- Jean-Yves TARRADE a écrit:
- Enlui a écrit:
- L'avantage de
cette explication pour tout nouveau-né en Christ ou
conscience encore mal assurée,est, sans mentir sur la
vérité, la lui donner de façon qui ne peut que trouver
son approbation.
Alors ça c'est le ponpon !
Tu dis à un nouveau converti avec la délicatesse
arnoldienne que ses enfants sont morts sur ordre de Dieu
?
Moi je dis qu'il vaut mieux tenir Arnaud loin de toute
démarche pastorale.
Malheureusement il s'exprime ici comme s'il était dans
son salon.
Bon, je sais qu'il est vautré sur son canapé mais
tout de même !
Je pense que depuis les discussions ces deux derniers
jours,tu sais que je ne dirais pas que dieu donne quelque
ordre que ce soit de faire mourir un enfant
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Je reprend l'essentiel du post d'inauguration de ce fil:
J'ai déjà dit plusieurs fois en prenant quelques exemples que lorsque Dieu annonce qu'il va punir son peuple "en le mettant aux mains de ses ennemis",je le prends comme une réalité
qui va arriver vraiment,dont sortira après maintes peines un redressement spirituel du peuple.
Pour ce qui est de Dieu je le comprends comme un souci profond de son amour pour son peuple, qui en est arrivé à un tel niveau de turpitudes, qu'il est devenu vain de le prévenir encore par les prophèties ,et il ne reste plus pour Dieu qu'à éloigner sa main bienfaisante d'au-dessus israël qui,de ce fait tombe comme un fruit mûr
Et certainement ce sera pour lui un moindre mal.
L'avantage de cette explication pour tout nouveau-né en Christ ou conscience encore mal assurée,est, sans mentir sur la vérité,la lui donner de façon qui ne peut que trouver son approbation.
(par contre):Si je lui dis que c'est Dieu qui a voulu que le peuple soit en esclavage pour son bien,l'auditeur qui ne manque pas d'être encore charnel et psychique,ne manquera pas d'être révolté par rapport à une image idéalisée qu'il se fait de Dieu (Dieu tout amour,tout sucre)
J'employais le mot "voulu "exprès comme le ferai Arnaud des fois,car je lui adressais le message (doù le titre "de la pastorale en theologie").
J'ai plusieurs fois exprimé que le mot permettre suffit à expliquer les choses