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 États-Unis : la faillite menace

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MessageSujet: Re: États-Unis : la faillite menace   États-Unis : la faillite menace - Page 4 EmptyDim 31 Juil - 19:04

Apple a plus de liquidités que les États-Unis

Mots clés : trésorerie, dette, États-Unis, APPLE

Par Guillaume Errard Publié le 30/07/2011 à 16:15 Réactions (148)

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Alors que les Etats-Unis sont embourbés dans une crise de la dette, le géant informatique américain, nouveau numéro un des smartphones, bénéficie d'une trésorerie de 75,8 milliards de dollars contre un peu plus de 73 milliards pour Washington.

La puissance financière semble clairement du côté des entreprises plutôt que des États. Illustration de l'état désastreux des finances américaines, le nouveau numéro un des smartphones, Apple, dispose de près de 76 milliards de dollars de liquidités et les États-Unis, de 73 milliards. Cette somme représente ce que la première puissance économique mondiale peut encore dépenser avant d'atteindre la limite de la dette fixée par les parlementaires américains (14.294 milliards de dollars).

Apple vient de réaliser un trimestre record avec des hausses de 125% de son bénéfice et de 82% de ses revenus. Avec une capitalisation boursière de 362 milliards de dollars, le groupe «à la pomme» s'affiche comme la deuxième plus riche entreprise du monde en Bourse derrière le pétrolier Exxon Mobil et ses 395 milliards de capitalisation boursière.

Alors que les républicains et les démocrates se déchirent de plusieurs semaines sur la question de la dette, les entreprises américaines assurent leurs arrières. «L'une des raisons pour lesquelles les entreprises mettent autant d'argent de côté est qu'elles veulent se mettre à l'abri financièrement face aux incertitudes entourant les finances américaines», affirme Laurie Simon Hodrick, professeur à l'université de Columbia. Et d'ajouter : «Tant que la menace d'un défaut de l'État américain persiste, les entreprises américaines auront tout intérêt à se financer de cette façon». Le trésor de guerre des entreprises américaines serait estimé à 1200 milliards de dollars.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/07/30/04016-20110730ARTFIG00286-apple-plus-riche-que-les-etats-unis.php
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albatros

albatros


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MessageSujet: Re: États-Unis : la faillite menace   États-Unis : la faillite menace - Page 4 EmptyDim 31 Juil - 23:00

Est ce que ce qui est écrit ici est correct ? Je ne m'y connais pas assez

http://www.les-crises.fr/percevoir-la-dette/

Merci et rendez vous le 2 août affraid

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joker911




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MessageSujet: Re: États-Unis : la faillite menace   États-Unis : la faillite menace - Page 4 EmptyLun 1 Aoû - 15:14

Pouvons-nous imaginer que l’accord « probable » entre démocrates et
républicains sur le plafond de la dette américaine va sauver l’économie
américaine? C’est le poisson d’avril du 01 août !
Cela nous fait penser au scénario du jeudi 18 juillet pour le sauvetage de la Grèce.
Ce matin, tout va bien nous le constatons: l’euro monte, du moins à
l’ouverture, par rapport au dollar et l’or reste de son range
-1610-1615.

Ne tombez pas dans le piège, vous vivez les derniers temps pour transformer votre papier en métal.

Les Etats-Unis n’accepteront pas de sombrer avant l’Europe.
Les agences de notation de la dette abaisseront probablement les notations des pays de la zone euro dans les prochains jours.

Pour rappel, les filiales des banques françaises sont très impliquées en Grèce.
Au moindre chamboulement (notation abaissée), retrait de l’Allemagne
dans les prochaines semaines ou mois, et nous assisterons à une
explosion de la zone euro et de l’euro lui-même par conséquent.

L’indice futur SP 500 est repassé au-dessus des 1300 points.
Les indices sont donc sauvés temporairement.
Si l’indice repasse sous ce niveau, le scénario de baisse dans l’article précédent sera à l’ordre du jour.

Dans quelques mois, nous reverrons les plus bas de mars 2009.
La vraie crise commencera et une seule chose pour l’arrêter.

La suppression de la bourse des valeurs.

http://liesidotorg.wordpress.com/
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Théodéric




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MessageSujet: Re: États-Unis : la faillite menace   États-Unis : la faillite menace - Page 4 EmptyMer 3 Aoû - 3:42

joker911 a écrit:
plus que 2 jours ...

OUF , ON EST RICHE (de nos dettes !)

donc ils ont pas laissé couler le navire, les banquiers sont ravis, les cotisant déjà un peu moins, car ils parlent d'économiser 1000milliards de dollars en 10ans ! donc vu qu'ils sont endettés de 15000milliards ils en ont encore pour 150ans a rembourser, évidement le petit fils du banquier est ravit les affaires s'annonce bien pour un long moment ! par contre le petit fils du cotisant lui regarde l'avenir en disant "merci papy du cadeau !!
" surtout qu'il peut être certain que les intérêts augmenteront et que l’endettement ne sera pas remboursé aussi simplement !

en 3àans faire une dette sur 150ans faudrait tout de même sanctionner tous ceux qui nous ont vendu du baratin, car en France on est guère mieux et ils s'en vont avec salaire a vie !

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Michael




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MessageSujet: Re: États-Unis : la faillite menace   États-Unis : la faillite menace - Page 4 EmptySam 6 Aoû - 19:15

États-Unis : la faillite menace - Page 4 458F3740D9E1DCFD67E89C5CF39BBD

États-Unis - Les États-Unis ne méritent plus un AAA, aux yeux de Standard and Poor's


L'entente sur le relèvement du plafond de la dette américaine n'aura pas tout réglé pour le dossier de crédit des États-Unis. Pour la première fois de son histoire, le pays a vu la note attribuée à sa dette publique abaissée par une agence d'évaluation financière, passant de AAA à AA+.




Standard and Poor's a annoncé avoir pris cette décision en raison des « risques politiques » que Washington n'en fasse pas assez pour réduire son déficit.

De plus, aux yeux de Standard and Poor's, la perspective américaine reste « négative », ce qui laisse présager qu'une autre décote pourrait survenir.

« Le plan de rééquilibrage du budget sur lequel le Congrès et l'exécutif se sont récemment mis d'accord est insuffisant par rapport à ce qui, de notre point de vue, serait nécessaire pour stabiliser la dynamique à moyen terme de la dette publique », a déclaré Standard and Poor's dans un communiqué.

Le plan signé mardi par le président Barack Obama, après des mois de débats, prévoit des mesures visant une réduction de 2100 milliards de dollars du déficit américain d'ici 10 ans. Standard and Poor's estimait que ces réductions auraient dû atteindre 4000 milliards.

Par ailleurs, en entrevue à la chaîne CNN vendredi, un haut responsable de Standard and Poor's a indiqué que les États-Unis auraient pu éviter l'abaissement de la note attribuée à la dette publique du pays en relevant plus tôt le plafond de celle-ci.
En quoi consiste la loi sur la dette?
L'accord prévoit de hausser le plafond de la dette au-delà de 2012, comme le souhaitait le président Obama.

Il comprend aussi une réduction des dépenses de l'État fédéral de plus de 1000 milliards de dollars américains sur 10 ans et la mise sur pied d'un comité bipartite chargé d'émettre d'ici novembre prochain des recommandations pour des réductions supplémentaires d'environ 1500 milliards.

Standard and Poor's avait déjà lancé un avertissement en avril au sujet des niveaux du déficit et de la dette aux États-Unis.

La Maison-Blanche a contesté les prévisions et calculs des analystes de l'agence. Le Trésor américain a accusé Standard and Poor's d'avoir fait une erreur de 2000 milliards de dollars.


Les conséquences de l'abaissement de la note
La perte de ce sceau d'excellence devrait avoir des répercussions importantes sur les marchés financiers, difficiles à mesurer dans l'immédiat. Elle devrait contraindre les investisseurs à une réévaluation généralisée des risques.

La perte de la note AAA risque de mener à une hausse des coûts d'emprunt, autant pour le gouvernement que pour les entreprises et les consommateurs.

Les spécialistes estiment qu'avec l'abaissement de la note, il pourrait en coûter 100 milliards de dollars de plus au pays pour se financer sur les marchés internationaux.

Des coûts d'emprunt plus élevés risquent notamment de freiner les investissements et les dépenses de consommation.

Rappelons que la croissance américaine est stimulée à 70 % par les dépenses de consommation des Américains.



L'agence Standard and Poor's avait attribué une note de AAA aux États-Unis dès sa création, en 1941. Moody's, créée en 1917, leur avait donné la même note, qui tient encore. Les États-Unis conservent aussi la note AAA attribuée par l'agence Fitch Ratings.

Le Canada avait perdu sa note AAA sur sa dette en monnaie étrangère chez Standard and Poor's en 1992, avant de la regagner en 2002. Sa note a cependant toujours été de AAA lorsqu'évaluée en dollars canadiens.

Il reste seize pays notés AAA chez Standard and Poor's, dont quatre du G8 : l'Allemagne, le Canada, la France et le Royaume-Uni.

Radio-Canada.ca avec AFP et Reuters

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/08/05/015-standard-poor-dette-etats-unis.shtml

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joker911




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MessageSujet: Re: États-Unis : la faillite menace   États-Unis : la faillite menace - Page 4 EmptyDim 7 Aoû - 13:31

de tout facon usa sont perdu depuis 2008...
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Michael




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MessageSujet: Re: États-Unis : la faillite menace   États-Unis : la faillite menace - Page 4 EmptyDim 7 Aoû - 14:34

Michael a écrit:


États-Unis : la faillite menace - Page 4 Images?q=tbn:ANd9GcQ7omhFKd37rbX5hNRzLRMNljRoUN80hkSlA1ehTV7gzrt7JBY&t=1&usg=__56QkUDzQk8YL514uMh1xX2dL-gg=États-Unis : la faillite menace - Page 4 Images?q=tbn:ANd9GcQ7S2TvR6yw8uHaHUArQMjltI-D7g4Ase89YKfaqErZ4YOfO58&t=1&usg=__2r_erANddOJ9s21oQAWFOByIAVU=États-Unis : la faillite menace - Page 4 Images?q=tbn:ANd9GcTqUcPOY2CzZi5xElqE3GS8ZYo4FnPT8cVljihcN_s0_7B92rM&t=1&usg=__Nhzs_v1SQIyCb27ztgLBoUniw9o=




Tout est programmé.

Les dettes financières seront annullées par le remplacement du dollars par l'ameros.C'est une question de temps.




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Michael




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MessageSujet: Re: États-Unis : la faillite menace   États-Unis : la faillite menace - Page 4 EmptyMar 9 Aoû - 6:50

22.01.2011
Histoire de la dette publique américaine
États-Unis : la faillite menace - Page 4 Vide
États-Unis : la faillite menace - Page 4 DetteUS


http://www.syti.net/blog/index.php?article=337

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MessageSujet: Re: États-Unis : la faillite menace   États-Unis : la faillite menace - Page 4 EmptyMar 16 Aoû - 19:38

Obama : La Dégringolade du Grand Timonier, J. Brassard


Par:Jacques Brassard

Pour © 2011 aschkel.info et © 2011 lessakele

Souvenez-vous, c’était le Messie qui entrait à la Maison-Blanche. Barak Hussein Obama était idolâtré à travers la Planète. Ici, au Québec, on se prosternait «à la musulmane» devant cette émanation de l’ultra-gauche du parti Démocrate. Encore aujourd’hui, malgré une moitié de mandat calamiteux, la horde médiatique et tous les «chroniqueux» et intello-experts du Québec continuent de faire tournoyer l’encensoir avec énergie devant le Grand Timonier du Potomac.

États-Unis : la faillite menace - Page 4 Obama-11

À l’époque, j’avais consacré plusieurs chroniques au Quotidien, exprimant ma méfiance et mes doutes à l’égard du Rédempteur venant de l’Illinois avec plein de squelettes dans son placard. Guy Millière, dans son livre, La Résistible Ascension de Barak Obama, a largement mis en lumière tous ces squelettes, avec références à l’appui.

Daniel Pipes, un éminent spécialiste de l’islam, a fait de même. Michel Gurfinkiel également. Et bien d’autres. Mais l’idolâtrie empêchait et empêche toujours de voir et d’entendre. Pourtant! Michel Gurfinkiel, par exemple, a montré, dans son dernier livre, Israël Peut-il Survivre?, que «la carrière d’Obama doit beaucoup à des réseaux communistes et post-communistes».

Daniel Pipes, quant à lui, a mis en relief les relations d’Obama, tout au long de sa carrière d’activiste social, avec l’islam extrémiste. En particulier avec The Nation of Islam, dont le leader, Louis Farakhan, est un raciste et un antisémite, admirateur d’Hitler.

Et tout le monde sait que, pendant 20 ans, et jusqu’en 2008, Obama a choisi et fréquenté la Trinity United Church of Christ, une église dont le pasteur est un adepte de la théologie noire de la libération et qui était et est toujours un raciste anti-blanc, antisémite et anti-américain.

Guy Millière, de son côté, a fait ressortir l’influence déterminante d’un gauchiste radical sur le jeune Obama, dénommé Saul Alinsky, qui a mis au point la doctrine et la stratégie de l’activisme social. Et celle aussi de William Ayers, un agitateur d’extrême- gauche et fondateur d’un groupe terroriste dans les années 70, les Weathermen, et «responsable d’attentats contre le Pentagone et le Capitole, arrêté en 1980, puis relâché suite à un vice de procédure».

De bien belles fréquentations! De nos jours, tout cela est bien connu. Sauf au Québec sans doute! On sait maintenant que le locataire de la Maison-Blanche appartient depuis longtemps à l’ultra-gauche du parti Démocrate et qu’il a subi l’empreinte de doctrinaires gauchistes et d’activistes islamistes (dont, entre autres, l’ex-porte-parole de l’OLP, Rachid Khalidi, antisémite notoire). Et ce ne sont pas des erreurs de jeunesse.

Ces accointances douteuses n’ont jamais vraiment cessé. Dès sont arrivée au pouvoir, il s’est d’ailleurs entouré de «conseillers spéciaux» (on les désigne sous le nom de tsars, parce qu’ils n’ont de compte à rendre qu’au Président), la plupart issue de l’ultra-gauche, qui court-circuitent ministres et ministères en vue d’imposer les options idéologiques présidentielles.

Guy Millière, dans son livre, passe en revue la liste de ces tsars gauchistes. Sachant cela, vous comprenez pourquoi, après moins de 3 ans de Présidence Obama, l’Amérique est frappée par un cataclysme économique et dangereusement affaiblie par une politique étrangère, dont, nous signale Laurent Murawiec, analyste clairvoyant trop tôt disparu, «le pacifisme benêt et l’amour porté aux dictateurs est la marque de l’incohérence et de la niaiserie idéologique». Désastre économique, de toute évidence!

Face à la crise économique et financière, César Obama s’est lancé, en bon ultra-gauchiste, dans le charlatanisme économique qui consiste à s’imaginer qu’on puisse retrouver le chemin de la croissance et de la prospérité par la dépense publique et l’endettement.

«Combien de fois faudra-t-il, écrit Guy Sorman, que cette théorie dite keynésienne, de la pensée magique et pas de la science économique, échoue pour qu’on renonce enfin à recourir à ses grigris et à ses croyances?». Et dans le cas du Grand Timonier de Washington, l’échec est une gigantesque catastrophe.

Dernier déficit de Bush : 240 milliards. Les déficits Obama : 2009, 1400 milliards; 2010, 1300 milliards; 2011, 1500 milliards. Imaginez que Bush ait plongé dans de tels abysses! Les médias l’auraient taillé en pièces, écorché vif!

Pour Obama, on invente les excuses les plus saugrenues! Quant a la dette publique américaine, elle a, sous Obama, atteint des hauteurs stratosphériques! 100% du PIB! Tellement incontrôlable que l’agence de notation Standard and Pools a dû abaisser la cote du gouvernement fédéral américain de AAA à AA+. Une première dans l’histoire! Eh! Bien! Savez-vous qu’il y a quand même, au Québec, de soi-disant experts pour évoquer sérieusement un «complot républicain» afin d’expliquer la décote! J’en ai entendu un à TVA ! Et un autre chez Dumont! On croit rêver.

La faillite économique des États-Unis, que la décote ne fait que révéler, n’est pas vraiment due à la gestion désastreuse du Messie de la Maison-Blanche, mais…à une conspiration des Républicains planqués au sein de l’agence Standard and Pools! Il faut croire que toute faribole est de mise quand il s’agit de disculper le Génie du Potomac!

Par ailleurs, les «chroniqueux» et les «experts» de la gauche intello-médiatique ne ratent jamais une occasion d’identifier les vrais coupables de la déconfiture économique américaine : les Républicains, bien sûr! Mais surtout, les Tea Parties, ces «dangereux-extrémistes-décervelés»! J’ai rarement vu un regroupement politique autant calomnié, diffamé et diabolisé! Pourtant, que sont les Tea Parties?

D’honnêtes citoyens issus de la classe moyenne qui souhaitent que les États-Unis reviennent à ses sources fondatrices, c’est-à-dire les grandes valeurs inscrites dans la Constitution : liberté, responsabilité, démocratie. Ils croient aussi à un ordre moral d’origine transcendante.

Eh! Oui! Quelle horreur! Ce sont des judéo-chrétiens! Ce qui en fait des ringards ridicules aux yeux des scribouilleurs prétentieux de la gauche étatiste. C’est sur la base de ces valeurs que les Tea Parties combattent l’endettement excessif, la fiscalité trop lourde, le relativisme moral et l’interventionnisme étatique effréné.

Ou sont l’extrémisme et le fanatisme chez ces braves gens de l’Amérique profonde qui n’aspirent au fond qu’à un État plus responsable et moins envahissant? Il s’est quand même trouvé des «chroniqueux» et de prétendus experts pour affirmer le plus sérieusement du monde qu’après tout, la solution Obama, c’est-à-dire des hausses d’impôts, était tout-à-fait raisonnable puisque, comparé au Québec par exemple, l’État fédéral américain disposait d’une bonne marge de manœuvre fiscale.

Ahurissant! Nous sommes tellement habitués de subir la plus lourde fiscalité de toute l’Amérique du Nord que nous avons le réflexe dérisoire de proposer aux Américains de se mettre à niveau …avec le pire! Nos gratte-papier et nos experts patentés sont tellement remplis de mépris, de dégoût et de préjugés à l’égard des Républicains et des Tea Parties qu’ils basculent dans la niaiserie idéologique en faisant de l’insupportable fardeau fiscal du Québec…un modèle à suivre! Le gauchisme étatiste serait-il un virus de l’intelligence?

Et en politique étrangère, l’œuvre d’Obama est tout aussi dangereuse que ses décisions économiques. Certains commentateurs la trouvent…illisibles. Et incohérentes…à première vue.

Ce n’est pas le cas. Elle devient lisible si nous n’oublions pas les fondements idéologiques de la vision du monde et de l’Amérique d’Obama. Ils lui ont été inculqués par l’ultra-gauche américaine dont il fut un membre actif et le candidat choisi. Cette gauche américaine est convaincue que les États-Unis constituent un empire qui fait peser sur le monde une hégémonie intolérable.

C’est là un très vieux paradigme de la gauche occidentale (communistes, socialistes, socio-démocrates, alter-mondialistes, écolos, tiers-mondistes). Lénine l’a fort bien codifié dans son livre Impérialisme, Stade Suprême du Capitalisme.

Lisez Noam Chomsky, regardez les films de Michael Moore, écoutez les sermons de Jerimiah Wright, analysez les opinions des amis et des formateurs du Président, passez en revue la liste de ses conseillers (les tsars) et vous constaterez que ce paradigme est bien implanté dans la gauche américaine. Et vous conclurez que l’hôte actuel de la Maison-Blanche, lui aussi, est infesté par ce paradigme : «l’empire américain» est nuisible et il doit s’éteindre.

Et c’est la première fois qu’un Président américain est inspiré guidé par un tel modèle théorique. Utilisez cette grille de lecture, et vous verrez que sa politique étrangère est parfaitement…lisible. En gros, il prend ses distances avec les pays-amis de l’Amérique et ils courtisent les États-ennemis. Il fait confiance à l’ONU, ce «machin» dominé par un conglomérat de dictatures gauchistes et d’États islamistes. Et dont le Conseil des Droits de l’Homme est une officine des pires tyrannies de la Planète.

Il est complaisant à l’égard de l’islam radical et terroriste. Avec comme résultats que la Turquie, membre de l’Otan, s’islamise rapidement; que les Frères Musulmans assurent leur emprise sur l’Égypte; que le Hezbollah a mis sa patte sur le Liban; que le Hamas continue de faire pleuvoir des roquettes sur Israël; que les Talibans s’apprêtent à reprendre le contrôle de l’Afghanistan; que les chiites iraniens accroissent leur influence en Irak; que les pays amis de l’Europe de l’est et de l’ex-URRSS sont abandonnés à leur sort face à la Russie.

Et dans chacun de ses discours à l’étranger (celui du Caire est exemplaire à cet effet), il ne manque jamais de battre sa coulpe pour les «fautes» de l’Amérique.

En revanche, il mène la vie dure à Israël, la seule démocratie de tout le Moyen-Orient, pourtant un allié fidèle de l’Amérique. Il faut faire reculer «l’empire», affaiblir son «hégémonie». Il est bien pire que Carter.

Car il croit à ce qu’il fait. Il croit, comme le prêche son guide spirituel, Jeremiah Wright, que l’Amérique doit être punie. N’oubliez pas que ce prêcheur raciste s’est écrié, au lendemain du 11-Septembre : « Dieu damne l’Amérique!» Tel est le programme de l’ultra-gauche américaine.

Et Obama s’efforce de l’appliquer. Les Américains se sont vite rendus compte qu’ils avaient élu un Président dont les visées étaient, selon le catéchisme progressiste, d’accroître l’emprise de l’État sur la société et de réduire l’influence de leur pays dans le monde (parce que de nature «impérialiste»).

Et, à la première occasion, ils ont réagi et ça s’est traduit par un raz-de-marée Républicain aux élections de mi-mandat. Et, en novembre 2012, ça devrait se traduire par l’éviction du Messie de gauche de la Maison-Blanche. Le malheur, c’est qu’en un seul mandat, il aura fait tellement de dégâts qu’il faudra des années pour les réparer.

L’Amérique a besoin d’un autre Reagan. Jacques Brassard N.B : Je ne pourrai publier vos commentaires que mardi. Je serai en pleine forêt avec quelques-uns de mes petits-enfants. J .B.

http://www.aschkel.info/m/article-81608011.html
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MessageSujet: Re: États-Unis : la faillite menace   États-Unis : la faillite menace - Page 4 EmptyMar 20 Sep - 19:23

Obama a trop lu Karl Marx


États-Unis : la faillite menace - Page 4 Obama-12

Comme je l’avais prévu, Obama ne se recentre pas. Il met la barre à gauche, voire à l’extrême-gauche.

Bien qu’il le dénie, son thème de campagne sera désormais la lutte des classes.

Après avoir proposé une loi de stimulation numéro deux sous le nom de loi pour l’emploi, et proposé près de cinq cent milliards de dollars de dépenses publiques supplémentaires, destinées essentiellement à créer des emplois de fonctionnaires, et à lancer des programmes de travaux publics, il a proposé, ce lundi, la façon de payer l’addition.

Comment ? En faisant payer les riches, comme disait Marie-Georges Buffet au temps où le Parti Communiste français n’était pas encore devenu un groupuscule. Prenant ceux à qui il parle pour des imbéciles, il explique que les riches ne paient pas une « part équitable ». Et il propose donc de taxer ces derniers bien plus lourdement. Pour l’heure, une majorité d’Américains ne sont pas des imbéciles et savent encore que dans une économie de marché, ceux qu’Obama appelle les riches sont ceux qui investissent, créent des entreprises et créent des emplois productifs. Et cette majorité d’Américains voit les chiffres du chômage et ceux de la croissance, tous deux extrêmement préoccupants. Cette majorité voit qu’Obama dit aux investisseurs : investissez aux Etats-Unis et je vais vous saigner à blanc.

Dès lors qu’en France, l’analphabétisme économique prévaut, une explication est nécessaire.

La tranche supérieure d’impôt fédéral sur le revenu, pour les personnes et les entreprises, aux Etats-Unis, est à 35%, ce à quoi s’ajoutent les impôts fonciers et les taxes d’Etat. Les revenus du capital investi sont taxés à 15%, mais dès lors que ce capital investi a déjà été taxé, avant investissement, au niveau de l’impôt fédéral sur le revenu, cela signifie que le capital investi est d’ores et déjà taxé à 50%.

Jusqu’où veut aller Obama ? S’il voulait dissuader l’investissement et faire fuir les capitaux, il ne s’y prendrait pas autrement. S’il voulait tenter de faire monter une animosité entre les riches et les pauvres, sur un mode qui rappelle l’opposition entre le capital et le travail telle que définie chez Marx, il ne s’y prendrait pas autrement.

Electoralement, ce n’est pas une attitude qui est à même de lui apporter un nombre de voix suffisant pour l’emporter l’année prochaine. Dès lors, on peut se demander quel objectif il poursuit.

Première hypothèse, il veut détruire un maximum l’économie américaine, quitte à ne faire qu’un seul mandat.

Deuxième hypothèse : il compte galvaniser la gauche et l’extrême-gauche, les pousser à des violences et à des intimidations qui lui permettraient, par des moyens douteux, de l’emporter quand même.

Troisième hypothèse : il veut tout à la fois galvaniser la gauche et l’extrême-gauche, détruire un maximum l’économie, et espère pouvoir compter sur les grands médias pour diaboliser ses opposants au point que les électeurs voteraient quand même pour lui.

J’ai du mal à me rallier à la troisième hypothèse : Barack Obama est en train de perdre l’électorat juif, comme l’a montré l’élection dans la neuvième circonscription de New York, et ce n’est pas l’impasse dans laquelle il s’est enfermé dans le dossier « palestinien » qui va arranger les choses. Il est en train de perdre l’électorat hispanique, comme le montrent les sondages. Il lui reste la technique de la destruction maximale et du conflit social. Je pense qu’Obama fera un seul mandat et qu’il l’a choisi. Je pense qu’il a décidé d’abandonner toute retenue. Le visage de l’Obama d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec celui du temps de la campagne de 2008. Les sourires sont rares. Les mimiques sont dures, autoritaires, arrogantes. C’était visible dans le discours prononcé devant le Congrès. C’était visible le 11 septembre : le contraste entre l’humilité et l’émotion de George W. Bush et la pose mussolinienne d’Obama était flagrant. Le psaume lu par Obama était énigmatique et pouvait laisser entendre que les attentats du World Trade Center étaient un châtiment divin.

Plus que jamais, les Républicains ne pourront perdre que s’ils s’y prennent très mal.

Je n’ai pas commenté le deuxième débat, organisé par CNN. Je l’ai regardé. J’éprouvais à la fin une forme de malaise. On pouvait avoir aisément l’impression que l’homme à abattre était non pas Obama, mais Rick Perry.

Mitt Romney a confirmé qu’il est un Républicain mou et tiède : mieux qu’Obama, mais pas du tout enthousiasmant. Hermann Cain a montré qu’il ferait un excellent conseiller économique et a été brillant. Ron Paul a achevé de se discréditer en disant, sous les huées du public, au lendemain du onze septembre, que les attentats survenus il y a dix ans avaient été commis par la faute de l’impérialisme américain. De petits candidats que je ne veux pas même citer ont montré leur petitesse. Michelle Bachmann a perdu l’intégralité de l’estime que je pouvais avoir pour elle en se livrant à des attaques très basses et très calomnieuses contre Perry, qu’elle a accusé d’abus de pouvoir, de corruption et de violence sur enfants. Elle a ensuite développé un discours délirant sur les vaccins. Elle s’est, à mes yeux, totalement discréditée. Pire : elle a fourni des munitions au camp Obama. Newt Gingricht a immédiatement compris et a souligné que l’adversaire était Obama. Rick Perry ayant passé son temps à répondre aux attaques n’a pu présenter ses arguments. J’espère que le prochain débat, qui aura lieu jeudi soir, sera de meilleure qualité et ne sera pas un jeu de massacre entre Républicains, mais un élément de la campagne pour qu’un Républicain remplace Obama en janvier 2013.

Obama a ravagé l’économie américaine et entend continuer. Il est impliqué dans deux affaires troubles dont on ne parlera pas en France, mais qui montrent ce qu’il est.

La première concerne une firme de fabrication de panneaux solaires appelée Solyndra, montée par un gros contributeur à la campagne d’Obama en 2008. Solyndra a englouti cinq cent millions de dollars d’argent public avant de déposer son bilan, après une année d’activité. Une enquête est en cours. Elle risque fort d’être étouffée.

La deuxième affaire est appelée Fast and Furious, aux Etats-Unis, et concerne la fourniture par des agents fédéraux de stocks d’armes à des trafiquants de drogue mexicains. L’objectif « officiel » était de tracer la circulation des armes pour démanteler des réseaux, mais dès lors que les armes sont passées au Mexique, et dès lors que la police américaine ne peut intervenir au Mexique, l’objectif « officiel » semble peu crédible. Les armes fournies par le gouvernement américain ont déjà servi et fait des morts, au Mexique. Des membres des patrouilles de frontière américaine ont aussi été abattus. Une enquête est en cours là aussi. Elle risque fort d’être étouffée là encore.

Vous n’en entendrez pas parler dans les médias français, non. Le rideau de fer est maintenu fermé, et certaines informations ne passent pas le rideau de fer.

Si je faisais un deuxième livre sur la présidence Obama, j’aurais beaucoup à dire. Peut-être le ferai-je. Je dois dire que j’hésite. Ce serait un livre étouffé comme les affaires judiciaires impliquant Obama aux Etats-Unis.

Nous vivons une triste époque. Et je n’ai pas parlé de ce qui va se passer cette semaine aux Nations Unies. J’aurai amplement l’occasion d’y revenir.

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MessageSujet: Re: États-Unis : la faillite menace   États-Unis : la faillite menace - Page 4 EmptyMar 27 Sep - 23:40

L’irruption d’Hermann Cain dans le peloton de tête républicain


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Après un troisième débat entre les candidats à la candidature présidentielle républicaine jeudi dernier au soir, je dois dire que je suis relativement perplexe. Ces débats sont censés permettre aux candidats de présenter leur programme, de donner l’occasion de montrer qu’ils sont le meilleur pour l’emporter et de permettre aux électeurs de faire leur choix.

La quantité de participants rend l’exercice très difficile : huit candidats jusque là, neuf dans le dernier débat. Dans deux heures de temps de parole pour tous, cela laisse à chacun la possibilité de faire, sur chaque sujet, des réponses d’une minute qui apparaitront nécessairement insuffisantes aux électeurs. La démocratie est à ce prix, je le sais, mais voir des candidats marginaux et sans la moindre chance de l’emporter dire ce qu’ils feraient une fois Président, ressemble à un exercice futile. Deux, peut-être trois peuvent employer aujourd’hui ce genre de formule. Voir des candidats qui n’ont aucune chance essayer de démolir des candidats qui, eux, ont une chance est totalement improductif et donne des cartouches à l’ennemi.

Ce qui ressort de l’ensemble est que quelques uns de ceux présents dans le débat devraient en sortir assez vite : ils n’ont pas percé, il faut savoir dire que la partie est finie. Ceux qui sont concernés par ces remarques sont Gary Johnson, libertarien marginal, qui a fait une apparition sympathique, mais inutile, Jon Huntsman, qui a tenté d’incarner un centrisme qui n’a jamais vraiment pris, Rick Santorum, qui incarne un conservatisme intéressant, mais qui n’a pas su se faire entendre et a plutôt livré des attaques contre son propre camp. Je peux y rattacher Michelle Bachman, issue des tea parties et qui s’est disqualifiée elle-même en tenant des discours stupides sur les vaccins, et en attaquant bassement Rick Perry. Son écroulement dans les sondages est logique et mérité.

Il resterait alors un homme qui n’a aucune chance lui-même, mais offre des arguments pertinents et précis, car c’est un penseur du conservatisme américain, Newt Gingricht. Un autre homme qui a ses soutiens, incarne les libertariens lui aussi, mais a des idées ineptes en politique étrangère qui le rendent inéligible, Ron Paul.

Il resterait surtout trois autres candidats qui sont les prétendants au titre. Mitt Romney parle bien, est remarquablement préparé, mais a des idées tièdes sur des sujets cruciaux comme le réchauffement global, la Social Security et le système de santé : il sera candidat faute de mieux. Rick Perry incarne un conservatisme plus pur et plus ferme, et aurait aisément mes faveurs et celles des tea parties : mais il se révèle ne pas être excellent dans les débats et bien meilleur dans les discours prononcés seul. Il a des positions pertinentes sur l’immigration, mais les explique mal. Ou bien il s’améliorera dans les débats en travaillant, et expliquera mieux ses positions, ou ce sera fini pour lui. Il a les moyens de faire le travail de communication nécessaire. Le fera-t-il ?

Le troisième candidat est Hermann Cain. C’est un homme que j’estime et respecte, un orateur remarquable, excellent dans les débats, porteur d’idées neuves et fécondes (un plan de réforme des impôts reposant sur 9 % de taxes sur la consommation, 9% de flat tax sur les revenus, et 9 % de flat tax sur les profits des entreprises, la création de comptes d’épargne retraite privés pour remplacer la Social Security). Il a un passé d’entrepreneur, pas d’homme politique, et certains présentent cela comme un handicap, ce qui ne devrait pas être le cas dans une période où le rejet des hommes politiques est massif aux Etats-Unis. Samedi, il a remporté largement le vote des straw polls de Floride qui, en général, désignent le candidat qui l’emportera. Hermann Cain a des lacunes en politique étrangère qu’il doit combler, comme Rick Perry a des lacunes en qualité de débateur.

Pour l’heure, je préférerais Perry, s’il s’améliore dans les débats et travaille sur ce point, car il a de puissants appuis et de bonnes chances d’être élu, sinon, s’il ne s’améliore pas, j’opterais pour Hermann Cain.

Et j’imagine d’avance la tête des journalistes français : Hermann Cain est très libéral en économie, très conservateur par ailleurs, ami d’Israël, redresseur d’entreprises en difficulté, et noir. Il est, par ailleurs, issu lui-même des tea parties. Comment les grands médias français décriraient-ils un noir conservateur ami d’Israël issu des tea parties ? Ce serait intéressant à observer. L’irruption de Hermann Cain vers le peloton de tête montre en tout cas que les élections aux Etats-Unis ne sont jamais jouées d’avance, et qu’un homme qui se fait tout seul peut arriver au sommet. C’est l’une des beautés de l’Amérique.

Les élections primaires, cela dit, ne font que commencer. Elles promettent d’être passionnantes. Elles sont cruciales.

Celui ou celle qu’elles désigneront aura de grandes chances de devenir le prochain Président, et il aura beaucoup à faire. Le désastre Obama est d’ampleur planétaire.

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Michael




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Les États-Unis créés pour dominer le monde, dit Mitt Romney
Mise à jour le vendredi 7 octobre 2011 à 23 h 26 HAE

États-Unis : la faillite menace - Page 4 AFP_111007_871v5_mitt-romney-charleston_8

Photo: AFP/Richard Ellis/Getty Images

Mitt Romney s'est adressé aux élèves de l'école Charleston, en Caroline du Sud.


Le candidat à l'investiture républicaine Mitt Romney a plaidé pour une politique étrangère plus musclée et promis de restaurer la domination mondiale de l'Amérique au cours d'un discours qui contrastait avec les politiques du président Obama, mais qui rappelait celles de George W. Bush.

L'ancien gouverneur du Massachusetts, qui domine dans les sondages, avait choisi de prononcer son premier grand discours sur la politique étrangère dans une école militaire de Charleston, en Caroline du Sud, dont près d'un millier et demi d'élèves ont servi à l'étranger, notamment en Irak, en Afghanistan.

Dieu n'a pas créé ce pays pour être une nation de suiveurs. L'Amérique doit diriger le monde, ou bien quelqu'un d'autre le fera.

— Mitt Romney

« Si vous ne voulez pas que l'Amérique soit le plus grand pays du monde, je ne suis pas votre président. Vous avez ce président aujourd'hui », a-t-il dit sous des applaudissements nourris. Accusant Barack Obama d'avoir affaibli le pays, M. Romney a affirmé que sous son administration, l'économie, la défense et les valeurs américaines avaient décliné.

« Les États-Unis doivent toujours conserver leur suprématie militaire pour dissuader leurs agresseurs potentiels et défendre leurs alliés », a-t-il ajouté. Faisant l'état des lieux des dangers potentiels pour les États-Unis, il a évoqué « les visions anti-américaines de l'Iran, de la Corée du Nord, du Venezuela et de Cuba ». Il a également désigné la Chine, qui veut devenir une « superpuissance » et la Russie, « dirigée par un homme qui croit que l'Union soviétique était le bien et non le mal ».

« Même si l'Amérique devrait travailler avec d'autres nations, nous nous réservons le droit d'agir seuls pour protéger nos intérêts nationaux », a ajouté M. Romney.

Sa rhétorique rappelait l'approche unilatérale de l'ex-président George W. Bush, sa doctrine de frappes préventives contre la terreur et son « axe du mal ».

Mitt Romney compte aussi intensifier les relations des États-Unis avec leurs alliés, dont Israël et la Grande-Bretagne, renforcer l'opposition américaine à l'arme nucléaire iranienne, renouer avec la défense antimissile, accélérer la construction de navires de guerre, pour passer de neuf bâtiments par an à 15, et intensifier les efforts diplomatiques au Moyen-Orient

La veille de son discours, M. Romney a annoncé que s'il était élu, il nommerait dans son équipe de conseillers en matière de politique étrangère et de sécurité nationale de nombreux proches collaborateurs de George W. Bush.

Rick Perry et l'exceptionnalisme américain

Mitt Romney n'est pas le seul candidat à prôner la suprématie des États-Unis. En perte de vitesse dans les sondages, Rick Perry a de son côté mis de l'avant « l'exceptionnalisme américain », affirmant qu'il n'y avait rien que les États-Unis ne pouvaient résoudre. « Ceux qui occupent la Maison-Blanche maintenant ne croient pas en l'exceptionnalisme américain, ils préfèrent imiter les politiques qui ont échoué en Europe », a déclaré à Washington le gouverneur du Texas. « Je crois en l'exceptionnalisme de l'Amérique. L'Amérique reste le meilleur espoir de l'humanité. »


Radio-Canada.ca avecAgence France Presse

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2011/10/07/007-romney-republicains-dieu-etats-unis.shtml

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