Le harcèlement scolaire

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SUICIDE de Lucas 13 ans Sad

Une enquête pour harcèlement sur mineur de moins de 15 ans a été ouverte après le suicide samedi d’un adolescent de 13 ans à Golbey (Vosges).

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« Laissez-moi pleurer dignement mon fils. » Vraisemblablement sollicitée par les médias après le suicide de son fils le 7 janvier, la mère de Lucas, 13 ans, a choisi d’écrire une lettre, qui a été lue en direct par l’une de ses amies au téléphone jeudi 12 janvier, à l’antenne de BFMTV. Dans ce texte court mais poignant, elle dénonce le manque d’« actions concrètes » pour protéger les enfants du harcèlement.

« Lucas, notre petit homme est une victime de plus, une victime de trop. Combien de marches blanches, combien d’enfants en souffrance et de familles cruellement touchées et de frères et sœurs amputés faudra-t-il encore pour que des actions concrètes soient enfin mises en place dans les lieux où chaque enfant a le droit à une scolarité sans harcèlement »,

a lu la proche de la famille endeuillée, après avoir rappelé la loi du 24 février 2022, qui a fait du harcèlement scolaire un délit.

Une enquête pour harcèlement sur mineur de moins de 15 ans a été ouverte après le suicide de l’adolescent à Golbey (Vosges), a annoncé le parquet d’Épinal.

Les proches de Lucas, scolarisé au collège Louis-Armand de Golbey, ont dénoncé dans leurs auditions « des faits de harcèlement commis par des élèves de son collège, en raison de son homosexualité, depuis plusieurs mois », a précisé le procureur de la République, Frédéric Nahon, dans un communiqué.

« Du temps pour trouver les mots et la force »

Lucas et sa mère « avaient fait état de moqueries à la rentrée de septembre » et les faits avaient été « immédiatement pris au sérieux par les équipes du collège, qui ont fait preuve d’une grande vigilance au quotidien, tout en conservant le lien avec l’élève et sa famille », selon le rectorat, rappelant que l’établissement était « engagé dans le dispositif pHARe de lutte contre le harcèlement ».

Contactée par l’AFP, l’avocate de la famille, Me Catherine Faivre, a indiqué que celle-ci n’avait pas porté plainte « à ce stade » : « nous verrons dans un second temps. La famille souhaite enterrer son fils en paix », a ajouté le conseil. C’est aussi le sens du message adressé par l’amie de la famille sur BFMTV.

« Nous vous remercions de tout cœur pour le temps d’antenne que vous consacrerez à rendre hommage à notre petit homme, mais je vous en prie, vraiment, laissez-moi pleurer dignement mon fils, laissez-moi du temps pour trouver les mots et la force nécessaire pour m’exprimer. Je peux vous assurer que le jour où je serai prête, je ne vous lâcherai plus, je consacrerai ma vie à continuer le combat de Lucas. »

Les obsèques du jeune garçon auront lieu ce samedi à Épinal, à l’occasion d’une cérémonie civile ouverte aux proches. Une cagnotte en ligne a été lancée pour les financer. Les parents de la victime ont encouragé les participants à porter un signe distinctif LGBT, en guise d’hommage à leur fils.

Suicide de Lucas, 13 ans : la lettre déchirante de la mère de l’adolescent victime de harcèlement (huffingtonpost.fr)

Messages : 2890 Inscription : 02/05/2022

Au lieu de se poser la question pourquoi il était homosexuel à 13 ans ( et probablement moins , parce que pour pousser quelqu un au suicide , il faut du temps , plusieurs années ) , les LBTQI+ font leur propagande commerciale ....
Qui était le pédophile qui a initié le gamin ?

Je note qu au début de la mise en place de la théorie du genre , le gamin n avait que 3 ans . Qui est donc l assassin à part la théorie du genre elle-même ?

Messages : 2220 Inscription : 12/05/2021

Violences sexuelles entre mineurs : l'impact de la pornographie

Messages : 30756 Inscription : 07/11/2013

Comment protéger les enfants du harcèlement scolaire

Alors qu'un enfant sur dix est victime de harcèlement scolaire, "nous ne sommes pas à la hauteur des enjeux" reconnaît la secrétaire d'Etat en charge de l'enfance. Les moyens de l'Education nationale paraissent également limités.

Un élève sur dix subit du harcèlement scolaire, et ses conséquences sont parfois tragiques, comme nous le rappelle l'actualité de ce samedi 14 janvier. 150 personnes ont participé à une marche blanche, Romans-sur-Isère, dans la Drôme, en mémoire d'Ambre, une fillette de 11 ans qui s'est tuée après avoir été harcelée. Dans les Vosges, ce sont aujourd'hui les obsèques de Lucas, 13 ans, qui s'est suicidé début janvier, quelques mois après avoir confié à ses proches subir des moqueries de la part d'autres élèves concernant son homosexualité.

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/journal-de-12h30/journal-de-12h30-du-samedi-14-janvier-2023-3497900

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Le message de la mère de Lucas, qui s’est suicidé à 13 ans, à ses harceleurs

Cette mère de 35 ans donnait pour la première fois une conférence de presse après le drame dans les Vosges.

Par Le HuffPost avec AFP

La mère du jeune Lucas, un collégien qui s’est suicidé début janvier à Golbey dans les Vosges, s’est exprimée ce lundi 30 janvier pour la première fois lors d’une conférence de presse organisée à Épinal aux côtés de son avocate, maître Catherine Faivre.

Très émue, la mère de 35 ans, Séverine, a souhaité faire passer un message aux quatre adolescents qui ont harcelé son fils, et qui seront jugés au printemps pour avoir harcelé et poussé Lucas au suicide.

elle a insisté pour que soient « protégés » ces quatre collégiens. « Je n’imagine aucune peine, ce sont des gamins. Il faut juste que ça les fasse réfléchir, peut-être qu’ils interviennent avec nous, qu’ils expliquent ce qu’il s’est passé, qu’ils regrettent, qu’ils participent à des actions pour prévenir, (...) ce qu’il peut se passer pour les personnes harcelées », a-t-elle notamment déclaré.
« Ils ont l’âge de Lucas. Je suis quand même obligée de leur en vouloir, mon fils n’est plus là » parce qu’ils « ont été méchants avec lui », a-t-elle ajouté, la voix étranglée par l’émotion.

Intervenir dans des établissements scolaires pour sensibiliser contre le harcèlement

« Si je pouvais aider les autres avec leur ressenti à eux, ça serait une victoire de plus, un pas en avant pour faire réfléchir tout le monde », a ajouté Séverine, qui peinait à retenir ses larmes, indiquant vouloir à l’avenir intervenir dans des établissements scolaires pour sensibiliser contre le harcèlement.

Les proches de Lucas estiment qu’il s’est suicidé après avoir été harcelé en raison de son homosexualité.

« Lors de leurs auditions, les mis en cause, deux filles et deux garçons âgés de 13 ans, scolarisés dans le même établissement que Lucas, ont uniquement admis avoir proféré à plusieurs reprises des moqueries à l’encontre de leur camarade », avait indiqué vendredi 27 janvier dans un communiqué le procureur de la République d’Epinal, Frédéric Nahon.
« Les faits se sont déroulés du mois de septembre 2022 au début du mois de janvier 2023 », avait ajouté le procureur.

Messages : 8138 Inscription : 03/05/2022

Harcèlement scolaire : comment le reconnaître ? (1/4)

700 000 élèves sont victimes de harcèlement scolaire en France. Intimidations dans la cour de récréation, insultes dans les couloirs, isolement à la cantine, autant d’espaces de son quotidien où l’élève harcelé se voit humilié à répétition. Sentiment de culpabilité, perte de confiance... ce mécanisme de persécution peut avoir des conséquences graves sur la scolarité du jeune, sa santé mentale mais aussi sur ses relations avec son entourage. Quels chiffres en France ? Comment repérer les signes du harcèlement scolaire ? Jusqu’où cela peut-il aller ? Quelles solutions alors pour s’en sortir ? Témoignages et points de repères avec Jean-Pierre Bellon, professeur de philosophie et co-fondateur du Centre de Ressources et d’Etudes Systémiques contre les Intimidations Scolaires (Centre ReSIS).

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Harcèlement scolaire : le rôle de l’école (2/4)

L’investissement de l’école joue un rôle fondamental dans la lutte contre le harcèlement scolaire. C’est LE premier dispositif à pouvoir agir activement et permettre de résoudre certains cas. En juillet 2019, l’Education nationale a établi le droit de suivre une scolarité sans harcèlement, comme composante du droit à l’éducation. Les établissements se mobilisent alors davantage : formation de professionnels, cellules d’écoute ou élèves ambassadeurs, quels moyens ont été mis en place ? Quels sont les résultats ? Quels progrès restent encore à faire ? Témoignages et points de repères avec Jean-Pierre Bellon, professeur de philosophie et l’un des pionniers de la lutte contre le harcèlement scolaire en France.

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Harcèlement scolaire : école et parents, instaurer une relation de confiance (3/4)

Face à un enfant harcelé à l’école, les parents sont souvent démunis et ne savent pas toujours comment réagir. Ils peuvent parfois sans le vouloir tenir des propos culpabilisants « fais-toi d’autres amis », « s’ils t’embêtent, pourquoi restes-tu avec eux ? » Quels comportements adopter quand son enfant est victime de harcèlement scolaire ? Où trouver de l’aider ? En quoi le lien entre parents et école est-il essentiel pour maintenir un lien de confiance et aider les jeunes à sortir d’une situation de harcèlement ? Témoignages et points de repères avec Jean-Pierre Bellon, professeur de philosophie et co-fondateur du Centre de Ressources et d’Etudes Systémiques contre les Intimidations Scolaires (Centre ReSIS).

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Le problème, c'est qu'un enfant harcelé n'osera pas toujours en parler à ses parents, alors ils ne le savent que trop tard Sad

, quand ils arrivent à le savoir...

Messages : 8138 Inscription : 03/05/2022

Toute victime est habitée par la honte ... .
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Boris CYRULNIK, neuropsychiatre , a écrit un livre qui nous aide à comprendre :

Boris Cyrulnik nous rappelle que la honte est un sentiment, et en tant que tel, c’est une émotion ressentie dans le corps et qui n’est provoqué que par une représentation personnelle de la situation.
On a honte de mettre dans l’esprit de l’autre une représentation de soi-même amoindrie…

Mourir de dire, La honte,
Pour Boris Cyrulnik, la honte est un poison de l’âme provoqué par une représentation verbale ou sociale.
Il n’empêche que ce sentiment marque une phase essentielle de notre développement affectif.
Avoir honte, c’est réaliser que les autres existent..

Boris Cyrulnik nous dit que:
Les pervers ne connaissent jamais la honte pour la bonne raison que dans un monde d’un pervers il n’y a pas d’autres.
Pour le pervers, et donc pour le pervers narcissique, seul son désir compte, seul son plaisir est une ombre pour l’autre.
Les autres ne sont que des pantins, et le pervers narcissique ne tient nullement compte du monde mental des autres.
Il s’autorise donc à infliger n’importe quoi à ses victimes, il peut faire n’importe quoi, et vous, victimes, n’avez aucune capacité de le juger, jamais !

Boris Cyrulnik nous dit également que:
« La culpabilité appartient à l’univers de la faute.
On se sent coupable, on doit racheter, expier, réparer. La honte n’a rien à voir. Elle place en nous un détracteur intime qui nous ronge, nous détruit, nous dévalorise.
Le honteux ne veut pas réparer, il s’éloigne, veut rentrer sous terre, échapper au regard de l’autre. «

Comment sortir de la honte ?
« Dans un premier temps, le honteux se débarrasse de ce poison en développant une compensation imaginaire.
Vous croyez que je suis minable, je me sens minable sous votre regard, eh bien, un jour, plus tard, lorsque je serai grand, je serai fort, plus fort que vous. Il existe une force compensatrice de la honte qui peut devenir le moteur d’une réussite sociale. L’autre possibilité est de se laisser glisser dans la mythomanie, masque compensateur de la honte.
Le honteux se réfugie dans cet imaginaire, tellement plus satisfaisant. »

Mais il n’a toujours pas vaincu sa honte ?
« Non, en effet. Pour comprendre comment on échappe à la honte, il faut se fier aux travaux nombreux et sérieux menés avec les victimes d’agression sexuelle, victimes qui éprouvent une indicible honte.
Celles qui s’en sortent le mieux doivent bénéficier de trois conditions.
Avoir grandi, avant le fracas traumatique, dans un attachement sécure.
Ainsi la victime peut penser qu’elle est aimable, digne d’être aimée.
Ensuite, elle doit être capable de mentalisation.
Elle exprime, verbalise, dit sa honte.
Enfin, il lui faut recevoir le soutien de son entourage, soutien qui permet à la victime de reprendre un autre développement, de quitter la honte. »

ICI

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Mais enfin !! pour avoir le soutien de son entourage, il faut que l'"entourage" le sache et c'est cela que je disais : les parents ne savent pas la plupart du temps que leur enfant est harcelé.

Messages : 8138 Inscription : 03/05/2022

C'est la honte qui empêche cette transmission du message ... . D'où mon post.

Ce qui est inacceptable, c'est que l'enfant harcelé ne puisse pas se tourner vers un représentant du Collège par exemple.

A chaque rentrée scolaire, dans un Collège, il devrait être distribué par les enseignants à toutes les classes, un document dans lequel un nom, une référence fiable, discrète de l'établissement scolaire qui saura aidé l'enfant et les familles.

Les surveillants devraient alerter au moindre doute.

Est-ce le cas ? L'enfant ne sait pas à qui s'adresser dans l'établissement.

Malheureusement, la Famille et l'entourage proche sont trop souvent dans l'ignorance ou une lettre est laissée par l'enfant ou adolescent avant de partir.

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Messages : 8138 Inscription : 03/05/2022

Quel type de discours tenir aux enfants victimes de harcèlement scolaire ?

Accompagner les enfants victimes de harcèlement scolaire

La honte, une émotion qui torture les enfants harcelés

Le fait de ne pas savoir réagir pour se protéger ou faire arrêter le harcèlement est en soi une expérience humiliante et ajoute un sentiment de honte à la souffrance de l’enfant harcelé.

Il est donc important de garder en tête que l’enfant harcelé ressent de la honte qui l’empêche de penser, d’agir ou de parler. C’est pourquoi l’empathie et la bienveillance sont si primordiales. Cela suppose d’être capable de comprendre ce que l’enfant ressent sans nier ou minimiser ses émotions (“mais c’est pas grave, ne les écoute pas et ils arrêteront”) ni confondre les émotions de l’enfant et les nôtres en surréagissant.

Ainsi, un adulte peut lui dire qu’il est en colère contre les agresseurs et que les comportements des harceleurs sont inacceptables, tout en demandant à la victime ce qu’elle ressent elle.

Marie Quartier estime qu’il peut être bloquant pour un enfant harcelé de lui dire avec insistance de se défendre : il risquerait de ne plus se confier du tout, ne se sentant pas capable de faire ce que les adultes lui demandent. Par ailleurs, il est important d’élaborer avec lui (éventuellement avec une aide extérieure) une solution qui lui convienne et de lui promettre de ne pas agir sans son accord.

ICI

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Pas toujours la honte !! la peur aussi de ne pas être compris de ses parents et ça n'est pas toujours non plus pour des histoires d'homophobie ou de ce genre.

Il y a quelques années, un jeune de 17 ans du quartier s'est pendu dans le garage familial : ses parents n'en connaissent pas la raison et l'enquête au lycée n'a rien donné non plus.

Il peut y avoir aussi des problèmes familiaux qu'il ne peut pas supporter, le pire étant quand les parents ne s'en aperçoivent pas... ou trop tard...

Messages : 8138 Inscription : 03/05/2022

La honte et la peur sont des sentiments qui empêchent le harcelé d'agir, de parler.

La honte intervient souvent quand la victime perd l'estime de soi, donc elle se rend inconsciemment invisible.

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Le harcèlement, c’est quoi ? | Ministère de l'Education Nationale et de la Jeunesse

Messages : 8138 Inscription : 03/05/2022

Honte et estime de soi : quel est leur lien ?

La honte est une peur d’être, de se montrer tel que l’on est. On choisit d’être invisible pour éviter d’être l’objet de critiques et d’être déclaré non-valide. Par conséquent, ressentir cette émotion suppose un manque de respect et de tolérance vis-à-vis de soi-même, ainsi qu’une faible estime de soi qui résulte de cette relégation au second plan.

La honte enveloppe la personne dans un filtre négatif, un filtre de mépris à partir duquel elle se perçoit comme un être fragile et faible. Cette perception lui fait par ailleurs ressentir de la colère.

Ainsi, avoir honte signifie ne pas se sentir à l’aise dans sa propre peau, ne pas se reconnaître et avancer sur le chemin de la non affirmation de soi. Cette sensation d’être le capitaine qui tient la barre de sa propre vie commence à disparaître et tout pouvoir personnel s’évanouit.

La personne qui ressent cette émotion donne aux autres le pouvoir de l’évaluer. Elle n’est capable de se voir qu’à travers les regards des autres. Elle pense à ce qu’on dira d’elle, se sent anxieuse chaque fois qu’elle perçoit qu’elle n’agit pas correctement et vit dans une sorte de “déconnexion” vis-à-vis d’elle-même. En définitive, elle souffre.

La honte qui ne nous laisse pas exister : ICI

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Messages : 8138 Inscription : 03/05/2022

La mère de Marion, met en avant le sentiment de honte et de culpabilité . Puis également Présidente de l'Association, elle a recueilli des témoignages dans lesquels apparaissent ce sentiment de honte, d'avoir tenté de vouloir s'en sortir seul et de ne pas vouloir en parler, le sentiment de ne pas se sentir entendu et écouté. C'est une vraie SOUFFRANCE

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Suicide de Lindsay, victime de harcèlement : « Ce qu’on a mis en place n’a pas suffi », regrette l’académie

Deux semaines après le suicide d’une élève de 13 ans, scolarisée au collège Bracke-Desrousseaux à Vendin-le-Vieil, le directeur académique a tenu une conférence de presse ce vendredi, à l’intérieur de l’établissement. Alors que l’adolescente était harcelée à l’école, il reconnaît « une responsabilité collective ».

« En tant que directeur académique, la responsabilité est la mienne, la nôtre, c’est nous tous. On est tous mobilisés, tous concernés, tous responsables. » Jean-Roger Ribaud, tout nouveau directeur académique du Pas-de-Calais, assume et regrette : « Tout ce qu’on a mis en place n’a pas suffi ! »

La situation de Lindsay, élève de 13 ans au collège Bracke-Desrousseaux, à Vendin-le-Vieil, était connue de l’administration. La semaine précédant son suicide, l’équipe pédagogique avait remarqué un mal-être grandissant. « Une commission éducative était programmée pour faire un point sur sa scolarité car ses notes avaient baissé. » La jeune fille a même été reçue par l’infirmière du collège la veille de son décès, mais aucun signe d’idées suicidaires n’aurait été perçu.

Jeudi soir, la mère de Lindsay nous confiait également que, le jour de sa mort, l’adolescente était rentrée « souriante. Elle a pris son goûter, elle faisait ses devoirs ».
« On aurait dû aller plus loin dans le suivi »

Suite à une bagarre, en février, le protocole harcèlement avait été déclenché au sein de l’établissement. « Lindsay et sa maman ont été reçues par l’équipe éducative », assure le directeur académique qui rappelle qu’un conseil de discipline a entraîné l’exclusion d’une des principales auteures des faits de harcèlement. Il déplore que cela se soit avéré insuffisant : « On aurait dû aller plus loin dans le suivi. »

Pour Jean-Roger Ribaud, il faut « se questionner sur l’accompagnement » qui fait suite aux mesures disciplinaires. Tout en sachant que les situations sont nombreuses. Dans le Pas-de-Calais, 750 signalements ont eu lieu depuis le début de l’année scolaire.

Ouverture d’une enquête administrative

Concernant les événements qui se sont déroulés au sein de l’établissement vendinois, une enquête administrative doit être mise en place par la rectrice. Des investigations qui s’ajoutent à l’information judiciaire ouverte par le parquet de Béthune le 20 mai.

Depuis, quatre personnes mineures ont été mises en examen et placées sous contrôle judiciaire pour « harcèlement scolaire ayant conduit au suicide ». Un adulte, semble-t-il une mère de famille, est également poursuivi pour menaces de mort.

Lindsay allait fêter ses 14 ans le 24 mai, jour de la marche blanche organisée en sa mémoire.

https://www.lavoixdunord.fr/1332550/article/2023-05-26/suicide-de-lindsay-sur-fond-de-harcelement-tout-ce-qu-mis-en-place-n-pas-suffi

Messages : 30756 Inscription : 07/11/2013

Ces choses ne devraient pas arriver.
La répétition de ces évènements tragiques doit nous alerter sur des manquements graves de la société actuelle, autant au niveau individuel que collectif.

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Les premières définitions du harcèlement scolaire sont proposées dans les années 1970 par deux psychologues scandinaves : Anatol Pikas et Dan Olweus.

Quand j'étais enfant, le harcèlement scolaire n'existait pas, ou alors, je n'ai rien vu.

Messages : 203 Inscription : 25/08/2020

Je me suis posé la question de : Les enfants ont toujours été maladroits entre eux, peu importe les générations, pourquoi on se suicide souvent à notre époque et moins à l'époque d'avant ?

C'est une piste à creuser, je pense.

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sophie lamomie a écrit:: Je me suis posé la question de : Les enfants ont toujours été maladroits entre eux, peu importe les générations, pourquoi on se suicide souvent à notre époque et moins à l'époque d'avant ?

C'est une piste à creuser, je pense.

Oui, bonne question en effet, Sophie Le harcèlement scolaire 2259885686

car c'est vrai que les enfants entre eux ont toujours eu leur "tête de turc", ça pouvait venir d'un tas de choses : habillement, jalousie...
mais qu'il n'y avait pas de suicide comme maintenant.

Qu'en pensez-vous ? est-ce dû aux jeux vidéos ? les enfants sont-ils plus malheureux qu'avant (parce qu'ils ont "trop" ?)

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Je croie aux conséquences d'une éducation trop laxiste, le respect d'autrui n'existe plus, on se permet de dire des choses que dans les années soixante et soixante-dix on ne se permettais pas.

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Quand je vois dans les magasins de petits enfants qui font des caprices en hurlant comme des sirènes de pompier et que pour le faire taire la mère finit par céder, je me demande dans quel monde on vit.

Il y a un proverbe qui dit "enfant gâté, adulte raté"

Messages : 30756 Inscription : 07/11/2013

«Je vais cramer sa tombe» : après le suicide de Lindsay, les insultes continuent, affirme sa mère
https://www.lefigaro.fr/faits-divers/je-vais-cramer-sa-tombe-apres-le-suicide-de-lindsay-les-insultes-continuent-affirme-sa-mere-20230531
«Elles continuent d'insulter ma fille.» Sur le plateau de Touche pas à mon poste lundi soir, les parents de Lindsay ont fait part de leur colère. Trois semaines après le suicide de leur fille de 13 ans victime de harcèlement scolaire, ils ont affirmé que les menaces et les insultes se poursuivaient sur les réseaux sociaux. «Ma fille n'est plus là, mais elles continuent, en disant : 'Enfin elle est morte cette pute, je vais pisser sur sa tombe, je vais lui cramer sa tombe'», a détaillé Betty, abattue.

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Moi, je poserais une main courante à la police, comme cela si cela continuais je porterais plainte contre les parents, car ils sont responsables des actes de leurs enfants mineurs.

Messages : 203 Inscription : 25/08/2020

Puré !! c'est hyper violent ! faut être rempli de haine ou être psychologiquement atteint pour dire des trucs comme ça ! c'est terrible ces gosses qui disent et pensent ce genre de chose. Au pire ils devraient s'en foutre mais non... c'est pas normal là ! y a vraiment un souci !!

Messages : 203 Inscription : 25/08/2020

Bon...les réseaux sociaux n'ont pas aidé (on se croit intouchable derrière un écran) y a l'effet de groupe aussi qu'on retrouve sur les réseaux sociaux, imaginez chacun écrit un petit truc mais en fin de compte mis bout à bout ça fait beaucoup.
En plus les jeunes de maintenant vivent en "virtuel" faut voir les fausses vies que nous présente les gens sur leur Instagram c'est aberrant.
Après le fait que la justice est légère face à des mineurs, même s'ils ont le goût du sang et sont des prédateurs, je dirai même des psychopathes "virtuels". Ce qui est horrible c'est qu'une fois la victime morte ces harceleurs ressentent du plaisir réel pour ça que c'est de l'ordre du psychisme qu'il y a un problème.
C'est une responsabilité collective maintenant face à ce genre d'horreur !
Après il y a dans le lot des gens (ceux qui commentent sur les réseaux de la victime) qui ne se rendent pas compte de l'impact sur la personne.
Aussi faut protéger ses réseaux sociaux par des double sécurités d'authentification et beaucoup de gens ne savent pas se protéger et leur compte se retrouve pirater.
Donc faut faire la différence entre une personne qui fait un commentaire et les personnes qui cherchent à pirater afin de trouver des faiblesses pour nuire fortement jusqu'au suicide.
Car pour moi un harceleur est un prédateur psychopathe, ce sont des bêtes ! des hommes animaux comme disait St Paul, malgré qu'ils soient malins et vicieux.
Pour moi y a un souci spirituel surement un manque du Christ dans leur vie.
Comment leur pardonner ? c'est hyper dur !!
Moralité faut faire attention à ce qu'on écrit sur les réseaux et préserver avec une bonne sécurité son internet, ensuite faudrait que les parents surveillent les téléphones et ordinateur de leur bambins. On est trop laxiste sur ce fléau !
Voilà j'ai fait le tour car cela m'a vraiment travaillé ce sujet, bonne soirée à tous malgré tout.

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MERCI à vous Sophie. Je partage entièrement ce que vous dites.

Normalement, les parents peuvent surveiller les comptes de leurs enfants. Face Book par exemple, il faut 13 ans pour s'inscrire : j'en connais un tas qui s'y sont inscrits en changeant leur date de naissance.

Pour le reste, je ne sais pas, je n'y suis pas. Mais il me semble aussi que ça devrait être surveillé. Seulement, l'enfant est ROI et peut raconter ce qu'il veut.

D'après "La Croix", Le Vatican a publié lundi 29 mai un nouveau document sur le sens de la présence chrétienne sur Internet, proposant « une réflexion pastorale à propos de l’engagement sur les réseaux sociaux ». Signé par les deux dirigeants du dicastère pour la communication, Paolo Ruffini et Mgr Lucio Ruiz, ce document d’une vingtaine de pages, intitulé « Vers une présence totale », s’interroge notamment sur la notion chrétienne de « prochain » dans l’univers numérique.

https://www.la-croix.com/Religion/Reseaux-sociaux-Vatican-appelle-responsabilite-catholiques-2023-05-29-

Spoiler:

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“Les enfants sont méchants entre eux” : une croyance qui fait le lit du harcèlement à déconstruire

https://apprendre-reviser-memoriser.fr/les-enfants-sont-mechants-entre-eux-croyance/

Messages : 8138 Inscription : 03/05/2022

Suicide de Lindsay : la famille de la collégienne porte plainte pour "non-assistance à personne en péril"

De La rédaction de France Bleu

Jeudi 1 juin 2023 à 11:59 (publié il y a 1 heure)
Par France Bleu Nord , France Bleu

L'avocat de la famille de Lindsay, collégienne de 13 ans qui s'est suicidée dans le Pas-de-Calais, et dont la famille affirme qu'elle était victime de harcèlement scolaire, a annoncé déposer plusieurs plaintes pour "non-assistance à personne en péril", lors d'une conférence de presse ce jeudi.

Plaintes contre Facebook, le collège, l'académie et des policiers

Ces quatre plaintes sont déposées contre le principal du collège de la jeune fille, contre le recteur de l'académie de Lille, contre le commissaire de police de Lens mais aussi Facebook et Instagram, a annoncé l'avocat Me Pierre Debuisson.

ICI

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Toutes nos pensées émues vont vers cette Famille endeuillée. Perdre un enfant est le pire évènement qui puisse arriver ...
ce n'est pas naturel, ce n'est pas dans l'ordre des choses ... .

Que notre Seigneur, et la Vierge Marie qui connait bien la souffrance de la mort d'un enfant ... Leur donnent la force de poursuivre leur combat.

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Les juges des tribunaux pour enfants sont trop laxistes face a ce genre de comportement.

Souvent une peine de prison avec sursit de l'intégralité de la peine.

Invité

florence_yvonne a écrit:: Les juges des tribunaux pour enfants sont trop laxistes face a ce genre de comportement.

Souvent une peine de prison avec sursit de l'intégralité de la peine.

Et vu que les professeurs ne peuvent plus sévir sans se voir attaquer en justice !! que peuvent-ils faire ? les parents font pression avec leur petit chéri, ne croient pas ce qui est dit, alors je connais bien des profs qui baissent les bras pour ne pas avoir d'histoires !!

Certains parents que je connais ont décidé que leur chéri sera ceci ou cela... lui joue le jeu (la plupart du temps de "maman") et en profite !!! Derrière, c'est un petit voyou, mais vas dire cela à "maman", elle ira déposer une main courante contre toi et c'est toi qui te retrouvera au tribunal.

Ce qui manque aux gosses de maintenant, c'est une bonne fessée quand ils sont petits : ça ne nous a pas tués.
Et à l'école, les Soeurs n'avaient pas peur de donner des coups de règle sur les doigts... Nous n'en sommes pas morts non plus.
Nous n'avions pas intérêt non plus, à la maison, de critiquer les punitions, sinon les parents nous donnaient le double...

Invité

Nous vivons dans un pays où les enseignants ne sont plus respectés, c'est grave.

UNE MÈRE AGRESSE UNE PROFESSEUR EN PLEIN COURS

« La maman a été très violente »
Tout commence quand la professeur écrit un mot sur le carnet de correspondance. « La maman a répondu de manière très agressive » sur ce même carnet, raconte Philippe Meunier, le proviseur. A la demande de la professeur, il convoque alors l’élève « avec lequel il n’y a pas eu de problème » et lui rappelle les règles. Il s’apprêtait à faire de même avec les parents lorsqu’il est pris de court : « la famille a réussi à rentrer dans le collège normalement fermé, et sans demander l’autorisation, ils sont allés directement dans la salle d’histoire géographie du professeur », témoigne le proviseur. Et l’agression commence. « La maman a été très violente et a mis des gifles au professeur et un coup de pied dans le ventre ».

https://www.bfmtv.com/police-justice/une-mere-agresse-une-professeur-en-plein-cours_AN-201209130040.html

Invité

Florence_yvonne

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ça ne m'étonne pas puker

comment veux-tu, après ça qu'il y ait du respect ? et ce n'est pas le sujet du fil, mais dans les hôpitaux, c'est pareil affraid

J'espère que le proviseur a porté plainte ?

Invité

Oui, il l'a fait, les parents aussi.

Messages : 5756 Inscription : 01/07/2017

il y a quelques temps j'ai écouté cette histoire sur youtube.

elle aurait un trouble dissociatif de l'identité, et non ce n'est pas un hors sujet, en faite quand on écoute jusqu'au bout il semble que cette maladie, du moins en ce qui la concerne, et la cause et le résultat de plusieurs traumatismes, principalement d'harcèlement scolaire très grave.

en faite, je l'a trouve très forte, elle ne sait pas suicidé, elle a préféré "choisir" de s'enfermer dans de multiples personnalités dont elle n'arrive plus a ce détacher.

https://www.youtube.com/watch?v=k6uu2L2RRV4

Invité

Les enfants qui harcèlent sont comme les prédateurs qui s'attaquent toujours au plus faible.

Invité

Le harcèlement scolaire a toujours existé hélas! J'ai été harcelé dans ma jeunesse durant quelque mois!

Invité

Pas moi, comment les harceleurs choisissent leurs victimes ?

Messages : 5756 Inscription : 01/07/2017

moi aussi, une fois, mais pour mon harceleur ça a mal fini, j'ai déjà raconté ? il me semble, je m'en rappel encore très bien, ça m'a marqué moi aussi.

au collège, mon père a remarqué que je n'allais pas bien, il m'a demander de lui désigné celui qui m'embêté, il l'a violemment sermonné et il sait pris une grosse gifle en pleine rue, je lui demandé si ses parents n'allaient pas venir !? il m'a répondu il n'y a pas soucis j'en met une aussi a ses parents ! au final mon père a eu leurs soutiens estimant qu'il n'en a pas pris assez !! il me regardait ensuite avec crainte comme si mon père était un prolongement de moi-même ! après ça bien sûr il ne m'a jamais plus harcelé.

comme quoi une bonne gifle ça peut sauver des vies, en tout cas cela a probablement sauvé une partie de ma scolarité.

Invité

Les harceleurs sont des prédateurs, ils savent choisir leurs victimes.

Messages : 21073 Inscription : 25/12/2011

Toi le tout petit

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N'auriez-vous pas un commentaire , cher Humanlife ?

Vous dont le discours se résume généralement à : " Ne vous inquiétez pas . Nous vivons seulement un changement d'époque . Il suffit de s'adapter et de prendre garde au venin des conspirationnistes . "

Messages : 30756 Inscription : 07/11/2013

Boulo, voulez-vous bien arrêter les procès d'intention déplacés en réduisant la pensée d'autrui à ce qu'elle n'est pas.

Merci d'avance

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Le sabbat a été fait pour l’homme, et non pas l’homme pour le sabbat. Voilà pourquoi le Fils de l’homme est maître, même du sabbat.

Messages : 93450 Inscription : 19/05/2005

boulo a écrit:

Toi le tout petit

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N'auriez-vous pas un commentaire , cher Humanlife ?

Vous dont le discours se résume généralement à : " Ne vous inquiétez pas . Nous vivons seulement un changement d'époque . Il suffit de s'adapter et de prendre garde au venin des conspirationnistes . "[/quote]

Nul ne peut nier une particulière barbarie. Et cela vient des filles.

La cruauté des filles déculturées allie la violence physique et la mesquinerie des paroles.

J'espère qu'on sortira bientôt grâce à cela du mythe de la femme "pure et délicate" et de l'homme "agresseur sexuel pervers".

"Corruptio obtima pessimi"

Invité

La violence à l'école n'est pas un fait nouveau, mais les enfants et les parents qui s'en prennent au corps enseignant, ça, c'est assez nouveau.

Messages : 8138 Inscription : 03/05/2022

florence_yvonne a écrit:: La violence à l'école n'est pas un fait nouveau, mais les enfants et les parents qui s'en prennent au corps enseignant, ça, c'est assez nouveau.

Ce qui semble porter ses fruits ... Et je le souhaite de tout I love you

pour la famille endeuillée, c'est d'utiliser les médias (internet, TV, journaux ...) afin de dénoncer le laxisme des principaux responsables directs et indirects de ce drame familial.

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Padre Pio, Priez pour nous ..

Messages : 30756 Inscription : 07/11/2013

Tout le monde a dit sa bonne parole, mais le harcèlement va continuer dans l'indifférence générale.

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Messages : 21073 Inscription : 25/12/2011

Et que préconisez-vous , Humanlife ?

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Elargissement du Credo latin par Bardet en 1970 : Y H W H signe la Trinité , ne se prononce pas , se chante par l'Esprit , est UN
MOUVEMENT , de toute éternité ( 24/05/2021 ) .

NB La couleur rouge est réservée à la modération .

Messages : 30756 Inscription : 07/11/2013

Je préconise rien du tout. Chacun est face à Dieu.

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» La carte scolaire
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Le harcèlement scolaire

« Du temps pour trouver les mots et la force »

Intervenir dans des établissements scolaires pour sensibiliser contre le harcèlement

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