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DOCTEUR ANGÉLIQUE FORUM CATHOLIQUE
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France : vers une proposition de loi pour inscrire l'IVG dans la Constitution
( alors que aucun partie politique a ma connaissance est contre l'IVG)... https://www.france24.com/fr/france/20220625-france-le-groupe-renaissance-veut-inscrire-le-droit-%C3%A0-l-ivg-dans-la-constitution
Jésus n'a pas condamné la femme adultère, seul celui qui n'a jamais péché peut se permettre de juger une femme qui avorte.
Et Jésus lui dit: Je ne te condamne pas non plus: va, et ne pèche plus. ( bien sur cela vaut pour tout le monde , y compris nous les hommes) https://saintebible.com/john/8-11.htm
Les chocs post-traumatique sont immenses. Les femmes qui avortent, subissent ce contre coup de façon massive, les psychologues sont unanimes, c'est un acte grave qui impacte gravement.
Et les chocs post traumatiques des viols? Vous croyez sincèrement qu'une femme enceinte suite à un viol est à même d'assumer la grossesse et de mettre au monde et éduquer le fruit d'un crime?
Interdire l'avortement n'est pas une victoire religieuse en soi, si on agit pas sur les causes, que sont le respect de la vie, les moeurs dissolues etc ..
je pense que il y a une corrélation entre l 'explosion du nombre d 'IVG , sa banalisation ( 33% sur le nombres total de naissance par an) est la sécularisation de la société ( surtout Française)
On avez posé la question de l 'IVG au Dalai lama , il avait dit ( avec des grosse pincettes car question piège), l'IVG oui mais que si la mère est en danger .
Bouddhisme et Avortement - Contrôle des Naissances et IVG (comprendrebouddhisme.com)
EXTRAIT : Selon le bouddhisme, la conscience se joint à l’ovule fécondé à l’instant de la conception, ce qui fait de l’embryon un être vivant à part entière.
Si vous voulez mon opinion sur l'avortement, vous n'avez qu'a vous référer à ma signature.
Pourquoi vous ne mettez pas le nombre de femmes tuées lors d'avortement clandestin dans votre signature?
Il n'y a plus d'avortement clandestin, maintenant l'avortement est légal. c'est triste parce que les avortements peuvent être évités et la tu peux te référer a ma signature.
Ma signature donne des idées pour qu'il n'y a plus d'avortement.
Si vous voulez mon opinion sur l'avortement, vous n'avez qu'a vous référer à ma signature.
Pourquoi vous ne mettez pas le nombre de femmes tuées lors d'avortement clandestin dans votre signature?
Il n'y a plus d'avortement clandestin, maintenant l'avortement est légal. c'est triste parce que les avortements peuvent être évités et la tu peux te référer a ma signature.
Ma signature donne des idées pour qu'il n'y a plus d'avortement.
Pourquoi alors vous me dites "tu oublies le nombre de femmes tuées lors d'avortement clandestin."
Jésus n'a pas condamné la femme adultère, seul celui qui n'a jamais péché peut se permettre de juger une femme qui avorte.
Jésus n'a pas non plus cautionner le péché , il a dit va et ne péche plus . et il manque pas quelque chose dans votre pensé .? l'homme ou était il ? parce que d'après la loi lui aussi était responsable et passible de la lapidation . ou est la responsabilité des hommes dans tous sa ? on en a fait uniquement une histoire de femme . la religion mais ou est DIEU dans tous sa ? est ce qu'il est catho protestant ou est il en dehors de tous ses systèmes politiques ou religieux , nous invitant simplement comme Jésus l'a fait en écrivant sur le sable a détourner nos yeux pour les abaisser sur lui . qui doit vous commander d'avorter ou pas , n'est ce pas lui seul qui a toute autorité , ou alors croyez vous que tous ceux qui ont choisit de le suivre ont été déçus ? quand il a dit qu'ils nourrirait ses disciples et le revêt comme les oiseaux du ciel , vous pensez que c'est du bidon . quand est ce que dans les pays ont va autoriser les médecin a demander a leurs patient de prier avant toutes décisions ? on vous demande de prêter allégeance a des politiques , sa équivaut a ouvrir la porte aux puissances d'on parle la Bible .
Le fait est qu'en dernier recours, c'est la femme qui fait le choix d'avorter ou pas. C'est une réalité incontournable.
Oui, MAIS, elle le fait PEUT ETRE à cause du chantage : "si tu le gardes, je te quitte" ou bien du côté du père "si tu le gardes, je ne veux plus te voir à la maison"...
C'est très rare que ça soit une décision de la femme, à moins d'un adultère...
Bouddhisme et Avortement - Contrôle des Naissances et IVG (comprendrebouddhisme.com)
EXTRAIT : Selon le bouddhisme, la conscience se joint à l’ovule fécondé à l’instant de la conception, ce qui fait de l’embryon un être vivant à part entière.
Le fait est qu'en dernier recours, c'est la femme qui fait le choix d'avorter ou pas. C'est une réalité incontournable.
et justement on enlever et fuie les responsabilités . qui dans la Bible est responsable devant DIEU de son foyer ? quand les hommes vont prendre leurs responsabilités le monde s'en portera que mieux . il faut remettre les choses a leurs place , ce n'est pas nous qui avons établis un ordre dans la société . est ce que Lhomme ou la Femme a le droit de changer cet ordre ? qui doit prendre soin de sa femme comme sa propre chair , aujourd'hui on ne dit plus ma femme mais ma compagne .
Les hommes et les femmes font partie du même ordre social, qui est un peu désordonné aujourd'hui. C'est pour ça, interdire est plus une réaction politique qu'une vraie recherche des causes et des solutions.
C'est l'avortement en tant que " droit constitutionnel " qui a été aboli .
Il ne s'agit pas de tous les avortements .
vous avez raison boulo. Et je viens de lire justement qu'en France, ce n'est pas dans la Constitution :
Comme une illustration du savoureux aphorisme d'Edgar Faure, assurant, en vieux baroudeur politique, que "ce ne sont pas les girouettes qui tournent mais le vent", une rafale venue ce vendredi des Etats-Unis semble avoir décidé le parti présidentiel à changer de cap.
Aurore Bergé, présidente de groupe Renaissance à l'Assemblée nationale, va, en effet, déposer une proposition de loi visant à inscrire dans la Constitution française le droit à l'avortement, ce que l'ex-parti LREM avait refusé de faire à deux reprises lors du quinquennat précédent.
Mais les temps ont changé, les juges de la Cour suprême des Etats-Unis ont rendu aux Etats américains le pouvoir d'autoriser ou d'interdire le recours à l'IVG (interruption volontaire de grossesse), estimant que la Constitution n'avait pas à se prononcer sur la question. Alors, afin de se prémunir de toutes mauvaises ondes, la France entend sacraliser ce droit. Mais de quelle manière et pour quelles conséquences ?
Comment le gouvernement peut-il inscrire le droit à l'avortement dans la Constitution ?
Pour entériner un projet de révision de la Constitution, le président de la République dispose de deux options de procédure.
Soit il soumet le texte au peuple français par référendum, après l'avoir fait adopter par l'Assemblée nationale et le Sénat, soit il réunit les deux chambres en Congrès à Versailles et soumet aux parlementaires le texte, qui doit être voté par une majorité au 3/5eme. ....
Qu'est-ce que cela changerait ?
Depuis l'adoption de la loi Veil, le 17 janvier 1975, l'avortement est dépénalisé en France et constitue une liberté fondamentale de valeur constitutionnelle.
Néanmoins, l'inscrire de manière effective dans la Constitution aurait le mérite de rendre plus difficile, ou tout simplement de dissuader des éventuelles tentatives futures pour l'abroger, ce droit passant sous l'illustre protection du Conseil constitutionnel.
Ce changement de statut protégerait un peu plus encore les dernières évolutions en la matière, à l'image de la loi du 3 mars 2022, qui a récemment allongé de 12 à 14 semaines le délai de recours pour effectuer une interruption volontaire de grossesse.
Subsiste toutefois une question à la frontière du droit et de la philosophie.
Parler d'un "droit" à l'avortement signifierait que les femmes disposent d'un droit de vie sur l'embryon, or la loi Veil précise bien que le fait d'avorter n'est pas un droit mais une mesure de protection dans le cadre d'une liberté individuelle.
"Nous sommes ici face à un véritable problème de philosophie du droit :
comment peut-on consacrer dans une constitution un droit qui n'existe pas au préalable ?", estime à ce titre, dans un entretien au journal La Croix, Anne-Marie Le Pourhiet, professeure de droit public à l'université Rennes 1 et vice-présidente de l'Association française de droit constitutionnel.
extrait de Trois questions sur une possible inscription d'un droit à l'IVG dans la Constitution - L'Express (lexpress.fr)
Invité Invité
Sujet: Re: L'Eglise : avortement, homosexualité, divorcés... Mar 28 Juin 2022 - 7:50
humanlife a écrit:
Les hommes et les femmes font partie du même ordre social, qui est un peu désordonné aujourd'hui. C'est pour ça, interdire est plus une réaction politique qu'une vraie recherche des causes et des solutions.
je pense que DIEU établis une société ordonner qui fut désordonner des la chute , le tentateur a introduit un poison dans l'humanité et meme au sein du peuple de DIEU , ( DIEU a il réellement dit ) . cet ordre établis fut rappeler par les apotres , DIEU le Christ l'Homme la Femme fonctionnant dans une harmonie et une soumission parfaite en DIEU . l'homme en mettant en doute la capacité du créateur a organiser la société ne récolte que les fruits . quand les Hébreux sont entrer en Canaan , DIEU leur a demander de tout vouer par interdit , en gardant de vouer certaines chose par interdit , on désobéit a DIEU et la racine qui reste fait de gros dégâts par la suite , c'est comme sa que l'on ruine un pays une vie ou une vie spirituel . en vous convertissant vous rentrer dans la terre promise il vous faut commencer par détruire les idoles . il faut d'abord démolir pour reconstruire c'est ce que DIEU dira a Jérémie . on peut toujours mettre du plâtre sur une fissure tot ou tard la fissure réapparaitra et les dégâts seront pire qu'avant . 50 pour cent d'abstention en France sa veux dire que la société vas mal et si ses 50 pour cent s'exclamaient vouloir se tourner vers celui qui détient la véritable royauté , moi et ma maison nous servirons l'Eternel , imaginez l'impact que sa aurait sur une nation ? 50 pour cent de la nation qui prie et s'humilie sa serait la pluie du ciel qui tomberait . avons nous besoin d'une loi avortement ou pas avortement pour savoir ce que DIEU veux que nous fassions ? les politiques ne sont pas nos pasteurs . on apprend plus aux gens a avoir confiance en DIEU , DIEU qui parfois permet les épreuves , pour que nous ouvrions la Bible et prions .
Invité Invité
Sujet: Re: L'Eglise : avortement, homosexualité, divorcés... Mar 28 Juin 2022 - 10:55
Espérance2
Spoiler:
boulo a écrit:
C'est l'avortement en tant que " droit constitutionnel " qui a été aboli .
Il ne s'agit pas de tous les avortements .
vous avez raison boulo. Et je viens de lire justement qu'en France, ce n'est pas dans la Constitution :
Comme une illustration du savoureux aphorisme d'Edgar Faure, assurant, en vieux baroudeur politique, que "ce ne sont pas les girouettes qui tournent mais le vent", une rafale venue ce vendredi des Etats-Unis semble avoir décidé le parti présidentiel à changer de cap.
Aurore Bergé, présidente de groupe Renaissance à l'Assemblée nationale, va, en effet, déposer une proposition de loi visant à inscrire dans la Constitution française le droit à l'avortement, ce que l'ex-parti LREM avait refusé de faire à deux reprises lors du quinquennat précédent.
Mais les temps ont changé, les juges de la Cour suprême des Etats-Unis ont rendu aux Etats américains le pouvoir d'autoriser ou d'interdire le recours à l'IVG (interruption volontaire de grossesse), estimant que la Constitution n'avait pas à se prononcer sur la question. Alors, afin de se prémunir de toutes mauvaises ondes, la France entend sacraliser ce droit. Mais de quelle manière et pour quelles conséquences ?
Comment le gouvernement peut-il inscrire le droit à l'avortement dans la Constitution ?
Pour entériner un projet de révision de la Constitution, le président de la République dispose de deux options de procédure.
Soit il soumet le texte au peuple français par référendum, après l'avoir fait adopter par l'Assemblée nationale et le Sénat, soit il réunit les deux chambres en Congrès à Versailles et soumet aux parlementaires le texte, qui doit être voté par une majorité au 3/5eme. ....
Qu'est-ce que cela changerait ?
Depuis l'adoption de la loi Veil, le 17 janvier 1975, l'avortement est dépénalisé en France et constitue une liberté fondamentale de valeur constitutionnelle.
Néanmoins, l'inscrire de manière effective dans la Constitution aurait le mérite de rendre plus difficile, ou tout simplement de dissuader des éventuelles tentatives futures pour l'abroger, ce droit passant sous l'illustre protection du Conseil constitutionnel.
Ce changement de statut protégerait un peu plus encore les dernières évolutions en la matière, à l'image de la loi du 3 mars 2022, qui a récemment allongé de 12 à 14 semaines le délai de recours pour effectuer une interruption volontaire de grossesse.
Subsiste toutefois une question à la frontière du droit et de la philosophie.
Parler d'un "droit" à l'avortement signifierait que les femmes disposent d'un droit de vie sur l'embryon, or la loi Veil précise bien que le fait d'avorter n'est pas un droit mais une mesure de protection dans le cadre d'une liberté individuelle.
"Nous sommes ici face à un véritable problème de philosophie du droit :
comment peut-on consacrer dans une constitution un droit qui n'existe pas au préalable ?", estime à ce titre, dans un entretien au journal La Croix, Anne-Marie Le Pourhiet, professeure de droit public à l'université Rennes 1 et vice-présidente de l'Association française de droit constitutionnel.
extrait de Trois questions sur une possible inscription d'un droit à l'IVG dans la Constitution - L'Express (lexpress.fr)
[/quote]
instructif , mais est ce que sa vas changer la position de l'église ? l'église a choisit qui elle veux servir les états choisissent qui elle veulent servir et prennent en otage les citoyens histoire du référendum avec les précautions avant cela de vous bourrer le crane pour vous dire ou vous devez aller . et si vous allez dans le sens contraire il ya un plan B en réalité ils tremblent devant DIEU , l'Islam utilise la force pour empêché la conversion , les états utilise la démocratie contrôler .
Invité Invité
Sujet: Re: L'Eglise : avortement, homosexualité, divorcés... Mar 28 Juin 2022 - 15:28
Philippe bis
Spoiler:
florence_yvonne a écrit:
philippe bis a écrit:
florence_yvonne a écrit:
Si vous voulez mon opinion sur l'avortement, vous n'avez qu'a vous référer à ma signature.
Pourquoi vous ne mettez pas le nombre de femmes tuées lors d'avortement clandestin dans votre signature?
Il n'y a plus d'avortement clandestin, maintenant l'avortement est légal. c'est triste parce que les avortements peuvent être évités et la tu peux te référer a ma signature.
Ma signature donne des idées pour qu'il n'y a plus d'avortement.
Pourquoi alors vous me dites "tu oublies le nombre de femmes tuées lors d'avortement clandestin."
[/quote] Réfléchie cinq minutes, il n'y a plus d'avortements clandestins depuis que l'IVG a été légalisé.
Mais nos efforts doivent porter sur l'aide à la femme pour qu'elle n'ai plus besoin d'avorter
adolphe
Messages : 4186 Inscription : 02/05/2022
Sujet: Re: L'Eglise : avortement, homosexualité, divorcés... Mar 28 Juin 2022 - 16:53
florence_yvonne a écrit:
Réfléchie cinq minutes, il n'y a plus d'avortements clandestins depuis que l'IVG a été légalisé.
Selon la littérature pro-avortement , il en existe encore ; ils l expliquent que des femmes ont envie d avorter au 8ème ou 9ème mois , ce que l IVG en France n autorise pas
Ceci dit , il a été prouvé que les avortements clandestins n exposaient pas davantage les femmes à la mort que les accouchements clandestins, ou même les accouchements non clandestins .
Les victimes sont bien les enfants
Invité Invité
Sujet: Re: L'Eglise : avortement, homosexualité, divorcés... Mar 28 Juin 2022 - 18:39
adolphe a écrit:
Ceci dit , il a été prouvé que les avortements clandestins n exposaient pas davantage les femmes à la mort que les accouchements clandestins, ou même les accouchements non clandestins .
Les victimes sont bien les enfants
où cela a été prouvé ?
adolphe
Messages : 4186 Inscription : 02/05/2022
Sujet: Re: L'Eglise : avortement, homosexualité, divorcés... Mer 29 Juin 2022 - 3:28
Espérance2 a écrit:
adolphe a écrit:
Ceci dit , il a été prouvé que les avortements clandestins n exposaient pas davantage les femmes à la mort que les accouchements clandestins, ou même les accouchements non clandestins .
Les victimes sont bien les enfants
où cela a été prouvé ?
Dans les chiffres de l OMS Dans plusieurs pays pauvres , le taux de mortalité des accouchements "conventionnels" ( donc non clandestins ) dépasse aisément les 1 000 pour 100 000 Le nombre de femmes enceintes qui décèdent dans le monde par an est de 300 000 avant la naissance auquel il faut rajouter aussi les femmes qui meurent quelques jours peu après leur accouchement Selon les nouvelles estimations, 2,8 millions de femmes enceintes et de nouveau-nés meurent chaque année dans un processus d accouchement et non pas d avortement En revanche , les lobbies pro avortement n estimeraient qu a 40 000 les femmes qui décéderaient pendant un avortement 40 000 comparé à 2.8 millions de victimes , cela ne pèse pas bien lourd . C est encore plus ridicule par rapport au nombre d avortements dans le monde connus, l OMS donnant un modèle mathématique estimant à 73 millions d’avortements chaque année. De plus , ce chiffre de 40 000 est surévalué : 1) On notera que l’OMS, dans sa communication, préfère retenir l’estimation haute plutôt que l’estimation moyenne qui aurait conclu à 23 000 décès par an. https://www.alliancevita.org/2022/04/decryptage-des-chiffres-de-loms-sur-lavortement-dans-le-monde/ 2) Il est de plus surévalué car puisque ce sont des avortements clandestins et que c est une estimation , il cumule à la dois des décès causés par l avortement en soi , mais aussi des décès qui ont d autres causes, accidents , etc .. mais qui se produisent pendant les phases d avortement . En effet , comme ce sont des actes clandestins , on ne connaît pas la cause réelle Alors qu en revanche la comptabilisation des décès lors des accouchements , parce que ce sont des chiffres non-clandestins , rejettent davantage les décès par accident ou par d autres causes non liées à la maternité . En effet , comme ce sont des actes non clandestins , on connaît la cause réelle 3) enfin , ce chiffre est flou puisqu il ne parle pas d avortements volontaires ; et donc il comprend aussi les avortements par nécessité pour sauver la vie de la mère mais ... qui échouent à sauver la mère . Du coup combien de femmes décèdent par choix d avorter et non pas par nécessité ? Donc l entretien d une propagande selon laquelle il faudrait légitimiser l avortement car les avortements clandestins tueraient significativement relève du mythe . Il faut être violemment tordu pour vouloir faire une "cause" des femmes qui meurent par avortement . Quelle apathie par rapport aux autres millions de victimes !
Et le fait que les avortements clandestins n exposent pas davantage les femmes à la mort que les accouchements clandestins, ou même les accouchements non clandestins s explique très bien : La malnutrition , que ce soit celle actuelle dans les pays pauvres ou que ce soit celle en occident au 19ème siècle , met considérablement plus en danger les femmes qui accouchent que les femmes qui avortent Au 19ème siècle , en Europe , les campagnes étaient mieux nourries que dans les villes , les hôpitaux fournissaient peu voir pas du tout l alimentation, et on notait que le taux de mortalité des femmes accouchant à l'hôpital pouvait être 10 fois plus élevé que celui à domicile. Le combat contre la malnutrition a toujours été un leitmotiv de l OMS
Invité Invité
Sujet: Re: L'Eglise : avortement, homosexualité, divorcés... Mer 29 Juin 2022 - 7:58
Une véritable église centrée sur le Christ n’ est pas une vitrine pour les saints, mais un hôpital pour les pécheurs.
TPG sous le titre DIEU pardonne il l'avortement fait un constat honnête de la situation . Des millions de femmes et d’hommes, tant dans la société que dans l’église, souffrent de la culpabilité liée à l’avortement. En Amérique, près d’une femme sur cinq ayant eu un avortement s’identifie comme une chrétienne évangélique.* Cela signifie que chaque année, les chrétiennes effectuent un quart d’avortement. Les pères de ces enfants font également partie de nos églises.
Randy Alcorn est l'auteur d'une cinquantaine de livres et le fondateur et directeur de Eternal Perspective Ministries . Les camps de concentration de l'Allemagne nazie sont un témoignage de ce qui se passe lorsque les gens commencent à décider qui a le droit de vivre et qui ne l'a pas. Le panneau à Auschwitz dit : "Plus jamais ça". Pourtant, des holocaustes se sont à nouveau produits. J'espère qu'un jour notre pays admettra que l'avortement tue des enfants et dira : "Plus jamais ça".
Invité Invité
Sujet: Re: L'Eglise : avortement, homosexualité, divorcés... Mer 29 Juin 2022 - 14:41
Excusez le coté grivois de mon message, mais la pilule, ce n'est pas fait pour les chiens.
Pourquoi une femme qui ne veut pas d'enfant serait 'elle obligée d'en avoir ?
Pilgrim2
Messages : 2582 Inscription : 25/08/2020
Sujet: Re: L'Eglise : avortement, homosexualité, divorcés... Mer 29 Juin 2022 - 18:46
Trinity45 a écrit:
et bien sûr, ce sont des hommes qui parlent. Même si vous vous faites violer (et oui ça arrive aussi aux hommes), vous n'avez aucun risque d'être enceinte.
obscurantisme religieux va de pair avec la misogynie.
Ce genre de message est tellement niaiseux.
Faisons taire les Biden, Macron, Trudeau et sympatisants de la "cause" dans ce cas-là. Ils ne disposeraient pas de la bonne base biologique pour s'exprimer valablement.
Pilgrim2
Messages : 2582 Inscription : 25/08/2020
Sujet: Re: L'Eglise : avortement, homosexualité, divorcés... Mer 29 Juin 2022 - 19:05
Humanlife a écrit:
Ce que je veux dire, c'est que la loi est une chose, mais le choix de la femme de garder ou pas un enfant en est une autre.
Ce qui serait parler pour ne rien dire.
Bien sûr que que la loi c'est une chose, le comportement du gouverné une autre. Il n'en change rien au caractère de la loi, que le citoyen fasse ceci ou cela.
Une loi injuste ne deviendra pas «plus juste» parce que des criminels la respecteraient, et à l'Inverse une loi juste ne sombre pas elle-même dans l'injustice au motif que des injustes la contourneraient.
boulo aime ce message
Invité Invité
Sujet: Re: L'Eglise : avortement, homosexualité, divorcés... Mer 29 Juin 2022 - 19:06
Pilgrim2 a écrit:
Trinity45 a écrit:
et bien sûr, ce sont des hommes qui parlent. Même si vous vous faites violer (et oui ça arrive aussi aux hommes), vous n'avez aucun risque d'être enceinte.
obscurantisme religieux va de pair avec la misogynie.
Ce genre de message est tellement niaiseux.
Faisons taire les Biden, Macron, Trudeau et sympatisants de la "cause" dans ce cas-là. Ils ne disposeraient pas de la bonne base biologique pour s'exprimer valablement.
je vais peut etre choquer un peu . une femme qui s'est convertis et qui s'est fait violer , va elle se faire avorter ou garder son enfants ? c'est la qu'il faut aller chercher les témoignage au lieu des baliverne de politique . la loi devrait faire savoir aux femme qu'il existe aussi un autre moyen que l'avortement , une autre façon de voir les choses . et non pas mettre les femmes devant le fait accomplit ou il n'y a qu'une solution celle de l'avortement
boulo
Messages : 21137 Inscription : 25/12/2011
Sujet: Re: L'Eglise : avortement, homosexualité, divorcés... Mer 29 Juin 2022 - 19:15
florence_yvonne a écrit:
Excusez le coté grivois de mon message, mais la pilule, ce n'est pas fait pour les chiens.
Pourquoi une femme qui ne veut pas d'enfant serait 'elle obligée d'en avoir ?
Les rédacteurs des " lettres ummites " , extraterrestres autoproclamés , se rient de nos contraceptifs qu'ils estiment archaïques .
Sur leur planète " de rêve " , les époux ( strictement monogames ) disposeraient d' un appareil de télédétection et télécontrôle du cycle de l'ovulation ( ralentissement ou accélération du cycle à volonté ) ...
Plus besoin de contraceptifs physiques , chimiques ou hormonaux perturbants .
Une science-fiction prometteuse ?
faire défiler à gauche jusqu'au document D 41-12 T8-60/63 ( 1966 ) dans
https://www.ummo-sciences.org/fr/index-cons.htm
Dernière édition par boulo le Jeu 30 Juin 2022 - 4:07, édité 3 fois
Invité Invité
Sujet: Re: L'Eglise : avortement, homosexualité, divorcés... Jeu 30 Juin 2022 - 17:57
Le meilleur moyen de contraception, c'est le préservatif, en plus il protège des maladies sexuellement transmissibles comme le SIDA.
boulo
Messages : 21137 Inscription : 25/12/2011
Sujet: Re: L'Eglise : avortement, homosexualité, divorcés... Jeu 30 Juin 2022 - 19:41
Pas très excitant ... Et sûrement pas utilisé par les violeurs .
Le meilleur moyen de contraception, c'est le préservatif, en plus il protège des maladies sexuellement transmissibles comme le SIDA.
remontons a la source , d'où viens le SIDA ? DIEU nous propose une protection par un meilleur mode de vie , l'homme propose une solution avec un moyen matériel et curieusement c'est la solution du monde que l'on apprend a l'école . on a un problème de nature et le monde va nous proposer un truc , mais sa ne résoudra jamais le problème de nature . en reconnaissant que nous sommes tous des être de nature humaine , Jésus nous apprend tout de même autre chose , si c'est ton œil qui te fait péché , jette le loin de toi si c'est ta main coupe la . d'où viens la corruption de l'humanité et quel est son remède ? on a mis des siècles de moral a la poubelle remplacer par un nouvel évangile , ce qui n'excuse pas le temps ou l'on a pas soigné le pécheur mais condamner et juger le temps ou l'église n'a pas jouer son rôle d'hôpital pour les pécheurs . pendant combien de temps on a juger les séropositifs comme des pestiférer ? Jésus a il agit comme sa avec les Lépreux ?
la pilule est infallible (si on n'oublie pas de la prendre bien sur) quand aux violeur, ils utilisent le préservatif, car c'est le seul moyen de ne pas laisser du sperme et donc de l'ADN.
Maintenant on fait des préservatifs qui ont le toucher de la peau, c'est comme si on n'en avait pas.
Si l'on veut interdire l'avortement ( ce qui est très hautement souhaitable ) ne faudrait-il pas trouver un moyen de contraception plus hautement technologique , plus facile d'emploi , et moins perturbant que les contraceptifs physiques , chimiques et hormonaux ?
Mais une fois ce dispositif découvert , il faudrait bien réviser l'encyclique Humanae vitae dont une interprétation trop stricte a pu faire tant de mal ...
Je ne pense pas.
[...]
La méthode Ogino-Knaus suppose une disponibilité et un accord parfait des conjoints rarement rencontrés dans les faits .
J'ai connu une catholique qui n'acceptait comme contraception que le retrait de son époux . Elle était persuadée que seule cette méthode était en accord avec les directives pontificales ( ce qui était faux , bien sûr ) .
Par ailleurs , inexplicablement , la méthode SERENA du Canada ( apprentissage de l'examen olfactif pour la détection de l'ovulation approchante ) avait été condamnée par le dicastère désigné du Vatican ...
Dernière édition par boulo le Dim 3 Juil 2022 - 15:34, édité 1 fois
Si l'on veut interdire l'avortement ( ce qui est très hautement souhaitable ) ne faudrait-il pas trouver un moyen de contraception plus hautement technologique , plus facile d'emploi , et moins perturbant que les contraceptifs physiques , chimiques et hormonaux ?
Mais une fois ce dispositif découvert , il faudrait bien réviser l'encyclique Humanae vitae dont une interprétation trop stricte a pu faire tant de mal ...
Je ne pense pas.
[...]
La méthode Ogino-Knaus suppose une disponibilité et un accord parfait des conjoints rarement rencontrés dans les faits .
J'ai connu une catholique qui n'acceptait comme contraception que le retrait de son époux . Elle était persuadée que seule cette méthode était en accord avec les directives pontificales ( ce qui était faux , bien sûr ) .
Par ailleurs , inexplicablement , la méthode SERENA du Canada ( apprentissage de l'examen olfactif pour la détection de l'ovulation approchante ) avait été condamné par le dicastère désigné du Vatican ...
L'évangile ne le précise pas [pour l'avortement] mais c'est probable .
Ce serait solliciter le texte un peu trop.
Le récit évangélique visé nous apprend seulement qu'on a affaire à une femme réputé adultère. Et les autres seraient supposés alors (on ne sait comment) l'avoir prise en flagrant délit. On supposerait bien que le péché d'adultère en question a bien été commis.
et
La question sous-jacente ici et liée à la «récrimination» (valable ?) de Humanlife : elle concernerait le fait de savoir si oui ou non le Christ s'oppose à ce qu'il y ait des interdits légaux (judiciaires, etc.), si Jésus a «quelque chose» contre le principe même de la loi qui pourrait pénaliser le fautif, si Jésus serait un «bon gars» mais justement parce qu'il viendrait supprimer l'idée même que des pauvres bougres d'humains pécheurs puissent avoir le droit pour eux d'infliger une coûteuse pénalité à un contrevenant, une contrevenante.
Les députés de la majorité veulent inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution
La présidente du groupe renaissance (ex-LREM) à l’Assemblée nationale Aurore Bergé a annoncé le dépôt d’une proposition de loi visant à inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution. Après la décision de la Cour suprême américaine de revenir sur le droit constitutionnel à l’avortement aux États-Unis, la présidente des députés Renaissance (ex-LREM) Aurore Bergé a annoncé samedi 25 juin le dépôt d’une proposition de loi pour inscrire « le respect de l’IVG dans notre Constitution».
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Est-ce que l'exécutif fait preuve de discernement ? Quand la politique des hommes ou des femmes s'en mêlent ...
De quel respect s'agit-il ? ... Ce "respect" terme choisi par Aurore Bergé, est contraire au "droit à la vie" souligné par le Pape François ... ------------------------ Le pape François rappelle le droit à la vie :
« L’Église est pour la vie, et son souci est que rien ne soit contre la vie comme réalité d’une existence concrète, qu’elle soit faible ou sans défense, même non développée ou peu avancée»
Les femmes ne se font pas avorter comme on se fait faire une permanente chez le coiffeur, c'est un traumatisme qui ne les quittera jamais. toute leur vie elles penseront à cet enfant qu'elle n'on pas eu.
le Pape n'a pas à s'immiscer dans les décisions politiques. que le droit à l'avortement existe n'implique aucunement une obligation à l'avortement. les "religieux" dont la croyance ne repose sur rien de prouvé prendront leur décisions en fonctions desdites croyances et qu'ils fichent la paix aux autres.
surtout quand on lit encore les énormités aussi sur l'homosexualité comme si elle était un choix de vie. il est plus que temps de faire stopper certains délires d'ignares.