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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 17:24
Cette carte illustre bien les dimensions que devait avoir la Palestine, foyer juif.
Il n'y a que sur les documents impérialistes sionistes que l'on tente de faire croire que les territoires hachémites de Jordanie devaient être aussi donnés aux juifs.
Une manière de dire, "voyez, on est bons princes, on vous laisse la Transjordanie"... Une manière de camoufler le vol...
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 17:28
ce qui a ete parfaitement tenu par les sionistes.
puis les musulmans ont agresses les juifs. alors!
Dragna Din
Messages : 5180 Inscription : 16/04/2013
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 17:30
Argumentez prinu, on ne comprend rien !
Vous voulez dire que les sionistes ont tenu parole en volant les terres des Bédouins ?
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 17:32
SDN 1921 San remo: toute la palestine est donnees aux seuls juifs, pour les autres (musulmans), est attribue Cinq fois plus ! l'actuelle jordanie.
ensuite, lesageesseurs arabes perdent leurs guerres.
c'est legal.
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 17:34
s n'ont rien voles. lesbedouins n'ont pas de terres, ces regions int ete atteibuees par la SDN, puis oar l'onu.
lesbedouins n'ont pas de oropriete de terrains. non sedentaires, ils bougeaient sans cesse, refusant d'avoir une terre.
mais israel leur a donne des terres malgre leurs usages de ne pas en posseder.
pour moi, les bedouins ont dix mille fois plus d'honneur et de legitimite que les dits palestiniens. je les respecte beaucoup. ce sont ceux que je comprend le mieux. Les bedouins servent volontairement dans tsahal, soecialises dans le desert. ils empechent par exemple les palestiniens d'aller terroriser les egyptiens.
Dernière édition par prinu le Ven 16 Mai 2014 - 17:57, édité 1 fois
Dragna Din
Messages : 5180 Inscription : 16/04/2013
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 17:35
Voici des images plus claires de ce que Balfour entendait par "Palestine" comme foyer juif.
Spoiler:
Oh ! "Zone internationale"
Evidemment pour les impérialistes sionistes, c'est devenu ça:
Spoiler:
Dragna Din
Messages : 5180 Inscription : 16/04/2013
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 17:39
Allons prinu, reprenez-vous...
Respirez et mettez-nous quelques liens mensongers...
Dragna Din
Messages : 5180 Inscription : 16/04/2013
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 17:44
Pas de bédouins ?
En blanc, je dis que ça couvre bien Israël quand même...
DelpheS
Messages : 1089 Inscription : 13/04/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 17:53
prinu a écrit:
votre carte n'explique rien, et vos accusations primaires sont fausses. etayez, demontrez, argumentez . vous ne faites rien de tel. les concessions qu'israel peux faire, sont tres bonnes, sur le terrain, pour faire la paix. il fait penser aux voirs de communications pour l'interet des deux parties, et Israel en tiend compte dans ses propositions de paix, toujours refusees depuis des annees par les palestiniens qui veulent tout, tout en regusant dd reconnaitre le caractere juif de l'etat avec qui ils pretendent discuter. ce n'est oas acceptable. aucun pays au monde n'accepterait ce qu'on veux imposer a Israrl, qui n'est pas l'agresseur, et qui est diffame. par ailleurs, vos propos , non etayes, gratuits, faux, sont tires par les cheveux. vous ne retenez rien des preuves et demonstrations.
Mais reconnaitre le caractère juif de l'état est une condition récente, avant c'était juste reconnaitre l'état, et puis si on reconnait le caractère juif, on pourra toujours rajouter reconnaitre Jérusalem comme capitale éternelle, ainsi de suite, pour prolonger indéfiniment.
" Comment Israël définit-il l’État juif si ce n’est par la « pureté ethnique et religieuse ? » Israël n’est pas parvenu à régler cette question. Le parlementaire Avi Dichter (Kadima) a présenté des projets de loi à la Knesset en 2010 et 2011 visant à supprimer l’arabe des langues officielles et à remplacer la loi fondamentale israélienne par la loi religieuse juive. Ces projets de loi ont été retirés.
L’année dernière, deux ensembles de projets de loi présentés par Yariv Levin (Likoud), Ayelet Shaked (Foyer juif) et Ruth Calderon (Yesh Atid) ont essayé de définir l’expression « État juif » mais n’ont de nouveau pas pu parvenir à un consensus. Comment les dirigeants palestiniens pourraient-ils accepter une expression vague que les législateurs israéliens sont incapables de définir ?"
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 18:07
les zones ou les bedouins vaquaient, oui. mais les bedouins refusaient de se dire proprietaires, ils traversaient le desert. et allairnt ausdi d'un pays a l'autre.
les pays arabes ont ils donnes des terres aux bedouins ? non. les resoectent ils ? non. les libanais et autres pays arabes respectent ils drs droits aux palestiniens ? non. les pakestiniens sont pris comme des sous hommes au Liban et ailleurs, ils ne sont resoectes avec des droits qu'rn israel et dans aucune autre region !
74% des arabes israrliens disent refuser de vivre dans un etat gere par les palestiniens !
les zones internationales n'etaient ni bedouinnes ni palestiniennes. les agresseurs arabes voulaient prendre aussi ces zones internationales.
quand les agresseurs arabes attaquaient, ils bafouaient les zones internationales, ils les ont envahies pour en prendre possession.
en se defendantt, les israeliens ont legalement eu le droit de les posseder.
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 19:05
Dragna Din a écrit:
Donc une république racialiste et excluant de sa vie politique tout non juif...
Et vous en tant qu'athée, vous n'êtes donc pas juif de nationalité,
sur ma seule carte d'identité, il ya écrit: république francaise.
et Israel est une démocratie: sraël est une démocratie multiraciale et multiethnique. Les minorités arabes, druzes et autres en Israël disposent de droits égaux. Tous les citoyens possèdent un droit de vote égal. Les discriminations raciales sont interdites par la loi. Les universités sont mixtes. Certaines villes et villages israéliens sont également mixtes. C’est le cas d’Acres, Haïfa, Jaffa, Lod et Ramla où Juifs et Arabes vivent côte à côte. Les tribunaux israéliens luttent efficacement contre toute forme de discrimination. La minorité arabe israélienne participe pleinement au processus politique.
Les citoyens arabes israéliens possèdent certains droits collectifs en tant que minorité nationale. L’arabe est la deuxième langue officielle en Israël et on trouve en Israël une culture, littérature et presse arabe florissantes.
Le gouvernement israélien œuvre en faveur de la réduction des écarts entre la minorité et la majorité ethnique. Plus particulièrement depuis la Commission Or en 2000, Israël comble activement les écarts économiques, ouvre l’accès au service civil, égalise les droits sociaux, introduit l’arabe dans les écoles juives et améliore l’accès à l’éducation supérieure.
77% des citoyens arabes d’Israël affirment qu’ils préfèrent vivre en Israël plutôt que dans n’importe quel autre pays au monde.
Donc votre avis n'est qu'un simple mensonge gratuit.
Dragna Din
Messages : 5180 Inscription : 16/04/2013
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 19:16
Allooooo prinu, que dites-vous de cela : deux classes de personnes juridiques en Israël ; ceux avec la nationalité israélienne et le droit de propriété, et ceux avec la citoyenneté israélienne et l'absence de droit à la propriété. Sans compter le statut d'occupés des palestiniens dans les Territoires occupés.
Alors ? Quelque chose à ajouter ????
Il y a différents statuts en Israël: comme je le disais, une distinction juridique et religieuse entre nationalité juive et citoyenneté pour les autres (non-juifs au sens religieux du terme) ; ensuite entre les territoires de l’État d'Israël (anté-1967) et les Territoires occupés (statuts d'occupation reconnu par toutes les législations internationales) que la Cour suprême d’Israël nomme « possession belligérante » (tfisah lohmatit). Le statut juridique des habitants de ces Territoires occupés sont semblables à ceux des français sous occupation allemande...
Et pour rappel, en Israël, un non-juif (donc dépositaire seul de la citoyenneté juive en Israël) ne peut être légalement propriétaire:
les acheteurs d'un bien immobilier en Israël doit savoir qu'il existe deux distinctions fondamentales :
- entre les biens faisant l'objet d'une appropriation privée et ceux demeurant propriété éminente de l'État qui sont gérés par le Minhal Mekarke Israël,
- et d'autre part, entre les biens qui ont fait l'objet d'une inscription au cadastre (Racham Mekarkein).
90% des biens immeubles (constructions et terrains) appartiennent au Minhal, donc à l’État et 10% au Racham...
La propriété est ainsi réservée uniquement aux juifs (au sens religieux). En vertu du bail signé par chaque individu ou institution avec le Fonds national juif, il est interdit d’en transmettre le droit d’exploitation à un non-juif, quand bien même il serait citoyen de l’État d’Israël.[/quote]
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 19:22
vous parlez d'un accord secret, lettre morte, alors que le traité de san rémo a bien été voté. Les accords secrets Sykes-Picot (16 mai 1916) : la France et le Royaume-Uni se partagent le Moyen-Orient.
L'ouverte conférence de San Remo qui, en 1920, confie à la France un mandat sur le Liban et la Syrie, et, à la Grande-Bretagne un mandat sur la "Palestine" afin d’y créer un « foyer national pour le peuple Juif » conformément à la déclaration Balfour (1917).
vous oubliez aussi la dhimmitude, le statut cruel, inférieur et déshumanisant, des juifs sous domination musulmane.
Il, vous faut expliquer le refus musulman d’un Etat non musulman, le refus islamique qu’un dhimmi devienne acteur de son histoire dans son Etat.
Vous occultez les Livres blancs britanniques limitant l’immigration juive en Palestine sous mandat de la Grande-Bretagne et le rôle de Mohammed Amin al-Husseini, nommé en 1921 grand mufti de Jérusalem, fomenteur de révoltes antisémites.
Vous omettez également la présence juive pluriséculaire en Israël et occultez celle majoritaire juive à Jérusalem depuis au moins le milieu du XIXe siècle.
Interrogez vous sur la viabilité des Etats multiethniques, constatez que leur création aboutit à une guerre ou à un transfert de populations à l’initiative des autorités musulmanes, toujours.
Dragna Din
Messages : 5180 Inscription : 16/04/2013
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 19:27
prinu a écrit:
blablabla
Mais prinu, ces territoires ont été volés aux Turcs ! Les Anglais pouvaient bien dire ce qu'ils veulent ils agissaient en colonisateurs... Un peu à la manière des sionistes...
La Transjordanie n'a jamais été peuplée par les Juifs, tout comme le Néguev ou Gaza... Sauf dans les délires nationalistes impérialisants des sionistes...
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 19:28
en Israel, les arabes sont riches, et propriétaires. Ils sont libres, et mangent, ils participent a la vie du pays. c'est ce qui compte. c'est une démocratie.
la propriété est libre a toute les religions, des terrains, des supermarchés et des HLM appartiennent a des musulmans, chrétiens, etc..
Il y a des PDG arabes israéliens. leurs sociétés font meme de la publicité a la télévision israélienne.
sans probléme aucun.
donc votre propos démentiel ne correspond pas a la réalité.
Dragna Din
Messages : 5180 Inscription : 16/04/2013
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 19:28
prinu a écrit:
Interrogez vous sur la viabilité des Etats multiethniques, constatez que leur création aboutit à une guerre ou à un transfert de populations à l’initiative des autorités musulmanes, toujours.
Un peu comme Josué arrivant dans la pays de Canaan et tuant tous ses habitants ?
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 19:30
Le fait que le sturcs ont du fuir devant les anglais, ne change rien au droit donné soit par san rémo en 1921, puis par l'onu en 1948, et ne change rien au fait que vous venez d'avouer que cette région n'appartenait donc pas politiquement, territorialement, aux palestiniens mais aux turcs.
Puis aux anglais.
MERCI de l'avoir enfin avoué.
merci, dragna, d'avouer enfin que les palestiniens n'avaient ren à eux. MERCI.
ensuite, quand les bachibouzouks agresseurs perdent leur guerre, ils perdent ce qu'ils abandonnent, leurs babouches jonchent le sol,, et c'est tout. qu'ils ne réclament rien, ni la moitié de Jéusalem qui n'a jamais été a eux. il 'n'ya pas a leur rendre ce qu'ils ne possédaent nullement, ni leur offrir un état islamiste , au nom de la paix. autant que les bottes de soldats allemands dans les chemins de france. que les allemands ne réclament rien non plus, ni la moitié de Paris, ni droit au retour, et on n'a pas créé d'état nazi en 1945, au nom de la paix.
enfin, votre motivation à défendre un état d'apartheid isalmique, est à expliquer: en quoi voulez vous une entité d'apartheid islamique dans cette région ? qu'est ce qui vous motive personellement, dragna, pour creer une dictature islamique au lieu et à la place d'une démocratie libertaire et égalitaire multiethnique comme Israel ?
aprés tout, vous n'avez jamais critiqué les dictatures islamistes a gaza, liban, syrie, iran .. ca ne vous géne donc pas, l'islam radical. vous trouvez ca trés joli.vous avez déja critiqué la réligion juive, par ailleurs, et meme l'existence d'un peuple juif. est ce le motif essentiel de votre passion pour défendre une république bananiére islamique palestinienne ? la joie de voir des hommes, femmes , enfants, parceque juifs, souffrir, mourir, tandis que les islamistes radicaux palestiniens dansent sur leur corps ? on a démontré que d'injustice planifiée ou tangible, de la part des juifs ou des sionistes, celà n'existe pas vraiment, c'est un mythe. on a démontré que d'injustice envers des musulmans, il n'y en a , dans ces régions du moins, que de la part d'autres musulmans, au moyen orient. ils sont des loups entre eux.
je ne voit pas pourquoi etre motivé à défendre de tels régimes islamistes cruels, vraiment - sauf a en faire partie soit meme, ou a aimer la cruauté.
qu'est ce qui vous motive a défendre le camp de la cruauté, dragna ? c'est personnel, comme un quart de la population mondial, d'aprés les statistiques que j'avais donné ici ?
c'est pour moi, un grand mystére. Le musicien shostakovitch se posait les memes questions sur la nature humaine, dans son livre. et plusieurs philosophes, politiciens, écrivains, n'ont pas encore pu donner une réponse à ce mystére de la haine antijuive cachée dérriére bien des revendications honteuses mises en avant comme paravent et banniére.
Dernière édition par prinu le Ven 16 Mai 2014 - 19:49, édité 1 fois
Dragna Din
Messages : 5180 Inscription : 16/04/2013
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 19:31
prinu a écrit:
en Israel, les arabes sont riches, et propriétaires. Ils sont libres, et mangent, ils participent a la vie du pays. c'est ce qui compte. c'est une démocratie.
la propriété est libre a toute les religions, des terrains, des supermarchés et des HLM appartiennent a des musulmans, chrétiens, etc..
Il y a des PDG arabes israéliens. leurs sociétés font meme de la publicité a la télévision israélienne.
sans probléme aucun.
donc votre propos démentiel ne correspond pas a la réalité.
C'est faux, et je vous conseillerais de mieux étudier les lois d'Eretz Israel... Vous ne savez que lancer votre propagande mal digérée, aucune culture dans vos plagiats...
En Israël si on n'a pas la nationalité juive on ne peut pas être propriétaire. Et 90% des immeubles et des terres appartiennent à l'Etat...
LISEZ-VOUS UN PEU AU SUJET D'ISRAEL ? Je veux dire autre chose que la haine raciste anti-palestinienne ?
Dernière édition par Dragna Din le Ven 16 Mai 2014 - 19:33, édité 1 fois
Dragna Din
Messages : 5180 Inscription : 16/04/2013
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 19:32
prinu a écrit:
bla bla bla MERCI.
Je n'avoue rien, ce sont vos sionistes qui disent posséder une terre qui ne leur appartient pas.
Les habitants de la Judée depuis l'époque romaine jusqu'aux turcs ont tous le droit d'y habiter. Et les seuls à le refuser ce sont les sionistes !
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 19:55
donc, si vous argumentez que 90 % des batiments appartiennent à l'état d'Israel, c'est négatif, cela voudrais dire que vous etre anticommuniste, c'est celà ?
il ya des pays ou des gens REVENT que les habitations appartiennent à l'état, afin d'avoir des loyers modérés.
et tout le monde l'applaudit, et le réclame, dans le monde. y compris en France !
dans certains pays musulmans, c'est pire ! des sheiks possédent tout.
mais il semble que celà ne soit nuisible à vos yeux, que parceque cet état est juif.
sinon, vous vous focaliseriez sur trente autres pays, et deux cent dictatures, et encenseriez la démocratie de ce minuscule état juif obnubilant qui fait monter votre tension.
voulez vous une bonne tasse de thé ?
--
Les habitant "de judée jusqu'a nos jours", comme vous dites, ne sont plus vivants (ils sont été masscrées depuis 2000ans, et par les ottomans..), ou ont perdus légalement leurs droits par des traités signés.
Les sionistes ne refusent absolument pas a ceux qui ont vécus de judée a aujourdh'ui, a leurs droits. peuevnt isl revenir ? ils sont morts il ya mille ans .; et le sturcs ont bien perdus leurs droits politiques, puis les anglais. il n'y a donc plusd edroita reprendre, pour autre que les juifs.
hormis les juifs, ill n'y en a pas. les palestiniens n'étaient pas des proprietaires politiques, quand ils ont immigrés dans cette région vers 1880. donc ils sont exclus de droits historiques, il n'y ont aucun rapport historique ou politique, ils ne font pas partie de votre liste de peuple ayant des droits politiques sur cette région.
Les habitant de judée jusqu'a nos jours, ne sont plus vivants, ou ont perdus légalement leurs droits, sauf les juifs, héritiers légitimes de la palestine, toujours vivants, et avec une péésence réguliére depuis des centaines d'années, attendant de récuperer leurs droits. ils ont aussi acheté légalement des terres, à prix d'or, et de svilles étaient entiérement juive dés 1830. en paralléel, nulle propriété politique n'exista jamais pour les immigrés étrangers, dits palestiniens.
et ils y sont désormais dans leur état, qui leur appartient légalement, politiquement. les musulmans sont jaloux de la démocratie israélienne. une famille allemande venant immigrer en france, n'a pas de propriété politique en se disant de souche gauloise, et elle n'y a pas d'histoire pour y prétendre avoir une culture ou un leg historique, pas plus les dits palestiniens , quand ils sont venus immigrer dans cette région.
Les israéliens n'accepterons un partage, que dans un respect mutuel, réél, et non avec des diffamations comme les votres ou des palestiniens. et sans obligation, car de moralité, les palestiniens n'en ont pas, ni ceux qui le soutiennent en frétillant sur les tables.
bon appétit !
Dernière édition par prinu le Sam 17 Mai 2014 - 0:59, édité 2 fois
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Ven 16 Mai 2014 - 20:25
Israel, c'est beaucoup, de desert et de terrains vides inconstructibles et sans eau.
que l'état posséde 90 % de toutes les terres, c'est donc tres LOGIQUE: Israel est , majoritairement, du terrain non constructible, du desert.
De meme en France, l'état posséde une majorité de domaines, forets, dunes, montagnes, etc.. reservés à l'étt francais, ou à l'armée francaise.
ou il faut de la technnologie agraire poussée, du goutte à goutte, pour faire pousser des légumes.
vous ne le mentionnez pas.
quand aux zones constructibles, l'offre est insuffisante.
D'ou la NECESSITE de construire. ce qui est un droit, sur la terre d'Israel, construire, état souverain ! et ce ne sont pas des islamistes revendicateurs, agresseurs, racistes et injurieux, qui vont y changer quoi que ce soit.
vous faites dire ce que vous voulez aux chiffres, pour une argumentation politisée diffamante et honteuse.
Israël obtient de bons résultats dans de nombreux indicateurs du bien-être et se situe autour ou au-dessus de la moyenne sur plusieurs critères de l’Indicateur du vivre mieux
En Israël, le revenu moyen disponible ajusté net des ménages par habitant est inférieur à la moyenne de 23 938 USD dans les pays de l’OCDE.
En termes d’emploi, plus de 67 % des 15-64 ans ont un travail rémunéré, un niveau plus élevé que le taux d’emploi moyen de l’OCDE de 65 %. Environ 71 % des hommes ont un emploi rémunéré, contre 62 % des femmes. Les actifs en Israël travaillent 1 910 heures par an, autrement dit plus que dans la plupart des pays de l’OCDE où la moyenne est de 1 765 heures. Près de 19 % des salariés travaillent de très longues heures, soit un taux plus élevé que celui de 9 % observé dans l’OCDE, avec 28 % d’hommes travaillant de très longues heures contre 9 % pour les femmes.
Pour trouver un emploi, il est essentiel d’avoir fait de bonnes études. En Israël, 83 % des 25-64 ans sont diplômés du deuxième cycle du secondaire ou équivalent, soit plus que la moyenne de l’OCDE de 75 %. Ce taux est similaire entre hommes et femmes, avec respectivement 82 % et 84 %. Le score moyen en Israël aux derniers tests de PISA pour ce qui est de la compréhension de l’écrit, des mathématiques et des sciences, est de 474, score inférieur à la moyenne de 497 points de la zone OCDE. Les filles dépassent les garçons de 11 points en moyenne, moins que les 10 points d’écart moyen de l’OCDE.
En termes de santé, l’espérance de vie à la naissance en Israël est de 82 ans, soit deux ans de plus que la moyenne de l’OCDE. L’espérance de vie chez les femmes est de 84 années contre 80 années chez les hommes.
Selon le Bureau central des statistiques, les prix de l'immobilier ont grimpé de plus de 9 % en 2013. Je confirme que quand vous achetez un appartement, en Israel, on ne vous demande pas votre religion. l'Etat, en Israël, possède 90 % des terres, Benyamin Nétanyahou prévoit de subventionner certains lots cédés aux promoteurs. En échange, ceux-ci doivent s'engager à vendre les futurs logements à un prix inférieur au marché. Le gouvernement envisage également d'exempter les primo-accédants des 18 % de TVA lors de l'achat d'un logement neuf. « Ce que l'on observe, c'est le résultat de dix années d'absence de planification pour construire plus, là où la demande est forte, déplore Ohad Danus, président de l'association israélienne des experts immobiliers. Or, pendant ce temps, le pays compte chaque année 40 000 nouveaux foyers. »
En dépit des promesses gouvernementales, personne ne table sur un changement de tendance à court terme. « Certaines mesures vont dans le bon sens, mais la bureaucratie est telle qu'il va falloir du temps avant que les décisions des politiques se traduisent en vraie accélération des mises en chantier », estime Ori Greenfeld, chef économiste de la société d'investissement Psagot.
En la matière, il existe pourtant deux poids deux mesures : le nombre de logements construits en Cisjordanie a plus que doublé en 2013. Au niveau national, la hausse a été de 3,4 %.
Pour la jeune génération, et surtout pour ceux qui ne souhaitent pas aller vivre au-delà de la « ligne verte », l'heure est à l'amertume. « En Israël, 65 % de la population est propriétaire. C'est une vraie culture, rappelle M. Danus. Mais, pour de plus en plus de jeunes, c'est devenu un rêve inaccessible. »
--
tiens !
En Israël, 65 % de la population est propriétaire.
et dans les pays arabes ?
j'en ai visité huit. des miséreux partout dans les rues, des mendiants. un écart de niveau de vie incroyable. ces inégalités flagrantes n'existent pas en Israel.
misére et pauvreté gérés par l'état, miam, les états arabes, miam miam les califes, miam, la mafia islamiste a gaza, et la mafia du fatah qui prend ce que donne l'union européenne, nos impots, notre poche. les palestiniens sucent l'argent del'occident, pour des causes inavouées, et certainement pas humanitaires ni humanistes: les palestiniens croulent sous les dons par millions, qui tombent dans un trou sans fond, et l'achat d'armes, grace aux allocations européennes toutes cuites et roties dans la bouche, sans éffort. ils ne veulent pas tuer la poule européenne aux oeufs d'or.
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Sam 17 Mai 2014 - 1:24
infos en vrac (dont wikipédia):
Le terme de « Bédouins » ou « Badaoui » en arabe désigne un ensemble de groupes ethniques, originellement nomades, vivant dans les zones désertiques du Sahara de l'Ouest au Moyen-Orient. Certains (les fellahin) se sont sédentarisés et travaillent la terre. La plus grande localité de Bédouins en Israël est la ville de Rahat. Le gouvernement israélien encourage les Bédouins à se sédentariser dans certaines villes en particulier, mais beaucoup vivent dans des villages non reconnus, malgré les vœux des autorités officielles et la moindre disponibilité de services sociaux.
Les Bédouins sont admis dans l'armée israélienne sur le principe du volontariat
Les Arabes chrétiens de nationalité israélienne sont environ 9 % de la population arabe israélienne et résident en grande partie dans le nord du pays, Nazareth étant la plus grande ville arabe chrétienne en Israël. Les Chrétiens sont actifs dans la vie politique et civile israélienne. Un juge de la Cour Suprême d'Israël est chrétien.
Les Druzes sont un groupe ethnique présent principalement en Israël, en Syrie et au Liban. Les Druzes israéliens vivent essentiellement dans le nord du pays, notamment à Daliyat Al-Karmel près de Haifa. Des villes druzes existent également dans les hauteurs du Golan, territoire revendiqué par la Syrie.
La majorité des Druzes se définissent comme israéliens et doivent faire leur service militaire, à la demande de leurs dirigeants communautaires. Les Druzes israéliens, contrairement à leurs coreligionnaires syriens, refusent d'être qualifiés de musulmans. Certains d'entre eux refusent même d'être identifiés à des Arabes, revendiquant qu'ils ne partagent avec eux que la langue arabe.
Les Arabes musulmans non bédouins comprennent environ 70 % de la population arabe israélienne. Ils vivent en majorité dans le nord du pays et à Jérusalem-Est, même s'ils sont aussi présents dans des villes du sud d'Israël. Ils ne sont pas obligées de servir l'armée nationale mais peuvent se porter volontaire.
Le nombre de Palestiniens vivant illégalement en Israël était estimé autour de 170 000 en 2004.
Des améliorations des conditions de vie, de l'éducation et des soins ont permis de diminuer le taux de mortalité infantile des Arabes israéliens qui est passé de 32 pour mille naissances en 1970 à 8,6 pour mille en 2000.
Dans le budget 2002, le ministre israélien de la santé a alloué 1,6 millions de shekels aux communautés arabes, parmi les 277 millions du budget alloué au développement des services de santé.
Les Arabes israéliens sont des citoyens à part entière de l'État d'Israël, avec une protection égale devant la loi et les mêmes droits que leurs concitoyens. L'arabe est langue officielle de l'État. (source wikipédia)
Neuf Arabes israéliens siègent au parlement, dans la 17e Knesset (sur 120 parlementaires). Le 3 mars 1999, Abdel Rahman Zuabi (en) fut le premier arabe siégeant à la Cour Suprême. Il fut également nommé vice-Président de la cour du district de Nazareth. Lors de sa nomination, le ministre de la Justice Tzahi Hanegbi déclara que la nomination de Zuabi était un signe d'intégration réussie de la communauté arabe dans la vie du pays. Un juge arabe, Salim Jubran (en), siège de façon permanente à la Cour Suprême d'Israël depuis mai 2004. Il est originaire de Haïfa et né dans une famille chrétienne avec des racines maronites libanaises. Il est reconnu pour son expertise sur le droit criminel et connu pour sa sévérité face aux crimes sexuels ou liés à la drogue. Le gouvernement de Ariel Sharon comptait, en 2001, un ministre arabe, Salah Tarif et Oscar Abou Razaq fut nommé Directeur Général du ministère de l'intérieur en mars 2005. D'autres personnalités ont accédé à la célébrité en Israël, comme le romancier Emile Habibi, les réalisateurs Elia Suleiman et Hany Abu-Assad, les actrices Hiam Abbass et Clara Khoury, l'actrice et chanteuse Mira Awad, les acteurs Makram Khoury (père de Clara), Mohammed Bakri et son fils Saleh Bakri, Ali Suliman, Yousef Sweid, Shredy Jabarin et Mahmoud Shalaby, le prêtre et directeur de collège Emile Shoufani et quelques joueurs de football. En 1999, une femme arabe est devenue Miss Israël pour la première fois de l'histoire du pays. Elle se déclara totalement israélienne. Cette élection de Rana Raslan, originaire de Haïfa, fit les titres des journaux en Israël et dans le monde. Depuis avril 2006, une arabe musulmane de 20 ans a gagné un show de la télé réalité israélienne. En janvier 2005, Azmi Nassar, arabe israélien, est devenu l'entraîneur la sélection de football association palestinienne pour 2 ans. Fin février 2007, le député druze Majalli Wahaba, adjoint de la présidente par intérim Dalia Itzik et vice-président de la Knesset, a hérité du poste pendant une semaine, en raison d'un voyage de la présidente aux États-Unis. Il fut le premier membre de la minorité arabe d'Israël à occuper cette fonction.
En décembre 2005, un parlementaire arabe à la Knesset, Azmi Bishara, qui depuis à pris la suite après avoir été accusé de trahison pour collaboration avec le Hezbollah, déclara à une assemblée au Liban que les Arabes israéliens étaient « comme tous les Arabes, mais avec une nationalité israélienne qui leur a été imposée… Rendez-nous la Palestine et emportez la démocratie avec vous. Elle ne nous intéresse pas source:, ynetnews.com, 18 décembre 2005. »
-- et bien, si vous n'aimez pas la démocratie - partez !
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elon la loi israélienne tous les citoyens israéliens sont soumis à la conscription. Cependant une politique de longue date exempte les Arabes israéliens de faire leur service militaire, toutefois les membres de certaines tribus bédouines servent dans Tsahal ainsi que des citoyens arabes musulmans et chrétiens sur la base d'un engagement volontaire. Alternativement, les jeunes Arabes israéliens ont la possibilité de faire un service civil ce qui leur accorde des avantages similaires à ceux dont bénéficient les soldats démobilisés?
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Trois partis totalement ou majoritairement arabes occupent 11 des 120 sièges de la 18e Knesset, élue en 2009 :
Liste arabe unie- Ta'al : Ibrahim Sarsur, Ahmad Tibi, Taleb el-Sana, Masud Ghnaim Balad : Jamal Zahalka, Said Nafa, Hanin Zoabi Hadash (communiste) : Mohammad Barakeh, Hana Sweid, Dov Khenin (juif), Afu Agbariya. Le Parti communiste israélien, sous ses différents noms, a été ouvert dès le départ aux deux communautés.
Ghaleb Majadleh, membre du Parti travailliste et ministre de la Science et de la Culture et du Sport de 2007 à 2009, a repris en 2010 le siège laissé vacant par la démission de Yuli Tamir.
Shachiv Shnaan, un Druze, ancien membre du Parti travailliste et membre du Parti Indépendance créé en 2011 par Ehud Barak, a repris en 2012 le poste laissé vacant par la nomination de Matan Vilnai comme ambassadeur en Chine.
Cinq autre députés, majoritairement druzes, occupent des sièges dans les partis du centre-droit ou de droite, voire d’extrême droite26 :
Kadima : Ahmed Dabbah (Arabe non Druze), Majalli Wahabi, Akram Hassan (en 2012, après le décès de Gideon Ezra) Likoud : Ayoob Kara (Vice-ministre du Développement du Néguev et de la Galilée) Israel Beytenou : Hamad Amar
Il y a eu des députés arabes dans toute l’histoire de la Knesset. Parml eux, l’écrivain Emile Habibi, Tawfik Toubi (élu pendant plus de 41 ans entre la 1re et la 12e Knesset) et Taoufik Ziyad26.
Mouvement islamique israélien (en), est un mouvement qui vise à promouvoir l'islam parmi les Arabes israéliens. Il opère dans les domaines de l'éducation religieuse islamique, l'aide sociale aux arabes israéliens et l'action politique nationaliste pro-Hamas et antisioniste appelant à la disparition de l’État d’Israël pour sa branche dite « du nord », dirigée par Raed Salah (en), maire de la ville arabe israélienne d' Umm al-Fahm qui a purgé une peine de deux ans prison de 2003 à 2005 pour récolte de fonds au profit du Hamas et intelligence avec un agent des services de renseignements étrangers. En février 2007 il fut condamné pour incitation à l’antisémitisme pour profération d'accusation de meurtre rituel contre les Juifs lors d'un sermon dans un quartier arabe de Jérusalem-Est.
Ou voyez vous des partis juifs ou chrétiens à gaza ou dans les pays arabes ? ca n'existe pas. seule la démocratie isarélienne donne ces droits aux musulmans.
ouvrez les yeux ! nul apartheid.
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L’Arab-Hebrew Theatre est un théâtre de Jaffa formé par la réunion de la compagnie juive The Local Theatre et de la compagnie arabe Al-Saraya, jouant ensemble ou séparément, ce qui en fait un lieu culturel unique en Israël 39. Les acteurs Norman Issa (également metteur en scène), Yousef Sweid, Loai Nofi et les actrices Mira Awad (également chanteuse et compositrice) et Khawlah Hag-Debsy y ont joué. Le théâtre Al-Midan (en arabe, مسرح الميدان (Misraḥ al-Mīdān), en hébreu, תיאטרון אל-מידאן), le théâtre arabe de Haïfa, a été créé en 1994 par le ministre de l'Éducation Shulamit Aloni sous le gouvernement de Yitzhak Rabin. Il a été géré entre autres par les acteurs Yussuf Abu-Warda, Salim Daw et Makram Khoury. Il accueille de jeunes comédiens sortis des écoles de théâtre, ainsi que des artistes expérimentés comme Mohammed Bakri, Salwa Nakkara, Suhel Haddad et d’autres. Le théâtre Diwan el Lajun à Ar'ara près d’Umm al-Fahm est dirigé depuis 2001 par l’acteur et dramaturge Gassan Abbas. La compagnie indépendante de théâtre palestinien ShiberHur ("un empan de liberté", en arabe) a été créée en 2009 à Haïfa par Amer Hlehel, Amir Nizar Zuabi (dramaturge), Ali Suliman, Ashraf Hanna et Ruba Blal.
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ou voyez vous autant de liberté pour les juifs ou les chrétiens , à gaza ou dans les pays arabes ? ca n'existe pas ailleurs !! nul apartheid en israel, cqfd.
--- Depuis les années 2000, un nombre croissant de réalisateurs et d’acteurs arabes israéliens sont sortis des formations universitaires artistiques ou d’écoles des arts de la scène telles que Beit Zvi près de Tel Aviv.
Tawfik Abu Wael et Sameh Zoabi (installé aux États-Unis) font partie de la jeune génération des réalisateurs arabes israéliens. Leur aînée, l’actrice Hiam Abbass, installée en France de longue date, a tourné dans sa Galilée natale son premier long métrage, Héritage (Inheritance), sorti le 12 décembre 2012.
Parmi les actrices, on trouve, outre Hiam Abbass, Raida Adon (également artiste plasticienne, de père juif et de mère musulmane42), Mira Awad (également chanteuse et compositrice), Ruba Blal, Khawlah Hag-Debsy, Clara Khoury, Salwa Nakkara, Ula Tabari (également réalisatrice, installée en France) et Lana Zreik.
Parmi les acteurs figurent Gassan Abbas, Yussuf Abu-Warda, Johnny Arbid, Mohammed Bakri et ses fils Saleh Bakri et Ziad Bakri, Ashraf Barhom, Salim Daw, Suhel Haddad, Amer Hlehel, Norman Issa, Imad Jabarin, Shredy Jabarin, Jamil Khoury et son père Makram Khoury, Tarik Kopty, Doraid Liddawi, Hussein Yassin Mahajne, Juliano Mer-Khamis (de mère juive, assassiné en 2011 à Jénine), Ayman Nahas, Kais Nashef, Khalifa Natour, Loai Nofi, Mahmoud Shalaby (également musicien), Razi Shawahdeh (installé au Canada), Ali Suliman, Yousef Sweid et Akram Tillawi (installé en Italie). Plusieurs d’entre eux sont également réalisateurs ou metteurs en scène. --
ou voyez vous une telle liberté pour les juifs ou les chrétiens, à gaza ou dans les pays arabes ??
ca n'existe pas.
encore une preuve qu'il n'ya pas d'apartheid en Israel, dragna , delphes ou r;.
--. Parmi les auteurs contemporains figurent Ala Hlehel et Sayed Kashua.
Ala Hlehel, écrivain, journaliste et scénariste, est aussi le fondateur du magazine en ligne littéraire Qadita.net cité plus haut.
Sayed Kashua écrit des éditoriaux satiriques en hébreu pour le journal Haaretz.Il a créé la série télévisée Arab Labor, qui traite du même sujet, interprété entre autres par Norman Issa, Clara Khoury, Salim Daw, Salwa Nakkara et Mira Awad.
ou voyez vous une telle liberté littéraire juive ou chrétienne dans les pays arabes ? c'est quasiment inexistant, par contre la littérature antisémite et antichrétienne pullule..
encore des preuves qu'il n y a pas d'apartheid en Israel.
Juliano Mer-Khamis (1958-2011), acteur, réalisateur, directeur de théâtre et militant politique, est l’un des enfants de mariages mixtes les plus connus ; sa mère Arna Mer-Khamis, était juive, son père, Saliba Khamis, Arabe chrétien. L’actrice et plasticienne Raida Adon est de père juif et de mère musulmane. C’est parmi les artistes qu’on trouve le plus de couples mixtes connus, tels l’acteur Yousef Sweid et la dramaturge Yaeli Ronen, ou encore le dramaturge Amir Nizar Zuabi et l’actrice Sivan Sasson. On connaît aussi le couple formé par Evi Guggenheim Shbeta et Eyas Shbeta, qui habitent le village mixte de Neve Shalom - Wahat as Salam avec leurs filles.
Dans son documentaire Would you have sex with an Arab sorti en 2012, outre Juliano Mer-Khamis auquel le film est dédié, Yolande Zauberman interviewe un jeune homme issu d’une famille mixte remontant aux grands-parents.
-- A gaza, ou dans des pays arabes, si un chrétien ou un juif ose lever les yeux sur une musulmane, c'est la corde, et si c'est une femme, c'est la lapidation, quand elle n'est pas tuée par ses parents..
-- dragna, ne dites plus jamais qu'il y a un apartheid en israel, j'ai démontré que c'est faux.
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Sam 17 Mai 2014 - 3:03
c'est un peu hors sujet, mais je lis dans le Figaro, qu'au chateau de Fontainebleau, la salle empire construite sous Napoleon III a ete rebaptisee officiellement theatre Cheikh Khalifa Ben Zayed Al Nahyane, du nom du mecene des emirats pour sa restauration, ce qui est un bel acte comme don, bien sur, mais je me me demande si c'est positif pour le patrimoine d'avoir change le nom de cette salle. le rajout a une plaque de la liste des mecenes, comme on en voit dans de nombreux monuments ou musees, n'aurait il pas ete deja bien..
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Sam 17 Mai 2014 - 4:55
LES ARABES : NOUS VOULONS UNE DÉMOCRATIE COMME ISRAËL
Par Khalied Abu Toameh
« Combien de leaders arabes resteraient s’ils étaient menés en justice pour des cas analogues de corruption ? », Zuhear al-Karim CNN arabe.
« Si Olmert était au Kuwait, son cas aurait été épongé et il aurait reçu une position supérieure au gouvernement », Yasalam, Al-Aan.
« La loi est par-dessus tout et c’est là une véritable démocratie. Israël est l’unique et vraie démocratie au Moyen-Orient », CNN arabe.
La décision de la cour départementale de Tel-Aviv d’envoyer l’ancien premier ministre israélien Ehud Olmert pour six ans de prison pour corruption, a poussé le monde arabe à réclamer le soutien des standards de responsabilité d’Israël, sa transparence et sa justice.
Réagissant au verdict d’Olmert, plusieurs arabes ont exprimé le souhait qu’un jour viendra où leur pays apprendraient d’Israël qu’il n’y a rien au dessus de la loi, même pas un président ou un premier ministre.
Sofian Abu Zayda, un dirigeant du Fatah et ancien ministre de l’Autorité Palestinienne, a glorifié le verdict de la cour : Cela démontre qu’en Israël, personne n’est au dessus de la loi. « Ce verdict nous donne une évidence supplémentaire que le système judiciaire en Israël est entièrement indépendant dans la voie de la séparation entre le corps législatif, les autorités exécutives et judiciaires aussi bien que la liberté des médias. » disait Abu Zayda, considéré expert sur les affaires d’Israël (1). L’éloge fait à la démocratie israélienne ne signifie pas forcément qu’Abu Zayda et les autres arabes sont devenus pro-Israël et qu’ils sont prêts à reconnaitre les droits de son existence. Mais pendant qu’ils continuent de haïr Israël et veulent sa destruction, plusieurs arabes n’hésitent pas à exprimer leur admiration à l’indépendance du système judiciaire d’Israël.
Les commentaires postés par des arabes et des musulmans sur l’internet cette semaine révèlent combien ils sont impatients de voir leurs pays adopter la démocratie israélienne. Des réactions analogues ont été publiées quand la cour israélienne avait condamné l’ancien président israélien Moshé Katsav pour sept années d’incarcération pour offenses sexuelles.
Ci-dessous quelques commentaires postés par les médias arabes et sites web en réponse au verdict d’Olmert :
Ali Al-Kadi : « Nous saluons le juge David Rosen [qui a condamné Olmer à la prison]. Nous souhaitons que les arabes aient 22 juges comme David Rosen ! » [Al-Quds Al-Arabi] [2] Mohammed Akash : « O musulmans, regardez l’équitabilité de ce juge et ce que vous êtes. Vous devez apprendre de notre ennemi, Israël. Longue vie au système équitable judiciaire israélien »."[Al-Quds Al-Arabi] [3] Manji Dalali : « C’est l’un des secrets derrière la victoire d’Israël sur les arabes. Nous devons apprendre de l’ennemi juif sioniste les principes d’une justice décente. » [Al-Quds Al-Arabi] [4] Ibrahim – Libya : « Nous les musulmans avons un grand besoin d’un système judiciaire décent pour punir nos voleurs et nos leaders corrompus. Que D.ieu nous aide ». [Al-Quds Al-Arabi] [5] Hassan Jamal : « Je souhaite que les pays arabes fassent de même à leurs dirigeants corrompus. Je souhaite que le people arabe fasse de même dans leurs pays et qu’ils se débarrassent de leurs dirigeants corrompus, dont les présidents et les rois ». [Al-Quds] [6]
Mohammed : « Bien sur l’Islam est la meilleure religion. Mais les régimes qui réclament d’adopter l’Islam pratiquent la répression et la corruption. Entre-temps, Israël est parmi les pays démocratiques et est meilleur que tout les pays arabes et musulmanes quand il s’agit de respecter son peuple et combattre le vol de ses ressources ». [Al-Wasat News] [7] Adel : « C’est le secret du succès d’Israël. Il est devenu le symbole de la justice parce qu’il a fait de la justice l’une de ses plus grandes forces de base. Nous, de l’autre côté, nous faisons le contraire. Nous continuons à couvrir des cas de corruption et ne faisons rien en ce qui les concerne ». [Echorouk Online] [8] Abu Zeid : « Je vis en Israël et je suis familier avec ces lois. Dans ce pays, personne n’est au-dessus de la loi » [Al-Arabiya] [9] Sami Dirani : « Israël est l’ennemi des arabes...mais il pratique la démocratie – quelque chose que les arabes ne connaissent pas. C’est pourquoi Israël est fort et plus en avance que les arabes qui s’occupent à s’entretuer. Quelques arabes meurent de faim tandis que d’autres nagent dans des piscines de dollars ». [Al-Hayat] [10] Hani : « Le Hadith du prophète dit que nous devons nous éduquer, même si c’est en Chine. Et je dis aux musulmans « apprenez la justice même si c’est d’Israël ». Un jour, j’espère, nos leaders seront menés en justice et notre argent restauré ». [Assawsana] [11] Yasalam : « Si Olmert était au Kuwait, son cas aurait été couvert et il aurait reçu une position supérieure au gouvernement ». [Al-Aan] [12] Rahhal : « Les sionistes ont plus de justice que nos brigands et prétendus musulmans ». [Al-Aan] [13] Kabir al-Muhandiseen : « C’est ainsi qu’on construit un état. C’est le secret de la force et immuabilité d’Israël ». [Al-Aan] [14] Muhasabah : « En Israël, ils jugent leurs dirigeants et les envoient en prison, pendant que nous les arabes nous glorifions la corruption ». [Al-Aan] [15] Zuhear al-Karim : « Combien de leaders arabes resteraient s’ils étaient menés en justice pour des cas pareils de pots de vin et corruption ? » [Arabic CNN] [16] Abdo Shehatah : « les juifs continuent de prouver, chaque jour qu’ils on une véritable démocratie en ce monde ». [Arabic CNN] [17] Saad Sayad : « La loi est par dessus tout et c’est la démocratie. Israël est la véritable démocratie au Moyen-Orient ». [Arabic CNN] [18]
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Sam 17 Mai 2014 - 21:09
prinu a écrit:
en Israel, les arabes sont riches, et propriétaires. Ils sont libres, et mangent, ils participent a la vie du pays. c'est ce qui compte. c'est une démocratie
Israël place de plus en plus d’enfants palestiniens en isolement, dans le cadre de la procédure d’interrogatoire, selon de nouvelles études. Les enfants ont souvent les yeux bandés et les mains liées, et ils sont privés de sommeil. Ni eux ni leurs parents ne savent les raisons de l’arrestation.
Spoiler:
(cet enfant et ses ancètres étaient juifs avant PRINU comme 80% de palestiniens)
« L’isolement pour des enfants palestiniens arrêtés était utilisé dans 21,4% des cas en 2013 » indique le rapport publié par la DCI-Palestine (Defense for Children International Palestine, une section du mouvement et de l’organisation internationale non-gouvernementale pour les droits des enfants. Les chiffres ont augmenté de 2% depuis 2012.
L’organisation a recueilli au moins 98 déclaration sous serment d’enfants palestiniens âgés entre 12 et 17 ans en 2013, et transmis ces informations aux Nations Unies.
« Le nombre moyen d’enfants palestiniens en détention militaire israélienne à la fin de chaque mois en 2013 était de 199 » explique l’organisation qui a obtenu ces données du Service Carcéral Israélien (IPS) et des installations de détention temporaire de l’armée israélienne, dont le centre de détention de Petah Tikva et de Kishon, ainsi que la prison de Shikma à Ashkelon, qui conduit les interrogatoires.
Selon le rapport, les enfants arrêtés passent en moyenne 10 jours en isolement, tandis que la période la plus longue a duré 28 jours. Le rapport indique également que 32 enfants âgés entre 12 et 15 ans ont été arrêtés à la fin de chaque mois en 2013. Le plus grand nombre d’adolescents détenus dans cette catégorie d’âge était le mois de mai, avec 48 arrestations.
Nombre total d’enfants palestiniens en détention par Israël à la fin de chaque mois.
Dans 34 des 40 cas (85%), les enfants sont arrêté « au milieu de la nuit par des soldats israéliens lourdement armés », et dans 38 cas sur 40 (95%), ni les parents ni les enfants ne sont mis au courant des raisons de l’arrestation, explique l’étude.
Par ailleurs, environ 76,5% des enfants palestiniens emmenés par des troupes israéliennes en Cisjordanie ont subi certaines formes de violence durant l’arrestation, le transfert ou l’interrogatoire en 2013, poursuit ce rapport.
« Les enfants arrivent dans des centres d’interrogatoire israéliens, les yeux bandés, les mains liées, et privés de sommeil » explique l’étude. « Les interrogatoires sont souvent pratiqués avec coercition, des abus verbaux, des menaces et des violences physiques, qui provoquent au bout du compte des aveux ».
En 2013, dans au moins 96% des cas, la DCI-Palestine a fourni des preuves que les enfants « ont été interrogés seuls et rarement informés de leurs droits ». Les enfants sont également interrogés « sans l’aide d’un conseil juridique, ou sans être clairement informés de leur droit de garder le silence. »
Les techniques d’interrogatoire sont à la fois physiques et mentales, incluant « des intimidations, des menaces et de la violence physique dans le but très clair d’obtenir un aveux… et/ou d’obtenir des renseignements sur d’autres personnes. »
« L’utilisation de l’isolement comme outil d’interrogatoire contre les enfants palestiniens est une tendance croissante » explique Ayed Aby Eqtaish, directeur du programme de responsabilisation de DCI-Palestine. « C’est une violation des droits des enfants, et la communauté internationale doit demander justice, et une responsabilisation. »
La majorité des enfants palestiniens sont accusés de jet de pierres, des charges pouvant mener jusqu’à 20 ans d’emprisonnement, selon l’âge de l’enfant, selon l’Ordre Militaire Israélien.
« Bien que beaucoup d’enfants clament leur innocence, la plupart plaident coupables car c’est le moyen le plus rapide de sortir d’un système qui libère rarement sous caution » ajoute l’étude.
Après la sentence, entre 50 et 60% des enfants détenus en Palestine sont transférés dans des prisons en Israël. Cet acte est une violation indéniable de l’article 76 de la Quatrième Convention de Genève, explique le document.
La DCI-Palestine fait pression pour qu’il soit reconnu que l’usage de l’isolement pour des enfants dans des centres de détention israéliens est une forme de torture et qu’elle doit être immédiatement arrêtée.
« Les autorités israéliennes doivent inclure des mesures de responsabilisations efficaces pour s’assurer que tout rapport de torture ou de mauvais traitement crédible soit soumis à une enquête impartiale, et que les responsables soient reconnus comme tels » indique le rapport.
La DCI-Palestine a déjà publié au moins 15 plaints concernant des mauvais traitements et des faits de violence envers 10 enfants palestiniens détenus par des militaires israéliens en 2013. Cependant, aucun acte d’accusation n’a encore été formulé contre les responsables.
La DCI-Palestine, qui a mené des enquêtes sur les droits des enfants en Palestine depuis 1967, explique que « chaque année, entre 500 et 700 enfants palestiniens provenant des territoires occupées de Cisjordanie, dont certains n’ont que 12 ans, sont détenus et emprisonnés dans des centres de détention militaires israéliens, où les mauvais traitements envers les enfants sont fort courants et systématiques. »
« Les enfants palestiniens détenus sont ensuite jugés dans des courts militaires israéliennes qui manquent de garanties les plus élémentaires de procès équitable, et ne sont ni prévus ni dirigés pour respecter les droits des enfants » indique le rapport.
Par ailleurs, selon l’étude, depuis l’an 2000, « environ 8.000 enfants palestiniens ont été arrêtés et jugés par le système de court militaire israélienne. »
« La pratique de l’isolement sur des enfants dans des centres de détention militaire israéliens, que ce soit dans des cas de détention en vue de les juger, ou comme forme de punition, doit être cessée immédiatement, et cette interdiction doit être formulée dans la loi » conclut la DCI-Palestine.
Le système de détention militaire israélien a souvent été critiqué par la Palestine également, ainsi que par des organisations à travers le monde, dont les Nations Unies et UNICEF, pour mauvais traitement envers les enfants palestiniens.
En avril, le Ministre des Affaires Sociales de l’Autorité Palestiniennes, Kamal Sharafi, a affirmé qu’au moins 1.520 enfants palestiniens sont décédés des mains des forces israéliennes depuis l’an 2000. Il a également ajouté qu’environ 6.000 autres ont été blessés, et plus de 10.000 arrêtés. En juin 2013, le Comité des Droits de l’Enfant des Nations Unies (CRC) a publié un rapport indiquant que des milliers d’enfants palestiniens sont systématiquement blessés, torturés et utilisés comme boucliers humains par Israël. Durant la décennie examinée par les experts des droits de l’homme des Nations Unies, près de 7.000 enfants âgés de moins de 17 ans ont été arrêtés, interrogés, et gardés prisonniers, selon le rapport.
Traduit de l’article de Russia Today par Fabio Coelho de Ficientis pour Croah.fr
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 18 Mai 2014 - 15:17
c'est tout à fait normal, da'rreter des dangereux violents, quelque soit leur age.
Le hamas fait envoyer des enfants en premiére ligne, quelle honte. ces enfants violents et agresseurs sont coupables, rien à repprocher à la police ou à l'armée israélienne, que d'arreter des dangereux et des fous.
par contre les ONG qui viennent les visiter constatent qu'ils sont parfaitement bien traités.
il faut cond amner lea adultes palestiniens qui poussent les enfants au martyrs.
par exemple, voyez cette image, du pauvre petit palestinien honteusement arreté, pas vrai ?
image montrée sur tout les médias, pour que tout le monde chante:
surprise ! le petit monstre. une pierre, ca tue, ca ne fait psa que blesser griévement, et ca peux faire sauter un oeil d'une orbite (meme des joueurs de pétanque dans le sud de la france ont connus cette horreur..). image pas parue dans la presse !
DEs ONG décpouvrent que, contrairment aux délires des ong pro-palestiniennes, ce senfants sont trés bien traités, on leur explique calmement qu'il ne faut pas etre violent, on les soigne, et souvent on les renvoie trés vite chez eux. ne sont gardés que les meneurs et les plus violents, et c'est fort normal, pour de montsres agresseurs, evoyés pr leurs parents inconscients. ils sont lobotomisés à la haine anti juive, par leur professeur dés la maternelle.
tsahal fait trés bien son boulot.
Les rendre violent, les envoyer attaquer des israéliens dans les rues, ou attaquer les soldats de la paix, un crime palestinien contre l'enfance.
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je trouve plus honteux quand en france on envoie un commando arreter des enfants en pleine classe. c'est mille fois plus amoral.
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 18 Mai 2014 - 15:25
http://www.ajcf.fr/
découvrez ce blog: Amitié Judéo-chrétienne de France. A.J.C.F. Philippe Boukara : Dialoguer, ici et maintenant Lundi 24 mars, au Mémorial de la Shoah, rencontre avec un groupe nombreux de visiteurs catholiques venus du diocèse des Hauts de Seine. J’analyse le mécanisme complexe de la judéophobie comme l’envers négatif de la complexité du fait juif, qui est objet de questionnement permanent pour les Juifs eux-mêmes comme pour les non-Juifs autour d’eux. En aparté, brève conversation avec un jeune prêtre, allant d’emblée à l’essentiel : « Votre souci à vous les Juifs d’approfondir sans cesse les questionnements ne peut être transposé tel quel dans l’Église, car celle-ci s’adresse à de grands masses humaines à qui elle adresse une simple demande : croire en Jésus venu sauver l’humanité. Demande de croyance, et non demande d’interrogation, qui peut et doit, certes, s’exercer aussi, mais avec une minorité se sentant concernée. »
Mardi 25 mars, Colmar, conférence, consacrée encore à la judéophobie, devant un public là aussi nombreux, réuni par le groupe local de l’Amitié judéo-chrétienne. Bref dialogue avec une femme chrétienne, assez jeune, qui dit ce que la prise de conscience de l’antisémitisme a représenté pour elle dans l’adolescence un bouleversement lui faisant découvrir la puissance des préjugés négatifs, et la menace qu’ils représentent pour les fondements mêmes de la civilisation.
Cette possibilité d’aller au fond des choses dans le dialogue avec de vrais amis chrétiens est une expérience privilégiée. Dans le cadre de l’Amitié judéo-chrétienne de France, en particulier, avec son excellente revue, Sens, que dirige Yves Chevalier, et son site Internet, le sentiment d’extrême solitude qu’éprouvent tant de Juifs aujourd’hui - sentiment à vrai dire ancestral, mais récemment ravivé - est battu en brèche. Non, le monde autour de nous ne se divise pas entre nos ennemis déclarés et de faux amis qui seraient des ennemis cachés.
Depuis le Meiri (1249-vers 1310), en Catalogne, et Jacob Emden (1677-1776), en Allemagne, jusqu’à Elie Benamozegh (1823-1900), en Italie, ou encore Léon Askénazi (1922– 1996), nombre de grands maîtres ont estimé que dans certaines conditions, les chrétiens, comme les musulmans, contribuent à répandre dans l’humanité le message monothéiste et la morale biblique. Si Israël joue son rôle spécifique de "lumière pour les Nations"(Is 49,6), une partie de cette lumière peut et doit être captée et relayée dans leurs deux univers par chrétiens et musulmans. La "nation sainte et dynastie de prêtres"(Ex 19, 6) est dépositaire de la Torah reçue au Sinaï. Mais ce dépôt est provisoire, en attendant que les nations du monde acceptent elles-aussi d’en recevoir le joug : c’est le sens même du messianisme juif. On est loin, alors, du clivage absurde opposant des Juifs "religieux", qui seraient seuls garants de la Torah, et des Juifs "laïcs", qui laisseraient aux premiers le monopole de la Torah (de sa lecture, de son étude, de sa mise en pratique). Car c’est toute l’humanité qui est concernée et que nous avons à servir comme des prêtres. Faire le choix du pessimisme radical dans nos rapports avec les autres, c’est faire un choix contraire à l’esprit messianique, qui suppose que le message peut être entendu, et peut même l’être "prochainement, rapidement et de nos jours".
Le philosophe de langue yiddish Israël Jefroykin (1884-1954), s’exprimant en 1936, disait que ce n’est pas parce qu’on nous persécute que nous sommes Juifs, c’est parce que nous sommes Juifs que l’on nous persécute. Cela revient à dire que le Judaïsme a un devoir d’enseignement envers l’humanité – même envers ses persécuteurs, pourrait-on dire en poussant l’argument à l’extrême. Le dialogue évoqué plus haut est une bonne école où se former pour mieux enseigner.
(Article paru dans Actualité juive en avril 2014)
Philippe Boukara est historien spécialiste du judaïsme, il travaille au Mémorial de la Shoah et est membre du comité directeur de l’Amitié judéo-chrétienne de France.
Un blog interessant.
Dernière édition par prinu le Dim 18 Mai 2014 - 16:24, édité 2 fois
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 18 Mai 2014 - 15:28
Alexandre Adler : Une affaire de famille. Jean XXIII, les juifs et les chrétiens Dans ce petit livre, Alexandre Adler évoque le témoignage de sa grand-mère, Marie Bauer : il écrit ainsi une partie de sa propre histoire familiale mêlée à celle de Jean XXIII, au travers des relations Juifs Chrétiens. Un ouvrage original parmi les parutions commémorant Jean XXIII et Jean Paul II à l’occasion de leur canonisation.
Une recension de Paule Marx pour l’AJCF
Editions du Cerf 2014, 136 p
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Dans ce petit livre, Alexandre Adler évoque le témoignage de sa grand-mère, Marie Bauer : il écrit ainsi une partie de sa propre histoire familiale mêlée à celle de Jean XXIII, au travers des relations Juifs Chrétiens. Un ouvrage original parmi les parutions commémorant Jean XXIII et Jean Paul II à l’occasion de leur canonisation.
En une dizaine de pages l’auteur retrace à grands traits la vie de cette grand-mère, née en Russie, qui vit d’abord en Allemagne, puis suit son mari à Istanbul. Marie Bauer encore jeune devient veuve en 1934, elle prend alors la direction de la section turque de la WIZO (Women’s International Zionist Organisation) et travaille au sauvetage des Juifs qui affluent à Istanbul pendant la guerre. C’est dans ce cadre qu’elle rencontre le délégué apostolique de Turquie, Mgr Angelo Roncalli, et Chaïm Barlas, délégué de l’Agence juive, qui lui apportent une aide efficace.
Alexandre Adler décrit ensuite le parcours d’Angelo Roncalli qui arrive en 1925 en Bulgarie comme visiteur apostolique et qui découvre une situation politique et religieuse particulièrement complexe, un territoire en quête d’indépendance avec une majorité d’Orthodoxes et une minorité d’Uniates. Mgr Roncalli invente alors un œcuménisme de proximité, selon l’expression de l’auteur p. 62, qui apporte quelque apaisement des tensions. En 1935, c’est avec le titre de délégué apostolique qu’il s’installe en Turquie, pays laïc intransigeant vis-à-vis des minorités, où il se consacre aux nombreux réfugiés juifs d’Europe. Puis, avant de revenir en Italie, à Venise, en 1953, c’est pour lui l’expérience française. Il est alors de nonce apostolique chargé de négocier les destitutions et nominations d’évêques de l’après-guerre, et de faire face aux vifs débats religieux et politiques de cette époque très riche mais agitée.
Alexandre Adler retient de Mgr Roncalli son application à défendre les pauvres, véritable fil rouge de toute son action, et souligne son indépendance d’esprit pour aborder des situations très complexes et toutes différentes. Il est facile de comprendre qu’il décrit cette période riche d’expériences, comme prémonitoire de son action en tant que pape. C’est pourquoi il rappelle les positions face au nazisme de Pie XI et de Pie XII, ses prédécesseurs, puis de Paul VI et de Jean-Paul II, ses successeurs afin de mieux souligner l’importance des intuitions de Jean XXIII qui, après sa mort, seront traduites dans les textes du concile Vatican II.
Dans son dernier chapitre, Kadosh, la sainteté, l’auteur s’explique sur la sainteté reconnue à Jean XXIII par les Catholiques. Le mot Kadosh en hébreu « renvoie à la capacité qu’a l’homme de s’unifier au-dedans de lui et d’unifier le monde autour de lui, afin de pouvoir s’adresser à Dieu en toute intégrité », ce qui lui permet d’exposer la théologie qui habite toute l’action de ce pape.
Alexandre Adler n’écrit pas une biographie complète de Jean XXIII, mais, en liant son histoire familiale à celle du pape, il éclaire utilement une facette souvent moins valorisée de l’action de ce dernier et il rend abordable une histoire religieuse et politique complexe.
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 18 Mai 2014 - 15:33
SAFED – Trois années se sont déjà déroulées depuis les manifestations de mars 2011 qui ont entrainé la Syrie dans une tragique guerre civile qui n’est pas encore terminée. Alors que de nombreux pays du monde restent silencieux ou n’essayent que de simples tentatives pour trouver des solutions politiques au conflit, quelques pays voisins se démènent pour fournir une aide humanitaire au peuple syrien. La majorité des aides sont offertes par les pays arabes voisins. Moins spectaculaire mais plus inattendue est la manière dont l’État d’Israël, officiellement ennemi de la Syrie depuis des décennies, s’investit dans cette aide humanitaire au lieu de s’engager dans le conflit .
Depuis février 2013, des centaines de Syriens blessés ont été accueillis en Israël pour recevoir des soins médicaux dans divers hôpitaux de la Galilée. L’un des plus actifs est l’hôpital de Safed qui, depuis l’année dernière, a admis environ 250 Syriens. Ces personnes qui ont besoin de soins ont commencé à apparaître en Israël et avoir l’autorisation d’y entrer temporairement à partir du 17 Février 2013, malgré la guerre en cours. Le directeur de l’hôpital de Safed, le Dr Oscar Embon, explique comment il est possible que les Syriens blessés atteignent cette clinique : « Les Syriens blessés dans la guerre civile arrivent à la frontière avec Israël. Des soldats israéliens surveillent mais, quand ils les voient, ils décident de les transférer vers un centre médical géré l’armée dans la zone frontalière. Après une première inspection, les personnes ayant des problèmes moins graves sont directement soignés sur place puis renvoyés en Syrie. Ceux dont le cas est plus préoccupant sont envoyés à l’hôpital. Puis les soldats nous appellent pour nous prévenir et nous demander de nous préparer : “entre 30-40 minutes, vous recevrez un certain nombre de patients”. 15% de ces blessés sont des enfants de moins de 18 ans. 10% sont des femmes, le reste se sont des hommes. L’âge des patients varie de 0 à 70 ans. Nous avons aussi eu quatre naissances dans cet hôpital ». Au moment où ils atteignent l’hôpital, « ils ont presque tous besoins d’opérations de chirurgie plastique ou de chirurgie réparatrice de la peau et des muscles, témoigne le Dr Shokrey Kassis, chef du département de chirurgie plastique. Il ya aussi des cas d’amputation des jambes ou des mains. Nous faisons ce que nous pouvons pour sauver leur vie ».
Vidéo en italien réalisée par Telepace Holy Land TV
L’hôpital de Safed ne fournit pas seulement des soins médicaux, mais aussi un service d’accompagnement psychologique aux patients Syriens, parce que beaucoup souffrent non seulement de leurs blessures physiques, mais aussi de symptômes post-traumatisme liés à la guerre aux atrocités dont ils ont été témoins. Il est donc compté parmi le personnel de l’hôpital un certain nombre de travailleurs sociaux chargés d’établir un lien beaucoup plus étroit, presque familier, avec ces gens. Issa Fares, travailleur social en charge des relations avec les patients Syriens, a déclaré: « J’essaye de leur donner des informations en arabe sur ce leur état de santé et sur leur avenir proche. Si ces personnes ont des parents en dehors de l’hôpital, j’essaye de les contacter. Dans la mesure du possible, je leur donne aussi des vêtements quand ils rentrent chez eux, ou des prothèses pour ceux qui sont amputés d’un membre, et je tente d’établir une relation sincère avec eux pour comprendre s’ils ont des besoins urgents de soins psychologiques ». L’hôpital dispose également d’un certain nombre de volontaires-clown , comme Johnny Khbeis : «Je suis ici depuis quatre mois et travaille surtout avec les enfants Syriens blessés. La guerre est terrible, c’est la première fois de ma vie que je vois une guerre d’aussi près ». Mais comment se passe leur sortie de l’hôpital ? En moyenne, ils y restent environ trois semaines, mais selon la gravité de leurs blessures, ils peuvent rester plusieurs mois. Parfois, il peut y avoir une étape intermédiaire de séjour à l’hôpital militaire dans le Golan. D’autres sont raccompagnés à la frontière par l’armée parce qu’ils ne veulent pas retourner en Syrie. Mais ces cas sont très rares. « Tout le monde veut retourner dans sa famille. Ils disent qu’ils préfèrent y mourir sous les bombes que de rester ici. Ils aiment leur patrie, la Syrie », explique Issa Fares . Des patients expliquent aussi qu’il est dangereux pour leurs familles et pour eux-mêmes de rester dans un pays officiellement en guerre avec la Syrie.
Accueilli à l’hôpital après une explosion, un patient témoigne : « Ils m’ont traité avec grand respect. Je remercie tous les médecins, infirmières et divers employés. Mais je n’ai pas peur de retourner en Syrie. Je crains seulement d’être là, parce que je ne sais pas où ma famille. J’ai entendu dire que après avoir reçu des bombes et des missiles sur notre pays, ils sont tous partis, mais je ne sais pas où. J’ai peur de cela, mais je veux revenir pour continuer ma vie. Je ne peux pas quitter mon pays ».
Federica Foiadelli – Telepace Holy Land TV
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 18 Mai 2014 - 16:26
http://www.ajcf.fr/spip.php?article2007
source acjf
Le parlement israélien rend hommage au Pape Jean XXIII
Mardi 13 mai 2014
Ce mardi, le Parlement israélien rendait hommage à Jean XXIII pour son engagement humanitaire pendant la Shoah et sa contribution au dialogue interreligieux. Cet événement sans précédent se déroule avec la participation significative de la fondation Raoul Wallenberg, une ONG qui œuvre pour la reconnaissance des victimes des nazis.
Cet hommage a débuté dans la matinée par une réunion extraordinaire du comité pour l’instruction de la Knesset, et devait s’achever dans l’après-midi sous le patronage du président de l’assemblée Yuli Edelstein, avec plusieurs allocutions de députés israéliens chargés de rendre hommage à Jean XXIII. Le cardinal Loris Capovilla, qui fut le secrétaire personnel du Pape italien a envoyé une lettre à Yuli Edelstein pour lui faire part de sa joie et de son soutien à cet évènement unique.
Dans une interview accordée à l’Agence France Presse peu avant la canonisation de Jean XXII, Baruch Tenembaum, l’un des fondateurs de la Fondation Raoul Wallenberg, soulignait que le pape Roncalli était “le meilleur pape de l’histoire pour le peuple juif” pour avoir sauvé des milliers de vie durant la Shoah et ouvert le dialogue judéo-chrétien, en donnant l’impulsion du Concile Vatican II.
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 18 Mai 2014 - 16:29
La Knesset rend hommage au pape canonisé Jean XXIII
L’hommage se déroule à deux semaines d’un premier pèlerinage en Terre sainte du pape François
« Jean XXIII a été celui qui a permis les changements les plus significatifs » dans l’attitude du Vatican à l’égard des juifs, a déclaré le président de la Knesset Yuli Edelstein en séance plénière.
Deux commissions parlementaires ont eu en parallèle des discussions sur les actions de Jean XXIII, qui a sauvé des milliers de juifs pendant la Shoah et ouvert le dialogue judéo-chrétien.
Mgr Giuseppe Lazzaroto, délégué apostolique à Jérusalem et Palestine et nonce apostolique en Israël, a qualifié Jean XXIII, canonisé fin avril, de « l’un des grands prophètes de l’ère moderne ».
Il a dit devant la commission parlementaire de la diaspora que l’héritage du « bon pape » (surnom de Jean XXIII) était « un trésor sur lequel nous pouvons bâtir un monde meilleur ».
Le pape François a fait saints le 27 avril Jean XXIII (1958-1963) et Jean-Paul II (1978-2005).
Jean XXIII était « le meilleur pape de l’histoire pour le peuple juif », a estimé l’un des fondateurs de la Fondation Raoul Wallenberg, Baruch Tenembaum.
De son vrai nom Angelo Giuseppe Roncalli, Jean XXIII « a fait des choses tellement extraordinaires, je suis ravi qu’il soit déclaré Saint, même si la béatification ne me touche pas, en tant que juif ».
Le pape François est attendu en Terre sainte — Jordanie, Territoires palestiniens et Israël — du 24 mai au 26 mai.
« J’espère que dans le même esprit que celui de Jean XXIII, le pape actuel saura comment surmonter la haine et la souffrance entre les religions », a dit M. Edelstein, cité par le porte-parole de la Knesset.
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Le père Federico Lombardi, sur la visite du pape Francois: Au total 14 discours, « brefs et forts » prononcés en italien, et une vingtaine de lieux visités sont prévus.
Le porte-parole a révélé que François, comme ses prédécesseurs, glisserait un message dans le Mur des lamentations.
« Soit il glissera une enveloppe fermée, soit une feuille ouverte, ce qui signifiera que son message peut être connu », a-t-il dit.
Interrogé sur les actes de vandalisme antichrétiens de certains juifs ultra-orthodoxes, le père Lombardi a assuré que la visite « se déroulerait néanmoins dans un climat serein ». « Je condamne ces actes de vandalisme, et les autorités (israéliennes) sont toutes d’accord pour affronter ce problème ».
Ce problème concerne notamment le Cénacle, lieu du dernier repas du Christ. Le pape, comme Jean Paul II, a décidé d’y célébrer une messe. Or pour les ultra-orthodoxes, ce même lieu est sacré car il abrite la tombe du roi David.
Face aux interrogations sur une « fatigue » du pape François, 77 ans, et l’annulation d’une visite dans une paroisse de Rome dimanche prochain, le père Lombardie s’est voulu rassurant: « on doit en prendre acte avec sérénité. Une visite de paroisse est quelque chose de prenant. Ce signe ne doit pas être jugé alarmant ».
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 18 Mai 2014 - 16:37
François en Terre sainte, avocat du dialogue interreligieux Pas moins de 14 discours, deux bains de foule à Bethléem et Amman… Pas de bain de foule à Jérusalem
Le pape François veut relancer le dialogue inter-religieux et la réconciliation entre Églises d’Orient, lors de son premier voyage en Terre Sainte, pour tenter de désactiver les mèches d’un conflit régional multiforme qui ne cesse de dégénérer.
Sur fond de guerre atroce en Syrie, d’impasse du processus de paix palestino-israélien et de poussée islamiste au Moyen Orient, c’est un dédale d’intérêts divergents que Jorge Bergoglio, populaire dans les communautés musulmane, juive et chrétienne, parcourra à Amman, Bethléem, Jérusalem, du 24 au 26 mai.
Annoncé par le Vatican comme « pèlerinage », ce voyage sera forcément aussi politique.
Le pape multipliera les cérémonies dans des lieux chargés de symbole: Jourdain, où selon la tradition, le Christ fut baptisé; basilique de la Nativité à Bethléem; Saint-Sépulcre ; le mont du Temple; Mur des Lamentations; Mémorial du Yad Vashem et enfin Cénacle à Jérusalem.
Il rencontrera des réfugiés palestiniens et syriens. Beaucoup attendent des gestes novateurs de ce pape qui sait surprendre.
C’est rejoint par un rabbin et un professeur musulman, Abraham Skorka et Omar Abboud, vieux amis de Buenos Aires, que le pape argentin se rendra dans le berceau du christianisme : le dialogue inter-religieux, selon ce pape, peut rapprocher les camps politiques irréconciliables et démontrer que la religion n’est pas un facteur de haine.
L’unité entre chrétiens d’Orient (catholiques et orthodoxes), affaiblis par leurs divisions jusqu’en Ukraine, est l’autre point fort de ce quatrième voyage d’un pape en Terre sainte : François a choisi le 50e anniversaire de l’accolade à Jérusalem de Paul VI et du patriarche de Constantinople, Athenagoras.
François y retrouvera son successeur, Bartholomée, « primus inter pares » parmi les patriarches orthodoxes. Ils se verront à quatre reprises.
« François traversera les frontières, rendant visite à trois réalités politiques. Il s’adressera à tous pour qu’ils ouvrent leur imaginaire dans une région marquée par les refus mutuels », analyse pour l’AFP le jésuite David Neuhaus.
« Geste politique »
« Ce sera difficile de rester aimé par tous » quand il « dira certaines vérités », prédit ce responsable de la petite communauté catholique hébraïque d’Israël.
D’autant que François a tranché pour un voyage court, faisant l’impasse sur les chrétiens arabes de Galilée.
« Le geste politique de ce pape, c’est de venir en pèlerin » sur un lieu fondateur des monothéismes, non seulement en chef catholique ou en leader politique qu’il n’est pas, analyse Mgr Pascal Gollnisch, directeur-général de l’Oeuvre d’Orient.
L’étape d’Amman sera la plus simple. Le Royaume hachémite défend la présence minoritaire chrétienne au Proche Orient.
Il verra le roi, dira une messe au stade et rencontrera 600 handicapés et réfugiés, beaucoup venus de Syrie.
Moment d’évoquer la fuite des chrétiens d’Orient, et prier pour la réconciliation en Syrie, ainsi que pour le Liban et l’Irak fragilisés.
A Bethléem, après avoir été reçu par Mahmoud Abbas, une voiture découverte le mènera sur la place de la Mangeoire pour la plus grande messe de son voyage.
Il priera à la Grotte de la Nativité, entre un sobre déjeuner avec des familles pauvres et une étape au camp de réfugiés palestiniens de Dheisheh, marques de son attention aux souffrances palestiniennes.
Dès le soir, à Jérusalem, il retrouvera les patriarches catholiques et orthodoxes à la basilique du Saint-Sépulcre, qui abrite selon la tradition le tombeau du Christ, pour une prière commune sans précédent dans ce lieu.
La dernière journée, sans bains de foule, sera la plus délicate. Il se rendra sur le mont du Temple, visitant le Dôme du Rocher et le Grand Conseil des musulmans.
Dans la foulée, il ira au Mur Occidental où il déposera comme ses deux prédécesseurs un message.
Au cimetière national du Mont Herzl (du nom du fondateur du sionisme Theodor Herzl) – une première inédite pour un pape –, il déposera une couronne de fleurs. Suivra un temps de recueillement au mémorial de Yad Vashem.
Le pape aura de brèves entrevues avec le président Shimon Peres et le Premier ministre Benjamin Netanyahu, au moment où les laborieuses négociations entre le Saint-Siège et Israël pour parvenir à un accord sur le régime fiscal et immobilier des biens des congrégations catholiques semblent avoir avancé.
Une messe au Cénacle, lieu du dernier repas du Christ, conclura le voyage, sur un site qui abrite aussi la Tombe du Roi David. Étape sensible qui risque de susciter la colère de jeunes juifs religieux nationalistes qui ont perpétré récemment des actes de vandalisme anti-chrétiens.
Autre difficulté : la présence annoncée à Jérusalem du patriarche maronite libanais Bechara Raï –qui ne fera pas partie de la délégation papale– a suscité le mécontentement du mouvement chiite Hezbollah. Israël est encore officiellement en guerre avec le Liban depuis 1948.
Tout comme l’été dernier à Rio, le pape n’aura pas de papa-mobile blindée. Il évitera aussi les cérémonies protocolaires. « Partout, a confié Mgr Gollnisch, il a voulu des repas sobres, demandé à être reçu dans la pauvreté, à n’être pas servi à table, et à éviter toutes les mondanités ».
r.
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 18 Mai 2014 - 17:50
prinu a écrit:
c'est tout à fait normal, da'rreter des dangereux violents, quelque soit leur age. Le hamas fait envoyer des enfants en premiére ligne, quelle honte. ces enfants violents et agresseurs sont coupables, rien à repprocher à la police ou à l'armée israélienne, que d'arreter des dangereux et des fous.
...Je vous plains.
Citation :
par contre les ONG qui viennent les visiter constatent qu'ils sont parfaitement bien traités.
... Je voudrais bien savoir lesquelles. Ce n'est pas l'écho que j'ai
DelpheS
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 18 Mai 2014 - 18:25
Augmentation du nombre d’enfants palestiniens soumis à l’isolement cellulaire
“L’utilisation de l’isolement à l’encontre des enfants palestiniens, comme instrument pour l’interrogatoire, est une tendance croissante” a déclaré Ayed Abu Eqtaish, directeur du Programme de Responsabilité à DCI-Palestine. “Ceci est une violation des droits des enfants et la communauté internationale doit demander que la justice et des comptes soient rendus”.
Les recherches de DCI-Palestine suggèrent de façon accablante que l’utilisation de l’isolement cellulaire à l’encontre des enfants palestiniens détenus dans le système israélien de détention militaire est employée presque uniquement à des fins d’interrogatoire. Le but apparent est d’obtenir des aveux ou de rassembler des renseignements sur d’autres personnes.
Dans le monde, les enfants et les adolescents délinquants sont souvent détenus en isolement cellulaire comme une mesure disciplinaire ou pour les séparer des personnes adultes. L’utilisation de l’isolement cellulaire par les responsables israéliens ne semble pas liée à une quelconque raison ou justification disciplinaire, protectrice ou médicale.
En 2012, le rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des droits de l’homme dans les Territoires Palestiniens Occupés, Richard Falk, a condamné l’usage de l’isolement cellulaire par Israël à l’encontre d’enfants palestiniens en déclarant qu’il s’agit “d’une violation flagrante des normes internationales en matière de droits de l’homme”.
“Ce type de violence de la part d’Israël est grave. C’est inhumain, cruel, dégradant et illégal, et, chose la plus préoccupante, il est probable qu’elle affecte de façon défavorable la santé mentale et physique des détenus mineurs” a déclaré Falk
Le transfèrement d’enfants palestiniens des territoires Palestiniens Occupés vers les prisons en Israël est une violation de l’article 76 de la Quatrième Convention de Genève qui interdit le transfèrement de prisonniers hors du territoire occupé.
DCI-Palestine appelle les juges des tribunaux militaires israéliens à exclure tous les témoignages obtenus par la force ou la coercition et réclame que la pratique de l’utilisation de l’isolement cellulaire à l’encontre d’enfants dans les installations de détention israéliennes soit reconnue comme une forme de torture et qu’il y soit mis fin immédiatement.
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 18 Mai 2014 - 18:27
nous n'avons certes pas les mems sources, je parle d'ONG internationale non isaréliennes, qui ne sont pas antisionistes, donc sont plus neutres que ceux dont vous lisez des rapports bidonnés cités dans vos sites croquignilets. mais je lis des rapports comme ceux que j'affirme, depuis 10 ans, contredisant tous, vos sources. désolé de ne pas croire les votres, qui souvent refusent da'dmettre que des enfants violents, on ne leur demande pas gentiment de cesser d'etre violents, surtout pour des causes mensongéres.
ces enfants sont des victimes du radicalisme palestiniens et du mensinge de leurs parents, avant tout. il s ont été éduqués, dés la maternelle, à la haine, et baignent dans une désinformation permanente. ils sont fragiles et manipulés. ils ont été transformées en brutes ou en fines lames. quelle honte de la part des instances palestiniennes, de les utiliser de la sorte.
De nombreuses ONG dénoncent les crimes palestiniens contre l'enfance.
de meme le régime hitlérien avait transformé sa jeunesse en arme de guerre de petits génocidaires cruels. manipulation de l'enfance palestinienne. honte a ces dictatures mentales islamopalestinistes.
tout traité de paix devra aussi comporter un chapitre sur l'humanisation de l'enfance palestinienne lobotomisée depuis la maternelle dans les écoles, pour les sauver.
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Dim 18 Mai 2014 - 18:32
"De nombreux Polonais ignoraient qu'ils étaient juifs"
"Ida", long-métrage relatant l'histoire d'une nonne dans la Pologne des années 60, émeut les spectateurs depuis sa sorite au cinéma en février. L'occasion de revenir sur cette période avec Jean-Yves Potel, spécialiste de l'histoire contemporaine du pays de Jean-Paul II, qui nous parle d'antisémitisme, de communisme et de mémoire.
L'histoire de la pieuse Ida, qui découvre sa judéité déjà jeune femme, est-elle possible ?
Tout à fait. Le film se déroule en 1962. C'est une période où de nombreux Polonais ignoraient qu'ils étaient juifs. Certains ne le savent pas encore. Nés durant la Seconde Guerre mondiale ou juste avant, ils ont été cachés enfants dans des institutions religieuses ou laïques pour être protégés des nazis. Tout au long de leur éducation, jamais leurs origines n'ont été dévoilées. En Pologne, un prêtre très connu, Jakub Weksler Waszkinel, a appris à 33 ans qu'il était juif. Avant d'être tués dans un ghetto, ses parents l'ont confié à une paysanne catholique. A la mort de ses parents adoptifs, il a su. Aujourd'hui, vivant en Israël, il est déchiré entre les deux religions et déclare que son rabbin c'est Jésus-Christ.
En ce moment, la communauté juive polonaise connaît un renouveau : à la différence de la France ou de l'Allemagne, la communauté ne s'agrandit pas par l'extérieur mais essentiellement en interne par ceux qui, comme Ida, découvrent leur judéité sur le tard.
Comment s'exerçait l'antisémitisme dans la société polonaise durant la Seconde Guerre mondiale ?
L'antisémitisme était réel et fort avec des pogroms. Dans les premiers temps de la guerre, juifs et non juifs prennent part à la même armée. Mais très vite, les nazis vont multiplier les discriminations contre les juifs en les isolant dans des ghettos et en les massacrant. C'est la rupture. Au moment de la Shoah, la grande majorité de la population polonaise, qui elle-même subit une répression très forte, va devenir indifférente au sort des juifs. Chacun se replie sur soi. On observera néanmoins différents comportements : une minorité va aider les juifs, d'autres personnes vont les cacher et une autre fraction va devenir complice du crime. Cette complicité est variable selon les époques, les lieux, des villes aux campagnes. Ce n'est pas un antisémitisme institutionnalisé comme en France, avec Vichy, mais populaire qu'utilisent les nazis dans les villages. Nombreux sont les paysans qui vont participer au pillage des biens. Lorsque le régime communiste va s'installer au pouvoir, pour apaiser les mémoires, il va blanchir la responsabilité des Polonais vis-à-vis des juifs.
L'atmosphère de sortie de guerre montrée dans le film est lourde en tabous et en non-dits. Qu'en est-il en réalité ?
On est juste 20 ans après la guerre. En 2014, c'est se rappeler de la mort de François Mitterrand ; c'est hier. En 1962, toutes les personnes qui ont survécu à la guerre sont dans la force de l'âge. Ils ont la quarantaine ou la cinquantaine comme Wada, la tante d'Ida. La guerre a fait leur jeunesse. Cette guerre terrible, ils l'ont tous en tête et leurs paroles baignent dans la douleur. Encore maintenant, si vous vous rendez dans un village polonais où des juifs ont été tués, les vieux peuvent tous vous raconter dans les détails. Toute cette culture autour du jazz, montré avec brio dans le film, c'est typique des années 60. Une nouvelle génération essaye d'oublier et de vivre autre chose.
Est-ce une période où de nombreux Polonais se sont tournés vers la religion ?
Dans les années 60, c'est le cas de nombreux jeunes gens. Ce qu'espéraient les communistes, c'était le déclin des religions et c'est l'inverse qui s'est produit. Les églises n'ont jamais été aussi pleines que sous le régime soviétique. En témoigne cet événement qui a eu lieu dans la Lourdes polonaise, le 15 août 1956 : ce jour là, le chef de l'Église, le cardinal Stefan Wyszyński, relégué dans un monastère, n'a pas pu donner le discours pour lequel on l'attendait. En réaction, plusieurs millions de personnes manifestèrent. L'église catholique polonaise est la seule du bloc de l'Est à avoir réussi à imposer une certaine indépendance vis-à-vis des communistes. C'était une sorte d'Etat dans l'Etat qui pratiquait le compromis avec le régime mais qui avait sa propre autonomie.
La Pologne s'est-elle réappropriée depuis son histoire douloureuse à l'égard des juifs ?
Toutes les semaines sont organisés des débats publics autour de ces questions. Depuis une vingtaine d'années, les recherches historiques sont vives et nombreuses. On peut pointer quelques grands moments : dans les années 90, Lech Walesa a fait un discours contre l'antisémitisme polonais en demandant pardon. Il y a eu des manifestations, des déclarations, des monuments entre 1992 et 1995. Depuis les années 2000, tous les présidents ont pris position contre l'antisémitisme et ont appelé à l'ouverture de débat. Une réflexion sur la culture juive est aussi présente. D'ailleurs, Varsovie y consacrera un musée.
Pour aller plus loin :
Jean-Yves Potel, La fin de l'innocence. La Pologne face à son passé juif, Autrement, 2009, 284 pages. Jean-Yves Potel, Les disparitions d'Anna Langfus, Noir sur blanc, 2014, 260 pages.
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Dans les camps, les prisonniers polonais battaient les prisonniers juifs.
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 20 Mai 2014 - 17:24
Je n'ai aucun probléme pour l'autocritique du terrorisme juif du groupe minoritaire stern, qui fut condamné par presque tout les sionistes.
Le Livre Blanc brittanique mettait fin à l'émigration. il empecha le SAUVETAGE des juifs. Dans toute la Palestine brittanique juive, la colère fut grande. L'Irgoun, ne fut pas moins catégorique dans ses conclusions que le gouvernement Chamberlain ne l'avait été dans les siennes : les Anglais avaient cédé devant le chantage arabe. A partir de ces constatations, la conduite à tenir était simple : il fallait avoir recours aux mêmes méthodes que les Arabes, mais contre les forces de la Couronne. Le 17 mai 1939, jour de la publication du Livre Blanc, des manifestations de rues éclatèrent et les stations de la radio en Palestine juive furent bombardées. La riposte des Anglais fut brutale.
Au printemps 1939, une vingtaine de cadres de l'Irgoun, réfugiés et installés dans une ferme en Pologne, furent initiés par des officiers polonais aux méthodes modernes de la guérilla.
Stern fut décapité.. armée pour tenir tête aux Arabes, l'Irgoun, de toute évidence, ne l'était pas encore pour déjouer les recherches de la police.
Mais Stern ne voulait rien changer à sa ligne de conduite. Celui qui allait donner son nom à un petit groupe terroriste — il ne comprit jamais plus de deux cents membres — remarquablement actif, était un homme mince, au beau visage étroit, aux manières affables, à la voix douce. Ces apparences abritaient un caractère inflexible. Partisan comme Jabotinsky de la création immédiate d'un État juif, il allait encore plus loin que le maître dans l'extrémisme. A ses yeux, l'ennemi c'était la Grande-Bretagne et elle seule. Seule une faible minorité de l'Irgoun (déja minoritaire chez les sionistes..) épousa la cause sterniste. Ces hommes n'avaient pas d'armes, pas d'argent, l'opinion juive les désavouait, et, au mieux, les tenait pour complètement fous. Traqués par la police, rejetés par les sionistes.
A un moment, Stern, ce ne fut que 25 membres !
Comparez deux cent personnes au mieux, ou 25 au pire, au présent actuel: une société palestinienne radicale et islamiste, une éducation anti juive à l'école et dans les médias, et des armées perfectionnées aidés par les mollahs d'Iran !
Les forces du mal sont du coté palestinien.
Les sionistes étaient majoritairement humanistes et refusaient le terrorisme.
je refuse de mettre les deux études, a un plan égalitaire de faute morale, pour faire des conclusions sur le présent.
L'agression est arabe, l'essence du terrorisme a toujours été du coté palestinien, et le sens démocratique et libertaire a toujours été , à l'écrasante majorité, du coté des sionistes. --
Cette minorité fut-elle réellement terroriste ? Pour le Groupe Stern, la réponse ne fait pas de doute, de l'aveu même de ses propres dirigeants. Le cas de l'Irgoun est plus complexe. Certaines opérations menées par elle ne se distinguent en rien des raids effectués par les commandos ou groupes de choc d'une armée régulière. D'autres participent de la guérilla. D'autres, comme la pendaison d'officiers britanniques, relèvent de la terreur pure. Ainsi que Begin le souligne lui-même, ces actes n'avaient pas tant pour objet d'obtenir, en contrepartie, la libération des captifs que d'obliger les fonctionnaires britanniques à se claustrer dans des enceintes fortifiées.
L'attentat contre l'hôtel King David, même s'il n'avait pas fait couler une seule goutte de sang, ne pouvait avoir d'autre sens que de provoquer un état de panique dans tout immeuble officiel où résidaient des représentants de la puissance brittanique.
Voici quelle fut la position officielle des sionistes de la haganah (majoritaire), et de Ben Gourion devant le terrorisme du groupe stern (minoritaire):
Ben Gourion avait proposé et fait accepter un plan en quatre points pour la répression du terrorisme :
1. Expulsion des lieux de travail de tous ceux qui appartenaient au « gang » ou le soutenaient, mesure qui s'appliquait même aux élèves des écoles.
2. Refus de tout secours aux terroristes.
3. Refus de céder à leurs menaces.
4. Collaboration avec les autorités britanniques. (Selon Begin, les noms de plusieurs centaines de membres de l'Irgoun leur furent communiqués.) -- Faisons un paralléle avec ce qu'il faut demander a un chef palestinien pour pouvoir signer un traité de paix:
qu'ils fassent ce que Ben Gourion a fait vis à vis de stern:
Que abbas (ou le prochain representant palestinien) propose et fasse accepter un plan pour la répression du terrorisme palestinien:
1. Expulsion des lieux de travail de tous ceux qui appartenaient au hamas, hezbollah, jihad, groupes islamistes, ou les soutenaient, en s'appliquant même aux élèves et professeurs des écoles. - ce que ben gourion a fait vis avis de sterroristes juifs de stern!)
2. Refus de tout secours aux terroristes palestiniens.
3. Refus du nouveau gouvernement palestinien de céder à leurs menaces des terroristes palestiniens.
4. Collaboration avec les autorités israéliennes. que les responsables palestiniens donnent les noms de centaines de membres du hamas, hezbollah, islamistes du fatah, du jihad, etc a communiquéer aux israéliens. - ce que Ben gourion fit des terroristes juifs de stern ! et les arrete.
nous exigeons d'un gouvernement palestinien crédible qu'il fasse ce qu'a fait ben gourion !
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mar 20 Mai 2014 - 18:16
Voici le Foyer National Juif en 1920, selon le Mandat de la Société des Nations :
Le futur état juif selon la Société des Nations, avec comme motivation, de arguments à la fois historiques et moraux. : TOUTE la palestine romaine.
une surface CINQ fois plus grande, et bien plus cultivable, avait été donnée aux autres groupes humains (arabes, musulmans..): l'actuelle jordanie.
et ce partage a été réfléchi, discuté, pensé, argumenté, et en avantageant les musulmans (cinq fois plus !)
Les juifs n'ont pas protesté de cette distribution avantageant les arabes. Ils étaient déja content de récuperer leurs droits historiques légitimes, et qu'on leur fasse simplement justice.
Puis les brittaniques tentérent de promettre monts et merveilles aux arabes. Ils magouillérent à la SDN pour diminuer la partie réservée aux juifs, déja moindre que celle donnée aux musulmans. et ce, non pas pour aider des gens, mais pour des interets privés égoistes impérialistes anglais, et non pour le bonheur des peuples. Et, braves moutons naifs, les juifs ont ils protestés à la SDN qu'on leur diminue des terres pourtant ancestrales ? étaient ils vindicatifs et imbus ? Non.
On a traité les juifs comme des indiens.
MAIS il ya une jurisprudence pour les arguments historiques et moraux qu'avaient repris les nations du monde à cette occasion, un droit tangible; c'est à dire qu'un état juif existe de plein droit historique comme moral. Et c'est cette réalité tangible qui ne plait pas aux antisionistes, et c'est ce qui motive ler trépignations à modifier et déformer l'histoire, a creer de fausses cartes dénommées d'occupation israélienne, avec de soit disantes colonies, alors qu'il s'agit de libération face a des agressions arabes permanentes, et a traiter les sionistes de colonisateurs impérialistes. Non, le sionisme, qu'ils soit ancien et plusieurs fois millénaire, ou moderne et né dans les milieux communistes ouvriers d'europe centrale, il s'agit de justice et de droit historique et moral.
Retirer ces droits moraux et historiques, aux juifs, voilà la vraie amoralité, et leur reprendre leurs droits, voilà le vrai colonialisme impérialiste, et il est islamopalestiniste, et il menace aussi les démocraties du monde dont l'occident chrétien pour un panislamisme conquérant. Attaquer le sionisme, c'est attaquer la quete humaine du droit à la vie et au respect: pour un humaniste, ou un défenseur des droits de l'homme, c'est se tirer une balle dans le pied, c'est un non-sens moral. Etre antisioniste est une monstruosité amorale.
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 21 Mai 2014 - 2:44
Plus de 17.500 tweets antisémites postés en Espagne après une défaite au basket contre Tel Aviv
Les messages racistes ont suivi la victoire de Tel-Aviv face au Real Madrid en Euroligue de basket.
Après la victoire de Tel-Aviv face au Real Madrid en finale de l’Euroligue masculine de basket, des milliers de messages antisémites ont envahi le réseau social en Espagne. Des associations juives ont déposé plainte.
Plusieurs associations juives espagnoles ont porté plainte mardi après la diffusion de 17 500 tweets contenant des messages antisémites, dans la foulée de la victoire dimanche de l’équipe Maccabi de Tel-Aviv face au Real Madrid, en finale de l’Euroligue messieurs de basket.
Le club israélien a créé une immense surprise en remportant le match (98-86 après prolongations) tandis que le Real échouait pour la deuxième année consécutive en finale. Mais immédiatement après la partie, une vague de messages à caractère antisémite a envahi Twitter en Espagne, à tel point que le hashtag #putosjudios est devenu pendant quelques heures le plus populaire du réseau social dans ce pays.
"En voyant des réactions à la victoire du Maccabi comme "les Juifs aux fours" ou "les Juifs aux douches", nous avons décidé de porter plainte », a expliqué Rubén Noboa, du collectif Israël en Catalogne, à l’origine de cette action judiciaire, à laquelle se sont jointes 11 autres associations. Les plaignants ont déposé devant la justice plus de 17 500 messages considérés comme antisémites et publiés après le match, dont cinq proviennent d’utilisateurs qui ont pu être identifiés nommément.
Les associations accusent ces cinq personnes d’"incitation à la haine et à la discrimination", un délit passible d’une peine d’un à trois ans de prison en Espagne, et demandent que soient identifiés et poursuivis les autres utilisateurs ayant publié ces messages sur Twitter.
"Les stéréotypes perdurent"
Pour Rubén Noboa, ces messages mettent en évidence le « fond antisémite »demeurant en Espagne, qui est, selon un récent rapport de l’organisation Antidifamation League, le troisième pays européen après la Grèce et la France comptant le plus fort degré d’antisémitisme, alors même que le pays ne compte que très peu de Juifs depuis leur expulsion en 1492. « Ici, presque personne ne connaît de Juif mais les clichés et les stéréotypes perdurent, alimentés également par le catholicisme », affirme-t-il.
Cette polémique survient quelques jours après l’arrestation de trois utilisateurs de réseaux sociaux pour « apologie d’assassinats » dans leurs commentaires et réactions au meurtre, le 12 mai, d’une responsable régionale du parti de droite au pouvoir, Isabel Carrasco.
Le ministre de l’Intérieur, Jorge Fernandez Diaz, avait à cette occasion affiché sa volonté de poursuivre toute « apologie du crime et incitation à la haine » sur les réseaux sociaux. Les associations juives demandent donc une réaction similaire dans ce cas, regrettant que « les autorités publiques réagissent avec tant de célérité dans certaines affaires et si peu dans d’autres », selon Rubén Noboa.
(AFP) i24news.tv
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 21 Mai 2014 - 3:39
JK Rolling harry potter:et l'ordre du phenix. Dumbledore a propos de vous-savez-qui:
"son aptitude a semer la discorde et la haine est considerable. Nous ne pourrons le combattre *qu'en montrant une determination tout aussi puissante, fondee sur l'amitie et la confiance".
ainsi est le propagandiste palestiniste, qui divisera l'occident, et divisera juifs , laics et chretiens vive l'union defensive commune judeo chretienne, et les laics avec nous tous, unis, forts, determines, pour defendre l'occident chretien, et nos valeurs communes.
Dernière édition par prinu le Mer 21 Mai 2014 - 14:20, édité 1 fois
boulo
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 21 Mai 2014 - 6:45
Amotie ???
Dragna Din
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 21 Mai 2014 - 8:49
Tiens prinu, votre avis sur le meurtre de deux enfants par l'armée israélienne la semaine dernière ?
http://www.info-palestine.net/spip.php?article14568 a écrit:
« Les images capturées sur vidéo montrent simplement des meurtres, où aucun des adolescents ne présentait une menace directe et immédiate [pour l’armée d’occupation] au moment de la prise de vue », a déclaré Rifat Kassis, directeur général de DCI-Palestine.
« Ces actes par des soldats israéliens constituent des crimes de guerre, et les autorités israéliennes doivent mener des enquêtes sérieuses, impartiales et approfondies pour tenir les auteurs responsables de leurs crimes. »
Les forces militaires israéliennes ont assassiné quatre enfants palestiniens en 2014. Plus de 1400 enfants palestiniens ont été tués par les forces et les colons israéliens depuis 2000, selon DCI- Palestine.
Amnesty International a condamné les forces militaires d’Israël à la suite des meurtres, en disant que l’armée a « eu recours à plusieurs reprises à une extrême violence pour répondre aux protestations palestiniennes contre l’occupation israélienne, les politiques discriminatoires, la confiscation de terres et la construction de colonies illégales. »
En février, Amnesty a publié un rapport intitulé « gâchette », qui relevait que les forces israéliennes affichent un « mépris total » de la vie humaine, dans une impunité presque totale pour le meurtre de civils palestiniens dans les cas examinés depuis 2011.
Je mets la vidéo en spoiler :
Attention:
J'ajoute la défense de l'armée israélienne :
Citation :
Un porte-parole militaire israélien, le commandant Arye Shalicar, a indiqué mardi que l'enquête de l'armée sur ces morts n'avait pas à ce stade « établi de tirs à balles réelles ».
« Ce film a été monté et ne reflète pas la réalité de la journée en question, de la violence », selon lui.
« Je connais ces méthodes de montages d'images », s'est également défendu le ministre de la défense israélien, Moshé Yaalon
On en rirait si ce n'était si pitoyable.
Plus, mais en anglais : http://www.btselem.org/releases/20140520_bitunya_killings_on_nakba_day
r.
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Sujet: ANTISEMITE Mer 21 Mai 2014 - 11:30
QUENELLE ANTISEMITE
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 21 Mai 2014 - 14:19
r, vous revenez de prendre une affiche d'un site pro-soral et pro-dieudonné, un site raciste antijuif.
-- "amitié", ami boulo.
-- je n'ai pas assez de donnée pour dire quoi que ce soit sur la vidéo de deux palestiniens qui tombent. on ne les a pas retrouvés, ils ont pu glisser sur une peau de banane .. aucun éléments dans un sens ou dans l'autre, encore,il faut attendre pour savoir quoi en penser.
on peux faire dire ce qu'on veux à des images, car effectivement, pallywood crée des montages bien ficelés, en a fait plusieurs fois, tout comme il a pu se passer quelque chose de malheureux, ou que ce soit un réglement de compte interpalestinien, il ya trop eu de scénes montées avec acteurs, et désinformation, ou on a découvert que des balles étaient palestiniennes, ou qu'il n'y avait pas de mort, pour qu'on puisse, ni accuser, ni réfuter quoi que ce soit. ca peux etre des palestiniens qui se débarassent de géneurs, puis font porter le chapeau aux palestiniens comme ca s'eest déja vu vingt fois, des balles perdues, qui sait.
il faut attendre une étude, une enquete a ce propos.
j'accuse ceux qui accusent avec a priori et qui hurlent avec les loups.
« Je connais ces méthodes de montages d'images », s'est également défendu le ministre de la défense israélien, Moshé Yaalon
il a raison aussi.
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 21 Mai 2014 - 14:26
http://www.debriefing.org/31583.html
source debriefing/ isaac franco
téphane Hessel au Panthéon de l'ULB, Isaac Franco
[J'ai déjà exprimé mon dégoût de cette geste dans mon article du 15 mai 2014, « Un square pour un vieil indigné qui traitait Israël d'assassin » (Menahem Macina).]
Sur proposition de l'Union des anciens de l'Université Libre de Bruxelles (UAE), le Recteur de l'Université a accepté de donner le nom de « square Stéphane Hessel » aux pelouses qui entourent la statue de Théodore Verhaegen.
C'est ainsi que ce lundi 19 mai, l'ULB a honoré un homme qui a osé déclarer que
« la politique d'occupation allemande était, si on la compare, par exemple, avec la politique d'occupation actuelle de la Palestine par les Israéliens, une politique relativement inoffensive, si l'on fait abstraction d'éléments d'exception comme les incarcérations, les internements et les exécutions, ainsi que le vol d'œuvres d'art. »
Hier donc, la Commission Valeurs de l'UAE et, avec elle, l'ULB tout entière, ont associé le nom d'un homme capable d'un tel outrage à ceux d'Auguste Baron et de Théodore Verhaegen, qui nous ont donné le Libre Examen et ce, à l'endroit même où, chaque année, les membres de l'UAE se rassemblent, le 20 novembre, pour commémorer fièrement leur université et ses valeurs.
Ancien étudiant de l'ULB, je ne me reconnais plus dans une Université que ne dérange pas l'analogie - frappante pourtant - entre le verbe de cet homme et celui d'un ennemi juré de la démocratie qui, au journal Rivarol, disait, lui aussi, il n'y a pas si longtemps, que
« en France du moins, l'occupation allemande n'a pas été particulièrement inhumaine même s'il y eut des bavures, inévitables dans un pays de 550.000 kilomètres carrés. »
Alors, je m'interroge.
Si ces propos du président du Front National de l'époque, qui suggèrent honteusement une relative bienveillance de l'occupation allemande, ont mérité une juste et unanime condamnation, pourquoi alors une autre déclaration, siamoise de la première, n'a-t-elle pas donné un même haut-le-cœur lorsque la prononçait l'Oracle médiatique de la Gauche qui, par ailleurs, se gardait bien de contredire ses adorateurs naïfs lorsqu'ils l'associaient – rien de moins – à la rédaction de la Déclaration des Droits de l'Homme?
Serait-ce parce que cet "ardent promoteur des Droits de l'Homme" assortissait, lui, son odieux plaidoyer de la « politique relativement inoffensive » de l'occupation allemande, d'une comparaison non moins abjecte avec la cruauté supposée de l'occupation israélienne de territoires disputés en Judée Samarie ?
Serait-ce que tenir la seconde proposition annule la condamnation que lui aurait - peut-être, peut-être seulement, s'agissant de l'auteur canonisé des indignations sélectives - valu la seule première ?
Serait-ce qu'on ne peut convoquer la première que du moment qu'on l'enrôle au service de l'incitation à la haine de l'Etat juif ?
Serait-ce le signe - combien dévastateur au plan symbolique pour notre chère Université et son UAE - que, « en gravant dans la pierre un hommage à l'homme d'idéal et d'insoumission », elles échangent la lutte contre les méfaits réels des fascismes de droite comme de gauche pour le combat contre ceux, fantasmés, du Sionisme ?
Autrement dit, serait-ce que le Sionisme est devenu, pour notre Université comme pour son Union des anciens étudiants, l'incarnation la plus achevée du fascisme contemporain, voire de tous ceux qui l'ont précédé ?
Serait-ce que notre Alma Mater désigne, avec Stéphane Hessel, Israël et le Sionisme comme La référence du Mal qu'on peut, qu'il faut même, inciter à haïr, la bonne conscience en bandoulière ?
Serait-ce, en somme, que notre Université s'enorgueillit désormais d'être devenue un des hauts-lieux européens de la diabolisation d'Israël et ce, au nom d'un prétendu « combat pacifiste et émancipateur » ?
Serait-ce que l'antisémitisme grimé en antisionisme ne disqualifie pas quiconque se proclame antiraciste, serait-ce donc que ce temps mauvais a accouché de l'antiraciste antisémite, serait-ce alors que l'antisémitisme n'est plus un racisme du moment qu'on prend soin de le couvrir de la misérable feuille de vigne de l'antisionisme ?
La décision de notre Université et de ses Anciens de s'associer à l'inauguration de cette stèle me paraît répondre par l'affirmative à ces interrogations.
Ne nous trompons pas, c'est à un simulacre de fraternité qu'ont participé les autorités académiques de l'ULB, son Union des anciens et leurs invités quand ils ont commémoré la geste d'un homme que son grand âge a égaré au point de sourire benoîtement aux côtés d'assassins qui promettent chaque jour à des fils et petits-fils le même sort que réservaient à leurs pères et grands pères ceux dont l'occupation chez nous était « relativement inoffensive ».
Un square pour un vieil indigné qui traitait Israël d'assassin
Sur sa page Facebook, l'Union des Anciens de l'Université Libre de Bruxelles fait savoir que le Recteur de l'Université a accepté sa proposition de donner le nom de Stéphane Hessel aux pelouses qui entourent la statue de Théodore Verhaegen. Celles et ceux qui, comme moi, n'ont pas pardonné au vieil « indigné médiatique » ses incitations à la haine d'Israël, n'iront pas « cracher sur sa tombe », mais je gage qu'ils éprouveront un soulagement et même un certain plaisir, à FOULER le carré de pelouse que l'Université Libre de Bruxelles a dédié à l'érection d'un square à sa mémoire !
Du coup, je mets en circulation cet article, que j'avais rédigé en janvier 2011, et qui s'intitulait « Un si long silence : Qu'a fait M. Hessel depuis 1945 ? ». Il a été refusé par plusieurs médias juifs, y compris par ceux qui se targuent de soutenir inconditionnellement Israël. Oublié, même par moi, il traînait quelque part sur mon disque dur. Cette affaire de square à la mémoire du vieillard, aujourd'hui défunt – qui brûla ses derniers feux pour une mauvaise cause, en mettant sa réputation surdimensionnée au service de la haine d'Israël – m'a convaincu de rendre public cet inédit. Ce sera mon épitaphe pour le « grand homme ».
Avant son « opus maior » et best-seller, Indignez-vous ! (Pour une insurrection pacifique), 40 pages, 3 euros, éditions Indigènes, oct. 2010, Stéphane Hessel, né en 1917, n'aura publié que deux livres (uniquement autobiographiques) : Danse avec le siècle (autobiographie) Seuil, 1997, et Dix pas dans le nouveau siècle, Seuil, 2002 (1). En comparaison, Jean D'Ormesson, son presque contemporain (il est né en 1925), apparaît comme un auteur prolixe, avec 34 ouvrages publiés.
Quand on connaît les grandes lignes du passé de l'ex-déporté politique, auréolé de gloire et de respectabilité et amplifié aux dimensions d'une légende par des médias peu regardant en matière d'objectivité, on est tenté de s'interroger sur les raisons de ce long silence antécédent, et surtout de se demander quel a été l'événement déclencheur de cette soudaine « indignation », dont son opuscule a fait un produit de grande consommation.
Comme l'ont noté quelques trop rares critiques qui ont su résister au tsunami d'adulation dont est l'objet ce grand taiseux, devenu soudain si prolixe dans les médias, il est tout de même étrange que ce presque centenaire, au passé si glorieux, prenne soudain feu pour la seule cause palestinienne, comme si d'elle dépendait le sort de la planète, ou qu'elle constituait le comble de l'injustice et de l'horreur. Ce qui lui vaut ce jugement terrible d'un haut magistrat français (2) :
Au fond, cet homme sur lequel se seraient concentrées les vertus de vérité, de justice et d'équité n'est pas aussi exemplaire, aujourd'hui, qu'il l'était hier dans les épreuves et les honneurs qu'il a connus. Il a décidé de gommer toute une part de la réalité. Il s'épargne les embarras du choix et de la conscience en félicitant, par exemple, les Palestiniens d'avoir sauvegardé les droits des enfants à Gaza alors qu'ils s'en servaient parfois comme boucliers. Il est commode et facile de jouer au "juste" quand on ne tient jamais les deux bouts de la chaîne et qu'on a décidé, au nom de son camp, de n'appréhender l'Histoire et les drames du monde qu'avec un regard délibérement mutilé. S'il faut choisir, je préfère mille fois les affres d'un Finkielkraut aux suavités partisanes d'un Stéphane Hessel. L'un prend en charge le tout pour penser quand l'autre n'en saisit qu'une partie pour militer.
Réagissant à la phrase suivante : « Aujourd'hui, ma principale indignation concerne la Palestine, la bande de Gaza, la Cisjordanie », un autre critique commente (3) :
[…] attitude légitime et respectable, mais qui contient difficilement la colère haineuse qui altère son flegme poétique chaque fois que, dans un débat, il est question d'Israël. Faisant le décompte des pertes de l'opération « Plomb durci » qui a provoqué la mort de plus d'un millier de Gazaouis, il remarque qu'elle a fait « seulement » une cinquantaine de blessés du côté israélien, et on y sent l'ombre d'un regret, d'autant qu'il croit bon ajouter cette énormité : « Que des Juifs puissent perpétrer eux-mêmes des crimes de guerre, c'est insupportable ». Comme si quoi que ce soit, dans leur qualité, leur passé, leur souffrance, devait les préserver, les immuniser ou leur interdire de se comporter salement comme tous les hommes sous toutes les latitudes en tous temps, car toute guerre est une sale guerre. […] Imaginez mais ne cherchez pas, car cela n'y est pas. Vous n'y trouverez pas […] d'indignation sur la violation des droits de l'homme en Birmanie, en Chine, en Iran, en Corée du Nord, en Libye, en Tunisie et dans tant d'autres pays, car l'indignation de Stéphane Hessel est à géométrie variable. Manifestement, sa boussole intérieure s'est bloquée sur ce pays honni [Israël].
« Israël assassin ! » (lien au clip video)
On suspectera, bien sûr, ces deux auteurs de parti pris tribal. Admettons. Mais ce qui ne souffre pas de discussion, parce qu'il s'agit d'un fait indiscutable et documenté, unique, sauf erreur, dans les annales du discours public d'un intellectuel (si tant est que M. Hessel en soit vraiment un), c'est d'entendre, de la bouche de ce patriarche que d'aucuns considèrent comme un maître à penser et un moraliste patenté, un appel à la mort de ses ennemis idéologiques, qui rappelle (tant pis si je me fais scalper pour avoir écrit cela !) les pires éructations antisémites nazies : « Israël, assassin ! Israël, assassin ! » (4)
Que vous en semble ?
1. Pour être honnête, il faut encore mentionner un recueil de 88 poèmes : Ô ma mémoire : la poésie, ma nécessité, Seuil, 2006 (rééd. 2010), un livre de conversations avec Jean-Michel Helvig, Citoyen sans frontières, Fayard, 2008, et une préface à l'ouvrage de Robin Walter, « KZ Dora » Volume 1, Des ronds dans l'O, 2010, c'est peu, pour un homme de sa trempe.
2. Philippe Bilger, Ne vous indignez pas !.
3. Pierre Assouline, A-t-on le droit de ne pas s'indigner avec Stéphane Hessel ?.
4. Voir le clip vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=rj4-FhdrXes&feature=player_embedded.
--
prinu
Messages : 10059 Inscription : 28/02/2012
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 21 Mai 2014 - 14:29
A-t-on le droit de ne pas s’indigner avec Stéphane Hessel ?
Etrange phénomène que celui d’Indignez vous ! (29 pages, 3 euros, Indigène éditions). Qui n'aime pas Stéphane Hessel, son sourire désarmant, son incroyable mémoire de la poésie, sa courtoisie d'un autre temps, sa gentillesse si rassurante ? Il vaut vraiment que l’on s’y arrête et que l’stphan1.1294176080.JPGon y regarde de plus près, ne fût-ce que parce que, au-delà du demi million d’exemplaires, tout essai revêt des allures de phénomène de société. Or, curieusement, s’il a été loué de toutes parts, en raison de son message humaniste et de l’itinéraire impeccable de son auteur, il n’a guère été analysé dans un esprit critique. L’objet tout d’abord. Ce n’est pas un livre mais stricto sensu une brochure dont le texte proprement dit, plutôt mal fichu, mi-discours mi-interview le tout colligé, n’occupe que 13 pages, comme un gros article, le reste étant occupé par des notes et une postface de l’éditeur. Il est donc abusif non seulement de parler de livre, d’expliquer son succès par son faible prix (3 euros) alors que des nouvelles inédites sont en vente à 2 euros (Folio), mais aussi de commenter la liste des meilleures ventes en clamant partout qu’il a même dépassé le Goncourt de Michel Houellebecq (!). Mais on s’en doute, là n’est pas le plus important.
L’indignation en est le leitmotiv. Comme si le "devoir d'indignation" pouvait se décréter ! Quand on pense que ceux qui l’achètent par dizaines pour l’offrir autour d’eux y voient un programme d’action, une philosophie morale, un bréviaire, on est consterné tant le contenu manque de contenu, ce qui ne lui est guère reproché en raison de son statut d'icône. Faut-il que la gauche ait déserté les champ des idées pour qu'un tel appel puisse y prospérer ! Sa démonstration est si faible et la plume si incertaine qu'il n'a pas la puissance d'un pamphlet. Qui pourrait décemment s’opposer à un texte dégoulinant de bons sentiments, aux grands principes, aux grands idéaux et aux grandes idées qui y sont énoncées ? D’autant qu’elles sont présentées sous le label « issu de la Résistance ». C’est déjà là que le bât blesse. Non dans le programme du Conseil national de la Résistance, même si depuis son adoption le 15 mars 1944, la France a un peu changé et qu’il ne suffit plus de réclamer « une retraite permettant aux vieux travailleurs de finir dignement leurs jours », revendication qui paraît un peu courte aujourd’hui, même pour les syndicalistes les plus chevronnés. Stéphane Hessel, qui s’est tôt engagé dans la Résistance, ce qui lui valut d’être torturé puis déporté à Buchenwald et à Dora, dit l'avoir fait car « j’ai été indigné par le nazisme». Il nous appelle donc à l’indignation permanente en toutes circonstances et en tous lieux, même si cette manière de mettre ainsi sur une même ligne morale la situation des sans-papiers, la dérégulation du capitalisme et les crimes du totalitarisme national-socialiste devrait nous… indigner. Le Monde a récemment publié deux pleines pages dans lesquelles des personnalités s’indignaient toutes de quelque chose, à l’exception du neuropsychiatre Boris Cyrulnik, et comme sa lumineuse réaction ouvrait le bal, elle eut pour effet d’anéantir toutes celles qui suivaient :
« J'ai beaucoup de tendresse, d'admiration, pour Stéphane Hessel avec qui j'ai beaucoup de concordances de vue mais je m'indigne qu'on nous demande de nous indigner parce que l'indignation est le premier temps de l'engagement aveugle. Il faut nous demander de raisonner et non de nous indigner. »
On ne saurait mieux dire qu’il est bizarre de pousser ses contemporains à s’engager sous l’empire de l’émotion et non sous celui de la réflexion. Mais allons plus loin. Dès la troisième page de son texte, Stéphane Hessel écrit : « Nous, vétérans des mouvements de résistance et des forces combattantes de la France libre, nous appelons les jeunes… » Nous ? Mais qui l’a délégué pour parler au nom de tous les survivants de la Résistance intérieure et de la France Libre, d’autant qu’il y revient à plusieurs reprises ? A la dernière page, cela peut se concevoir car son « nous » renvoie en note à un appel de 2004 fort d’une dizaine de noms (Aubrac, Cordier, Vernant…), mais avant, si on lit bien, Stéphane Hessel est l’auteur et il est censé écrire en son nom. A le suivre dans son raisonnement, on comprend qu’un homme n’est humain que s’il s’indigne et s’engage en conséquence. Un peu comme lui en somme. De quoi nier leur qualité d’humains à tous les Bartleby engendrés par la société. A la fin de son texte, après avoir rappelé les principes de la Déclaration des droits de l’homme à la rédaction de laquelle il dit avoir été associé, et s’être fait l’apôtre de la non-violence, le pourfendeur des inégalités, le dénonciateur de la consommation à outrance (mais qui est contre ?), il s’indigne de ce qui se passe à l’étranger.
« Aujourd’hui, ma principale indignation concerne la Palestine, la bande de Gaza, la Cisjordanie ». Deux pages suivent (2 sur 13, c’est dire la proportion) en défense et illustration du peuple palestinien, attitude légitime et respectable, mais qui contient difficilement la colère haineuse qui altère son flegme poétique chaque fois que, dans un débat, il est question d’Israël. Faisant le décompte des pertes de l’opération « Plomb durci » qui a provoqué la mort de plus d’un millier de gazaouis, il remarque qu’elle a fait « seulement » une cinquantaine de blessés du côté israélien, et on y sent l’ombre d’un regret, d’autant qu’il croit bon ajouter cette énormité : « Que des Juifs puissent perpétrer eux-mêmes des crimes de guerre, c’est insupportable ». Comme si quoi que ce soit, dans leur qualité, leur passé, leur souffrance, devait les préserver, les immuniser ou leur interdire de se comporter salement comme tous les hommes sous toutes les latitudes en tous temps car toute guerre est une sale guerre. Si Stéphane Hessel avait été se promener un peu plus en Israël, il y aurait croisé à sa stupéfaction nombre de maîtres chanteurs, de salauds, de maquereaux, de violeurs d'enfants, de négationnistes, de trafiquants de drogue, de klee.1294174980.jpgtueurs en série. Après quoi suivent des considérations sur l’inévitabilité du terrorisme comme une forme d’exaspération. On croit en avoir fini mais non, deux pages plus loin, il y revient. Evoquant une marche pacifique contre le mur de séparation, il rapporte que les autorités israéliennes l’ont qualifiée de « terrorisme non-violent » puis il commente goguenard : « Pas mal… Il faut être israélien pour qualifier de terroriste la non-violence. » Imaginez un instant l’évocation de la stigmatisation des Roms par Sarkozy&Hortefeux suivie de ce commentaire : « Il faut être français pour … ».
Imaginez mais ne cherchez pas car cela n’y est pas. Vous n’y trouverez pas non plus d’indignation sur la violation des droits de l’homme en Birmanie, en Chine, en Iran, en Corée du Nord, en Libye, en Tunisie et dans tant d’autres pays car l’indignation de Stéphane Hessel est à géométrie variable. Manifestement, sa boussole intérieure s’est bloquée sur ce pays honni. Par une ironie de l’Histoire, il a tenu à faire figurer en liminaire la reproduction de Angelus Novus, dans laquelle son premier propriétaire, le philosophe Walter Benjamin, un ami de son père, voyait « un ange repoussant cette tempête que nous appelons le progrès ». Et comme l’éditeur est obligé d’en indiquer la propriété, la présence de cette aquarelle de Paul Klee permet de faire éclater dès la première page la mention « Musée d’Israël, Jérusalem »… Ce qui doit passablement indigner l’auteur. Mais que ces détails n’empêchent pas les hommes de bonne volonté de s’indigner en reprenant en chœur le puissant slogan qui lui sert d’excipit : « Créer, c’est résister. Résister, c’est créer »
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Stephane hessel a voué n'avoir jamais participé, ni de prés, ni de loin à la charte des droits de l'homme. Non juif malgré bien des livres, des sites internet parlent de sa mére, profonde antisémite.
Juste avant le décés de stphane hessel, une plainte judiciaire avait été déposée offciellement, pour propos antisémites et apologie de terrorisme, en direct à la radio europe 1. son départ a lui a évité un procés retentissant.
Dernière édition par prinu le Mer 21 Mai 2014 - 14:33, édité 1 fois
Dragna Din
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 21 Mai 2014 - 14:30
Prinu,
Le ridicule comique avec lequel vous niez la réalité de faits dont vous avez "ne pas avoir assez de données" est excellent ! Vraiment ! Donc, selon votre ignorance des faits ces deux adolescents sont "simplement tombés" et B'Tselem mentirait ? Le Monde mentirait ? Mais quand ce sont des juifs, sans en savoir, selon vous c'est obligatoirement vrai ? Voilà donc qui vous êtes : croyant les un et ignorant les autres, dans une ignorance des faits générales. Vous attisez un feu qui dévorera bien des innocents, et vous le faites avec une vigueur enthousiaste qui frise la lobotomie.
Dragna Din
Messages : 5180 Inscription : 16/04/2013
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 21 Mai 2014 - 14:31
Revenons à la Déclaration Balfour :
« Cher Lord Rothschild,
J'ai le plaisir de vous adresser, au nom du gouvernement de Sa Majesté, la déclaration ci-dessous de sympathie à l'adresse des aspirations sionistes, déclaration soumise au cabinet et approuvée par lui.
Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civiques et religieux des collectivités non juives existant en Palestine, ni aux droits et au statut politique dont les Juifs jouissent dans tout autre pays.
Je vous serais reconnaissant de bien vouloir porter cette déclaration à la connaissance de la Fédération sioniste.
Arthur James Balfour »
Et pour rappel les accords Sykes-Picot de 1916 à la base du mandat de la SDN
On voit très clairement que la Palestine qui devait accueillir les arabes et les juifs représente 50% des terres indûment occupées par Israël...
http://mjp.univ-perp.fr/constit/sy1916.htm
prinu
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 21 Mai 2014 - 14:42
Dragna Din a écrit:
Prinu,
Le ridicule comique avec lequel vous niez la réalité de faits dont vous avez "ne pas avoir assez de données" est excellent ! Vraiment ! Donc, selon votre ignorance des faits ces deux adolescents sont "simplement tombés" et B'Tselem mentirait ? Le Monde mentirait ? Mais quand ce sont des juifs, sans en savoir, selon vous c'est obligatoirement vrai ? Voilà donc qui vous êtes : croyant les un et ignorant les autres, dans une ignorance des faits générales. Vous attisez un feu qui dévorera bien des innocents, et vous le faites avec une vigueur enthousiaste qui frise la lobotomie.
france 2 aussi, et Enderlin, avait dit n'importe quoi, sasn rien verifier, a partir de montages. sans enquéte. ce qui avait été repris durant des années, en gros titre et était .. FAUX. son cameramen islamiste avait donné un montage, avec des acteurs, une mis en scéne, des rushs d'essai, et on voit le petit mohamed vivant à la fin des rushs d'essai. l'enquete technique a démontré que les accusations décriées, envers des soldats de tashal étaient fausses: les balles ne pouvaient venir d'eux. de plus, sur un rush d'essai, on voit l'enfant sortir un chiffon rouge et le deplacer sur son abdomen, pour simuler du sang. sur un autre rush, supposé déja mort, il regarde ou est la caméra. le supposé mort bouge aussi ses jambes. l'interview du pére démontre qu'il ment sur ses blessures, déja anciennes.
Des vidéos de montages montrent des morts .. se relever des civiéres une fois le coin de rue passé, aprés une jolie parade devant des caméras occidentales. sur d'autres vidéos, des ballets d'ambulance synchronisées a la demi seconde pres, pour sauter sur une soit disante victime qui vient de tomber devant caméra, ne s'expliquant que par une préparation. puis des victimes se carapatant pris par caméras de surveillance .. de photos de supposés enfants palestiniens carbonisés, viennent d'autres conflits du monde, et sont présentés comme de ce conflit, photo montage, désinformations, mensonges.
j'en ai déja mis les liens, vidéos et photos preuves, ici meme dans les anciens sujets.
donc:
l'exprience démontre qu'il faut se mefier des apparences.
ne me faites pas dire ce que je n'ai pas écrit.
je réitére, qu'on ne peux accuser avec des élements donnés par des gens qui ont l'habitude de berner le monde. sans enquete, rien d'affirmatif. surtout au moyen orient ou tout les coups sont permis !
On verra bien, apres les enquetes de terrain.
Dragna Din
Messages : 5180 Inscription : 16/04/2013
Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite Mer 21 Mai 2014 - 14:47
Voici des images plus claires de ce que Balfour entendait par "Palestine" comme foyer juif.
Oh ! "Zone internationale"
Evidemment pour les impérialistes sionistes, c'est devenu ça:
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Sujet: Re: Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite
Israël et les Palestiniens, sionisme et antisionisme - occident judéochrétien suite