dôme ressemblant à une mosquée ; de nombreux fidèles druzes venant de tout le pays se retrouvent dans ce lieu de pèlerinage chaque année à la même période.
UNE INTÉGRATION RÉUSSIE
Les 134.000 Druzes israéliens entretiennent une relation particulière avec l’Etat d’Israël ; ils affichent publiquement leur loyauté à l’Etat juif, notamment en participant à la défense du pays.
La religion druze est née d’un mouvement de réforme de l’islam chiite qui a eu lieu au XIe siècle ; à la différence des Musulmans d’Israël, les Druzes servent dans l’armée israélienne depuis 1957. Après leur service national obligatoire, beaucoup d’entre eux s’engagent comme militaires de carrière dans Tsahal, notamment dans les unités de pisteurs.
Pour la plupart, les Druzes sont des citoyens parfaitement intégrés à la société israélienne. Parmi les 43.000 Druzes qui participent au marché du travail, 46% d’entre eux travaillent dans l’industrie et le bâtiment, 22% dans le commerce et les services, et 17% dans les services publics. Certains occupent des fonctions importantes dans tous les secteurs de la vie quotidienne comme la politique, la diplomatie, l’enseignement, la médecine, etc.
Les Druzes israéliens préfèrent vivent entre eux pour préserver leur mode de vie traditionnel. En 2013, 98% d’entre eux vivaient dans 19 localités druzes situées dans le nord du pays, en Galilée et dans les environs de Haïfa. Les quatre localités druzes les plus importantes sont Daliat El-Carmel (16.000 habitants), Yarka (15.000 habitants), Maghar (12.000 habitants) et Bet-Gean (11.000 habitants). Les autres vivent dans des villages mixtes avec des musulmans et des chrétiens.
En 2014, la taille moyenne d’une famille druze est de 4,1 personnes ; c’est plus que la famille juive (3,1 personnes) et la famille chrétienne (3 personnes), mais moins que la famille musulmane (5,0 personnes).
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http://fr.timesofisrael.com/les-agressions-antisemites-un-phenomene-quasi-quotidien/ Les agressions antisémites, un phénomène quasi quotidien
Une étude révèle que 554 incidents violents ont eu lieu en 2013. Leur « intensité et la cruauté » se sont renforcées
Les agressions antisémites sont « de plus en plus intenses et cruelles », selon une étude mondiale annuelle sur l’antisémitisme.
554 actes violents de nature antisémite ont été enregistrés dans monde en 2013 – soit une baisse de 19 % par rapport à 2012, qui avait connu une « hausse exceptionnellement forte » de ce genre d’incidents, selon le rapport. Les chiffres de 2013 sont proches de la moyenne annuelle de 550 agressions, répertoriée au cours de la dernière décennie, un niveau supérieur à la décennie précédente, selon l’étude.
Les résultats ont été publiés dimanche, à la veille de Journée de la Shoah, par le centre Kantor pour l’étude de la communauté juive européenne contemporaine et la base de données Moshe Kantor pour l’étude de l’antisémitisme contemporain et du racisme à l’université de Tel-Aviv, en coopération avec le Congrès juif européen.
« L’antisémitisme a continué à s’infiltrer dans le grand public à partir des franges d’extrême-gauche et d’extrême-droite. Ses manifestations ne sont plus accessoires, mais sont devenues un phénomène quasi quotidien », peut-on lire dans le rapport.
Avec 116 agressions antisémites, la France enregistre le plus grand nombre d’attaques pour la deuxième année consécutive.
Le Canada et le Royaume-Uni ont tous deux connu une augmentation des incidents antisémites, avec 95 agressions au Royaume-Uni en 2013 (contre 84,l’année précédente), et 83 agressions au Canada (contre 74 en 2012). L’Allemagne compte elle 36 incidents, l’Ukraine 23, la Russie 15 et la Hongrie 14.
Les violences ont été perpétrées avec et sans armes, via des incendies criminels, des actes de vandalisme ou des menaces directes contre des personnes ou des institutions juives comme les synagogues, les centres communautaires, les écoles, les cimetières, les monuments et les propriétés privées.
Selon le rapport , le nombre d’attaques directes contre les personnes est « en constante augmentation » – un peu plus d’un tiers des victimes d’agression étant des particuliers.
« Les Juifs ne se sentent pas en sécurité dans certaines communautés d’Europe », a déclaré dimanche le docteur Moshe Kantor, président du Congrès juif européen, à l’université de Tel Aviv.
« La vie juive traditionnelle n’est pas viable en Europe si un tel nombre de Juifs sont contraints de vivre dans la peur et l’insécurité. Les gouvernements européens doivent de toute urgence s’occuper de ces questions. »
Un des incidents mentionnés a eu lieu non pas en Europe, mais en Argentine, le 7 octobre dernier, lorsqu’un garçon de 13 ans né en Israël a été attaqué par deux enfants qui se moquaient de son accent.
Quand la victime leur a dit qu’il était juif, ils l’ont frappé avec un bâton et lui ont jeté une brique au visage, lui cassant le nez .
Les 333 actes de vandalisme représentent près des deux tiers des incidents.
Il y a également eu 25 attaques avec armes (4 % du total), 98 actes de violence sans arme (18 %), neuf incendies criminels (2 %) et 89 menaces directes (16 %).
Erkos
Messages : 608 Inscription : 23/01/2014
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Lun 28 Avr 2014 - 22:30
L’écrivain Irlandais Pat Condell dénonce le Hamas et demande à ses fans d’ouvrir les yeux sur Israël Patrick « Pat » Condell est un écrivain et comédien athée, Irlandais, très populaire sur Internet dans le monde anglophone. Star britannique, il a remporté un grand nombre de récompenses pour son jeu et est un intervenant régulier de la BBC.
Depuis 2007, il a commencé à publier des courts monologues sur internet, en DVD et en livres, dénonçants les ravages de la religion.
Voici la traduction de sa dernière vidéo, datée du 25 avril 2014…
« Si vous êtes sérieux quand vous parlez de la paix au Moyen-Orient, alors vous devez arrêtez de prétendre que les israéliens négocient avec un ennemi rationnel, parce qu’en faisant cela, vous nourrissez le Hamas avec un mensonge politique.
(…)
C’est le Hamas qui a transformé Gaza en zone de guerre, pas Israël, et c’est le Hamas qui continuera ainsi encore, et encore, et encore. Ils n’ont cure des gens qui vivent là-bas, ils sont considérés comme des choses utiles pour la cause du jihad. Pourquoi croyez-vous qu’il n’y a pas d’abris anti-bombe à Gaza ? A l’exception, bien entendu, des braves combattants du Hamas qui continuent de nous dire qu’ils aiment la mort plus que nous aimons la vie. Ils vont se cacher dès que les bombes tombent et laissent les femmes et les enfants les protéger. Ne serait-il pas logique, dans la mesure où ils tirs des missiles tous les jours sur Israël, qu’ils donnent aux civils une sorte de protection contre les mesures de représailles ?
Non, ils préfèrent construire des hôtels de luxe pour les journalistes occidentaux en qui on peut avoir confiance pour les dépeindre comme des victimes héroïques face à des israéliens décrits comme des oppresseurs néo-nazis.
En fait, c’est le Hamas qui est nazi.
Leur programme politique est virtuellement identique avec la suprématie génocidaire et la même violente haine des juifs, pour être des juifs. En fait, les nazis ont un ascendant moral sur le Hamas, ils tuaient les gens comme des bêtes, mais au moins, ils n’utilisaient pas leur peuple comme des boucliers humains.
Le Hamas n’en a rien à faire des gens de Gaza. Ils veulent qu’ils soient tués. Spécifiquement les enfants, dont les corps servent à une propagande magnifique. C’est pourquoi ils mettent les enfants, délibérément, dans la zone de tir. Ils ne sont que des armes. Ou des martyrs, termes islamique utilisé pour décrire la mort d’une personne pour aucune bonne raison.
Israël veut la paix et l’a toujours voulue. C’est un pays moderne et civilisé et une puissance high-tech mondiale. La dernière chose qu’ils veulent, c’est la guerre. Cela devrait être compris par tous. Israël ne voudrait rien d’autre pour Gaza que d’être prospère, et pour ses habitants d’être heureux et libres. Ils seraient même près à la financer s’ils pensaient que cela marcherait. Mais le Hamas ne veut pas voir des gens libres et heureux. Le Hamas veut voir les gens misérables, dénonçant les juifs pour cela. Parce que le Hamas est une organisation islamique extrémiste, jihadiste. Ils ont la même mentalité que ceux qui ont envoyé des avions dans les Twin Tower et qui ont dénoncé… Devinez qui ? Les Juifs !
(…)
Ces gens là sont si extrêmes qu’ils sont prêts à tuer quelqu’un pour avoir été heureux lors d’un mariage, comme ce fut le cas, la semaine dernière à Gaza. Chanter est illégal dans ce paradis islamique. La joie est interdite. Le bonheur est pêché !
Ils invoquent le Coran dans leur charte, spécialement les passages qui parlent de tuer les juifs. C’est leur préféré ! Et ils apprennent à leurs enfants que la plus belle chose qu’ils puissent faire, c’est se tuer, en tuant des juifs.
Et ça, ce sont les gens avec qui Israël est supposé négocier ?
Imaginons que vous soyez le Premier Ministre Israélien, que faites-vous ?
Comment gérez-vous des négociations avec des gens qui vous veulent vous, et vos semblables, morts ? A tout prix. Et de manière non-négociable ?
Donnez des territoires ? Se retirer des implantations ? Ca a été essayé, et cela n’a pas fonctionné ! Ou alors, personne ne l’a vu !
Israël a démantelé des implantations et déporté des milliers des siens quand ils ont quitté Gaza. Qu’ont-ils reçu en échange ? Un barrage de roquettes et de bombes qui ne s’est jamais arrêté depuis ce jour-la. Donc, clairement, démanteler ne fonctionne pas. Qu’avons nous d’autre? La médiation ? La diplomatie ? Recommencer le processus de paix ? Ouais ! Dans vos rêves ! Il n’y a pas de processus de paix. Et il n’y en aura pas tant que le Hamas sera là, parce qu’il voit cela comme une seule face d’une pièce. Et le Hamas dit clairement qu’il n’a aucune intention de négocier la paix, c’est inscrit au sein même de leur charte. Regardez par vous-même: la paix serait non-islamique ! Pas de négociation et pas d’arrêt du jihad, car, comme c’est écrit dans leur charte: « rien jusqu’à ce que les juifs soient expulsés du Moyen-Orient. C’est ce qu’ils veulent, et ce n’est pas négociable.
Pourquoi continuons-nous à prétendre qu’ils veulent quelque chose d’autre ?
La charte du Hamas dit aussi qu’il ne doit pas y avoir d’intermédiaire dans les négociations de paix, ce qui signifie que si demain il y avait un accord, il y aurait avec certitude, dans un deuxième temps, un véto du Hamas.
Mais ignorons tout cela et prétendons qu’il ne s’agit que de territoires, de politique… Organisons un nouveau round de négociation. Faisons le sommaire d’un nouvel accord sans valeur, asseyons nous autour de la table et négocions encore, et regardons les Prix Nobel autour de la table. Nous avons besoin de montrer que nous faisons quelque chose, même si c’est du rien. Et c’est ce qu’il se passera, car négocier avec le Hamas, c’est comme allumer une lumière dans un trou noir. Ils ne veulent la paix pour aucun prix. Ils veulent du sang juif. Fin de l’histoire.
C’est pourquoi ils brisent tous les cessez-le-feu. C’est pourquoi leurs propres gens sont utilisés. C’est pourquoi aucun accord ne sera légal à leurs yeux. C’est pourquoi il n’y a pas de solution à 2 Etats, et qu’il n’y en aura jamais tant qu’ils seront là… Et c’est pourquoi ils ont besoin d’être écrasé de manière décisive et permanente, ou alors cette folie ne s’arrêtera jamais ! Dégagez ces personnes violentes et pleines de haine sera le seul moyen de libérer le peuple palestinien, et si nous tenons vraiment à la paix, de devons êtres suffisamment honnêtes pour l’admettre. »
boulo
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 10:42
prinu a écrit:
interessant, erkos, ce clash coupé au montage. je vais en parler.
Ah non , s'il vous plaît ! N'ajoutez pas de la haine à ce qui n'en suppure que trop !
A moins que vous ne cédiez la parole à quelqu'un d'intelligent au sein de votre collectif . Mais cela m'étonnerait de votre part .
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 14:54
Justement, je dénonce la haine palestiniste qui a eu lieu durant cette émission,
une haine anti-sioniste ABJECTE, IMMONDE, et qu'il faut dénoncer.
et, boulo, vous n'arriverez pas à faire censurer la vérité qui défend la VRAI paix, meme si vous avez la haine de la vérité mon but est de dénoncer la haine et de promouvoir la paix entre tout les peuples, n'oubliez PAS. Le sionisme est un humanisme qui veux la paix, l'antisionisme est pour la haine entre les peuples, je me borne à le démontrer, car ceci est vrai. et je l'ai déja démontré cent fois, chaque jour, l'antisionisme démontre sa haine.
Aymeric Caron est de gauche. La preuve, il n’aime pas qu’on tue des enfants. Surtout quand ce sont des enfants palestiniens tués par des soldats israéliens – ce qui, malheureusement arrive, comme dans toutes les guerres, même si on n’a jamais vu les Israéliens acclamer un tueur d’enfants comme l’ont fait les Libanais en accueillant en héros Samir Kuntar, dont le haut fait d’armes était d’avoir fracassé la tête d’une fillette israélienne sur des rochers. Passons, un enfant est un enfant et moi non plus, je n’aime pas que les enfants meurent.
Cependant, on dirait que l’amour des enfants peut faire perdre tout discernement aux plus grands intellectuels. Oui, Caron est un grand intellectuel sinon, il n’aurait pas eu les honneurs de l’éditorial de Jean Birnbaum dans Le Monde des Livres, pour son dernier ouvrage, plaisamment intitulé Incorrect. De méchantes langues vous diront que ce texte indigent et truffé de calomnies court avec zèle d’un lieu commun à une contre-vérité. La morgue satisfaite, la bonne conscience d’airain, la haine de la différence intellectuelle qui s’avancent dans les habits de la vertu, du courage et de la tolérance ; le refus de toute complexité drapé dans l’indignation ; les idées courtes et les phrases longues. Vendredi soir, pendant le tournage de « On n’est pas couchés ! », une altercation, assez violente paraît-il, a mis aux prises Aymeric Caron, chroniqueur gauche de Laurent Ruquier, et le metteur en scène Alexandre Arcady, venu défendre 24 jours, son film sur la séquestration et l’assassinat de Ilan Halimi. le paquetage idéologique de Caron et de ses multiples clones, il y a, entre autres certitudes rangées au carré, celle qu’Israël est l’un des noms du mal. Alain Finkielkraut aussi – logique, puisque Finkielkraut soutient Israël. Cette édifiante scène de la vie parisienne a été coupée au montage. C’est que les propos de Caron semblent avoir effaré pas mal de monde jusque dans l’équipe de l’émission.
Polony ouvre le feu. Après quelques amabilités sur le film, elle regrette que le parti choisi par le cinéaste, raconter le drame du seul point de vue de la victime et de sa famille, l’empêche de montrer ce que cette terrible affaire dit de notre société. Il aurait fallu s’intéresser aussi aux motivations des membres du gang des Barbares, précise-t-elle. Elle veut parler de ce mélange de haine des Juifs et d’appât du gain qui a tué Ilan Halimi et qui fait des ravages dans la jeunesse des banlieues, bien au-delà de ces sinistres branquignols du crime. Le cinéaste ayant évoqué la souffrance de « la Communauté », elle ajoute que cette affaire ne doit pas être seulement celle des Juifs. Je l’avoue, l’insistance de certains milieux juifs à imputer ce crime odieux à la seule passion antisémite à l’exclusion de toute autre affect mauvais et, dans la foulée, à faire de Ilan Halimi le « mort des Juifs », m’a souvent mise mal à l’aise. En tout cas, Polony a raison : l’antisémitisme n’est pas le problème des Juifs. Passablement tendu, Arcady croit déceler dans les propos de la chroniqueuse la tentation de justifier l’injustifiable. Il s’énerve un peu. Aymeric Caron, lui aussi, a entendu de travers, mais par chance, il a entendu ce qu’il voulait entendre. Je suis en partie d’accord avec Natacha, il ne faut pas se focaliser sur l’antisémitisme, embraye-t-il ravi, au grand dam de l’intéressée. Puis, consultant ses fiches soigneusement préparées, il déplore, chiffres à l’appui, que le film passe sous silence les actes islamophobes qui ont bien plus augmenté que les actes antisémites. On ne voit pas bien le rapport. Veut-il dire qu’on en fait un peu trop pour une affaire certes terrible mais isolée, quand l’islamophobie est une réalité quotidienne ? On n’ose le penser, mais Arcady en est convaincu. Le ton monte. Le cinéaste remarque fort justement qu’il n’y a plus un seul élève juif dans les écoles publiques de Seine Saint Denis. À quoi notre Jean Moulin d’opérette répond qu’il est contre tous les racismes. Tant d’audace laisse coi. Polony reprend la parole, évoque Les Territoires perdus de la République, rappelant qu’il a fallu des années pour qu’on accepte de regarder en face la réalité du « nouvel antisémitisme », en clair l’antisémitisme arabo-musulman, devenu une opinion, et une opinion courante, dans une proportion inconnue de la jeunesse des banlieues.
Arcady ne sait plus comment la discussion en arrive à Merah. Si on interrogeait Merah, déclare alors Caron, il dirait qu’il a tué des enfants juifs parce que l’armée israélienne tue des enfants palestiniens. Bien sûr, ça ne justifie rien, mais tout de même, c’est vrai que Tsahal tue des enfants. D’ailleurs, là encore, il a les chiffres. Sous le regard médusé des invités, il brandit ses notes, puisées dans le rapport d’une ONG. J’ai les chiffres ! Qu’est-ce que vous répondez à ça ? Arcady s’étrangle. Vous osez dire que l’armée israélienne tue des enfants !, hurle-t-il. Réponse un peu maladroite car la phrase de Caron est factuellement exacte, mais tout le monde a compris. En particulier Polony, qui demande à son partenaire s’il n’a pas perdu la tête. Tu viens à une émission sur Ilan Halimi avec des données sur les Palestiniens tués par l’armée israélienne, est-ce que tu te rends compte de ce que tu fais ?
Attention, tout cela ne fait nullement de Caron un antisémite – et là, il ne s’agit pas d’une antiphrase. Espérons que nul n’aura la sottise de proférer cette accusation mensongère qui lui permettrait de jouer les offensés avec les trémolos d’usage. Caron n’est pas antisémite, il est juste l’un des meilleurs représentants de ce qu’Orwell appelait l’esprit de gramophone. Il pense ce qu’on lui a dit qu’il fallait penser pour avoir le chic radical.
Ruquier, quant à lui, n’a rien vu venir. On ne saurait le lui reprocher, quand ça part en vrille, on n’y peut rien. Pour calmer le jeu, il passe la parole aux autres invités. À l’écran, on les verra rivaliser dans le bon sentiment et communier dans leur admiration pour 24 jours, un film qui devrait être obligatoire dans les écoles. Tous déclarent fermement être contre le racisme, l’antisémitisme et le nazisme, sans oublier l’homophobie qui tue, elle aussi. Tous le proclament solennellement, les heures les plus noires ne doivent pas revenir. Ouf, on peut enfin aller se coucher.
-- Caron a été tellement formaté qu'il est un format à lui tout seul. Le probléme c'est que son clonage créera les memes populistes que dans les années 40, sur d'eux memes, et donc dominateurs des esprits. Ce qui, par les médias qu'il larve, formate des centaines de milliers de téléspectateurs maléables en l'espace de dix minutes. Le nom moins populiste Naulleau traite caron de Nabilla: c'est qu'il décéle, meme lui, les défauts de sa gueule d'amour évangéliste primaire. Naulleau, Zemmour, Nabilla, Caron: surs d'eux tout autant, finallement.
"On n'est pas couché" : Un accrochage entre Aymeric Caron et Alexandre Arcady coupé au montage Invité ce midi des "Grandes Gueules" de RMC, Alexandre Arcady a confirmé la version de Causeur. "Accroché, le mot est un petit peu faible. Je vais dire que j'ai été tellement estomaqué - et je n'étais pas le seul puisqu'on s'est rendu compte (qu'il) apportait comme ça des espèces de vérités épouvantables. On pouvait comprendre que, parce que des soldats israéliens tuaient les enfants palestiniens... Imaginons déjà comment cette phrase peut être terriblement provocatrice" a expliqué le réalisateur, pointant du doigt l'intervention "préparée" d'Aymeric Caron et ses chiffres.
Puis, le discours a bel et bien dérivé sur l'affaire Mohammed Merah. "Je lui faisais remarquer quand même que le président de Palestine avait fait une déclaration très claire à destination des Français en leur disant 'Ecoutez, les affaires palestiniennes et israéliennes sont nos affaires et je vous demande de ne pas vous en occuper'. Parce qu'à la suite de cette tuerie à Toulouse, c'était insupportable. Et je lui ai fait remarquer qu'il n'avait pas beaucoup été repris dans les médias et que c'était quand même un appel au calme et de ne pas mêler les choses. Mais la chose la plus extravagante, c'est qu'on parle d'un crime antisémite en France, d'un jeune Français, et que ce monsieur vient avec des affirmations d'un antisionisme et d'un anti-Israël d'une façon tellement caricaturale" s'est offusqué Alexandre Arcady. "Ce sont des raccourcis absolument abjects" "Je pense que ce sont des raccourcis qui font mal et qui peuvent perturber beaucoup les esprits. (...) C'est de la désinformation parce que ce sont des raccourcis absolument abjects" a-t-il jugé sur RMC. Et le réalisateur a par ailleurs confirmé avoir été mis au courant de la suppression de la séquence. "La production est venue me voir à l'issue de l'enregistrement, avec le réalisateur, et ils m'ont dit qu'ils allaient couper la séquence, qu'elle était insupportable. Ils ne se sont pas auto-censurés, ils ont considéré avec justesse qu'il ne fallait pas lancer ce type d'anathème qui n'avait rien à faire dans ce débat" a-t-il confié, jugeant que "ça ne méritait pas d'être diffusé". Malgré cette décision, Alexandre Arcady "ne croit pas" que la production ait voulu protéger Aymeric Caron mais plutôt le public.
Il y a quelques mois un samedi soir chez Ruquier un humoriste autoproclamé faisait ses bons mots sur Hollande en pleine agitation conjugale "...il est allé tirer un coup en scooter... bon et alors, déjà Mohamed Merah était aller tirer un coup en scooter..." Hahaha! Applaudissements dans le public... On rigole du mot d'esprit...
C'était peu de temps après qu'un autre humoriste ait connu un certain succès avec sa chanson à succès "shoahnana"... On connaît la suite. Mais à la télé il n'y a pas que de blagues potaches d'un goût douteux. A la télé on pense aussi. A la télé il y a aussi du débat d'idées. On passe du grivois au concept en un instant. Ça fait partie du jeu. Bien sur il faut changer de style, parfois de chaîne. Cravate dénouée ou col de chemise déboutonné (avec veste et brushing tout de même) pour faire libéré mais de bon ton.
Natacha joue la conservatrice chic et Aymeric le progressiste à barbe de quinze jours, tandis que Laurent mène le jeu avec un talent à la fois enjoué et vif, juste ce qu'il faut pour être dans l'air du temps, moqueur et désabusé. On ne nous la fait plus, pas à nous! Samedi soir à la télé dans un talk show faut d'abord rigoler. De tout. C'est la raison pour laquelle Arcady a fait le rabat joie avec son film 24 jours qui raconte le kidnapping et l'assassinat de ce jeune juif en 2006, Ilan Halimi. Et brutalement on a moins rigolé.
Arcady a fait un film qui rapporte le meurtre barbare d'Ilan Halimi. Arcady rapporte, montre, donne à voir un abîme de bêtise, de violence, de gestes ignobles. Il montre une famille ravagée, une souffrance indicible. Il montre une police dépassée par les faits et une justice qui refuse de voir le réel. Quel est-il ce réel? La sous culture des "quartiers" ou plutôt la culture née du ressentiment, de la frustration, de la bouillie intellectuelle des "jeunes en difficulté", des blacks-blancs-beurs débiles, racistes, nourris de clichés. Quels clichés? Juif = fric, Juif = pouvoir, juif = puissance, Juif = Israël. On n'a pas idée de programmer des histoires aussi affreuses dans une émission de divertissement. Bon, tout le monde a dit c'est un bon film, faut aller le voir, c'est une œuvre utile, éducative et tout et tout. A la télé on est contre le racisme, même contre l'antisémitisme, ça va de soi. Oui mais... On n'a pas tout vu qu'il paraît. On a raté le meilleur. La télé a coupé Caron, l'intello de gauche. La prod a trouvé qu'il avait dit des choses too much. Et elle a bien fait. Alors qu'est ce qu'il a dit de pas bien Aymeric?
Le conversation a glissé sur Merah, les crimes de Toulouse commis "pour venger des enfants palestiniens". Ah ! Voilà, nous y sommes ! On avait manqué la Palestine ! Comment un progressiste qui se respecte pourrait-il ne pas évoquer la Palestine quand il est question des malheurs du monde même si en l'occurrence ce dont il est question c'est d'un crime antijuif commis en banlieue parisienne? Chiffres à l'appui, Caron dit que les soldats israéliens tuent des enfants palestiniens. En commentaire du meurtre d'Ilan Halimi ! Et toc ! Pan dans la gueule du sioniste Arcady. Il l'a pas volé le juif-pied-noir-sioniste qui a fait Pour Sacha ! (ça c'est moi qui le dit, pas Aymeric, mais c'est le suggéré qui est intéressant) Non mais ! Quand on est de gauche comme Aymeric on a ses préférences idéologiques, on a ses références historiques, on a les idées claires, on mélange pas tout !
Antisémite, Aymeric ? Non, non, surement pas, je parie même qu'il il a des amis juifs progressistes, forcément progressistes. Non, il est juste dans l'air du temps des gens qui pensent bien, ceux du progressisme prépensé, en parfait accord avec les catégories intellectuelles que produit la télé. Le monde est partagé en deux:
- les méchants (les réacs, la finance, l'impérialisme, le sionisme, Israël, Finkielkraut, Sarkozy, le racisme, l'antisémitisme etc. etc.)
- les gentils (les victimes, les juifs victimes de la shoah- surtout les Juifs victimes de la shoah, les palestiniens victimes des israéliens, Edgard Morin, Stephane Hessel etc. etc.).
On éprouve un infini sentiment de lassitude devant cette bêtise répétitive nourrie de bonne conscience et si sure de son fait. Samedi c'est Caron et vendredi c'est Taddéi. On met un juif face à un antijuif, un gaucho face à un facho, un islamiste et un laïc, c'est ça le débat Coco ! Et puis une obsession qui garantit l'audimat, un Israélien et un Palestinien ou bien Finkielkraut et Tariq Ramadan. Pour commenter Dieudo (le black rigolo) on appelle Nabe Marc-Edouard un autre poète maudit, écrivain bâillonné et antijuif oublié ! Tout est à l'avenant et c'est à Canal, l'arbitre des élégances télévisuelles qu'on a inventé le genre.
Le mélange primesautier: une jolie fille court vêtue, sexy, une laide rigolote, un mondain dandy, un pédant précieux, un genre cadre sup, un Arabe pas rasé, un grassouillet, un maigrichon ! Bon alors Hollande et Valérie, Julie et le Boeing disparu! Schumacher ? Mort, vivant, oublié ! Secouer le tout ! C'est ça l'info, comme le monde va ! Quel beau monde ! Quelles belles intelligences se profilent à l'horizon!
Ouvrez les yeux, fermez la télé !
Dernière édition par prinu le Mar 29 Avr 2014 - 21:11, édité 1 fois
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 20:32
Tibi Ram : survivant de la Shoah et combattant de toutes les guerres d’Israël
A voir ! Tibi symbolise à lui seul le passage de la Shoah à la naissance du pays d’Israël. En tant que survivant de la Shoah et combattant de toutes les guerres d’Israël, Zeev Tibi Ram comprend mieux que quiconque l’importance de l’État hébreu et de sa défense. Découvrez en images le témoignage d’un héros hors du commun.
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 20:38
Les Eglises canadiennes divisées sur la question d’Israël “Soixante-sept pour cent des Canadiens sont répertoriés comme Chrétiens, alors que 24% s’affirment sans religion. L’Islam est la troisième religion par ordre d’importance numérique, avec 3% de l’ensemble de la population, alors que le Judaïsme se situe à la septième place, à 1%. Environ 25% des Canadiens déclarent se rendre à l’église régulièrement.
“Les Catholiques romains représentent environ 40% des Chrétiens canadiens. L’ensemble des obédiences protestantes comptent pour 35% du total, où les principales églises représentent 18%. Le courant protestant le plus important est l’Eglise Unifiée du Canada (UCC), avec environ 9% des Canadiens chrétiens, suivi par les Anglicans, les Baptistes et les Luthériens. L’adhésion à ses églises dominantes, toutes affiliées au Conseil Mondial des Eglises, a baissé de façon régulière, au cours des dernières décennies. Les églises évangélistes représentent environ 10% des chrétiens canadiens.
Paul Merkley est Professeur émérite d’Histoire à l’Université Carleton d’Ottawa. Il est l’auteur de plusieurs livres sur Israël et le Sionisme chrétien. Il est aussi membre du Bureau de l’Ambassade Chrétienne Internationale de Jérusalem.
“Parmi les Protestants, la division au sujet de la politique à adopter, concernant Israël, semble suivre la ligne de faille entre les églises du « courant dominant » et les Evangélistes. Les églises du courant principal sont enclines à l’antisionisme, alors que les Evangélistes penchent pour le Sionisme. Les Sionistes chrétiens pensent que la fidélité envers les Ecritures enseigne de croire dans les passages prophétiques de la Bible hébraïque. Les églises du courant dominant et les églises évangéliques les plus établies – telles que celles des Méthodistes et des Baptistes – rejettent cette notion.
“Ces dernières années, l’UCC a adopté de nombreuses résolutions concernant “la Palestine occupée” et Israël. Le principal sujet abordé, au cours des récentes conventions, a concerné les moyens de faire écho à la campagne BDS. Il y a aussi eu des ateliers et un service de prières principalement consacré à provoquer « la défaite des occupants israéliens ».
“Au cours de l’été 2013, l’UCC a tenu sa propre convention nationale, alors que l’Eglise anglicane et l’Eglise luthérienne ont mené une convention nationale conjointe. Elles ont adopté des résolutions contre Israël, similaires à celles qui n’avaient pas été votées, auparavant. Les résolutions anglicanes/luthériennes appellent à l’enseignement dans les églises de "l’impact des implantations illégales sur la vie des Palestiniens et des Israéliens… sur les produits importés identifiés comme fabriqués dans ou en lien avec les implantations illégales, etc. ». Elles appellent aussi les églises à explorer et contrer les théories qui nient le droit d’Israël à l’existence. Elles semblent ignorer que cette négation est la position officielle de tous les groupes politiques palestiniens, dont le Hamas et le Fatah.
“Ces résolutions anglicanes/luthériennes négligent les questions de la souffrance des Israéliens sous les attaques de roquettes palestiniennes, de la glorification fréquente des attentats terroristes par l’Autorité Palestinienne (AP), de la consécration de clubs et terrains de sports ou d’autres installations aux noms de terroristes-suicide et de l’incitation des enfants en âge scolaire à devenir des martyrs. Ces résolutions semblent accepter le narratif falsifié « d’un peuple palestinien originel ». Elles ne mentionnent pas la négation de l’AP de l’histoire plurimillénaire du peuple juif sur la terre d’Israël.
“Le Conseil Canadien des Eglises est le principal organisme qui fait le lien entre les églises. Il comprend les églises appartenant au Conseil Mondial autant que les organismes catholiques romains et orthodoxes. Depuis 1947, il a bombardé le gouvernement de toute une panoplie de conseils sur des sujets politiques actuels, intérieurs et extérieurs. Les fidèles de base dans les églises ont très peu conscience des positions publiques prises par leurs dirigeants.
“Les laïcs catholiques romains et la majorité du clergé – dont le point de gravité de la congrégation se situe dans la province du Québec – sont probablement mieux disposés à l’égard d’Israël que leurs dirigeants qui dépendent, autant du Vatican que du courant majoritaire des Protestants. Pourtant, les catholiques romains ne sont pas transportés, comme les Chrétiens sionistes, par la notion disant qu’Israël jouit d’une faveur particulière au regard de D. La Bible ne tient pas une place centrale dans leurs traditions, bien qu’il y ait de bonnes raisons de croire que c’est en train de changer. Ils manifestent aussi un intérêt moindre, pour les livres religieux actuels et les télévisions chrétiennes.
“Depuis de nombreuses années, Kairos s’est avérée une organisation interconfessionnelle chrétienne très efficace au Canada, en faisant la promotion de sujets sociopolitiques. Ses positions se situent du côté de la gauche internationaliste. Ses dirigeants proviennent fréquemment d’églises historiquement pacifiques, telles que les Mennonites et les Quakers. Kairos soutient la Semaine contre l’Apartheid et décrit le Sionisme comme une « idéologie impérialiste, colonialiste et militariste ». Il a aussi adopté inconditionnellement le narratif palestinien sur la Nakba. En 2009, le gouvernement canadien a annoncé le retrait progressif de tous les financements publics attribués à Kairos, qui a, depuis lors, été entièrement réalisé.
“Les affaires de l’église attirent peu l’attention des médias au Canada. Font exception, les histoires anciennes d’abus sexuel dans les écoles et les articles occasionnels sur le mauvais usage actuel des fonds paroissiaux par certains membres du clergé. Les congrégations protestantes font des efforts importants pour attirer l’attention sur les résolutions adoptées par leurs conventions. Le thème de BDS obtient quelques titres dans les pages intérieures des journaux, mais ne suscite pas d’éditoriaux.
“Lorsque j’ai cherché sur Internet des références, dans des médias papier, sur des déclarations anti-israéliennes récentes de l’UCC, je n’ai trouvé qu’une observation sur un journal local d’avril 2014. Barry Kay, un Professeur de Sciences politiques de l’Université Wilfrid Laurier de Waterloo, dans l’Ontario, y fait une remarque passagère : « Des Institutions telles que l’Eglise Unifiée du Canada, qui, de toutes les violations dans le monde, n’ont qu’Israël en ligne de mire, dans leurs appels au boycott, et qui, plus loin, ont déclaré que les Palestiniens ne devraient pas reconnaître l’Etat Juif, constituent, en elles-mêmes, un véritable obstacle sur le chemin qui mène à la paix dans la région. Dans leur quête moralisatrice, elles ne servent qu’à perpétuer une attitude parfaitement futile ».
Le Dr. Manfred Gerstenfeld est membre du Conseil d’Administration du Centre des Affaires Publiques de Jérusalem, qu’il a présidé pendant 12 ans. Il a publié plus de 20 ouvrages. Plusieurs d’entre eux traitent d’anti-israélisme et d’antisémitisme.
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 20:49
L’Autorité Palestinienne emprisonne 4 membres du B.D.S.
Boycott et collaboration … à la française : l’Autorité palestinienne accusée de “rompre l’isolement d’Israël” par la campagne BDS en France
4 militants palestiniens ont été arrêtés par l’Autorité Palestinienne et passeront en procès à Ramallah le 28 mai prochain pour “activités non violentes dans le cadre de campagne Boycott, Désinvestissement, Sanctions (BDS) contre Israël“
Le site EUROPalestine nous apprend que « l’Autorité Palestinienne » (AP) de Mahmoud Abbas a arrêté le 12 avril dernier 4 Palestiniens, qui ont protesté au cinéma Kasbah à Ramallah pendant un concert du groupe indien Kathak, qui s’était d’abord produit à Tel Aviv.
Ce groupe, dont le nom rend hommage aux danses indiennes symbolisant la lutte des femmes pour leur émancipation, a donc choisi de venir sur place délivrer un message d’espoir et de paix, par son expression artistique reconnue à travers le monde.
Selon EUROPalestine, une vidéo locale montre que “les militants BDS sont restés parfaitement pacifiques, contrairement aux policiers de l’AP” (sic) qui auraient “sorti les 4 militants de la salle dès qu’ils ont commencé à prendre la parole“, puis les aurait “battus et emprisonnés pendant plusieurs jours avant de les relâcher sous caution“, a fait savoir Omar Barghouti l’un des initiateurs palestiniens de la campagne BDS.
Mahmoud Abbas, s’était prononcé récemment contre le boycott d’israël
Pourtant EUROPalestine dresse un véritable réquisitoire contre le dirigeant de l’Autorité palestinienne, qui selon ces activistes virulents :
- ne réclame pas la moindre sanction contre l’occupant israélien,
- ne profite pas du siège d’observateur obtenu par la Palestine à l’ONU pour porter plainte contre les crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis par Israël”
- est contre la résistance armée et
- est contre la résistance non violente à l’occupation
- est contre toute forme de mobilisation populaire.
EUROPalestine ajoute : “on voit avec quel succès il a fait progresser la situation en Palestine au cours de ses « négociations » avec ceux qui étranglent un peu plus chaque jour le peuple palestinien !”
Enfin, EUROPalestine affirme que c’est “à la demande d’Israël, face au développement mondial de cette campagne de boycott citoyenne, que l’Autorité palestinienne cherche à briser le mouvement lancé par la société civile palestinienne en juillet 2005, étant donné son succès croissant“.
Ainsi donc EUROPalestine appelle des activistes antisionistes et antirépublicains à exprimer leur honte et à affirmer elur soutien à “ces militants palestiniens qui vont être traduits en justice par les collaborateurs de l’occupant israélien, qui cherche désespérément à redorer leur image de criminels de guerre par le biais de la « culture », de « l’écologie » et autres « valeurs communes »… dont acte.
Qui sont ces collaborateurs ? Les policiers de l’Autorité palestinienne, bien sûr !
EUROPalestine appelle ses inconditionnels soutiens français … à exiger du représentant de l’AP en France, d’intervenir pour faire annuler ce “procès ignoble et transmettre leur indignation à Mahmoud Abbas“
Il semble que ces activistes -jugés à maintes reprises en France pour l’illégalité de leurs appels au boycott et leur dsicrimination systématique à l’égard de l’Etat d’Israël et de sa population- aient quelques difficultés à reconnaître la souveraineté des dirigeants palestiniens sur leur prore population !
boulo
Messages : 21137 Inscription : 25/12/2011
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 21:24
boulo a écrit:
prinu a écrit:
...
et, boulo, vous n'arriverez pas à faire censurer la vérité qui défend la VRAI paix, meme si vous avez la haine de la vérité ...
....
Qu'est-ce qui vous permet de proférer cette accusation stupide et injuste , Prinu ?
Le fait que vous soyez un parfait robot-perroquet , incapable de penser et de vous exprimer correctement par vous-même ?
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 21:30
boulo a écrit:
prinu a écrit:
...
et, boulo, vous n'arriverez pas à faire censurer la vérité qui défend la VRAI paix, meme si vous avez la haine de la vérité ...
....
Qu'est-ce qui vous permet de proférer cette accusation stupide et injuste , Prinu ?
Le fait que vous soyez un parfait robot-perroquet , incapable de penser et de vous exprimer correctement par vous-même ?
vous démontrez sans cesse que dire des vérites, ca vous dérange.
il se trouve que personne, ni moi, ne peux inventer les faits que je présente, et voilà ce qui est pour vous etre un perroquet.
vous meme et r, ragna .. , etc. n'ont pour reflexion que .. donner des articles de haine écrits par autrui. mais j'avoue: vous avez plus de reflexion que les autres affreux.
Invité Invité
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 21:33
Prinu, ça commence à devenir lassant, vos posts sont trop longs.
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 21:41
quelle est une bonne longueur , pour vous ? ce sont des résumés. souvent, dans un article de fond, je retire une grosse partie.
mais je peux tenter de résumer plus encore, quand c'est un peu long. pas de problémes. et avec le lien, on peux voir le texte entier si on le souhaite.
Dernière édition par prinu le Mar 29 Avr 2014 - 21:59, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 21:46
prinu a écrit:
quelle est une bonne longueur , pour vous ? ce sont des résumés. souvent, dans un article de fond, je retire une grosse partie.
mais je peux tenter de résumer plus encore, quand c'est un peu long. pas de problémes. .
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 22:06
http://coolisrael.fr/16251/un-animateur-dal-jazeera-vante-lhumanite-disrael?pk_campaign=Most%20Shared%20Posts&pk_kwd=most%20shared%20posts source cool israel: Le présentateur vedette d’Al Jazeera, Faisal Al-Qassem, demande à ses invités et aux téléspectateurs pourquoi l’armée syrienne ne prend pas exemple sur l’armée israélienne.
Dans la vidéo en arabe d’Al Jazeera traduite et publié sur Youtube, un présentateur de la télévision demande à ses invités et aux téléspectateurs pourquoi le gouvernement syrien et l’armée ne sont pas plus humains à l’égard des civils, comme le sont les armées israéliennes ou françaises.
“Pourquoi ne pas apprendre de l’armée israélienne qui tente, avec de grands efforts, d’éviter de bombarder les zones habitées par des civils au Liban et en Palestine ? Le Hezbollah se réfugie intentionnellement dans les zones peuplées par des civils parce qu’il sait que les forces aériennes israéliennes ne bombardent pas ces zones. Pourquoi l’armée syrienne ne respecte pas les bâtiments des universités, des écoles ou des quartiers habités ? Pourquoi bombarde t’il même les zones de ses partisans? »
Al-Qassem: « Quand l’armée israélienne veut briser une manifestation, elle utilise des canons à eau ou des balles en caoutchouc, pas des fusées ou des barils d’explosifs comme cela arrive à Alep aujourd’hui ». ...
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 22:17
Je connais cet article, je l'ai déja lu, y compris cette fiches pdf et j'ai aussi déja lu un article disant que cet article dénigrerait la réalité, et attaque surtout des "frankistes".
Cet article aurait de mauvaises bases, car des positions et de la déclaration de Napoléon, entre autre, la presse francais en a fait écho et que des politiques antisémites francais s'en sont indigné. Napoléon a été attaqué trés férocement, dans la presse francaise de l'époque, pour ces déclarations défendant le droit des juifs. Celà a fait scandale.
Dernière édition par prinu le Mar 29 Avr 2014 - 23:00, édité 1 fois
r.
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Sujet: ISRAËL : MENACES DE MORT CONTRE UN ÉVÊQUE, UNE ÉGLISE ET UNE MOSQUÉE VANDALISÉES Mar 29 Avr 2014 - 22:45
ISRAËL : MENACES DE MORT CONTRE UN ÉVÊQUE, UNE ÉGLISE ET UNE MOSQUÉE VANDALISÉES
29 AVRIL 2014 ROMANDIE.COM
Citation :
Jérusalem - La police israélienne a annoncé mardi l'arrestation d'un suspect ayant menacé de mort l'évêque de Nazareth et ses fidèles, et a rapporté des actes de vandalisme contre une église et une mosquée dans le nord du pays.
Un suspect est allé (dimanche) au domicile de (l'évêque catholique romain de Nazareth, Giacinto-Boulos Marcuzzo) et lui a remis une lettre de menaces, a expliqué le porte-parole de la police Michy Rosenfeld, affirmant que l'homme avait été arrêté mardi dans la ville voisine de Safed (nord).
La lettre exige que tous les chrétiens à l'exception des protestants et des anglicans quittent Israël avant le 5 mai et menace de tuer l'évêque et l'ensemble de sa communauté s'ils n'obtempèrent pas.
La missive, signée du Messie, fils de David, cite des sources juives présentant la chrétienté comme une forme d'idolâtrie.
Le suspect, un juif d'une quarantaine d'années, a affirmé que son message devait être distribué, par voie de presse, avant 17H00 GMT mardi et ajouté que chaque heure de retard coûterait la vie à 100 âmes chrétiennes.
Toujours dans le nord d'Israël, la police enquêtait mardi sur des actes de vandalisme contre l'église de Tabgha, sur le site où Jésus a multiplié les pains selon la tradition chrétienne.
Des adolescents juifs ont arraché des croix et ont agressé une religieuse bénédictine, ont précisé des responsables catholiques locaux.
En outre, un graffiti anti-musulman a été inscrit sur les murs d'une mosquée à Fureidis, dans le nord d'Israël, toujours selon la police.
Des inconnus ont tracé une étoile de David et inscrit sur un mur extérieur du bâtiment +fermez les mosquées et ouvrez des yéchivot+, des séminaires d'études juives, a précisé M. Rosenfeld.
Des pneus de plusieurs voitures garées à proximité ont également été crevés, a-t-il ajouté, évoquant des actes criminels commis pour des motifs nationalistes et les qualifiant d'extrêmement graves.
La ministre de Justice, Tzipi Livni, a également dénoncé ces incidents: Ceux qui ont fait ça ne peuvent pas appartenir à mon peuple, a-t-elle écrit sur Facebook.
S'exprimant au nom de l'assemblée des évêques de l'Eglise catholique en Terre sainte, Wadie Abou Nassar, a qualifié ces attaques de très dangereuses et a critiqué le manque de détermination des autorités face à ceux qui incitent à ces violences, particulièrement les rabbins radicaux et les prédicateurs.
Le 18 avril, un graffiti anti-arabe avait été retrouvé sur les murs d'une autre mosquée à Oum al-Faham (nord).
Des colons extrémistes ainsi que des activistes d'extrême-droite se livrent, sous l'appellation du Prix à payer, à des agressions visant des villageois palestiniens ou arabes israéliens, des lieux de culte musulmans et chrétiens, des militants pacifistes israéliens, voire l'armée, en réaction à des décisions gouvernementales qu'ils jugent hostiles à leurs intérêts ou à des actes attribués à des Palestiniens.
Témoignage - Des actes de violence et de vandalisme anti-chrétien. Ces actes ont eu lieu dimanche 27 avril en Galilée, alors que l’Église universelle célébrait les canonisations des Papes Jean-Paul II et Jean XXIII. Et cela à un mois de la visite du Pape François en Terre Sainte.
Une situation inquiétante qui a été rapportée et dénoncée par les Ordinaires Catholiques de Terre Sainte. Le lieu saint de Tabgha, au bord du lac de Tibériade, géré par les Pères Bénédictins a été profané. Un groupe d'une douzaine de jeunes, entre 13 et 15 ans, habillés en « juifs religieux orthodoxes » et venant de la « source de Job », ont jeté avec violence des cailloux contre la grande croix située à côté de l'autel et contre la croix d'autel.
Atteintes aux signes religieux et aux fidèles
L’église orthodoxe d’Al-Bassah située au Nord-Ouest d’Israël a elle été profanée pendant un baptème. Et ce même dimanche, Mgr Marcuzzo, vicaire patriarcal en Galilée a reçu une lettre de menace, signée de la main d’un rabbin de la région. Pour lui, ces actes sont non seulement des atteintes aux signes religieux mais surtout aux fidèles. Il est interrogé par Audrey Radondy :
Mgr Marcuzzo s'est rendu sur les lieux lundi. Il a exprimé aux Communautés bénédictines locales victimes de ces violences, la solidarité du Patriarche et de l’Assemblée des Ordinaires, ainsi que la volonté de suivre de près l’affaire avec les autorités. Ce mardi après-midi, la police israélienne a annoncé l'arrestation d'un suspect qui avait menacé de mort Mgr Macuzzo, dans la ville voisine de Safed. (avec Patriarcat latin de Jérusalem)
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 23:05
Ce pauvre fou a été arrété par la police israélienne.
Votre article ne dit pas, aussi, que des arabes sont arrétés, plusieurs fois, en flagrant délit de graffitis écrits en hébreux, sur des églises. la gueguerre des graffitis .. pour creer de la haine. comme on voit des graffitis aussi bien en francais qu'en arabe, sur des églises en France.
La police israélienne a bien raison de les faire arreter.
Merci d'avoir souligné que la police israélienne défend le droit de tous.
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 23:17
jss news Ces dirigeants du Proche-Orient qui nient la shoah
Le chef de l’Autorite Palestinienne s’est repris et est revenu sur ses positions sur la shoah, mais de nombreux autres dirigeants n’ont pas fait cela. Khaled Meshaal a minimise le nombre de personnes assassinees et Nasrallah a emis des doutes sur les evenements.
Ce soir de yom hashoah, le chef de l’AP, Abu Mazen, devrait declarer que ‘la shoah est un crime abominable qui a ete realise contre l’humanite a l’epoque moderne’. Malgre cela, contrairement a Abu Mazen qui est revenu sur ses positions sur le sujet de la shoah apres une longue histoire de negation, de nombreux autres dirigeants de la region ont exprime plus d’une fois leur negation de ce crime. Entre autre, il y a les nouveaux partenaires du chef de l’AP dont le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Meshaal, qui a declare par le passe qu’Israel exagerait la description de la shoah afin de la transformer en une telle tragedie.
A part les palestiniens, il y a aussi le president syrien, Bachar Assad, qui ne fait pas que nier le meurtre de son propre peuple qu’il perpetue dans son pays, mais il nie aussi le meurtre du peuple juif. Lors d’une interview accordee en 2006 a une chaine de television americaine, il a minimise le nombre de personnes assassinees pendant la shoah et a compare les victimes juives aux palestiniens.
L’allie d’Assad, le dirigeant du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a emis des doutes sur les evenements de la shoah. Lors d’un discours prononce il y a quatre ans dans le sud du Liban a l’occasion de l’inauguration du musee de « la victoire de la resistance contre Israel » Nasrallah a declare : « il faut aussi enseigner et transmettre l’heritage de ces evenements comme Israel le fait avec la shoah, que cela se soit réellement passe ou pas ».
Un autre des negationnistes de la shoah les plus importants du Proche-Orient est l’ancien president iranien, Mahmoud Ahmadinejad, qui a pretendu a plusieurs reprises qu’il n’acceptait pas l’idee que les nazis aient brule des millions de juifs et les aient emprisonnes dans des camps de concentration. Quand il a conclu ses huit ans de pouvoir, il a defini la negation de la shoah comme etant une de ses reussites. « La shoah etait un tabou dont personne en occident ne voulait entendre parler », a-t-il declare.
Ahmadinejad a disparu de la scene, mais le chef spirituel de l’Iran, l’ayatollah Ali Khamenei, continue de nier la shoah. Lors des fetes du nouvel an perse, qui ont eu lieu il y a environ un mois, il a declare que la veracite historique de la shoah n’est pas connue, et il a emis des doutes sur les evenements qui ont eu lieu.
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 23:24
FIGAROVOX/CHRONIQUE- Pour Gilles-William Goldnadel, la suspension du processus de paix par Israël suite à l'accord Hamas-OLP est pleinement justifiée. Il rappelle le discours extrême du parti islamiste et le double discours du Président de l'Autorité palestinienne.
Ces lignes s'adressent à ceux des Français sur lesquels un bombardement médiatique intensif et permanent n'a pas aboli le sens critique concernant la question israélo-palestinienne.
À ceux qui n'ont pas épousé définitivement le dogme indiscutable qui voudrait que seules les implantations juives édifiées en Judée soient l'obstacle à la paix entre les deux peuples.
À ceux là, il est encore temps de rappeler quelques faits indiscutables de nature à faire douter du dogme.
Le premier est que le refus septuagénaire de la partie arabe de reconnaître Israël comme l'État du peuple juif, conformément à la décision des Nations unies de partager la Palestine mandataire en deux états expressément Juif et Arabe, est de nature à rendre méfiant tout Israélien. Y compris celui qui serait prêt à des sacrifices territoriaux cruels et risqués.
Le second est de rappeler qui est ce Hamas, avec lequel M. Mahmoud Abbas a décidé de convoler alors même que l'entremetteur américain ne s'était pas résigné à l'échec des difficiles négociations entre Jérusalem et Ramallah.
Le Hamas n'est pas seulement un mouvement politique et militaire islamiste affilié aux frères musulmans et considéré comme terroriste par l'Europe et les États-Unis.
Il faut parcourir sa charte pour comprendre que ceux qui prétendent qu'il reconnaîtra un jour Israël s'illusionnent ou désinforment: article 11: «Le Mouvement de la Résistance Islamique croit que la Palestine est un Waqf islamique consacré aux générations de musulmans jusqu'au jugement dernier. Pas une seule parcelle ne peut en être dilapidée ou abandonnée à d'autres. Aucun pays arabe, président arabe, roi arabe, ni tous les rois et présidents arabes réunis, ni une organisation même palestinienne n'a le droit de le faire. La Palestine est un Waqf musulman consacré aux générations de musulmans jusqu'au jour du jugement dernier. (…) Tel est le statut de la terre de Palestine dans la charia, il en va de même pour toutes les terres conquises par l'islam et devenues terres Waqf dès leur conquête, pour être consacrées à toutes les générations de musulmans jusqu'au jour du jugement dernier.»
Pour faire bonne mesure, le Hamas est également violemment antisémite: ainsi, l' article 7 de la même charte se termine par la formule coranique: «le jour du jugement dernier ne viendra pas avant que les musulmans ne combattent les juifs, quand les juifs se cacheront derrière les rochers et les arbres, les rochers et les arbres diront, O musulmans, O Abdallah, il y un juif derrière moi, vient le tuer…»
Les articles 12 et 13 du même document éclairent celui qui veut être éclairé sur une organisation qui prône ouvertement le djihad et dont le nationalisme est purement d'essence religieuse et non politique: «rien dans le nationalisme n'est plus significatif et plus profond que dans le cas d'un ennemi qui pose les pieds sur une terre musulmane. Résister et réprimer l'ennemi devient le devoir individuel de tout musulman, mâle ou femelle. Une femme peut aller combattre l'ennemi sans la permission de son époux, de même que l'esclave sans la permission de son maître.… (Article 12)… Violer n'importe quelle partie de la Palestine est une atteinte à la religion. Le nationalisme du mouvement de la résistance islamique fait partie de la religion. (Article 13)»
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 23:27
Dès lors, il est permis de se demander la raison ou la déraison qui a ordonné au président de l'autorité palestinienne de se lier à nouveau avec un mouvement irrédentiste et fanatique, s'il est réellement intéressé à l'édification d'un État arabe sur une partie de la Palestine et non à la destruction, fût-elle programmée par étapes, de l'État honni et par le Hamas et par son Fatah.
Cette décision de Mahmoud Abbas permet de s'interroger sur la réalité de la modération qui lui a été prêtée sans barguigner par la presse occidentale. Son adversaire israélien Benjamin Netanyahou, qui a pourtant reconnu le fait national et étatique palestinien dans un discours de Bar Ilan prenant à contre-pied la politique de son parti, le Likoud, n'a pas été honoré de la même épithète.
Il est vrai que la presse occidentale à l'habitude d'être plus sévère envers les siens , dans le cadre d'une dilection pour l'altérité dont l'esprit d'équité et de responsabilité ne m'a jamais frappé.
À ce degré de transgression du discours convenu, j'imputerai en outre à M. Abbas, un langage double. Celui-ci a en effet, le jour où l'ennemi israélien célébrait le Yom ha Shoah , déclaré à destination de la presse occidentale que: «l'holocauste était le crime le plus odieux de l'ère moderne». Cette déclaration intervenait au lendemain d'un long discours prononcé par le président palestinien dans lequel il tentait de rassurer ses interlocuteurs au sujet de la réconciliation avec le Hamas.
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Pour moi, la déclaration de propagande de Abbas ca a autant d'importance que "Paris vaux bien une messe". Ca send les éléctions . pour les gogos occidentaux.
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La vérité, souvent plus ingrate, m'oblige cependant à indiquer qu'en janvier 2013 dans une interview à la chaîne libanaise Al -Meyadeen, le même président indiquait que sionisme et nazisme avaient été les principaux complices de la seconde guerre mondiale.
Il ne s'agissait pas, hélas, d'une déclaration isolée, car M. Abbas est l'auteur d'une thèse intitulée: «la connexion entre les nazis et les leaders sionistes de 1933 à 1945» rédigée en 1982 lorsqu'il était l'hôte de l'Institut des Sciences Orientales de l'Académie des Sciences de l'Union soviétique
Le «Jérusalem Post» du 27 avril 2014 indique en outre qu'en 1984 Abbas a publié en arabe un livre dérivé de sa thèse et intitulé: «La relation secrète entre le nazisme et le sionisme» .
Y sont développées les théories habituelles en matière de négationnisme, le futur président indiquant que «seulement» 890 000 juifs avaient été tués par les nazis, dans le cadre d'un complot entre ceux-ci et les sionistes.
Je livre toutes ces précisions moins pour dénoncer la duplicité d'un discours politique, que pour souligner le silence obséquieux des médias européens, moins discrets, me semble-t-il lorsqu'il s'agit des indéniables contradictions et mensonges des responsables israéliens.
À ce stade, une autre question mérite d'être posée , qui concerne la vision européenne du conflit, et en l'espèce, la mollesse de la réaction politique et médiatique à l'égard du mariage inter-palestinien, des lors que l'un des conjoints a été mis au ban des organisations fréquentables.
Après tout, l'Europe politique et ses médias sont d'avantage sourcilleux , moins économes de comparaisons historiques hardies ou de prophéties apocalyptiques, lorsqu'il s'agit de juger de la fréquentation de partis démocratiques avec certains partis populistes occidentaux autrement plus inoffensifs.
Un esprit chagrin pourrait considérer que cette mollesse métaphysique envers la radicalité islamique explique notamment l'état de déréliction identitaire dans lequel se trouve notre vieux continent.
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 29 Avr 2014 - 23:29
Je voudrais bien savoir si la phrase de Abbas a été rendue publique dans la presse iranienne, palestinienne ou Syrienne ! Et les réactions. (généralement que des crachats)
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 30 Avr 2014 - 0:22
Le double langage des «musulmans de France» sur le djihad en Syrie
FIGAROVOX/EXCLUSIF - Haoues Seniguer pointe du doigt les ambiguïtés de certains représentants de l'islam de France concernant le djihad en Syrie. Des collaborateurs de l'UOIF auraient signé un appel à une implication militaire de la part des musulmans du monde aux côtés des djihadistes.
Haoues Seniguer est chercheur au Groupe de recherches et d'études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient (Gremmo) et enseignant à l'IEP de Lyon.
Amar Lasfar, président de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), est quelque peu sorti de sa réserve à l'occasion du Congrès annuel du Bourget (18-21 avril 2014) en appelant les jeunes musulmans à ne pas rejoindre le front syrien et à fréquenter l'école pour s'éduquer. À ma connaissance, c'était l'une de toutes premières fois que l'un des représentants de l'UOIF s'exprimait aussi clairement à ce sujet. Quant à la Grande Mosquée de Paris (GMP) et le Conseil français du culte musulman (CFCM), je n'ai pas lu ou entendu de déclaration forte dans le sens d'une condamnation du djihad en Syrie et/ou d'une mise en garde explicite et audible aux musulmans de notre pays en vue de dissuader une partie d'entre eux de la tentation d'aller sur place. Plus généralement, les représentants réels ou supposés de l'islam de France sont extrêmement gênés par rapport à la question que vous posez et, plus globalement, sur le dossier syrien. J'avais d'ailleurs moi-même attiré l'attention du public en juillet 2013, sans réponse ou réaction significative de quiconque. Ces responsables font face à un dilemme: S'ils s'expriment, ils craignent, par eux-mêmes, de faire l'amalgame entre «islam», «islam de France» et «djihadisme», en plus de donner l'impression d'amalgamer leur public traditionnel et les candidats au djihad en Syrie. S'ils se taisent, alors ils courent le risque, le cas échéant, de verser dans un silence qui peut apparaître, en effet, comme complice. L'exercice et l'équilibre sont par conséquent extrêmement délicats. Enfin, il y a de fortes affinités idéologiques entre les membres de l'opposition syrienne, composée d'une bonne part de Frères musulmans, et ceux de l'UOIF.
Il y a des ambiguïtés, ambivalences, voire des contradictions, de la part de certaines instances de l'islam de France et de leurs principaux responsables. Prenons un exemple très concret: le 7 février 2012, 107 personnalités musulmanes, oulémas et intellectuels islamistes notamment, ont édité une déclaration en arabe, une prise de position pourrions-nous ajouter, à propos du conflit syrien. Or il se trouve que parmi les rédacteurs et signataires de cette déclaration, il y a de très proches collaborateurs de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), à l'instar de Youssef al-Qaradawi, président de l'Union mondiale des oulémas musulmans, de Issam al-Bachir (ancien ministre des Affaires religieuses au Soudan et régulièrement invité au Congrès annuel du Bourget, en tant que membre du Conseil européen de la fatwa et de la recherche qui est une espèce de prolongement institutionnel de l'UOIF à l'échelle européenne), ou bien encore Rachid al-Ghannouchi, leader du mouvement islamiste tunisien Ennahda et également membre du Conseil européen de la fatwa et de la recherche. Si l'on prête attention au contenu de ladite déclaration, certaines formulations n'excluent absolument pas un appel au moins tacite à une implication militaire de la part des musulmans du monde aux côtés de ceux qui sont appelés «les révolutionnaires».
.. Double langage? Contradiction? Clivages internes? Ces interrogations méritent d'être posées.
" je ne m'explique pas, à titre personnel, pourquoi tendre systématiquement le micro à Tariq Ramadan qui est suisse et passe aujourd'hui l'essentiel de son temps à Doha au Qatar. Il est au demeurant de plus en plus en déphasage avec les réalités sociales et religieuses de notre pays."
Haoues Seniguer
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 30 Avr 2014 - 1:01
ca n'a pas raté, Ramadan, cet islamiste radical a encoré été invité a toute une soirée de télévision ou il a bilé tout son fiel, avec tout les invités tout sourire opinant du chef. .
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 30 Avr 2014 - 4:38
http://www.m-r.fr/balistique.pdf Lien pour telecharger le rapport technique et balistique réalisé sur de mande de Mr Karsenty pour l'affaire al durah (Karsenty/ENderlin documentaire france 2). comme quoi je sais faire des articles courts, lisez le. (format PDF)
Dragna Din
Messages : 5180 Inscription : 16/04/2013
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 30 Avr 2014 - 9:05
La tsahalo-mossadiste prinu (collectif propagandiste du service 17) continue à déverser ses copies d'articles... On dirait une mauvaise diarrhée.
Pourquoi prinu est un collectif ? Les heures des interventions (très tôt le matin - 4h - et très tard le soir - 1h) ce qui laisserait deviner qu'elle/il ne dort que 2 heures par nuit ; le ton des messages qui parfois est très correct au niveau du français, et parfois ressort plus de la manière qu'aurait un israélien / anglophone ayant appris la langue française de s'exprimer (utilisation de mauvais termes, orthographe déplorable, utilisation de mots incongrus etc.) ; le nombre d'interventions (car soldat prinu est sur d'autres sites, copiant-collant les mêmes info sous d'autres noms, parfois masculins, parfois féminins).
Mais bon, il attend son avancement... Ca viendra prinu, reste encore quelques bédouins à déposséder de leurs terres...
boulo
Messages : 21137 Inscription : 25/12/2011
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 30 Avr 2014 - 9:39
prinu a écrit:
boulo a écrit:
prinu a écrit:
...
et, boulo, vous n'arriverez pas à faire censurer la vérité qui défend la VRAI paix, meme si vous avez la haine de la vérité ...
....
Qu'est-ce qui vous permet de proférer cette accusation stupide et injuste , Prinu ?
Le fait que vous soyez un parfait robot-perroquet , incapable de penser et de vous exprimer correctement par vous-même ?
vous démontrez sans cesse que dire des vérites, ca vous dérange.
...
Quand cela , précisément ?
Ce que je refuse , ce sont les commentaires haineux , méprisants et mal écrits que le plus ignare de votre équipe croit devoir ajouter aux textes informatifs .
Il serait d'ailleurs déontologique que TOUS les membres de l'équipe Prinu se présentent et aient chacun leur propre pseudonyme .
J'ai jadis refusé de continuer le dialogue avec des témoins de Jehovah parce que mes interlocuteurs n'étaient plus devenus que des paravents et que les réponses venaient , après un temps de réflexion , d'un comité secret qu'il m'était interdit d'identifier .
Il n'y a pas de raison que j'accepte des sionistes ce que j'ai refusé des témoins de Jehovah .
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Jeu 1 Mai 2014 - 1:14
et bien quand j'ai dit que je voulait parler du clash de l'emmission tv, vous m'avez défendu en noir sur plance, de diffuser des informations à ce sujet. il est évident, que n'importe quel sujet du monde, ne s'invente pa, et doit montrer des sources déja établies par autrui, sinon il est accusé d'inventer. vous avez dit trés clairement refusre que j'en parle, en présupposant que celà serait "de la haine". or c'est l'inverse: mes informations dénoncent la haine.
vous pouvez parfaitement ne pas vouloir les lire, mais les interdire, c'est de la censure antidémocratique, et dans ce cas, faire taire des vérités, parecque vous ne voulez pas qu'on les diffuse. ca n'a pas d'autres but que censurer autrui..
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Jeu 1 Mai 2014 - 1:18
dragna, je ne suis pas un tsahalo mossadiste, parceque je ne suis ni d etsahal , ni du mossad, tandis qu'accuser quelqu'un de tsahalo mossadique, est en fait, une facon déguisée de faire une accusation antijuive détournée, c'est à dire que pour vous, c'est une injure.
je ne voit pas en quoi tsahal est une armée négative, je trouve que cette armée défend la vie et un état démocratique, et mérite autant de respect que l'armée francaise, tout deux défendant un état et des principes moraux démocratiques. idem pour l'armée américaine, italienne, espagnole, anglaise .. toutes les armées que je viens de citer ont des codes moraux certains, parmis les moins nuisibles du monde, et des plus utiles, et sont toutes nécessaires pour défendre l'occident. etre dans tsahal, est donc un honneur ! défendre la vie, des principes.; et c'est pour l'israélien l'honneur de défendre sa patrie trois fois millénaires, etre un soldat d'Israel.
le slogan "tsahalo mossadiste", appliqué en tant qu'injure, devient , en réalité, une attaque antisémite, assez évidente; ce n'est plus de la politique. j'accuserai d'antisémitisme quiconque l'utilise, et ses dérivés.
Dernière édition par prinu le Jeu 1 Mai 2014 - 16:37, édité 1 fois
prinu
Messages : 10026 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Jeu 1 Mai 2014 - 3:38
Voici une question pour ceux qui accusent Israël d’apartheid : pourquoi un pays menant une politique d’apartheid attirerait-il une immigration illégale massive venant d’Afrique, et pourquoi des Africains se battraient-ils pour continuer à vivre sous un régime d’apartheid ?
boulo
Messages : 21137 Inscription : 25/12/2011
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Jeu 1 Mai 2014 - 4:30
prinu a écrit:
et bien quand j'ai dit que je voulait parler du clash de l'emmission tv, vous m'avez défendu en noir sur plance, de diffuser des informations à ce sujet.
...
Vous avez compris de travers , cher Prinu débile . Je voulais seulement vous supplier de ne pas rééditer avec vos commentaires habituellement très émotionnels , l'exposé du " clash " qui venait d'être brillamment fait , photos à l'appui , et qui m'avait fait plaisir , parce que je n'aime pas l'émission " On n'est pas couché " , trop superficielle et trop indifférente par rapport à la Vérité ( et qui , parfois , " suppure la haine " , comme je l'avais écrit dans mon post ) .
Les explications d'Alexandre Arcady , justes et mesurées et déjà exposées , suffisaient à la vérité sans que vous y ajoutiez un litre de vinaigre présumé .
Et je ne vous ai rien défendu . J'ai supplié : " S'il vous plaît ... " . Vous avez le droit d'être un guerrier ( dans votre fauteuil ) et j'ai le droit de souhaiter l'apaisement . L'emportement du collaborateur de Ruquier ( préparé , chiffres hors sujet à l'appui ! ) suffisait au déclenchement de haine , sans que vous en rajoutiez ( à mon humble avis ) .
Et Ruquier est un lâche d'avoir coupé au montage un incident révélateur de l'antisémitisme grandissant .
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite
Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite