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 LE GENDER

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En Christ

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MessageSujet: LE GENDER   LE GENDER Empty30/3/2008, 17:02

LE « GENDER » EST-IL UNE « IDEOLOGIE » ?

Entretien avec Marguerite A. Peeters

ROME, Dimanche 23 mars 2008 (ZENIT.org) - Le « gender » est-il une « idéologie » ? Marguerite A. Peeters analyse les tenants et aboutissants dans cet entretien accordé à Zenit.
Marguerite Peeters est belgo-américaine. Elle a récemment évoqué ce thème lors du congrès international organisé à Rome par le conseil pontifical pour les Laïcs, à l'occasion des 20 ans de « Mulieris dignitatem ».
L'auteur est rédactrice en chef de l' « Interactive Information Services » (cf. iis@skynet.be ), un service d'information spécialisé dans l'étude de la mondialisation, de ses concepts-clefs et de ses mécanismes opérationnels
Zenit - Au congrès qui a marqué les 20 ans de « Mulieris Dignitatem », vous êtes intervenue sur « l'idéologie du gender ». Si beaucoup parlent du gender, peu savent précisément de quoi il s'agit...
Marguerite A. Peeters - Gender se traduit diversement en français : entre autres, par égalité des sexes, égalité des genres, parité, sexospécificité, autonomisation de la femme ou diversité des genres ou des sexes. La multiplicité de ces expressions crée une confusion sémantique qui relève en fait d'une stratégie utilisée pour cacher le véritable sens du gender et éviter les définitions claires. Souvent le mot est utilisé dans sa langue originale, l'anglais. Le gender n'est pas à proprement parler une idéologie, mais un phénomène culturel, un processus subtil de déconstruction culturelle et anthropologique. Il est le fruit d'un long parcours révolutionnaire occidental qui, en particulier depuis la révolution française, a été mu par une conception faussée de l'égalité entre les sexes et une volonté perverse de « libérer » l'individu de tout cadre normatif donné par la nature, la tradition, la révélation et Dieu lui-même. L'objectif du gender est de permettre à chacun de choisir « librement » sa fonction sociale, son identité ou orientation sexuelle, sa « forme de famille ». Le gender considère la vocation de la femme en tant que mère et épouse comme une construction sociale contraire à l'égalité, comme un « stéréotype » à déconstruire. La déconstruction se fait prioritairement par l'éducation des enfants (à l'insu des parents), mais aussi à travers les media, les législations, les politiques, les procédures décisionnelles dites « consensuelles », les « sessions de formation », la propagande tout azimut. La nouvelle culture favorise la promotion des divers droits des lesbiennes, homosexuels, bisexuels et transsexuels. On peut dire que le gender a déjà créé une culture mondiale dans laquelle parler de complémentarité homme-femme est devenu discriminatoire et contraire à l'éthique. Une nouvelle éthique mondiale du « libre choix » ainsi compris menace de remplacer les cultures traditionnelles non-occidentales et l'éthique judéo-chrétienne.
Zenit - Quelle est l'ampleur du phénomène ?
Marguerite A. Peeters -
Incommensurable. Depuis la conférence de Pékin de 1995, lorsque ce concept est devenu l'objet d'un prétendu consensus mondial, le gender s'est intégré au cœur des politiques internationales, régionales, nationales et locales, des instruments juridiques (comme le Protocole de Maputo en Afrique), des manuels scolaires, des codes éthiques des entreprises, des ONGs de développement, des Objectifs pour le Développement du Millénaire (ODM) censés être atteints d'ici 2015. Il s'est imposé comme priorité transversale de la coopération internationale. D'ores et déjà, le gender a pénétré dans nos sociétés par tous ses pores. Nous sommes maintenant en pleine phase d'application. Les agents de transformation exercent sur les pays en voie de développement une pression maximale. Dans de nombreux pays, notamment africains, des ministères du genre ont déjà remplacés les ministères de la famille : même s'il semble s'agir d'abord de promouvoir le développement social de la femme, la porte est désormais ouverte dans les pays en voie de développement à une déconstruction anthropologique opérée par des ingénieurs sociaux radicaux venant d'ailleurs. Le gender avance masqué.
Zenit - Pourquoi dites-vous que le mot « idéologie » ne convient pas ?
Marguerite A. Peeters - Parce qu'il évoque des systèmes de penser se rattachant à la modernité occidentale dont on a dit avec raison en 1989 qu'ils étaient finis en tant que systèmes, c'est-à-dire dans leur dimension intégrée, intellectuellement cohérente, clairement identifiable, totalisante, se rattachant à des « maîtres » à l'origine de « grandes théories » ayant donné naissance à des écoles de pensée : pensons au marxisme-léninisme, au nihilisme, au structuralisme, au kantisme, au positivisme, au modernisme, au nominalisme, à l'existentialisme athée et même, je dirais, au féminisme. Ces idéologies se sont déconstruites d'elles-mêmes les unes après les autres et le processus de déconstruction qu'elles ont enclenché ne charrie maintenant que des résidus. En Occident, depuis mai 68, le passage à la postmodernité s'est accéléré sans qu'on s'en rende compte ; on a basculé du rationalisme moderne à l'irrationnel postmoderne. En tant que processus ambivalent, diffus, insaisissable, sournois, opérant de l'intérieur des institutions et des cultures, difficile à identifier clairement, humainement incohérent, le gender appartient pleinement à la postmodernité occidentale. Les résidus du féminisme sont l à, mais le gender va encore plus loin dans la voie du radicalisme : il « célèbre » culturellement la diversité des choix de comportements sexuels au nom d'une égalité de pouvoir de tous les citoyens.
Zenit - Tout est-il négatif dans ce concept ?Marguerite A. Peeters - Comme tous les concepts postmodernes, le gender opère une double déconstruction : d'une part celle du dessein de Dieu, et d'autre part celle des abus de la modernité. Le gender tente de répondre aux désordres réels du machisme, de l'autoritarisme, du cléricalisme, du paternalisme, de la domination de l'homme sur la femme qui est une conséquence du péché originel, comme nous le révèle le récit de la Genèse. Parlant à la femme après la chute, Yahvé dit : « Ta convoitise te poussera vers ton mari et lui dominera sur toi. » (Gen. 3, 16) Le gender répond à la domination masculine, non par l'amour et la réconciliation, mais par une révolte et une prise de pouvoir de la femme (empowerment) qui cherche à devenir l'égale de l'homme en termes de pouvoir social. Plaisir, pouvoir, possession de « connaissance » : ces tentations ont été les grands thèmes de la révolution féministe et sexuelle occidentale qui s'est mondialisée dans les années 1990 ; à travers le gender, elles sont même devenues une norme de la coopération internationale actuelle. Depuis la Genèse, on n'invente rien.
Zenit - Que déconstruit le gender ?
Marguerite A. Peeters - La structure anthropologique de l'homme et de la femme telle qu'elle a été créée par Dieu, qui est Père, Fils et Saint-Esprit. Autrement dit, le dessein d'amour trinitaire de Dieu sur l'homme et la femme. Le combat dans lequel nous sommes concerne l'homme lui-même, son origine divine et sa prédestination trinitaire. La mort de l'homme n'est-elle pas une conséquence de la « mort de Dieu » proclamée par Feuerbach et Nietzsche ? Nous sommes tous faits pour être père ou mère, fils ou fille, époux ou épouse, frère ou soeur. Or en niant la complémentarité anthropologique homme-femme, en voulant faire de tous des citoyens radicalement « égaux », en s'attaquant à la maternité comme une injustice sociale, en réduisant l'homme et la femme à leur fonction sociale, en en faisant des « partenaires » liés entre eux par un « contrat », on crée une culture qui empêche la réalisation de notre vocation humaine universelle.
Zenit - Un signe des temps, d'après vous ?
Marguerite A. Peeters - Oui, la « fin des idéologies » ne signifie pas pour autant la fin du processus antéchristique dont Saint Jean parlait déjà dans sa première épître (2, 18) : « déjà maintenant beaucoup d'antéchrists sont survenus ; à quoi nous reconnaissons que la dernière heure est là ». Nous savons qu'avant le retour du Christ, comme nous l'annonce Saint Paul dans la seconde lettre aux Thessaloniciens (2, 3-4), « doit venir l'apostasie et se révéler l'Homme impie, l'Etre perdu, l'Adversaire, celui qui s'élève au-dessus de tout ce qui porte le nom de Dieu ou reçoit un culte, allant jusqu'à s'asseoir en personne dans le sanctuaire de Dieu, se produisant lui-même comme Dieu ». Du début à la fin de l'histoire, nous sommes dans un combat apocalyptique. Nous pensons aussi à la question du Christ : « Quand le Fils de l'Homme reviendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » L'aspect le plus préoccupant de la révolution culturelle mondiale et de l'ingénierie sociale qu'elle opère à une vitesse foudroyante est son lien direct avec l'apostasie. Nous avons constaté en Occident que la révolution culturelle n'a pas été sans conséquences pour la foi. C'est ce que nous rappelait, en novembre dernier, le Patriarche œcuménique Bartholomé : « La philosophie des Lumières en Occident et la révolution française ont déclenché une véritable révolution culturelle visant a remplacer la tradition précédemment chrétienne du monde occidental par une nouvelle conception de l'homme et de la société qui n'est pas chrétienne. »
Zenit - Quelle attitude les chrétiens doivent-ils avoir face à la révolution culturelle ?
Marguerite A. Peeters - Le premier service que l'Eglise ait rendre à l'humanité est d'être et de rester elle-même. Les chrétiens ne sont-ils pas appelés, pour emprunter à nouveau les mots du Patriarche, « à revenir à la plénitude, la jeunesse et la pureté de la tradition chrétienne de l'Eglise primitive » ? L'Eglise ne peut se compromettre avec des paradigmes, des programmes, des « valeurs », une éthique venant d'ailleurs. Or, souvent par ignorance, beaucoup de chrétiens se laissent séduire par la nouvelle éthique, ce qui les entraîne parfois jusqu'à l'infidélité au Magistère.
Zenit - Vous avez adressé votre livre « La mondialisation de la révolution culturelle occidentale : concepts-clefs, mécanismes opérationnels » prioritairement aux africains. Pourquoi ?Marguerite A. Peeters - L'Occident doit faire son mea culpa et mesurer sa part de responsabilité dans le processus de déconstruction culturelle mondiale actuellement en cours. Le gender est un produit occidental qui est maintenant imposé à l'Afrique comme condition d'aide au développement. Or le gender menace les dons que Dieu lui-même a faits à l'âme africaine ; le sens de la paternité humaine et divine et d'une fraternité qui est filiale et non purement horizontale, la grâce de l'esprit d'enfance, la célébration de la maternité et de la vie.

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MessageSujet: Le gender : ké-sa-co..?   LE GENDER Empty30/3/2008, 21:09

En Christ a écrit:
LE « GENDER » EST-IL UNE « IDEOLOGIE » ?

Entretien avec Marguerite A. Peeters

« La philosophie des Lumières en Occident et la révolution française ont déclenché une véritable révolution culturelle visant a remplacer la tradition précédemment chrétienne du monde occidental (?) par une nouvelle conception de l'homme et de la société qui n'est pas chrétienne. »
Ceux qui déteste la religion Chrétienne et qui pensent qu’Elle n’en a plus pour très longtemps, ont tort de se réjouir : « mes paroles ne passeront pas . . . » a dit le sauveur. - Vouloir nier cette évidence, ne changera rien, la Vérité s'impose et s'imposera toujours et encore ...!

Ceci-dit, "inventer" un mot comme "gender" (?) pour en remplacer d'autres, ou pour dire la même chose ... mais autrement, n'est que de la réthorique stérile qui ne fait pas avancer le "schmilblick", mais ne fait qu'ajouter de la confusion, ce qui est manifestement son but ...!

Tous les prétendus "bienfaits" des inventions ou des "idées" modernes, de ce qu'on est convenu d'appeler le "progrès", et qu'on pourrait en effet consentir à désigner ainsi si l'on prenait soin de bien spécifier qu'il ne s'agit que d'un progrès tout matériel ou à des fins matérielles comme les "idées", ces "bienfaits" tant vantés ne sont-ils pas en grande partie illusoires ?

Les hommes de notre époque prétendent par là accroître leur "bien-être" ; je pense, pour ma part, que le but qu'ils se proposent ainsi, même s'il est atteint réellement, ne vaut pas qu'on y consacre tant d'effort ; mais, de plus, il me semble très contestable qu'il soit atteint.

Tout d'abord, il faudrait tenir compte du fait que tous les hommes n'ont pas les mêmes goûts ni les mêmes besoins, qu'il en est encore malgré tout qui voudraient échapper à l'agitation moderne, à la folie de la vitesse, et qui ne le peuvent plus ; osera-t-on soutenir que, pour ceux-là, ce soit un "bienfait" que de leur imposer ce qui est le plus contraire à leur nature ?
On dira que ces hommes sont peu nombreux aujourd'hui, et on se croira autorisé par là à les tenir pour quantité négligeable ; là comme dans le domaine politique, la majorité s'arroge le droit d'écraser les minorités, qui, à ses yeux, ont évidemment le tort d'exister, puisque cette existence même va à l'encontre de la manie "égalitaire" de l'uniformité...

Mais, si l'on considère l'ensemble de l'humanité au lieu de se borner au monde occidental, la question change d'aspect : la majorité de tout à l'heure ne va-t-elle pas devenir une minorité ?

Aussi n'est-ce plus le même argument qu'on fait valoir dans ce cas, et, par une étrange contradiction, c'est au nom de leur "supériorité" que ces "égalitaires" veulent imposer leur civilisation au reste du monde, et qu'ils vont porter le trouble chez des gens qui ne leur demandaient rien ; et, comme cette "supériorité" n'existe qu'au point de vue matériel, il est naturel qu'elle s'impose par les moyens les plus brutaux.

Qu'on ne s'y méprennent pas d'ailleurs : si le grand public admet de bonne foi ces prétextes de "civilisation", il en est certains pour qui ce n'est qu'une simple hypocrisie "moraliste", un masque de l'esprit de conquête et des intérêts économiques ; mais quelle singulière époque que celle où tant d'hommes se laissent persuader qu'on fait le bonheur d'un peuple en l'asservissant, en lui enlevant ce qu'il a de plus précieux, c'est-à-dire sa propre civilisation, en l'obligeant à adopter des moeurs et des institutions qui sont faites pour une autre race, et en l'astreignant aux travaux les plus pénibles pour lui faire acquérir des choses qui lui sont de la plus parfaite inutilité !

Car c'est ainsi : l'Occident moderne ne peut tolérer que des hommes préfèrent travailler moins et se contenter de peu pour vivre ; comme la quantité seule compte et comme ce qui ne tombe pas sous les sens est d'ailleurs tenu pour inexistant, il est admis que celui qui ne s'agite pas et qui ne produit pas matériellement ne peut être qu'un "paresseux" ; sans même parler à cet égard des appréciations portées couramment sur les peuples orientaux, il n'y a qu'à voir comment sont jugés les ordres contemplatifs en Occident, et cela jusque dans des milieux soi-disant religieux.

Dans un tel monde, il n'y a plus aucune place pour l'intelligence ni pour tout ce qui est purement intérieur, car ce sont là des choses qui ne se voient ni ne se touchent, qui ne se comptent ni ne se pèsent ; il n'y a de place que pour l'action extérieure sous toutes ses formes.

Aussi ne faut-il pas s'étonner que la manie anglo-saxonne du "sport" gagne chaque jour du terrain : l'idéal de ce monde, c'est l' "animal humain" qui a développé au maximum sa force musculaire ; ses héros, ce sont les athlètes, fussent-ils des brutes ; ce sont ceux-là qui suscitent l'enthousiasme populaire, c'est pour leurs exploits que les foules se passionnent ; un monde où l'on voit de telles choses est vraiment tombé bien bas et semble bien près de sa fin.

Lephenix

P.S. : « L’établissement planétaire de l’uniformité est le règne de la parodie blasphématoire de l’unité »
Frithjof Schuon
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Arnaud Dumouch

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MessageSujet: Re: LE GENDER   LE GENDER Empty1/4/2008, 12:16

Ce qui s'oppose le plus à cette espèce de théorie du "genre", c'est la réalité elle-même et il faudra beaucoup beaucoup d'efforts à cette idéologie pour faire croire aux générations suivantes qu'il n'y a pas de différences entre femmes et hommes.

C'est une oure théorie rationelle, tellement contre nature que seul un petit milieu intellectuel et assez snob y croit.

Ils sont à peu près les mêmes personnes que les rares amateurs de l'art purement abstrait. Laughing

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Arnaud
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MessageSujet: Re: LE GENDER   LE GENDER Empty1/4/2008, 13:10

C'est vrai cher Arnaud mais leur influence est forte, regardez, ils sont dans tous les musées malgré leur médiocrité !!

D'ailleurs le poids de leurs idées est fort, pour preuve, j'entendais une amie dire l'autre jour " de toute façon on est tous homme ou femme, moi je laisserai mon enfant choisir d'être ce qu'il veut"... no comment.

Cher Arnaud, ces idées sont très présentes parmi nos contemporains et j'ai même le sentiment qu'elles sont majoritaires chez les femmes (moins chez les hommes, ceci n'étant qu'un constat subjectif de mes camarades).

Amicalement

Vincent
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