Benoît XVI, l'idéologie relativiste et la Franc-Maçonnerie

Alors autant tuer ce bébé innocent qui ne saura pas qui est son père..; ben oui... sa vie ne vaut pas le coup d'être vécu

Sommes-nous bons juges pour de telles décisions ???

Et il y a donc des alternatives à l'avortement ! Je ne vois aucun cas qui puisse faie exception ! (sans pour autant juger celle qui font ce triste choix)

spidle33 a écrit:

Alors autant tuer ce bébé innocent qui ne saura pas qui est son père..; ben oui... sa vie ne vaut pas le coup d'être vécu

Sommes-nous bons juges pour de telles décisions ???

Et vous pour en décider autrement?
Noel

Entre laisser vivre et tuer une vie : dans le doute, on prend pas à la légère la vie d'un bébé...

Il faut en effet faire un choix entre une vie probablement infernale (pour le bébé qui naît dans une situation qui n'est pas prête à l'accueillir) et une vie certainement ôtée. :x

Sânkhya a écrit:

Il faut en effet faire un choix entre une vie probablement infernale (pour le bébé qui naît dans une situation qui n'est pas prête à l'accueillir) et une vie certainement ôtée. :x

D'ou ce coté question sans réponse selon moi....

S'agit-il pour moi de juger celles qui font ce choix ? bien sur que non. il n'enr este pas moins qu'ôter la vie est un meurtre. L'enfant en devenir ou déjà formé est un homme en puissance. Et si ce cas extrême sert à semer le doute, la réponse que l'on doit donner doit nous mettre du coté de l'enfant. Or, on ne peut savoir à l'avance si la vie d'un être vaut le coup ou non d'être vécue.

Ce pseudo-débat a part ailleurs empêcher de développer correctement des structures prêtes à accueillir ce genre de cas particuliers. Quel dommage !

Ecossais a écrit:

spidle33 a écrit:

Entre laisser vivre et tuer une vie : dans le doute, on prend pas à la légère la vie d'un bébé...

Cher Spidle,
Au cas où tu l'ignores, Noël est père de famille et papi. Je ne crois pas qu'il traite ce genre de question par dessus la jambe. Ce sont des décisisons douloureuses dans une vie. Et il appartient à chacune (dans la situation que j'aie évoqué) de faire le choix en son âme et conscience.

Mes petits enfants m'appellent "grand-père".
Je déteste en effet ces mièvreries anglo-saxonnes (en espèrant que ce ne soit une injure pour personne).
De plus, je pense qu'il faut appeler les choses par leur nom. Or je ne suis plus un jeune perdreau. J'ai connu l'état de père et maintenant je connais celui de grand-père. Et mes petits enfants doivent savoir que je ne suis pas un copain à barbe blanche (même si honnêtement je fais toutes leurs fluttes).

En effet je ne traite pas ces choses à la légère. Que je sois d'accord ou non (ou +-) les lois de mon pays autorisent l'avortement pour les femmes qui le veulent. Je n'ai pas de jugement moral et encore moins moralisateur à porter sur celles qui font ce choix.
Je n'ai pas non plus à spéculer de savoir si elles iront ou non en enfer au nom d'une prétention religieuse qui ne regarde que moi en ce sens que c'est sur moi que j'ai déjà à en appliquer les préceptes. Non sur les autres.

Si je crois en Dieu je fais confiance à sa sagesse et à son discernement devant lesquels les miens (les vôtres aussi d'ailleurs) n'ont même pas la valeur d'une pièce percée (j'espère encore que ce n'est pas une insulte).

Lorsque les scientifiques me diront qu'un embryon est une personne dès sa conception alors je considérerai l'avortement comme un meutre et je changerai peut être d'avis sur les lois afférentes. D'ici là je m'autorise à penser que, certes l'embryon est une vie en puissance, mais qu'il ne passe de l'état de cellules à celui de personne qu'au terme d'un processus d'accroissement de quelques jours ou semaines.

En conséquence je m'opposerai à tous ceux qui auront la prétention de vouloir priver les femmes de ce droit en remettant en cause les lois de mon pays autrement que par des voies légales.

J'allais oublier : Quant à savoir ce que devient l'embryon avorté là encore je fais confiance au Père pour l'accueillir directement.

Pour info : Nos deux enfants ont été désirés. Et quoi qu'en aient pensés les papes successifs, et le bon curé qui nous l'a conseillé, nous n'avons jamais fait confiance au bon docteur Ogino ni à l'exercice des températures qui furent certainement parmi les plus grands pourvoyeurs de bébés non désirés et avortés. Et je ne me suis non plus jamais mis le préso à l'index. Mais avec ma femme qu'est-ce qu'on s'est marré sous la couette. Et là j'espère que je ne choque pas quelque âme sensible.

Noel

POLICE: "LE SECRET MACONNIQUE PEUT GENERER DOUTES ET SUSPICIONS"

"Le secret maçonnique pour des fonctionnaires d'autorité peut générer doutes et suspicions" explique, dans une tribune à paraître dans le journal de son syndicat, le commissaire Patrice Demoly, chef de la brigade de répression de la délinquance économique (BRDE), ancien des brigades financière et criminelle et habitué des affaires sensibles. Il met en avant le nombre élevé de francs-maçons dans la police, "particulièrement chez les 2.000 commissaires."


<BLOCKQUOTE>M. Demoly plaide pour un système à l'anglaise qui oblige tout fonctionnaire de police à déclarer sons appartenance maçonnique. Il réclame la "transparence" pour garantir notamment la "nécessaire impartialité des fonctionnaires d'autorité".
La tribune libre avait été rédigée il y a deux ans. Le SCPN a nié jeudi que son retard à être publié soit dû à une censure ou une prudence vis à vis de ce sujet sensible dans la police et la magistrature.</BLOCKQUOTE>
Via le salon beige qui pense que le monde politique aussi devrait jouer la transparence sur cette question...


Libellés : franc-maçonnerie, police

Les documents contrerévolutionnaires #4 (Juin 2000).

La franc-maçonnerie ennemie de la religion catholique : Extrait du R. P. Fr.-Xav. Gautrelet, S. J., La franc-maçonnerie et la Révolution, Lyon : Briday, libraire-éditeur, 1872, 22e lettre, pp. 175-182.

Instruction de la Vente Suprême du carbonarisme à toutes les Ventes (XIXe siècle). Le carbonarisme (ou charbonnerie) était une société secrète de type maçonnique au dix-neuvième siècle. Elle était organisée en loges appelées « ventes » et dirigées par une Vente Suprême ou Haute Vente. L'objectif du carbonarisme était celui de toutes les sectes : la destruction de la religion catholique.

Jesus Christ est mon Dieu a écrit:

Les documents contrerévolutionnaires #4 (Juin 2000).

La franc-maçonnerie ennemie de la religion catholique : Extrait du R. P. Fr.-Xav. Gautrelet, S. J., La franc-maçonnerie et la Révolution, Lyon : Briday, libraire-éditeur, 1872, 22e lettre, pp. 175-182.

Instruction de la Vente Suprême du carbonarisme à toutes les Ventes (XIXe siècle). Le carbonarisme (ou charbonnerie) était une société secrète de type maçonnique au dix-neuvième siècle. Elle était organisée en loges appelées « ventes » et dirigées par une Vente Suprême ou Haute Vente. L'objectif du carbonarisme était celui de toutes les sectes : la destruction de la religion catholique.

Tu dates mon vieux. Actualise!!! Leon XIII a été en cette matière détestable plus fin que toi. Et il y a longtemps que Benoît XVI ne croit plus en cette fable de la maçonnerie ennemie de la religion catholique. Il n'y a plus que des attardés pour la croire et la répandre.

Noel