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Syrie. François Hollande n'exclut pas une intervention armée 29 mai 2012 à 21h45 - (le Télégramme de Brest)
.En réponse au massacre survenu à Houla, la communauté internationale a décidé d'accentuer la pression sur le pouvoir syrien. Alors que le président syrien Bachar al-Assad a reçu, ce mardi matin, le médiateur de l'ONU et de la Ligue arabe Kofi Annan, François Hollande a annoncé l'expulsion de l'ambassadrice de Syrie en France. Dans la foulée, l'Allemagne, la Grande-Bretagne, l'Italie ont pris la même décision. Après une décision similaire de l'Australie et du Canada, les Etats-Unis ont donné 72 heures au plus haut représentant syrien à Washington, à Zuheir Jabbour, pour quitter le pays. Enfin, sur France 2, ce mardi soir, le président François Hollande n'a pas exclu une intervention armée en Syrie contre le régime de Bachar el Assad, sous mandat de l'ONU.
"Une intervention armée (en Syrie) n'est pas exclue à condition qu'elle se fasse dans le respect du droit international, c'est-à-dire par une délibération du Conseil de sécurité" de l'Onu, a déclaré le chef de l'Etat. "A moi, à d'autres, de convaincre Russes et Chinois" de ne pas mettre leur veto au Conseil de sécurité à une telle opération, a ajouté M. Hollande, qui reçoit le président russe, Vladimir Poutine, vendredi à Paris.
Il a dans le même temps évoqué une "solution qui ne serait pas forcément militaire parce que la pression doit se faire dès à présent pour chasser le régime de Bachar el Assad". "Nous devons trouver une autre solution. C'est pourquoi je réunirai au début du mois de juillet la Conférence des amis de la Syrie", c'est-à-dire "tous ceux qui ont la même vocation, le même objectif (...) chasser ce régime-là".
"Des mesures courageuses maintenant" "Je l'ai appelé à prendre des mesures courageuses maintenant -- pas demain, maintenant -- pour créer les conditions nécessaires à la mise en oeuvre du plan" de sortie de crise, déclaré Kofi Annan après avoir rencontré le président syrien Bachar al-Assad ce mardi. "J'ai besoin que le président (Assad) agisse maintenant, et que les autres parties fassent leur part du travail."
"Cela signifie que le gouvernement et toutes les milices qu'il soutient pourraient cesser toutes les opérations militaires et faire preuve de la plus grande retenue possible", a ajouté l'émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe pour la Syrie. "Nous devons commencer à raviver l'espoir d'une transition politique vers un avenir démocratique en Syrie, où toutes les communautés auront leur place", a-t-il martelé.
Dès son arrivée à Damas, lundi, Kofi Annan s'est dit "horrifié" par le massacre qui a fait plus de 100 morts dont de nombreux enfants, vendredi et samedi derniers, dans la localité de Houla (centre). C'était sa deuxième visite depuis sa désignation comme émissaire international pour la Syrie, il y a trois mois.
Kofi Annan rencontrera également des représentants de l'opposition "Ceux qui sont responsables de ces crimes brutaux devront en répondre", a-t-il lancé à propos de cette tuerie qui a mis encore un peu plus en péril son plan de paix et conduit le Conseil de sécurité à condamner Damas.
Dimanche dernier, le Conseil de sécurité de l'ONU a dénoncé "une série de bombardements par les tanks et l'artillerie gouvernementale contre un quartier résidentiel" de Houla. Cette déclaration a été adoptée à l'unanimité, à l'issue d'une réunion d'urgence, à New York.
Lors de son séjour à Damas, M. Annan doit rencontrer également "des représentants de l'opposition et de la société civile" et le général Robert Mood, chef de la mission des observateurs en Syrie, a indiqué Ahmad Fawzi, son porte-parole.
Expulsion de l'ambassadrice de Syrie en France :
De son côté, François Hollande a annoncé ce mardi que l'ambassadrice de Syrie en France, Lamia Chakkour, serait expulsée ce mardi ou mercredi, en réponse au massacre survenu à Houla. Cette décision sera notifiée à l'ambassadrice "aujourd'hui (mardi) ou demain (mercredi)", a déclaré le chef de l'Etat lors d'un point presse à l'issue d'un entretien avec le président béninois Thomas Boni Yayi, ajoutant par ailleurs que le groupe des pays "amis de la Syrie" serait réuni "début juillet" à Paris.
François Fillon a commenté cette décision en affirmant qu'il "approuverait toutes les mesures qui visent à condamner la Syrie".
Les pays européens suivent Dans le sillage de la présidence française, l'agence de presse allemande dpa a annoncé la convocation de l'ambassadeur de Syrie en Allemagne où son expulsion du territoire allemand devait lui être signifiée dans les 72 heures.
Le chargé d'affaires syrien à Londres, déjà convoqué lundi par le Foreign Office, a également appris l'annonce de son expulsion. La Syrie ne disposait plus d'ambassadeur en Grande-Bretagne depuis plusieurs mois, le chargé d'affaires étant est son plus haut représentant au Royaume-Uni.
Rome a également expulsé le représentant diplomatique syrien en Italie. Selon un source diplomatique à Bruxelles, il est possible que l'Espagne se joigne au mouvement.
Après une décision similaire de l'Australie et du Canada, les Etats-Unis ont donné 72 heures au plus haut représentant syrien à Washington, à Zuheir Jabbour, pour quitter le pays.
Une action européenne concertée envisagée "L'idée (d'une action coordonnée) est sur la table", a indiqué un diplomate européen à l'AFP, alors que les ambassadeurs des 27 pays de l'UE doivent se réunir dans l'après-midi pour évoquer la situation en Syrie.
"Une intervention armée (en Syrie) n'est pas exclue à condition qu'elle se fasse dans le respect du droit international, c'est-à-dire par une délibération du Conseil de sécurité" de l'Onu, a déclaré le chef de l'Etat.
euhhhhh... dans le conseil de sécurité il y a la Russie. il est comique notre Président.
"Une intervention armée (en Syrie) n'est pas exclue à condition qu'elle se fasse dans le respect du droit international, c'est-à-dire par une délibération du Conseil de sécurité" de l'Onu, a déclaré le chef de l'Etat.
euhhhhh... dans le conseil de sécurité il y a la Russie. il est comique notre Président.
"Une intervention armée (en Syrie) n'est pas exclue à condition qu'elle se fasse dans le respect du droit international, c'est-à-dire par une délibération du Conseil de sécurité" de l'Onu, a déclaré le chef de l'Etat.
euhhhhh... dans le conseil de sécurité il y a la Russie. il est comique notre Président.
et la Chine aussi non ?
oui la chine et la Russie sont contre une intervention armée donc il n'y aurai pas.
pour islamiser un pays tenu par un tyran laïc (et tolérant , car la Syrie était un modèle pour un pays majoritairement musulman) , c'est tres simple : vous provoquez une "rebellion" en finançant et appuyant des rebelles islamistes (comprenez musulmans pratiquants) , le dictateur bien sur défend son siege (et sa vie.. car elle ne vaudra plus grand chose en cas de reddition) , et le sang appelant le sang ... Voici l’œuvre de nos "humanistes" européens , qui arrivent à assouvir leurs soif de meurtre derrière un écran d'humanisme Dans 6 mois la charria , et son apartheid, son infamie sera la base de la loi syrienne
Je ne sais pas comment un personnage comme hollande , ou sarko , peut vivre , se regarder , en sachant le nombre de morts qu'il a ou va causer. Et je ne parle pas de bhl , qui se contente d'exciter tous les partis. Ce sont des monstres à mes yeux
_________________ « C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis. Demeurez donc fermes, et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude. » (Galates 4 : 26 – 5 : 1) "diable" du grec ancien διάβολος « diviser » , n'est rien d'autre que cette volonté de séparer l'Eglise catholiques , orthodoxes ,évangéliques , et autres chrétiens : marchons ensemble
Au nom de quoi se permettrait-on de vouloir aller imposer la démocratie dans un état souverain ?
Parce qu'il y a une guerre civile et sanglante ? Oui c'est insupportable, mais je ne me rappelle pas avoir vu beaucoup de gens s'émouvoir des massacres de Pol Pot, des génocides africains et autres ? Personne n'a souhaiter aller gerroyer au Cambodge, en Afrique ou ailleurs pour faire cesser les massacres ! Personne n'est venu nous attaquer alors que notre chère Révolution coupait les têtes à tours de bras !
Le monde est intervenu en Lybie, exit le tyran. Résultat : charia en route. L'Egypte a viré son tyran, où va t'elle ? L'ensemble des pays du nord de l''Afrique et du Proche-Orient sont déstabilisés, que vont-ils devenir ? La Syrie même combat ??
Une intervention en Syrie risque fort d'être le même fiasco que l'Afhganistan où rien n'est résolu après 10 ans de combats et des centaines de macchabées. Depuis Napoléon, si ma mémoire est bonne, aucun combat sur sol étranger n'a été victorieux.
benedictus tu y voies parfaitement juste , je n'arrive pas à comprendre ce qu'il y a derrière cette volonté géopolitique d'intervenir préférentiellement lorsque c'est pour établir un regime islamique ça a commencé par l'interventionnisme au kosovo , récemment rappelez vous encore la cote d'ivoire! à ce jour je ne voie pas qui en occident tire bénéfice de ces infamies
_________________ « C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis. Demeurez donc fermes, et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude. » (Galates 4 : 26 – 5 : 1) "diable" du grec ancien διάβολος « diviser » , n'est rien d'autre que cette volonté de séparer l'Eglise catholiques , orthodoxes ,évangéliques , et autres chrétiens : marchons ensemble
L'opposition syrienne accuse Moscou d'encourager le régime à la répression
L'opposition syrienne a accusé mercredi la Russie d'encourager le régime de Bachar al-Assad à commettre des "crimes sauvages" à la suite des critiques de Moscou contre les sanctions diplomatiques prises en Occident pour protester contre l'escalade de la violence en Syrie.
Sur le terrain, la répression et les combats entre armée et rebelles continuent, faisant 39 morts, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), au lendemain d'une journée particulièrement sanglante, avec 98 personnes tuées, dont 13 exécutées sommairement.
A l'ouverture d'une réunion à huis clos du Conseil de sécurité de l'ONU sur la Syrie, l'ambassadeur allemand Peter Wittig a souhaité que le massacre de Houla "ouvre les yeux" d'alliés, comme la Russie et la Chine, du régime Assad qui réprime une révolte populaire depuis mars 2011.
En représailles au carnage de Houla (centre), où 108 personnes dont une cinquantaine d'enfants ont été tuées vendredi et samedi, le Japon et la Turquie ont emboîté le pas à de nombreux pays occidentaux en annonçant l'expulsion des diplomates syriens de leurs capitales.
Les autorités syriennes ont rétorqué en ordonnant le départ de la chargée d'affaires des Pays-Bas, l'une des dernières diplomates occidentales en poste à Damas.
La Russie a regretté la mesure "contreproductive" prise par les Occidentaux car, a-t-elle dit, "les canaux importants d'influence sur le gouvernement syrien (...) sont désormais fermés".
Le Conseil national syrien (CNS), principale coalition de l'opposition, a critiqué la stratégie de Moscou qui, selon lui, "encourage" le régime à "commettre des crimes sauvages" et réclamé une résolution de l'ONU autorisant le recours à la force.
"Une entente internationale pour un départ d'Assad est le seul moyen de sauver le plan Annan et de trouver une solution politique, faute de quoi la situation risque d'exploser et menacera toute la région", a estimé le CNS.
Moscou a été très critiquée ces derniers mois pour avoir fait obstruction au Conseil de sécurité à des résolutions condamnant Damas.
Le président français François Hollande, qui reçoit vendredi son homologue russe Vladimir Poutine, a fait part de son ambition d'infléchir la position russe.
Au lendemain de sa visite en Syrie, le médiateur international Kofi Annan, à l'origine d'un plan de paix globalement ignoré, a estimé qu'"une intensification des efforts internationaux est nécessaire pour (...) mettre fin aux violences".
Afin d'augmenter "la pression économique sur le régime" syrien, les Etats-Unis ont annoncé agir de commun avec le Qatar pour fermer le système financier de leurs deux pays à une banque syrienne, la Syria International Islamic Bank, dans l'espoir de couper "une voie d'évasion financière de premier ordre".
Plusieurs pays, dont la France, ont relancé le débat sur une intervention militaire, tout en la conditionnant à un feu vert de l'ONU --une condition rédhibitoire car Pékin et Moscou, qui disposent d'un droit de veto, ont réitéré leur opposition à une telle opération.
Le Luxembourg a souligné que "la probabilité que les cinq puissances disposant d'un droit de veto s'entendent sur une intervention militaire est égale à zéro". Et l'Allemagne a dit ne voir aucune raison de "spéculer sur des options militaires".
Lors de sa réunion mercredi, le Conseil de sécurité devait évoquer une éventuelle augmentation du nombre des observateurs de l'ONU sur place (près de 300 actuellement) pour tenter de mettre en oeuvre un cessez-le-feu entré en vigueur le 12 avril dans le cadre du plan Annan mais quotidiennement violé.
Le chef des observateurs, le général Robert Mood, s'est dit surtout "profondément perturbé" par la découverte de 13 corps mardi soir à Deir Ezzor (est).
"Tous les corps avaient les mains liées derrière le dos et certains semblent avoir été tués d'une balle dans la tête à bout portant", écrit-il dans un communiqué, parlant d'un acte "épouvantable".
Dans la même province, un oléoduc a été saboté par "un groupe terroriste" provoquant l'arrêt du pompage du pétrole, selon l'agence officielle Sana.
M. Annan a appelé mardi à Damas M. Assad "à prendre des mesures courageuses maintenant", soulignant que la Syrie était à un "moment charnière" après le massacre de Houla.
Un haut responsable de l'ONU a affirmé avoir de "forts soupçons" sur l'implication des miliciens pro-régime dans cette tuerie.
Le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU tiendra une session spéciale vendredi sur la situation en Syrie, où les violences ont fait plus de 13.000 morts en plus de 14 mois, en majorité des civils, selon l'OSDH.
"Une intervention armée (en Syrie) n'est pas exclue à condition qu'elle se fasse dans le respect du droit international, c'est-à-dire par une délibération du Conseil de sécurité" de l'Onu, a déclaré le chef de l'Etat.
euhhhhh... dans le conseil de sécurité il y a la Russie. il est comique notre Président.
Oui, j'éclate de rire à chacune de ses interventions.
Ce matin, c'était : "F. Hollande espère convaincre Vladimir Poutine..."
Finalement, il a des bons côtés ce président : il met de la bonne humeur dans la vie des français... ^^
_________________ « Le zèle pour Ta Maison me dévore comme un feu... »
31/05/2012 à 10:28 (AFP) Syrie: les rebelles lancent un ultimatum, l'armée continue de pilonner la région de Houla
Les rebelles syriens ont donné jusqu'à vendredi midi au régime de Bachar al-Assad pour appliquer le plan Annan qui prévoit notamment l'arrêt des violences, alors que l'armée bombardait pour le second jour consécutif la région de Houla, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) dans le pays.
Les forces régulières tiraient des obus sur l'une des localités de Houla, Taldo, où la plupart des victimes du carnage du 25 mai ont été tuées, et des tirs nourris étaient entendus. Un garçon a été tué par un tireur embusqué dans cette localité, selon l'OSDH.
L'ASL a indiqué dans un communiqué que "si le régime syrien ne respecte pas le délai de vendredi midi (09H00 GMT), le commandement de l'Armée syrienne libre annonce qu'il ne serait plus tenu par aucun engagement lié au plan Annan (...) et notre devoir serait (...) de défendre les civils".
Les quelque 300 observateurs de l'ONU déployés en Syrie n'arrivent pas à faire respecter un cessez-le-feu préconisé par le plan Annan, entré théoriquement en vigueur le 12 avril mais systématiquement violé.
"Après le massacre barbare de femmes et d'enfants à Houla (...), nous annonçons que plus rien ne justifie le respect de la trêve de manière unilatérale car Assad a enterré le plan Annan au vu et au su du monde entier", poursuit l'ASL, en référence au président syrien Bachar al-Assad.
L'armée rebelle, composée essentiellement de déserteurs, faisait référence au massacre dans cette agglomération dans le centre de la Syrie le 25 mai.
Au total, 108 personnes, dont une cinquantaine d'enfants, ont été tuées à Houla et 300 autres blessées, selon les observateurs de l'ONU.
Ce carnage, dénoncé par la communauté internationale, a été attribué par l'opposition par les milices pro-régime, tandis que Damas a nié toute implication. Selon les premiers résultats d'une enquête de l'ONU, la majorité des victimes ont été exécutées.
Les rebelles ont affirmé qu'ils lançaient cet ultimatum au régime pour qu'il applique le plan en six points de l'émissaire Kofi Annan, notamment "un cessez-le-feu immédiat, l'arrêt de toutes les formes de violences, le retrait de toutes les troupes, les chars et les véhicules du régime des zones résidentielles, l'entrée de l'aide humanitaire dans toutes les régions sinistrées, la libération des prisonniers, l'accès des médias au pays, la liberté de manifestation pacifiques".
Ils réclament également "l'engagement à ne pas attaquer la mission des observateurs (de l'ONU) et l'ouverture de négociations sérieuses par l'intermédiaire des Nations unies pour remettre le pouvoir au peuple".
La communauté internationale est toujours divisée sur la crise en Syrie, où se poursuivent la répression menée par le régime contre la révolte populaire lancée en mars 2011 et les combats entre soldats et rebelles.
"Nous souhaitons que toutes les parties considèrent l'ASL comme le principal garant de (...) de l'unité nationale pour rétablir la stabilité et la sécurité en Syrie après la chute du régime", ont ajouté les rebelles.
Ils ont précise que l'ASL allait annoncer dans les prochains une "série de décisions déterminantes et courageuses pour la prochaine étape" de leur lutte.
En 14 mois de violences, plus de 13.000 Syriens ont trouvé la mort, en majorité des civils, selon l'Observatoire syrien ders droits de l'Homme (OSDH).
Ce qui épouvantable dans cette affaire syrienne, ce sont les contradictions: le régime -laic, où les minorités religieuses chrétienne alaouites, chiites et druzes sont protégées- est une tyrannie d'esprit soviétique, contestée par des insurgés qui pourraient bien remettre en cause cette laicité et se soucier comme d'une guigne de démocratie: les sunnites pourtant majoritaires revendiquent un pouvoir dont ils pourraient bien faire, s'ils l'obtiennent un fort mauvais usage, comme il est prévisible que ce soit le cas en Egypte prochainement, en instaurant la charia au détriment des chrétiens, désignés comme collabos du seul fait d'avoir "profité" du régime baasiste. Si tant est vrai que des enfants aient été massacrés par dizaines, comment ne pas plaindre une population aux prises avec une telle cruauté? Pourtant, n'est-il pas à craindre que ces enfants soient ceux de rebelles n'ayant rien de mieux à proposer à ceux de leurs adversaires, si jamais ils devaient l'emporter? Et nous occidentaux -du moins nos dirigeants- rivalisons de lâcheté de sottise et d'hypocrisie à l'égard des syriens par notre "engagement" courageusement proclamé dans le cadre de la légitimité de l'ONU: FHollande sait très bien -s'il ne le sait pas, il en est dangereusement naif- qu'il ne convaincra pas VPoutine... Sa profession de foi est probablement un voeu pieux sans risque destiné à son électorat. La Syrie, quelle que soie l'issue du conflit, c'est l'automne du prétendu "printemps arabe", et celui du "droit d'ingérance".
_________________ «Rapprocher les hommes n’est pas le plus sûr moyen de les réunir.» [ Louis de Bonald ]
"j'ai osé tout dire à qui osait tout entreprendre". [ Chateaubriand ]
31/05/2012 à 10:28 (AFP) Syrie: les rebelles lancent un ultimatum, l'armée continue de pilonner la région de Houla
Les rebelles syriens ont donné jusqu'à vendredi midi au régime de Bachar al-Assad pour appliquer le plan Annan qui prévoit notamment l'arrêt des violences, alors que l'armée bombardait pour le second jour consécutif la région de Houla, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) dans le pays.
Les forces régulières tiraient des obus sur l'une des localités de Houla, Taldo, où la plupart des victimes du carnage du 25 mai ont été tuées, et des tirs nourris étaient entendus. Un garçon a été tué par un tireur embusqué dans cette localité, selon l'OSDH.
L'ASL a indiqué dans un communiqué que "si le régime syrien ne respecte pas le délai de vendredi midi (09H00 GMT), le commandement de l'Armée syrienne libre annonce qu'il ne serait plus tenu par aucun engagement lié au plan Annan (...) et notre devoir serait (...) de défendre les civils".
Les quelque 300 observateurs de l'ONU déployés en Syrie n'arrivent pas à faire respecter un cessez-le-feu préconisé par le plan Annan, entré théoriquement en vigueur le 12 avril mais systématiquement violé.
"Après le massacre barbare de femmes et d'enfants à Houla (...), nous annonçons que plus rien ne justifie le respect de la trêve de manière unilatérale car Assad a enterré le plan Annan au vu et au su du monde entier", poursuit l'ASL, en référence au président syrien Bachar al-Assad.
L'armée rebelle, composée essentiellement de déserteurs, faisait référence au massacre dans cette agglomération dans le centre de la Syrie le 25 mai.
Au total, 108 personnes, dont une cinquantaine d'enfants, ont été tuées à Houla et 300 autres blessées, selon les observateurs de l'ONU.
Ce carnage, dénoncé par la communauté internationale, a été attribué par l'opposition par les milices pro-régime, tandis que Damas a nié toute implication. Selon les premiers résultats d'une enquête de l'ONU, la majorité des victimes ont été exécutées.
Les rebelles ont affirmé qu'ils lançaient cet ultimatum au régime pour qu'il applique le plan en six points de l'émissaire Kofi Annan, notamment "un cessez-le-feu immédiat, l'arrêt de toutes les formes de violences, le retrait de toutes les troupes, les chars et les véhicules du régime des zones résidentielles, l'entrée de l'aide humanitaire dans toutes les régions sinistrées, la libération des prisonniers, l'accès des médias au pays, la liberté de manifestation pacifiques".
Ils réclament également "l'engagement à ne pas attaquer la mission des observateurs (de l'ONU) et l'ouverture de négociations sérieuses par l'intermédiaire des Nations unies pour remettre le pouvoir au peuple".
La communauté internationale est toujours divisée sur la crise en Syrie, où se poursuivent la répression menée par le régime contre la révolte populaire lancée en mars 2011 et les combats entre soldats et rebelles.
"Nous souhaitons que toutes les parties considèrent l'ASL comme le principal garant de (...) de l'unité nationale pour rétablir la stabilité et la sécurité en Syrie après la chute du régime", ont ajouté les rebelles.
Ils ont précise que l'ASL allait annoncer dans les prochains une "série de décisions déterminantes et courageuses pour la prochaine étape" de leur lutte.
En 14 mois de violences, plus de 13.000 Syriens ont trouvé la mort, en majorité des civils, selon l'Observatoire syrien ders droits de l'Homme (OSDH).
oooohh tristes petites civiles tués .. et tout ca pour ??? l'europe/Usa + quelques pays musulmans*** arment les rebelles qui cherchent le gouvernement, qui en retour envoi des troupes et de bandes (avec des gens gentiellement prêté par l'Iran ) pour liquides des groupes et de bandes des rebelles.. en soit une guerre civile .. L'europe est déjà du coté des rebelles, restes ces méchants russes et chinois qui ne veulent pas croire a ce beau compte de fée ou un dictateur pilonne les civiles innocentes (ça me rappelle la Géorgie en 2008 ou alors Israël chaque année .. ). Mais les casques blues sont la. sur beaucoup des fotos on les voit travailler main dans la main "neutre-ment" avec "Al-Qaïda" et des qu'il y a des morts "Ohhhhhh bashar a de nouveau fait un massacre !" souf que les gents tué c’était des pro-bashar.. oups ... et puis on voit bien que la population déteste ce tyran meurtrissant.. ça fait combien de temps qu'il y a la guerre civile en Syrie ??? )))
Syrie: Poutine met en doute l'efficacité de sanctions contre Damas (info AFP)
Le président russe Vladimir Poutine a mis en doute vendredi à Paris l'efficacité de sanctions qui seraient prises par le Conseil de sécurité de l'ONU contre le régime syrien, une option défendue par son homologue français François Hollande. "Les sanctions sont loin d'être toujours efficaces", a déclaré Vladimir Poutine lors d'une conférence de presse commune avec François Hollande, lequel a plaidé pour "des sanctions" et des "pressions" qui doivent être exercées sur Bachar al-Assad.
Le président russe a réaffirmé son soutien à la médiation de Kofi Annan. Il est "contre-productif de déclarer que sa mission est vouée à l'échec", a-t-il dit.
Principal allié du régime de Bachar al-Assad, la Russie s'est jusqu'à présent opposée à toute action résolue du Conseil de sécurité sur la Syrie, dont l'imposition de sanctions au niveau de l'ONU.
Pour sa part, François Hollande a affirmé qu'il n'y avait "pas de solution possible" en Syrie sans "le départ de Bachar al-Assad".
Il n'y a "pas de solution possible" en Syrie sans "le départ" de son président, Bachar al-Assad, a affirmé le chef de l'Etat.
"Il doit y avoir des sanctions" contre le régime syrien, a-t-il également déclaré, ajoutant qu'il connaissait "les risques de déstabilisation, avec les risques de guerre civile" en Syrie.
"Le régime de Bachar al-Assad s'est conduit de manière inacceptable, intolérable. Il a commis des actes qui le disqualifient", a dit le président français. Il n'y a "de sortie de cette situation qu'avec le départ de Bachar al-Assad", a insisté François Hollande, estimant que ce départ était "un préalable pour la transition politique".a affirmé vendredi soir qu'il n'y avait "pas de solution possible" en Syrie sans "le départ de Bachar al-Assad", lors d'une conférence de presse commune avec son homologue russe Vladimir Poutine.
Il n'y a "pas de solution possible" en Syrie sans "le départ" de son président, Bachar al-Assad, a affirmé le chef de l'Etat. "Il doit y avoir des sanctions" contre le régime syrien, a-t-il également déclaré, ajoutant qu'il connaissait "les risques de déstabilisation, avec les risques de guerre civile" en Syrie.
"Le régime de Bachar al-Assad s'est conduit de manière inacceptable, intolérable. Il a commis des actes qui le disqualifient", a dit le président français. Il n'y a "de sortie de cette situation qu'avec le départ de Bachar al-Assad", a insisté François Hollande, estimant que ce départ était "un préalable pour la transition politique".
Le parti Baas syrien s'est toujours voulu laïque , dr House . On a bien compris que tu viens sur ce forum pour attaquer les religions mais tant qu'à faire , autant le faire intelligemment et en te renseignant correctement .
_________________ Elargissement du Credo latin par Bardet en 1970 : Y H W H signe la Trinité , ne se prononce pas , se chante par l'Esprit , est UN MOUVEMENT , de toute éternité ( 24/05/2021 ) .
NB La couleur rouge est réservée à la modération .
La rencontre Hollande-Poutine n'a rien donné, comme prévu.
Je ne sais que penser quand à la manière d'agir en Syrie. Je songerais complètement à l'occupation militaire durant un temps, car le conflit Israëlo-Iranien va bientôt commencer, et qu'il serait irresponsable de laisser le droit de vote à un pays risquant de sombrer lui aussi dans l'Islamisme.
F. Hollande s'agite, mais il sait qu'il ne fera rien : il veut donner l'impression d'avoir de la poigne, c'est raté.
_________________ « Le zèle pour Ta Maison me dévore comme un feu... »
La rencontre Hollande-Poutine n'a rien donné, comme prévu.
Je ne sais que penser quand à la manière d'agir en Syrie. Je songerais complètement à l'occupation militaire durant un temps, car le conflit Israëlo-Iranien va bientôt commencer, et qu'il serait irresponsable de laisser le droit de vote à un pays risquant de sombrer lui aussi dans l'Islamisme.
F. Hollande s'agite, mais il sait qu'il ne fera rien : il veut donner l'impression d'avoir de la poigne, c'est raté.
le conflit israelo-iranien est un "show" rien de plus.. personne n'attaquera personne...
Espérons-le. Mais ce serait mal connaître le danger Iranien que d'affirmer la paix comme acquise... Sans parler du "printemps arabe" d'où l'islam radical refleurira, avec sa Judéophobie. A moins d'une immense grâce de Dieu, la guerre est inévitable.
_________________ « Le zèle pour Ta Maison me dévore comme un feu... »
Le parti Baas syrien s'est toujours voulu laïque , dr House . On a bien compris que tu viens sur ce forum pour attaquer les religions mais tant qu'à faire , autant le faire intelligemment et en te renseignant correctement .
Boulo, Je vous l'ai déjà dit, je ne suis pas aussi ignorant que vous semblez l'imaginer. Les baas laïque je suis mort de rire c'est de la dictature tout simplement et même si il tombe sera remplacé par des talibans je ne me fais aucune illusion à ce sujet et si l'armée Française intervient ce n'est pas pour la liberté d' expression mais pour le pétrole ou certains intérêts économiques. A moi de vous posez une question quelle différence y a t'il entre Laïcité et démocratie?
Espérons-le. Mais ce serait mal connaître le danger Iranien que d'affirmer la paix comme acquise... Sans parler du "printemps arabe" d'où l'islam radical refleurira, avec sa Judéophobie. A moins d'une immense grâce de Dieu, la guerre est inévitable.
Oui surtout pour un dictateur fou de Dieu qui veut détruire Israël; je vous le dis la religion rend fou.
Espérons-le. Mais ce serait mal connaître le danger Iranien que d'affirmer la paix comme acquise... Sans parler du "printemps arabe" d'où l'islam radical refleurira, avec sa Judéophobie. A moins d'une immense grâce de Dieu, la guerre est inévitable.
Oui surtout pour un dictateur fou de Dieu qui veut détruire Israël; je vous le dis la religion rend fou.
ptrem Staline aurait dit la religion est l'opium du peuple; Staline ce dictateur a supprimé la religion en URSS le résultat fut le massacre de millions de gens. Sous Hitler la religion n'avait aucune influence, résultat: des millions de morts. Alors que faire House?
Salut ptrem, Hitler n'aimait pas les juifs, ceci dit il a fait brûler sa mairie de naissance il avait vraiment un problème ce type. Que faire ? L'homme devrait réfléchir sur son passé, mais il est trop bête pour le faire, en clair il continu toujours a en faire qu'a sa tête.
... Staline aurait dit la religion est l'opium du peuple; ...
Non . C'est Marx . et une citation plus complète est : " la religion est l'âme d'un monde sans âme , c'est le coeur d'un monde sans coeur , c'est l'opium du peuple " . Staline n'avait probablement pas lu la citation complète . D'ailleurs , peu de communistes en URSS avaient lu les oeuvres complètes de Marx . L'idéologie n'est le plus souvent que le paravent du pouvoir .
Boulo, ... A moi de vous posez une question quelle différence y a t'il entre Laïcité et démocratie?
La laïcité , c'est la haine de Dieu et la démocratie est le pire des systèmes politiques , à l'exception de tous les autres ( Churchill ) .
Laïcité la haine de Dieu J'aime ma liberté, si quelques chose ne me plais pas j'ai droit de le dire. Je n'aimes pas les extrêmes pour en revenir a la démocratie "le peuple souverain" le peuple ne devrait pas avoir oeur de son gouvernement mais le gouvernement devrait avoir peur de son peuple
... J'aime ma liberté, si quelques chose ne me plais pas j'ai droit de le dire. ...
Dans le royaume des cieux , c'est effectivement le cas . Mais quand se trouve-t-on dans le royaume des cieux ? Tout assoiffé de pouvoir croit qu'en gagnant un royaume terrestre , il l'atteint , quitte à massacrer pour cela .
C'est ce que pensent l'athée Bachar El Assad , comme ses opposants , les islamistes d'Allah et leurs alliés temporaires démocrates pluralistes . En attendant ce nouveau royaume terrestre , c'est le dieu de la destruction qui triomphe , sous les regards intéressés des vendeurs d'armes .
Dernière édition par boulo le 9/6/2012, 10:07, édité 1 fois
... J'aime ma liberté, si quelques chose ne me plais pas j'ai droit de le dire. ...
Dans le royaume des cieux , c'est effectivement le cas . Mais quand se trouve-t-on dans le royaume des cieux ? Tout assoiffé de pouvoir croit qu'en gagnant un royaume terrestre , il l'atteint , quitte à massacrer pour cela .
C'est ce que pensent l'athée Bachar El Hassad , comme ses opposants , les islamistes d'Allah et leurs alliés temporaires démocrates pluralistes . En attendant ce nouveau royaume terrestre , c'est le dieu de la destruction qui triomphe , sous les regards intéressés des vendeurs d'armes .
Vraiment je ne vois pas ce que vient faire Bachar El Hassad relisez votre bible Matieu 24:27
... J'aime ma liberté, si quelques chose ne me plais pas j'ai droit de le dire. ...
Dans le royaume des cieux , c'est effectivement le cas . Mais quand se trouve-t-on dans le royaume des cieux ? Tout assoiffé de pouvoir croit qu'en gagnant un royaume terrestre , il l'atteint , quitte à massacrer pour cela .
C'est ce que pensent l'athée Bachar El Hassad , comme ses opposants , les islamistes d'Allah et leurs alliés temporaires démocrates pluralistes . En attendant ce nouveau royaume terrestre , c'est le dieu de la destruction qui triomphe , sous les regards intéressés des vendeurs d'armes .
Vous vous dites catholique mais a vous lire vous devriez changer d'église car vous tenez des propos d'évangélique.
... Vous vous dites catholique mais a vous lire vous devriez changer d'église car vous tenez des propos d'évangélique.
Je considère que c'est le Ciel lui-même qui m'a ramené au catholicisme . Il n'y a donc en principe aucune chance que je suive votre conseil .
Vous avez moins de chance que moi . Vous avez quitté les évangéliques ( pour un athéisme un peu forcé ) et vous fréquentez avec assiduité un forum catholique . Comprenne qui pourra . Merci quand même .
... Vous vous dites catholique mais a vous lire vous devriez changer d'église car vous tenez des propos d'évangélique.
Je considère que c'est le Ciel lui-même qui m'a ramené au catholicisme . Il n'y a donc en principe aucune chance que je suive votre conseil .
Vous avez moins de chance que moi . Vous avez quitté les évangéliques ( pour un athéisme un peu forcé ) et vous fréquentez avec assiduité un forum catholique . Comprenne qui pourra . Merci quand même .
Et bien voyons, je ne pense pas non plus que les catholiques romains détiennent la vérité. Un athéisme un peu forcé, de vous à moi arrêtez de prophétiser sur ma ma personne, quand a suive mon conseil cela était pour vous dire tout simplement que vous tenez des propos d'évangéliques tout simplement. quand a la fréquentation du forum bien des personnes même non catholiques viennent ici "liberté d'expression vous connaissez ? A priori non.
Syrie: Assad nie tout rôle dans le massacre de Houla, accuse de nouveau l'étranger
Le président syrien Bachar al-Assad a nié dimanche tout lien avec le massacre de Houla dans lequel 108 personnes dont 49 enfants ont péri le 25 mai, se disant déterminé à venir à bout de la révolte qui secoue son régime depuis près de 15 mois.
Resté sourd aux appels à cesser la violence, M. Assad a de nouveau accusé l'étranger de mener une "guerre" contre la Syrie et écarté tout dialogue avec l'opposition, dans un discours de plus d'une heure devant le nouveau Parlement.
La communauté internationale a multiplié ces derniers jours les mises en garde contre les risques d'une guerre civile en Syrie, même si elle est divisée sur la façon de régler le conflit alors que le cessez-le-feu préconisé par le médiateur de l'ONU et de la Ligue arabe Kofi Annan est resté lettre morte. guerre civile
Devant les députés issus des élections du 7 mai organisées en pleines violences et boycottés par l'opposition, M. Assad a rendu hommage à "tous les martyrs, civils ou militaires".
Il a souligné que ceux ayant commis le carnage de Houla (centre) étaient des "monstres".
La rébellion et le régime se sont rejeté la responsabilité du massacre, alors qu'un haut responsable de l'ONU a dit que "de forts soupçons" pesaient sur les milices pro-régime.
Le président syrien a martelé que son pays faisait face à un "plan de destruction" et "à une véritable guerre menée de l'étranger", se posant en rempart contre le "terrorisme qui augmente".
Assimilant la révolte à du "terrorisme", il a souligné que son régime avait en vain "essayé par tous les moyens politiques" de sortir de la crise. Mais ceux responsables du "terrorisme (..) sont chargés d'une mission et ne s'arrêteront que s'ils l'accomplissent ou si nous arrivons à les arrêter".
M. Assad a prévenu qu'"il n'y aurait pas de compromis dans la lutte contre le terrorisme. La sécurité de la nation est une une ligne rouge".
Il a écarté tout dialogue avec les opposants "liés à l'étranger", en allusion notamment au Conseil national syrien (CNS), principale composante de l'opposition, qui refuse à son tour tout dialogue avant un départ de M. Assad.
Réagissant au discours, un responsable du CNS joint par l'AFP a dénoncé des propos qui reflètent la volonté du président Assad de poursuivre la répression "dans le sang".
Les militants pro-démocratie ont riposté aux propos du président syrien sur leur page "Syrian Revolution 2011" sur Facebook: "Sortons tous, (...) pour répondre au bourreau, au meurtrier des enfants. Mettez-vous en colère, intensifiez la colère sur le terrain par tous les moyens".
La révolte s'est militarisée au fil des mois face à la répression. Les violences continuent de tuer malgré la présence de près de 300 observateurs de l'ONU censés surveiller un cessez-le-feu proclamé le 12 avril dans le cadre du plan Annan et systématiquement violé.
Samedi, 89 personnes ont été tuées, dont 57 soldats, selon l'OSDH, le bilan le plus lourd pour l'armée régulière en une journée depuis mars 2011.
Dimanche, sept personnes ont péri à Alep (nord), Hama (centre) et près de Damas, par des tirs et dans un pilonnage. Des dizaines de civils ont été blessés par des bombardements à Douma, près de Damas.
Plus de 13.400 personnes ont été tuées en près de 15 mois, en majorité des civils morts dans la répression, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
"Manoeuvres"
Face à l'escalade, le chef de la diplomatie saoudienne Saoud Al-Fayçal, dont le pays est très critique du régime syrien, a accusé M. Assad de "manoeuvrer" pour "gagner de temps" et affirmé que son pays "soutient la création d'une zone tampon en Syrie".
Présent aussi à Jeddah, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a dit avoir pris acte des demandes de la Ligue arabe de fixer un calendrier pour l'application du plan Annan et de recourir au Chapitre VII de sa charte pour imposer la rupture des liens diplomatiques et des sanctions à la Syrie. Il a dit souhaiter qu'elles soient "discutées par le Conseil de sécurité".
A son tour, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a accusé M. Assad de conduite "autocratique".
"Jusqu'à présent, je ne l'ai pas vu appréhender les réformes avec une compréhension démocratique. Il continue d'appréhender les problèmes avec une logique autocratique", a dit M. Erdogan à la presse, ajoutant qu'il sera "très difficile d'instaurer la paix en Syrie tant que cette compréhension prévaudra".
Human Rights Watch a appelé à "isoler" les groupes vendant des armes à Damas, comme la compagnie publique russe Rosoboronexport: "Fournir des armes à la Syrie alors que des crimes contre l'humanité y sont commis pourrait revenir à une assistance dans l'accomplissement de ces crimes".
Au Liban où la révolte syrienne attise les tensions, 14 personnes ont été tuées depuis samedi à Tripoli (nord) dans des affrontements entre Libanais pro et anti-Assad.
Espérons-le. Mais ce serait mal connaître le danger Iranien que d'affirmer la paix comme acquise... Sans parler du "printemps arabe" d'où l'islam radical refleurira, avec sa Judéophobie. A moins d'une immense grâce de Dieu, la guerre est inévitable.
Oui surtout pour un dictateur fou de Dieu qui veut détruire Israël; je vous le dis la religion rend fou.
c'est bien pour cela que Jésus n'a Jamais parlé religion, mais Vérité et Esprit de Abba !!
Syrie: nouveaux combats meurtriers, la crise au menu du sommet UE-Russie
Des combats meurtriers ont opposé lundi soldats et rebelles en Syrie malgré la détermination affichée par le président Bachar al-Assad de mettre fin "à n'importe quel prix" à la crise, qui a été au menu d'un sommet entre la Russie, son principal allié, et l'Union européenne.
Lors de ce sommet organisé à Saint-Pétersbourg, le président de l'UE Herman Van Rompuy a pressé le président russe Vladimir Poutine de surmonter les divergences afin d'éviter une guerre civile en Syrie.
Il a souligné qu'il fallait saisir l'opportunité représentée par le plan de sortie de crise de l'émissaire de la Ligue arabe et de l'ONU Kofi Annan, resté jusqu'ici lettre morte.
"L'Union européenne et la Russie ont des approches différentes mais nous sommes pleinement d'accord pour considérer que le plan Annan offre la meilleure chance de stopper le cycle de la violence en Syrie, d'éviter la guerre civile et de trouver une solution pacifique et durable", a-t-il déclaré.
"Nous devons oeuvrer à l'arrêt immédiat de toute forme de violence en Syrie et à un processus de transition politique", a ajouté M. Van Rompuy.
M. Poutine, qui écarte toute sanction de l'ONU contre le régime de Damas, de même que le départ de M. Assad, n'a pas réagi à l'évocation de cette "transition politique".
Fort de cet appui russe jusqu'à présent indéfectible, Bachar al-Assad a réaffirmé dimanche dans son premier discours depuis janvier sa détermination à écraser la révolte populaire ayant éclaté en mars 2011.
Ne reconnaissant pas l'ampleur de la contestation, il a prévenu qu'"il n'y aurait pas de compromis dans la lutte contre le terrorisme", que la sécurité du pays était "une ligne rouge" et qu'il défendrait la Syrie "à n'importe quel prix".
Il a par ailleurs nié tout lien avec le massacre de Houla (centre) dans lequel 108 personnes dont 49 enfants ont péri le 25 mai, soulignant que ses auteurs étaient des "monstres".
Mais lundi le porte-parole de la Maison Blanche Jay Carney l'a accusé de mentir.
Complot
Lundi, sur le terrain, les violences ne faiblissaient pas, faisant encore au moins 35 morts -- 17 civils, 16 soldats et deux rebelles --, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). La veille, 46 personnes avaient péri.
A l'aube, des combats ont éclaté entre armée et insurgés dans la province d'Idleb (nord-ouest), dans le district de Jabal al-Zawiya, un bastion de la rébellion qui a connu des affrontements parmi les plus violents depuis la militarisation de la révolte.
Plusieurs localités d'Idleb ont aussi été bombardées dans la nuit par des chars, lance-roquettes et canons, a indiqué le Conseil national syrien (CNS), principale coalition de l'opposition.
Des combats ont également fait rage dans la région de Deraa (sud), tandis que des civils étaient victimes de tirs des forces gouvernementales dans les régions de Damas, d'Alep (nord), de Homs et de Hama (centre) notamment.
Ces violences meurtrières se déroulent malgré la présence de près de 300 observateurs de l'ONU censés surveiller un cessez-le-feu proclamé le 12 avril en vertu du plan Annan, mais constamment violé.
M. Assad est resté en effet sourd aux multiples appels à cesser les violences, réitérant la thèse de complot fomenté par les opposants avec l'aide de l'étranger.
Le CNS --qui doit désigner à Istanbul les 9 et 10 juin un nouveau chef pour remplacer Burhan Ghalioun, démissionnaire, selon des responsables de cette coalition-- a vu dans son discours sa volonté de poursuivre la répression "dans le sang".
"Plan B"
Plus de 13.400 personnes ont été tuées depuis le 15 mars 2011, en majorité des civils, d'après l'OSDH.
Selon diplomates et experts, M. Annan qui commence à entrevoir l'échec de son plan, souhaite que la communauté internationale pèse de tout son poids pour faire respecter son plan ou qu'elle trouve un "plan B" pour résoudre la crise.
M. Annan, qui s'adressera jeudi à New York au Conseil de sécurité et à l'Assemblée générale de l'ONU, avait laissé entendre dès samedi que sa médiation avait atteint ses limites en réclamant un "réexamen en profondeur" de la stratégie de sortie de crise.
Selon le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius, le régime syrien "finira par tomber sous le poids de ses crimes".
Son homologue allemand Guido Westerwelle, a de son côté souligné la nécessité d'"éviter un embrasement qui pourrait mettre le feu à toute la région", quelques heures avant le début d'une tournée qui l'emmènera notamment au Liban, où la révolte syrienne attise les tensions.
Lundi, des commerces appartenant à des Alaouites ont été incendiés à Tripoli, dans le nord du pays, deux jours après des affrontements entre pro et anti-Assad ayant fait 14 morts, selon une source de sécurité.
Syrie: assauts de l'armée, la communauté internationale se consulte (AFP)
Les forces du régime ont bombardé et pris d'assaut plusieurs localités de Syrie, au prix de six morts, alors que la communauté internationale, divisée, cherche toujours des moyens de faire pression sur le régime du président Bachar al-Assad, qui a déclaré "indésirables" les ambassadeurs de plusieurs pays occidentaux.
La Syrie a décidé de déclarer "persona non grata" les ambassadeurs des Etats-Unis, de France, de Grande-Bretagne, de Suisse, de Turquie, d'Italie, et d'Espagne, ainsi que les chargés d'affaires belge, bulgare, allemand et canadien", a annoncé le ministère syrien des Affaires étrangères dans son communiqué.
Le président russe Vladimir Poutine a entamé une visite de trois jours en Chine, consacrée en partie à la crise en Syrie. Moscou et Pékin, pour l'instant alliés indéfectibles de Damas, sont opposés à toute intervention armée contre la Syrie, ainsi qu'au renversement du président Assad.
"Sur la question syrienne, la Chine et la Russie sont restées en communication et en coordination étroites à la fois à New York (aux Nations unies: ndlr), Moscou et Pékin", a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Liu Weimin lors d'un point de presse.
Sur le terrain, les forces du régime, imperturbables, ont continué leurs offensives tous azimut.
Elles ont pris d'assaut mardi la localité de Kafarzita dans la province de Hama (centre) après trois jours de bombardements, rapporte l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Un convoi de voitures transportant des milices baptisées les "Sauterelles", y sont entrés ensuite "pour voler maisons et boutiques en l'absence des propriétaires" qui ont fui, selon la même source.
En outre, les forces du régime bombardaient plusieurs localités dont la ville rebelle de Homs (centre), et combattaient les rebelles de l'Armée syrienne libre (ASL), dont deux ont péri dans la région de Lattaquié (nord ouest).
A Idleb, proche de la frontière turque, quatre civils ont été tués et d'autres grièvement blessés, lors d'une "vaste opération militaire" menée dans la nuit de lundi à mardi dans la localité de Kafroueid.
Dans ce contexte, les pays occidentaux, qui se heurtent à l'inflexibilité des Russes et des Chinois, tentent de se mobiliser pour faire cesser les violences qui ont fait au moins 13.400 morts depuis près de 15 mois.
"Avec nos partenaires internationaux, nous nous concentrons sur la préparation de la transition politique en Syrie", a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney, avant de s'indigner du fait que le régime de Damas nie les massacres auxquels il a "participé".
"C'est pourquoi il est essentiel que la communauté internationale se rassemble et s'unifie pour (...) isoler Assad", a ajouté M. Carney.
M. Assad a qualifié dimanche, lors d'un discours télédiffusé, de "monstres" les auteurs du massacre de Houla (centre) qui a fait 108 morts le 25 mai.
La rébellion et le régime se sont rejeté la responsabilité du carnage de Houla, alors qu'un haut responsable de l'ONU a dit que "de forts soupçons" pesaient sur les milices pro-régime.
"Il y a beaucoup de choses prévues sur le plan international cette semaine en ce qui concerne la Syrie", a annoncé Mark Toner, porte-parole du Département d'Etat, soulignant notamment que la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton rencontrerait vendredi à Washington le médiateur de l'ONU et de la Ligue arabe Kofi Annan.
Selon diplomates et experts, M. Annan, qui s'adressera jeudi à New York au Conseil de sécurité et à l'Assemblée générale de l'ONU, commence à entrevoir l'échec de son plan, et souhaite que la communauté internationale pèse de tout son poids pour faire respecter son plan ou qu'elle trouve un "plan B" pour résoudre la crise.
Autre occasion pour les puissances internationales de se consulter sur la Syrie, le Forum ministériel de lutte contre le terrorisme réunira à Istanbul des représentants d'une trentaine de pays jeudi et vendredi, en présence notamment de Mme Clinton.
Lundi, un groupe d'opposants syriens a annoncé dans cette ville la création d'une nouvelle structure militaire visant à renverser le régime d'Assad, le Front des révolutionnaires syriens (FRS), revendiquant 12.000 combattants dans tout le pays.
Le Conseil national syrien, principale coalition de l'opposition syrienne, va désigner lors de réunions à Istanbul les 9 et 10 juin un nouveau chef pour remplacer Burhan Ghalioun, démissionnaire.
Boulo, ... A moi de vous posez une question quelle différence y a t'il entre Laïcité et démocratie?
La laïcité , c'est la haine de Dieu et la démocratie est le pire des systèmes politiques , à l'exception de tous les autres ( Churchill ) .
Laïcité la haine de Dieu J'aime ma liberté, si quelques chose ne me plais pas j'ai droit de le dire. Je n'aimes pas les extrêmes pour en revenir a la démocratie "le peuple souverain" le peuple ne devrait pas avoir oeur de son gouvernement mais le gouvernement devrait avoir peur de son peuple
06/06/2012 à 22:11 Syrie: Moscou et Pékin contre toute intervention, réunion à Istanbul
La Russie et la Chine, alliés du régime syrien, se sont déclarées mercredi résolument hostiles à toute "intervention" et tout changement de régime en Syrie malgré la répression dans le sang d'une révolte populaire lancée il y a 15 mois. partagezDel.icio.usViadeoMyspaceGoogleLiveYahoo!DiggWikio voter réagir
photo : Alexey Druzhinin, AFP Les Etats-Unis ont indiqué de leur côté être prêts à soutenir une action contraignante de l'ONU contre la Syrie, dans le cadre du chapitre VII de la Charte des Nations unies comme l'avait demandé la Ligue arabe.
Ces déclarations surviennent à quelques heures d'une réunion à Istanbul de la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton avec des représentants de la Turquie, la France et la Grande-Bretagne ainsi qu'avec certains ministres arabes pour parler du dossier syrien.
La communauté internationale ne parvient pas à surmonter ses divisions sur le dossier syrien, Moscou et Pékin rejetant tout ingérence dans les affaires syriennes et les Occidentaux et certains pays arabes voulant une transition politique devant aboutir au départ du président Bachar al-Assad.
"La Russie et la Chine sont résolument opposées à des tentatives en vue de régler la crise en Syrie par le moyen d'une intervention militaire étrangère, de même qu'en vue d'imposer un changement de régime", ont affirmé ces deux pays à l'issue de la visite à Pékin du président Vladimir Poutine.
Son chef de la diplomatie Sergueï Lavrov a averti qu'un changement par la force du régime pourrait conduire la région à une "catastrophe".
La Chine et la Russie, qui ont mis leur veto à deux résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU condamnant le régime Assad, ont en outre demandé une conférence internationale pour "se mettre d'accord pour suivre, honnêtement et sans ambiguïtés, le plan" de l'émissaire international Kofi Annan, prévoyant un cessez-le-feu et un dialogue politique, mais resté lettre morte.
Mme Clinton a déclaré qu'elle réserverait son jugement sur cette proposition.
Risque de "génocide"
M. Annan, qui doit s'exprimer jeudi devant l'ONU, va proposer que les Occidentaux, la Russie et la Chine, et peut-être même l'Iran et plusieurs pays arabes, forment un nouveau groupe de contact pour convaincre Damas d'engager un dialogue politique avec son opposition, ont indiqué des diplomates.
L'émissaire international commence à entrevoir l'échec de son plan et souhaite que la communauté internationale pèse de tout son poids pour le faire respecter ou trouver un "plan B", selon des diplomates.
"En l'absence de signes sérieux de conciliation de la part du régime al-Assad, nous irons bientôt tout droit dans cette direction", a dit pour sa part le secrétaire au Trésor américain Timothy Geithner, faisant référence au chapitre VII, qui permet d'isoler totalement un pays par un régime contraignant de sanctions.
La Ligue arabe a demandé samedi à l'ONU de recourir au Chapitre VII pour imposer rupture des relations diplomatiques et sanctions à la Syrie.
Cette clause prévoit aussi la possibilité d'un recours à la force en cas de menaces contre la paix, mais la Ligue arabe a indiqué n'avoir "demandé aucune action militaire".
Le ministre italien des Affaires étrangères Giulio Terzi a lui jugé qu'il existait un risque de "génocide" si la communauté internationale n'intervenait pas rapidement.
46 morts dans les violences
Sur le terrain, au moins quarante-six personnes ont été tuées dans les violences, notamment dans des combats entre les forces gouvernementales et l'Armée syrienne libre (ASL, composée essentiellement de déserteurs), qui se multiplient, rapporte l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
A Damas, de violents accrochages ont notamment opposé les rebelles aux forces régulières postées à des barrages dans les quartiers de Qaboune et de Techrine. Des tirs nourris ont été entendus dans le quartier de Jobar et une explosion a été entendue dans le quartier de Roukneddine. De violents combats ont lieu depuis le matin dans plusieurs localités proches.
Plus de 13.400 personnes, la plupart des civils tués par les forces régulières, ont péri en Syrie depuis près de 15 mois, selon l'OSDH. Les violences ont en outre entraîné la fuite de dizaines de milliers de Syriens dans les pays voisins.
Sur le plan politique, M. Assad a demandé au ministre de l'Agriculture, Riad Hijab, de former un gouvernement après les législatives du 7 mai remportées par le parti Baas au pouvoir depuis près de 50 ans et raillées par la communauté internationale.
Réunis mercredi à Doha, des hommes d'affaires syriens ont annoncé la création d'un fonds de 300 millions de dollars pour soutenir les rebelles.
" La Syrie est encore sous le choc du massacre de 108 civils , dont 49 enfants , commis [...] à Houla , massacre dont les observateurs de l'ONU ont établi qu'il était l'oeuvre de milices pro-Assad . Que peut-il se passer dans la tête de [Kofi Annan] cet homme de 74 ans , incarnation de la courtoisie et de la diplomatie , lorsqu'il entend face à lui , le président syrien , toute honte bue , "condamner" et attribuer froidement ce massacre à d'autres ? "
( Sylvie Kauffmann " Qu'est-ce qui fait courir Kofi Annan ? " Le Monde du 6.6.2012 p 17 )
A la question de Sylvie Kauffmann , je répondrai tout personnellement : le cachet d'un comédien qui sait que sa mission doit être impérativement un échec .
_________________ Elargissement du Credo latin par Bardet en 1970 : Y H W H signe la Trinité , ne se prononce pas , se chante par l'Esprit , est UN MOUVEMENT , de toute éternité ( 24/05/2021 ) .
NB La couleur rouge est réservée à la modération .
Vous subissez la propagande, toutes vos réactions, analyses sont tronquées, parce que vous réfléchissez à partir des bobards, des mensonges que vous consommez en écoutant les médias, ou plutôt la propagande.
on ne vous a pas dit la vérité sur la Libye, l'intervention occidentale en Libye a conduit au renversement de Kadhafi, mais AUSSI, à des dizaines de milliers de morts par représailles que l'on vous a caché. C'est ce que Vladimir Poutine a dit à Hollande. Ces interventions prétendument humanitaires sont des bobards.
Sur le sol Syrien, on trouve des militaires de différents pays du Moyen Orient qui s'opposent entre eux.
La vérité est beaucoup plus complexe qu'on nous le dit. On nous cache les véritables enjeux.
En tout cas, et on le voit en Libye, ce pays n'est pas libéré, on a remplacé une dictature par une autre.
Une option parfois retenue serait que la France prendrait le parti des puissances du golfe et donc de l'Arabie Saoudite, contre l'Iran, par intérêt financier, nous escomptons des aides financières importantes de ces pays pour nous mettre en palliatifs dans l'énorme crise financière qui sévit chez nous.
L'interventionnisme occidental est dirigé contre l'Iran par alliance avec Israël, il est conduit pour des raisons financières, on a besoin de l'aide Arabe pour nous maintenir à flot, ce que ferons les puissances pétrolières du golfe.
Rien d'honnête dans tout ça, et en tout cas, pas un mot de vérité dans ce qu'on peut écouter à la télé, lire dans la presse.
Ces interventions prétendument humanitaires sont des bobards.
Parce que vous rêvez. Vous voudriez qu'on passe du tyran à la démocratie comme en Europe. Cela ne se produit pas comme cela, sauf dans les peuples de vieille culture comme le Japon.
Mais le monde avance et la chute des tyran, même si elle passe par un temps d'anarchie puis d'islamisme, aboutira à la démocratie.
Ces interventions prétendument humanitaires sont des bobards.
Parce que vous rêvez. Vous voudriez qu'on passe du tyran à la démocratie comme en Europe. Cela ne se produit pas comme cela, sauf dans les peuples de vieille culture comme le Japon.
Mais le monde avance et la chute des tyran, même si elle passe par un temps d'anarchie puis d'islamisme, aboutira à la démocratie.
Je ne fais que reprendre le point de vue des russes et donc de Poutine,
Sont ils plus rêveurs que nous et moins réalistes, moins sérieux, moins honnêtes dans leurs réflexions, pas sur,
Je pense lorsque je travaillais en Russie, un jour j'ai voulu m'aventurer sur le terrain des mafias russes... un russe très avisé m'a mis dans les cordes me prouvant qu'en terme de mafias, l'Europe occidentale, les usa .... et d'autres prestigieuses institutions bien de chez nous n'avaient rien à apprendre des russes dans ce domaine.... mais plutôt l'inverse..
l'argument du "tout ne sera/n'est/ne fut pas parfaitement blanc" n'est as très pertinent quand c'est le bain de sang au sens le plus littéral.
cependant, contrairement à la Lybie, je suis assez réservé sur une intervention en Sirye. (et pourquoi on n'écrirait pas comme ça ?)
ça risque de ressembler à l'Irak, et ces salopards d'islamistes venus de partout vont en profiter pour harceler voire faire un génocide de Chrétiens.
Concernant les interventions occidentales, toutes ont contribué à l'élimination des Chrétiens d'Orient, voir ce qui s'est passé en Irak.. et ailleurs, Est que ça ne fait par partie des plans machiavéliques de certains lobbys occidentaux que je n'ose pas nommer par crainte..
Ces interventions prétendument humanitaires sont des bobards.
Parce que vous rêvez. Vous voudriez qu'on passe du tyran à la démocratie comme en Europe. Cela ne se produit pas comme cela, sauf dans les peuples de vieille culture comme le Japon.
Mais le monde avance et la chute des tyran, même si elle passe par un temps d'anarchie puis d'islamisme, aboutira à la démocratie.
OUI Bof, si c'est pour finir en voleur de la planète qui ruine les pays dans les maguoille de la bourse je crains que ça change pas grand chose au final !!
Babylone la mère des prostituées et des infidèles on y va droit dedans , alors arrêtons de nous la chanter " on est démocrate !" cela ne fera que de mieux nous condamner vu que c’est librement que l'on se pervertit ! et je ne donne pas tord a beranger , croire aux infos que l'on nous donne , faut vraiment pas être lassé des coups foireux !
la Libye libre on l'a surtout plumée et ruinée ! vraiment on a le profile de Babylone , alors arrêtons d'accepter de suivre la doctrine criminelle qui nous gouverne , on se croirait aux USA du temps du communisme !!! Vas y la propagande du " on est les meilleurs les sauveurs du monde ! "
Oui et puis moi je voudrais bien savoir dans ce cas là Où Jésus achète ses chars et ses fusils pour faire comme Lui !
Il faut que tu arrives à distinguer un minimum État/Église, religion/politique, vie sur terre/vie au ciel.
Si jamais tu te retrouvais à la tête d'un état, je serais dans l'obligation morale de te tuer sur le champ !
Car tu serais le pire des pervers. pas de maintient de la sécurité. pas de police. pas d'armée. tous les méchants se jetteraient sur les gentils pour les piller, violer, tuer. et tout ça, à cause de toi qui refuse le maintient de l'ordre et du droit.
L'europe et surtout la France font la politique d'Israël via BHL supplétif du gouvernement israélien.
On nous raconte bobard sur bobard pour que l'opinion avale les choix de nos gouvernements.
La Syrie est en proie à des milices étrangères qui viennent pour dézinguer Bachar al Assad.
Il ne faut pas croire ce que la propagande télévisuelle nous donne à consommer, ils ont menti sur la Libye, ils mentent sur la Syrie. Sur la revue Italienne Catholique, 30 Giorni, un prêtre Chrétien révèle que des femmes n'allaient plus au travail à Damas, car elles percevaient de meilleurs salaires (de l'étranger) pour aller rejoindre l'agitation.
En Libye, on sait maintenant que l'on nous a menti sur des crimes à Syrte, les auteurs des crimes n'étaient pas ceux qu'on nous a désigné.
C'est pareil pour la Syrie.
On est dans le brouillard complet et on ne sait pas ce que veut vraiment BHL et les lobbys pour lesquels il travaille.
L'Iran va être attaqué, ils ont déjà tenté de déstabiliser ce pays, ils vont réessayer,
Pour quels intérêts, USA / Israël ?
Reste que Poutine à mis très gravement en garde Hollande... Le futur Sarajevo se trouve d'évidence dans cette région et quand on sait l'effort de guerre énorme fait par les Russes, on peut se poser de graves questions..