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 Le 24 août - Saint Barthélemy

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Toi le tout petit

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MessageSujet: Le 24 août - Saint Barthélemy   Le 24 août - Saint Barthélemy EmptyMer 24 Aoû - 18:33



Saint Barthélemy - Apôtre (Ier siècle)
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Saint Barthélemy est l'un des Douze Apôtres, mentionné en sixième position dans les trois listes évangéliques (Matthieu 10:3 ; Marc 3:18 ; Luc 6:14), et en septième position dans la liste des Actes (1:13). Le nom (Bartholomaios) signifie "fils de Talmai" qui était un ancien nom hébraïque.

Outre le fait qu'il figure sur la liste des apôtres, il n'est pas mentionné dans le Nouveau Testament, du moins pas sous le nom de Barthélemy : de nombreux auteurs anciens et la tradition catholique ont identifié Barthélemy comme Nathaniel dans l'Évangile de Jean (Jean 1:45-51, et 21:2).

Le passage de l'Évangile lu à la messe de la fête de saint Barthélemy est précisément ce passage de Jean (1, 45-51) où Nathanaël est présenté à Jésus par son ami Philippe, et où Jésus dit de lui : " Voici un vrai enfant d'Israël. Il n'y a pas de duplicité en lui (1,47)".

Le caractère de l'apôtre nous est présenté dans ce bref et beau dialogue avec le Seigneur Jésus. C'est un bon juif, honnête et innocent, un homme juste, qui consacre beaucoup de temps à la réflexion et à la prière - " sous le figuier (1, 48) " - et qui attend le Messie, le Saint de Dieu.

Lorsque Jésus mentionne qu'"avant que Philippe ne t'appelle, je t'ai vu sous le figuier (1,48)", Nathanaël répond : "Rabbi, tu es le Fils de Dieu ! Tu es le Roi d'Israël (1,49) !".

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Étant " un véritable enfant d'Israël ", Nathanaël était un homme bien informé des Écritures et savait ce qu'elles disaient du Messie et d'où il viendrait. C'est pourquoi il est sceptique quant à l'affirmation de Philippe selon laquelle Jésus est le Messie : "Peut-il sortir quelque chose de bon de Nazareth (1:46) ?"

Mais Nathanaël manquait de " duplicité " - c'est-à-dire que son cœur était sans partage, ses intentions pures - son ouverture à la réalité était toujours prête à reconnaître et à s'abandonner à la vérité quand il la rencontrait. Il est resté ouvert à l'invitation de son ami Philippe : " Viens et vois (1, 46) ".

En rencontrant Jésus et en écoutant ses paroles, il s'est trouvé face à face avec la Vérité elle-même, et, comme le sursaut de Jean-Baptiste dans le ventre de sa mère en présence du Seigneur, les paroles de Nathanaël ont jailli de son propre cœur dans une confession de foi claire et simple : "Rabbi, tu es le Fils de Dieu ! Tu es le roi d'Israël !"

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Jésus, dans Matthieu 5:8, dit : "Heureux ceux qui ont le coeur pur, car ils verront Dieu." En Nathanaël, nous avons un exemple de l'homme pur qui voit - reconnaît - Dieu lorsqu'il est confronté à lui, et en le voyant croit en lui, et en croyant en lui, le suit.

On ne sait rien de précis sur la vie de Nathanaël/Barthélemy après l'Ascension de Jésus, mais la tradition veut qu'il ait prêché en Orient et qu'il soit mort martyr en Arménie, écorché vif pour avoir gagné des convertis au Seigneur Jésus
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Padre Pio, Priez pour nous ..
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MessageSujet: Re: Le 24 août - Saint Barthélemy   Le 24 août - Saint Barthélemy EmptyMer 24 Aoû - 19:45

Saint-Barthélemy : catholiques et protestants mesurent le chemin accompli 

Le 24 août 1572 débutait la plus tragique tuerie des guerres de Religion, qui fit au moins 10 000 morts en France parmi les « huguenots ». Quatre cent cinquante ans plus tard, catholiques et protestants mesurent le grand chemin accompli dans leur dialogue. Sans occulter l’intérêt de la commémoration pour panser les plaies d’une mémoire blessée.


  • Benoît Fauchet, 
  • le 24/08/2022 à 06:33


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Massacre de la Saint-Barthélemy le 24 août 1572, par François Dubois (1529 - 1584)

Armé par le pouvoir royal, le bras de fidèles catholiques s’est abattu sur des protestants le 24 août 1572. 3 000 à 4 000 « huguenots » ont été assassinés dans la nuit à Paris, 10 000 au total en France au cours des semaines qui suivirent. C’était il y a quatre cent cinquante ans. Pourtant, l’anniversaire des plus sanglantes tueries des guerres de Religion donne lieu à des initiatives aussi rares que discrètes.

« Commémorer la Saint-Barthélemy ? » Même les organisateurs protestants de l’Assemblée du Désert choisissent la forme interrogative pour évoquer l’événement sur l’affiche de leur rassemblement annuel, le 4 septembre, au Mas Soubeyran, sur les terres huguenotes des Cévennes.

« Habituellement, à l’évocation des massacres de la Saint-Barthélemy, les catholiques sont gênés par cet épisode peu glorieux, tandis que les protestants se sentent blessés dans leur conscience collective toujours meurtrie », relève Pierrot Munch, de l’Église protestante unie de France (EPUdF) à Nantes.
La grande ville de l’Ouest fut épargnée par le massacre : le pasteur Munch a voulu faire de cette singularité le levier d’une action locale qui soit le signe du dialogue apaisé entre chrétiens. Mercredi soir, des catholiques, luthéro-réformés, évangéliques et orthodoxes nantais participeront à une « marche fraternelle » de la cathédrale jusqu’au temple, qui les accueillera pour une veillée de prière œcuménique.

« Assumer ensemble une mémoire »



« Nous ne sommes pas tant dans une idée de commémoration que dans la prière pour la paix dans le monde, notamment en Ukraine, et dans la reconnaissance pour l’extraordinaire chemin parcouru, quand on voit d’où l’on vient, explique le pasteur Munch. Nous pouvons travailler, agir, prier entre chrétiens aujourd’hui. Nous sommes redevenus frères. »

« “Commémoration” dit bien “faire mémoire ensemble”. L’enjeu est d’assumer ensemble une mémoire pour tirer enseignement de cette violence toujours possible », souligne le pasteur Christian Baccuet, qui relit la Saint-Barthélemy comme « un massacre entre voisins » et rappelle qu’il y a eu « d’autres tueries de catholiques par des protestants » au XVIe siècle. Ce membre du Groupe des Dombes, instance de dialogue entre catholiques et protestants fondée en 1937 et dont les premiers travaux théologiques inspireront les fruits du concile Vatican II (1962-1965) sur l’œcuménisme, prêchera cette année lors du culte de l’Assemblée du Désert à propos de Caïn, d’Abel et du thème du « meurtre du frère ».

Lui aussi membre des Dombes, le père Emmanuel Gougaud pense que « le temps est bon, maintenant, pour regarder le massacre de la Saint-Barthélemy en face, de le relire à plusieurs, pour changer le poids de l’histoire sur nous. C’est aussi très important vis-à-vis d’une Église catholique qui était majoritaire et qui s’est liée au pouvoir royal, les deux puissances s’instrumentalisant allègrement. Dans ce cas, une religion finit toujours à genoux devant l’État, ce qui produit de la violence ».

Faire acte de repentance ?


Jusqu’où doit aller l’opération vérité ? Auteur de livres à caractère œcuménique, le père Martin de La Roncière plaide pour un « acte de repentance » de l’Église de France « pour le massacre de la Saint-Barthélemy et toutes les autres violences commises par des catholiques à l’égard de protestants ». « La plaie saigne encore, au moins dans l’inconscient collectif des protestants de France », fait-il valoir.

« On vit déjà une communion entre nous, même si elle n’est pas encore parfaite », estime pour sa part le père Miguel Desjardins, directeur du service national pour l’unité des chrétiens à la Conférence des évêques de France (CEF), vantant les vertus d’un dialogue à la fois théologique, institutionnel et de terrain. Nourri de fortes déclarations communes (1), il s’incarne notamment dans des initiatives partagées pour l’accueil des exilés ou l’écologie à travers le programme « Église verte ».

« Avec la Saint-Barthélemy, les commémorations des blessures de l’histoire, certes nous faisons mémoire des divisions de l’Église, souligne Mgr Didier Berthet, président du Conseil pour l’unité des chrétiens et les relations avec le judaïsme au sein de la CEF, qui fut baptisé enfant dans l’Église réformée. Mais nous n’oublions pas que la pleine communion, la pleine catholicité, n’est pas perdue de manière irrémédiable. C’est quelque chose qui est devant nous et vers quoi nous marchons, si nous échangeons vraiment les dons que le Christ nous fait les uns aux autres ».
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Un épisode sanglant


Le 22 août 1572, alors que sont rassemblés des nobles huguenots venus célébrer le mariage du futur Henri IV avec la « reine Margot », un attentat échoue contre l’amiral de Coligny, chef du clan protestant. Le lendemain, la rumeur d’un complot anticatholique circule. Décision est prise en Conseil du roi de faire exécuter ses potentiels instigateurs.

Le massacre commence le 24 août – fête de l’Apôtre Barthélemy – à Paris, où 3 000 à 4 000 protestants sont tués, avant de s’étendre à d’autres villes du royaume (Orléans, Lyon, Bordeaux, Toulouse…), faisant sans doute au moins 10 000 victimes.

Le pape Grégoire XIII salue l’assassinat des « hérétiques »par un Te Deum. Le 17 septembre, une ordonnance royale demande que cesse le plus violent massacre des guerres de Religion (1562-1598), qui continue cependant jusqu’à l’automne.


(1) En particulier la déclaration commune d’Augsbourg sur la doctrine de la justification (1999) et le rapport de la Commission luthéro-catholique sur l’unité (2013).



source :  Saint-Barthélemy : catholiques et protestants mesurent le chemin accompli (la-croix.com) (abonnés)
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MessageSujet: Re: Le 24 août - Saint Barthélemy   Le 24 août - Saint Barthélemy EmptyMer 24 Aoû - 19:49

Catholiques et protestants : « Sortons du soupçon négatif ! »


Père Pierre Lathuilière Prêtre du diocèse de Lyon

Alors que l’on commémore, le mercredi 24 août, les 450 ans de la Saint-Barthélemy, le père Pierre Lathuilière du diocèse de Lyon évoque les relations entre catholiques et protestants à travers la notion du soupçon, et rappelle que ce dernier n’est pas nécessairement négatif.

  • Pierre Lathuilière, 
  • le 18/08/2022 à 14:39 
  • Modifié le 24/08/2022 à 11:01


Le 24 août - Saint Barthélemy Guides-Scouts-France-ainsi-eclaireurs-reunisune-celebration-oecumenique-remise-Lumiere-Paix-Bethleem-eglise-Saint-Merri-Paris-15-decembre-2013_0
Les guides et Scouts de France ainsi que les éclaireurs se sont réunis pour une célébration œcuménique de la remise de la Lumière de la Paix de Bethléem, à l église Saint-Merri, à Paris, le 15 décembre 2013.

« Soupçonne-moi du meilleur ! » Ces mots, je les ai trouvés un matin tagués sur les trottoirs de mon quartier. Intrigué, je suis allé consulter Internet et j’ai appris que cette formule « Soupçonne-moi du meilleur ! » avait été inventée le 22 septembre 2021 par un groupe lyonnais comme un appel pour notre temps. Ces mots renversent le sens le plus courant du mot « soupçon », qui comporte une dimension négative. Pendant que les débats authentiques se raréfient pour faire place aux monologues idéologiques ou aux combats de coqs à la négativité envahissante, cette apostrophe inscrite sur le bitume témoigne d’une certaine fraîcheur possible dans notre monde. Elle nous rejoint à la racine de nos comportements.

Le soupçon est ambigu. Il nous est nécessaire pour ne pas en rester à nos naïvetés infantiles. Procédant par des « peut-être », il n’est jamais péremptoire. Mais il arrive qu’il mène à des conclusions absolues et des jugements définitifs. Aussi faut-il prendre soin de soupçonner le soupçon, ne pas le laisser faire une œuvre souterraine de négativité tellement contagieuse. Très naturellement, il s’exerce d’abord à l’encontre des attitudes qui nous intriguent ou nous dérangent. Assez vite, il peut forger une réputation dommageable. Et c’est souvent sous cette forme que le soupçon se propage. D’où l’utilité de tourner le soupçon vers le meilleur.

Un manque de foi eucharistique ?


Il y a quelque temps, dans le cadre du ministère qui m’est confié au service de l’unité entre chrétiens, à la question posée sur la source du désintérêt manifesté par nombre de jeunes prêtres catholiques vis-à-vis du rapprochement œcuménique, la réponse suivante m’a été donnée : « Vous savez, ils ont souvent été choqués par le manque de foi eucharistique de certains de leurs aînés. » Cette réponse m’a semblé marquée par un double soupçon négatif. Le premier est celui, rapporté, de jeunes prêtres à l’égard de leurs aînés dans le ministère. Renversons le soupçon : en ont-ils parlé avec eux de sorte que ces conclusions sur le « manque de foi » soient corroborées par des échanges ?

Quelle différence y a-t-il entre chrétien et catholique ?

Un deuxième soupçon, moins visible mais non moins efficace, habite ce diagnostic : c’est le soupçon que la principale différence entre catholiques et protestants porte sur la foi eucharistique, ce qui, comme tous les soupçons (qu’ils soient positifs ou négatifs), mérite d’être vérifié. Sur ce point, je crois qu’il nous faut user du soupçon positif : pour avoir vu communier, à diverses reprises, des frères et sœurs protestants, je soupçonne derrière leur recueillement et leur prière une authentique foi chrétienne, selon ce qu’il est écrit dans la déclaration commune luthéro-catholique « Du conflit à la communion », signée en 2014 : « Luthériens et catholiques peuvent affirmer ensemble la présence réelle de Jésus-Christ dans le repas du Seigneur : “Dans le sacrement de l’Eucharistie, Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme, est pleinement et entièrement présent, avec son Corps et son Sang, sous le signe du pain et du vin” (1). »

Un peu de nuance


Un peu de nuance devrait pouvoir nous sortir de l’injustice et de la perpétuation du conflit. « Soupçonne-moi du meilleur ! » est un slogan pacifique pour notre temps où la mondialisation s’accélère, où gagne l’ère du soupçon négatif entre les humains alors qu’ils sont appelés à se rencontrer toujours davantage. L’autre dont la présence me dérange ou m’inquiète, dont la différence me trouble ou me perturbe, c’est aussi un être aimé de Dieu. C’est pour cela que nous sommes appelés à prier aussi pour nos ennemis, puisque Dieu fait briller sur eux son soleil et tomber sa pluie.

Ce que Dieu aime à soupçonner en nous, il nous l’a appris par Jésus : c’est la foi. Le manque de foi, c’est trop évident, pour lui c’est presque de l’ordre du constat : « Le Fils de l’Homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre (2) ? » Mais ce qu’il cherche, ce qu’il craint de ne pas rencontrer en notre humanité, c’est notre confiance en Dieu. Et c’est le secret de cette confiance qu’il nous a donnée et nous donne encore.

« Il faut le faire »


Il y a peu, sur RCF, une amie pasteure témoignait comment, dans son ministère en hôpital à Lyon, elle a été amenée à rencontrer un malade du sida auquel elle s’est présentée comme membre de l’aumônerie catholique-protestante de l’établissement. Le malade en question lui a répondu : « Vu ma situation, vous vous doutez que je n’ai pas vraiment besoin de vos services, mais une aumônerie commune entre protestants et catholiques, après tout ce que vous vous êtes mis dessus, il faut le faire ! » Oui, « il faut le faire ». C’est ainsi que l’on peut faire soupçonner le meilleur, ce que le Christ a demandé pour ses disciples : « Qu’ils soient un (3) ! »

« Soupçonne-moi du meilleur ! » nous aide à suivre le Christ. Car il n’a pas cessé de faire apparaître à nos yeux ce que Dieu aime à faire naître dans les cœurs humains. Si le Père ne cesse pas de soupçonner positivement notre foi, c’est parce qu’il cherche en nous le meilleur, ce que notre humanité lui a déjà offert en son Fils.


(1) Le Repas du Seigneur § 16.
(2) Luc 18, 8b.
(3) Jean 17, 21.



source :  Catholiques et protestants : « Sortons du soupçon négatif ! » (la-croix.com)  (abonnés)
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