- Mécréant-LV a écrit:
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- Une censure épiscopale du Christ
Comme chacun sait la traduction française de la Bible utilisée dans la « forme ordinaire » de la liturgie latine est sous copyright. C’est comme si saint Matthieu ou saint Luc avaient fait le tour des premières communautés chrétiennes pour leur faire payer des droits chaque fois que leur évangile était recopié. On ne m’a pas encore expliqué en quoi ce n’est pas de la simonie.
Non seulement l’épiscopat français a mis la parole de Dieu sous copyright, mais il a falsifié la parole de Dieu qu’il vend comme « liturgique ».
Ainsi, ce dimanche, dans l’évangile sous copyright de la « forme ordinaire », on fait dire à Jésus « sans me préférer », quand il a dit « et ne hait pas ». Tous les textes et toutes leurs traductions avaient toujours respecté, jusqu’ici, la parole du Seigneur. Il n’y a aucune ambiguïté sur le mot, et il n’y a qu’une traduction possible.
Mais nos prudes évêques étaient effrayés d’avoir à dire « si quelqu’un vient à moi et ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses fils… »
Et au lieu d’expliquer ce que cela veut dire, ils censurent la parole de Dieu, ils censurent le Verbe. Et ils en sont tellement fiers qu’ils protègent leur forfait par un copyright.
http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2007/09/09/une-censure-episcopale-du-christ.html
bonjour,
Mécréant tu n'es pas loin du Royaume de Dieu !
mais transmet tu cela avec l'intention de servir ou détr ?
le véritable Amour du Bien EST, haine du mal, car il ne lui donne pas existence.
pas haine pour détruire mais le bien ne se laisse pas de place en lui pour laisser surgir le mal.
c'est vrai le verbe haïr peut sembler excessifs vu l'empois d'appel a la destruction qui en est fait aujourd'hui. (la haine a-t-elle jamais bâtit ?)
pourtant quand Jésus a choisi ce mot IL savait trés bien pourquoi , et aussi que l'Esprit Saint nous donnerait l'intelligence spirituel pour entendre cela comme Jésus le dit .
Car beaucoup aiment Jésus sans ce rendre compte de ce qu'est l'exigence Spirituelle et la fidélité, crucifiante.
si tu pense a ce que Marie en tant que simple Mére et femme a été amenée a vivre par fidélité a la Divinité et Mission de Jésus alors le mot haïr a tout son sens,.
car il ne suffit pas de préférerez mais de haïr notre amour humain et l'amour de nous même en tant qu'âme fausse pour celui de la Famille Divine; Haïr car il faudra lui imposer le silence jusqu'a le faire mourir.
Marie avait saisie bien avant tout le monde que vu l'attitude de Jésus (son enfant avec qui elle vivait depuis 30 ans) et sa fermeté sans violence , IL finirait tué (la Croix étant en principe la méthode de l'époque) .
Donc plus elle l'aimait plus elle se heurté a ces sentiment humain qui voulaient le garder en vie, et plus Dieu qui lui a donné cet enfant impliqué que par Amour et fidélité, elle dépasse ses sentiments de Mére de Femme d'être humain pour appliquer son Coeur a l'exigence de la Sainteté de Dieu et du Salut. Haïr ce qui est naturel et aimer le surnaturel.
cela ressemble a vu d'homme a de la haine, surtout si tu pense que la famille de Jésus a un moment n'était pas d'accord avec ce qu'IL faisait , Marie a du être amener a choisir prendre position ,,, et Jésus n'a pas faiblit !!
certainement des observateur bien intentionné et moraliste, on du dire a Jésus " mais tu haï ta mère pour la mettre dans une telle situation !"
Jésus aimait sa Mére comme chaque personne aime, et amener sa mère au pieds de la Croix !!! peut être perçu comme une forme de haine par le regard humain, mais Marie avait épousé les sentiments et la Volonté de Dieu, en cela Elle est vraiment Mére et modéle pour nous tous. Il fallait que Jésus et Marie et atteint une parfaite communion de Cooeur pour pouvoir arriver là en Paix et que tout ce qui avait pu paraître haine contre l'homme soit devenu Amour de Dieu envers l'homme. Qaund Jésus emplois ce mot c'est bien parceque IL c'est heurté a cette contradiction de l'homme déchus .
Pour le fait que l'on modifie de tels mots, cela en dit long sur un état de connaître Dieu aujourd'hui,
car avoir choisi préférer en place de haïr, montre que l'on est devenu presque incapable de se haïr avec l'exigence du dégût du contre sens que cela implique ; mais on est en état de se préférer, plustot que la Parole Tranchante du Verbe !
Ce haïr pour Dieu, c'est reconnaître l'origine de l'auteur du pécher actif en nous, se préférer c'est prétendre a une sagesse venant de nous capable de choisir intelligemment la vérité, ce qui est totalement impossible; je crois que l'on discute et produit plus que l'on prie, ce qui donne un produit de cet qualité.
on est bien gentil, mais y en a un qui l'est pas du tout du tout.
le temps que l'on sera capable de croire que Le Verbe n'a pas bien dit cela ; IL aura encore beaucoup a souffrir !