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DOCTEUR ANGÉLIQUE FORUM CATHOLIQUE
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1 Lorsqu'Abram fut âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans, l'Eternel apparut à Abram, et lui dit : Je suis le Dieu tout-puissant. Marche devant ma face, et sois intègre. 2 J'établirai mon alliance entre moi et toi, et je te multiplierai à l'infini. 3 Abram tomba sur sa face ; et Dieu lui parla, en disant : 4 Voici mon alliance, que je fais avec toi. Tu deviendras père d'une multitude de nations. 5 On ne t'appellera plus Abram ; mais ton nom sera Abraham, car je te rends père d'une multitude de nations. 6 Je te rendrai fécond à l'infini, je ferai de toi des nations ; et des rois sortiront de toi. 7 J'établirai mon alliance entre moi et toi, et tes descendants après toi, selon leurs générations : Ce sera une alliance perpétuelle, en vertu de laquelle je serai ton Dieu et celui de ta postérité après toi.
8 Je te donnerai, et à tes descendants après toi, le pays que tu habites comme étranger, tout le pays de Canaan, en possession perpétuelle, et je serai leur Dieu. 9 Dieu dit à Abraham : Toi, tu garderas mon alliance, toi et tes descendants après toi, selon leurs générations. 10 C'est ici mon alliance, que vous garderez entre moi et vous, et ta postérité après toi : Tout mâle parmi vous sera circoncis. 11 Vous vous circoncirez ; et ce sera un signe d'alliance entre moi et vous.
12 A l'âge de huit jours, tout mâle parmi vous sera circoncis, selon vos générations, qu'il soit né dans la maison, ou qu'il soit acquis à prix d'argent de tout fils d'étranger, sans appartenir à ta race. 13 On devra circoncire celui qui est né dans la maison et celui qui est acquis à prix d'argent ; et mon alliance sera dans votre chair une alliance perpétuelle. 14 Un mâle incirconcis, qui n'aura pas été circoncis dans sa chair, sera exterminé du milieu de son peuple : Il aura violé mon alliance.
15 Dieu dit à Abraham : Tu ne donneras plus à Sarah, ta femme, le nom de Sarah ; mais son nom sera Sarah. 16 Je la bénirai, et je te donnerai d'elle un fils ; je la bénirai, et elle deviendra des nations ; des rois de peuples sortiront d'elle.
17 Abraham tomba sur sa face ;il rit, et dit en son cœur :Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans ? Et Sarah, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle ?
18 Et Abraham dit à Dieu : Oh ! Qu'Ismaël vive devant ta face !
Le verset concerné se trouve au 17.
Maintenant dans Romains 4
17 (selon qu'il est écrit: "Je t'ai établi père de plusieurs nations"), devant Dieu qu'il a cru,-qui fait vivre les morts et appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient, 18 -qui, contre espérance, crut avec espérance, pour devenir père de plusieurs nations, selon ce qui a été dit: "Ainsi sera ta semence".
19 Et n'étant pas faible dans la foi, il n'eut pas égard à son propre corps déjà amorti, âgé qu'il était d'environ cent ans, ni à l'état de mort du sein de Sara; 20 et il ne forma point de doute sur la promesse de Dieu par incrédulité, mais il fut fortifié dans la foi, donnant gloire à Dieu, 21 et étant pleinement persuadé que ce qu'il a promis, il est puissant aussi pour l'accomplir.
et Hébreux 11
11 Par la foi, Sara elle-même aussi reçut la force de fonder une postérité, et cela, étant hors d'âge, puisqu'elle estima fidèle celui qui avait promis; 12 c'est pourquoi aussi d'un seul, et d'un homme déjà amorti, sont nés des gens qui sont comme les étoile du ciel en nombre et comme le sable qui est sur le rivage de la mer, lequel ne peut se compter.
Question pour ceux qui voudront y répondre: Le corps d'Abraham était-il oui ou non usé au point qu'il rit dans son coeur quand Dieu lui fit cette déclaration que de lui sortirait un fils ?
L’Éternel laissait s’écouler le temps qui anéantissait les ressources de la nature pour accomplir Lui-même ce qu’Il a promis.
Abram était âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans lorsque l’Éternel lui apparut de nouveau, en lui disant :
« Je suis le Dieu Tout-puissant ; marche devant ma face, et sois parfait ; et je mettrai mon alliance entre moi et toi, et je te multiplierai extrêmement ».
Au chapitre 14, Il est nommé le Dieu Très-haut, en rapport avec la possession des cieux et de la terre, ce qui sera reconnu dans le millenium.
Ici, Il est le Tout-puissant, pour accomplir Ses promesses. Donc il n’y avait pas besoin de l’intervention de l’homme pour cela.
Abram devait marcher devant la face du Tout-puissant et être parfait, c’est-à-dire conséquent avec une telle révélation qui devait le gouverner dans toute sa conduite.
On est toujours responsable de marcher d’après la révélation que Dieu fait de Lui-même et de la lumière qu’Il nous donne par elle.
Lorsqu ’Il voulut délivrer Son peuple de l’Égypte, Il se révéla à lui comme l’Éternel, le Même que le Tout-puissant, auteur des promesses qu’Il allait accomplir (Exode 6:2-3).
C’est pourquoi Moïse dit au peuple, en Deut. 18:13 :
« Tu seras parfait avec l’Éternel, ton Dieu », en ne se conduisant pas comme les nations cananéennes.
Lorsque le Seigneur parle du Père à Ses disciples, Il dit :
Vous, soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait » (Matt. 5:48).
Il use de bonté envers tous, envoyant Son soleil et Sa pluie sur les justes et sur les injustes. Les chrétiens, possesseurs de la nature divine, sont appelés à être « imitateurs de Dieu comme de bien-aimés enfants » (Éph. 5:1).
Dieu change le nom d’Abram — père élevé — en celui d’Abraham — père d’une multitude — car Il l’établit père d’une multitude de nations.
« Je te ferai fructifier extrêmement, et je te ferai devenir des nations ; et des rois sortiront de toi ».
Dieu établit une alliance perpétuelle avec lui pour qu’Il soit son Dieu, à lui et à sa semence après lui. Il renouvelle qu’Il lui donnerait le pays de son séjournement, Canaan, ainsi qu’à sa semence après lui, et qu’Il serait leur Dieu.
Car Dieu avait appelé Abram à sortir de son pays et de sa parenté, pour avoir un peuple qui gardât la connaissance de Lui-même, lorsque les hommes L’avaient rejeté pour l’idolâtrie.
En fait la question est plutôt dans la première partie du verset 17 car pour ce qui est du rire d'Abraham, il est bien écrit que c'est dans son coeur qu'il rit, alors que pour ce qui concerne Sarah c'est en elle même qu'elle a ri comme c'est écrit au verset 12 du chapitre 18.
12 Elle rit en elle-même, en disant : Maintenant que je suis vieille, aurais-je encore des désirs ? Mon seigneur aussi est vieux.
Ces deux exemples montrent qu'il ne s'agi pas du même rire et on y reviendra sans doute plus tard.
Mais ici dans le texte de Genèse 17, Abraham se pose la question de savoir s'il était possible qu'il naisse de lui un enfant alors qu'il a près de 100 ans, alors que dans Romains et Hébreux, il est marqué que l'âge n'a pas été un problème pour lui et qu'il ne douta pas.
C'est ça qui ces derniers jours m'a interpelé, et qui a fait que je me suis posé la question de savoir quel pouvait être le sens de cette apparente contradiction.
Ici en Génèse 17, Abraham semble perplexe devant cette parole de Dieu, alors que dans Romains et Hébreux on voit que pour lui, cette chose d'enfanter à 100 ans ne lui posait aucun problème.
Cela me montre alors qu'il me faut lire ce passage de Genèse 17 d'une autre manière que celle que j'avais jusque-là.
Si Sarah rit en son Coeur, Abraham fatigué se demandais en son Coeur pourquoi une tel promesse de la part de Dieu, autant de descendance ? et c'est la qu'il vie le Jour du Christ.
Autant de descendance, cela est pour mené a Christ, au jour du Christ !
Selon ce qui est écrit, c'est plus tard au chapitre 18 que Sarah a ri en elle même et pas au chapitre 17.
12 Elle rit en elle-même, en disant : Maintenant que je suis vieille, aurais-je encore des désirs ? Mon seigneur aussi est vieux.
C'est en elle même que Sarah a ri et pas dans son coeur comme c'est écrit pour son mari Abraham. Spirituellement parlant cela veut dire que ce n'est pas le même rire qu'il n'est pas de la même origine: qu'il ne part pas de la même source.
Si donc c'est au chapitre 18 que l'ange a parlé au sujet de Sarah lui faisant savoir à travers la tente que ce serait d'elle que viendrait un fils à Abraham, il est évident qu'au chapitre 17 elle ne le savait pas encore.
Cela pour dire que la réaction d'Abraham en Genèse 17 n'a rien à voir avec le rire de sa femme qui est venu bien plus tard.
-------
Cependant il me faut dire quand même, que par rapport à ce que j'ai moi même compris ou plutôt vu dirais-je, dans la réponse au dessus, il y a une petite partie de la réponse au sujet de savoir à quel moment Abraham a vu le jour de Jésus dans sa vie.
Selon ce qui est écrit, c'est plus tard au chapitre 18 que Sarah a ri en elle même et pas au chapitre 17.
12 Elle rit en elle-même, en disant : Maintenant que je suis vieille, aurais-je encore des désirs ? Mon seigneur aussi est vieux.
C'est en elle même que Sarah a ri et pas dans son coeur comme c'est écrit pour son mari Abraham. Spirituellement parlant cela veut dire que ce n'est pas le même rire qu'il n'est pas de la même origine: qu'il ne part pas de la même source.
Si donc c'est au chapitre 18 que l'ange a parlé au sujet de Sarah lui faisant savoir à travers la tente que ce serait d'elle que viendrait un fils à Abraham, il est évident qu'au chapitre 17 elle ne le savait pas encore.
Cela pour dire que la réaction d'Abraham en Genèse 17 n'a rien à voir avec le rire de sa femme qui est venu bien plus tard.
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Cependant il me faut dire quand même, que par rapport à ce que j'ai moi même compris ou plutôt vu dirais-je, dans la réponse au dessus, il y a une petite partie de la réponse au sujet de savoir à quel moment Abraham a vu le jour de Jésus dans sa vie.
Le premier est celui d’Abraham lorsqu’il entend la promesse de la naissance d’un fils :
Abraham se jeta face contre terre et il rit ; il se dit en lui-même: » Un enfant naîtrait-il à un homme de cent ans ? Ou Sara avec ses quatre-vingt-dix ans pourrait-elle enfanter ? (Gn 17,17)
On devine un rire nerveux, plein d’interrogation et de perplexité devant le caractère hautement improbable d’une telle annonce. C’est tellement énorme qu’Abraham éclate de rire ! Alors que cette naissance, il en rêve depuis son mariage avec Sarah, belle comme le jour, mais stérile. « À notre âge, tu es fou Seigneur – et cruel – de nous laisser entrevoir un tel bonheur impossible… On a tout essayé, et j’ai même couché avec ma servante Agar sur le conseil de Sarah pour ne pas être privé totalement de descendance. Ismaël n’est pas tout à fait le fils attendu, mais maintenant j’ai fait mon deuil et je m’en contente ».
Nous rions comme Abraham lorsque nous considérons comme impossible ce que Dieu désire pour nous…
Le deuxième rire
Le deuxième rire est celui de Sarah, beaucoup plus ironique et railleur. Pour elle, l’enjeu est le plaisir tout autant que la fécondité :
Abraham et Sara étaient vieux, avancés en âge, et Sara avait cessé d’avoir ce qu’ont les femmes. Sara se mit à rire en elle-même et dit: » Tout usée comme je suis, pourrais-je encore jouir ? Et mon maître est si vieux! » (Gn 18, 11-12)
Dieu sait bien ce qu’il y a de négatif dans ce rire, et le reproche à Sarah via Abraham :
Le Seigneur dit à Abraham: » Pourquoi ce rire de Sara ? Et cette question: » Pourrais-je vraiment enfanter, moi qui suis si vieille ? » Y a-t-il une chose trop prodigieuse pour le Seigneur ? (Gn 18,13)
Elle se justifie en bricolant un mensonge :
Sara nia en disant: » Je n’ai pas ri « , car elle avait peur (Gn 18,15).
Mais Dieu n’est pas dupe : « Non. Tu as ri ». « Assume ! Assume ce que tu ressens, et je t’exaucerai au-delà de ton désir ».
Nous rions comme Sarah lorsque nous ne voulons pas réveiller nos désirs les plus vrais enfouis en nous…
Le troisième rire
Le troisième rire est celui d’Ismaël. Lors d’un banquet donné pour fêter le sevrage de son demi-frère Isaac, Ismaël rit (Gn 21,9), et Sarah interprète ce rire comme une moquerie vis-à-vis d’Isaac. Elle décide alors de chasser Ismaël avec sa mère Agar. Le rire d’Ismaël a provoqué sa chute en déclenchant la jalousie de Sarah : elle ne supporte plus de voir son ancienne déchéance sans cesse évoquée sous ses yeux par la seule présence d’Ismaël. Quant à lui, s’il a ri, rien ne nous empêche d’y déceler une nuance d’amertume, une souffrance, celle d’un aîné évincé de son droit d’aînesse par un cadet, au destin privilégié et fixé « arbitrairement ». Vu sous cet angle, le comportement d’Ismaël pourrait être rapproché de celui d’Ésaü, le frère du patriarche Jacob….
Isaac (dont le nom signifie : « il rira ») caressant sa femme Rébecca
Merci Toi le tout petit d'avoir apporté autant de précision sur ces rire dont il est parlé dans le livre de la Genèse.
Revenons sur le sujet duquel on s'est un peu écarté.
A quel moment de la vie d'Abraham, cet homme de foi a-t-il vu le jour de Jésus.
Pour tout vous dire, jusqu'à ces derniers jours je donnais, ou plutôt je me donnais de mauvaises réponses parce que je ne m'étais pas suffisamment intéressée au texte, mais depuis la réponse m'est parvenue et ce que je peux dire, c'est qu'elle est magnifique et que c'est de cette même manière que nous aussi nous devrions voir le jour de Jésus, bien que ce jour est maintenant venu depuis plus de 2000 ans.
Ce que je vous propose aussi Toi le tout petit c'est de faire glisser votre réponse du moins celle par rapport au rire d'Abraham dans le sujet de Genèse 17 pour bien rester dans les fils des sujets, bien que malheureusement et j'espère ici que vous me pardonnerez de le dire mais non, le rire d'Abraham ne correspond pas à ce que vous avez écrit.
Je donne ici un petit indice pour ce sujet ici:
Abraham rit dans son coeur, alors que pour ce qui concerne Sarah plus tard, c'est en elle même et pas en son coeur qu'elle a ri.
Dans quel sujet est ce que je viens d'écrire cette phrase ?
Si vous m'aviez posé la question de savoir si j'étais chrétienne donc de Christ, ma question aurait été "OUI", je le suis, mais pour le reste je n'ai pas assez d'intelligence pour y répondre.
Le premier est celui d’Abraham lorsqu’il entend la promesse de la naissance d’un fils :
Abraham se jeta face contre terre et il rit ; il se dit en lui-même: » Un enfant naîtrait-il à un homme de cent ans ? Ou Sara avec ses quatre-vingt-dix ans pourrait-elle enfanter ? (Gn 17,17)
On devine un rire nerveux, plein d’interrogation et de perplexité devant le caractère hautement improbable d’une telle annonce. C’est tellement énorme qu’Abraham éclate de rire ! Alors que cette naissance, il en rêve depuis son mariage avec Sarah, belle comme le jour, mais stérile. « À notre âge, tu es fou Seigneur – et cruel – de nous laisser entrevoir un tel bonheur impossible… On a tout essayé, et j’ai même couché avec ma servante Agar sur le conseil de Sarah pour ne pas être privé totalement de descendance. Ismaël n’est pas tout à fait le fils attendu, mais maintenant j’ai fait mon deuil et je m’en contente ».
Nous rions comme Abraham lorsque nous considérons comme impossible ce que Dieu désire pour nous…
Le deuxième rire
Le deuxième rire est celui de Sarah, beaucoup plus ironique et railleur. Pour elle, l’enjeu est le plaisir tout autant que la fécondité :
Abraham et Sara étaient vieux, avancés en âge, et Sara avait cessé d’avoir ce qu’ont les femmes. Sara se mit à rire en elle-même et dit: » Tout usée comme je suis, pourrais-je encore jouir ? Et mon maître est si vieux! » (Gn 18, 11-12)
Dieu sait bien ce qu’il y a de négatif dans ce rire, et le reproche à Sarah via Abraham :
Le Seigneur dit à Abraham: » Pourquoi ce rire de Sara ? Et cette question: » Pourrais-je vraiment enfanter, moi qui suis si vieille ? » Y a-t-il une chose trop prodigieuse pour le Seigneur ? (Gn 18,13)
Elle se justifie en bricolant un mensonge :
Sara nia en disant: » Je n’ai pas ri « , car elle avait peur (Gn 18,15).
Mais Dieu n’est pas dupe : « Non. Tu as ri ». « Assume ! Assume ce que tu ressens, et je t’exaucerai au-delà de ton désir ».
Nous rions comme Sarah lorsque nous ne voulons pas réveiller nos désirs les plus vrais enfouis en nous…
Le troisième rire
Le troisième rire est celui d’Ismaël. Lors d’un banquet donné pour fêter le sevrage de son demi-frère Isaac, Ismaël rit (Gn 21,9), et Sarah interprète ce rire comme une moquerie vis-à-vis d’Isaac. Elle décide alors de chasser Ismaël avec sa mère Agar. Le rire d’Ismaël a provoqué sa chute en déclenchant la jalousie de Sarah : elle ne supporte plus de voir son ancienne déchéance sans cesse évoquée sous ses yeux par la seule présence d’Ismaël. Quant à lui, s’il a ri, rien ne nous empêche d’y déceler une nuance d’amertume, une souffrance, celle d’un aîné évincé de son droit d’aînesse par un cadet, au destin privilégié et fixé « arbitrairement ». Vu sous cet angle, le comportement d’Ismaël pourrait être rapproché de celui d’Ésaü, le frère du patriarche Jacob….
Isaac (dont le nom signifie : « il rira ») caressant sa femme Rébecca
C'était le sens de ma question. La tradition réformée se voit comme xtienne tout court, sans trop insister sur le sola scriptura essentiellement réformé, alors qu'elle suit à fond le sola scriptura. Dit autrement, le caté est is une de vos bases? Qui sont vos maitres ou théologiens?
J'espère ne pas vous décevoir en répondant qu'ici n'est pas le sujet, et ceci d'autant plus que vous ne m'entendrez jamais entrer dans ce genre de débats ou conversations.
Abraham rit dans son coeur, alors que pour ce qui concerne Sarah plus tard, c'est en elle même et pas en son coeur qu'elle a ri.
Monique
Genèse 17 16 Je la bénirai, et je te donnerai d'elle un fils; je la bénirai, et elle deviendra des nations; des rois de peuples sortiront d'elle.
17 Abraham tomba sur sa face ; il rit, et dit en son coeur : Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans ? et Sara, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle ?
18 Et Abraham dit à Dieu: Oh! qu'Ismaël vive devant ta face !
Concernant ce sujet ouvert, par rapport aux textes de Genèse 17, Romains 4 et Hébreux 11 la question initiale est: Question pour ceux qui voudront y répondre: Le corps d'Abraham était-il oui ou non usé au point qu'il rit dans son coeur quand Dieu lui fit cette déclaration que de lui sortirait un fils ?
De ce fait et par rapport à la question posée, le rire d'Abraham n'entre pas dans le sujet. Il fait juste partie du verset.
J'aurais du poser la question de cette manière: [color=#990099]Est ce qu'Abraham considérait que son corps était usé quand L'Eternel lui fit cette déclaration que de lui sortirait un fils.[/color]
J'aurais du poser la question de cette manière: Est ce qu'Abraham considérait que son corps était usé quand L'Eternel lui fit cette déclaration que de lui sortirait un fils.
Monique
pour avoir reformulé votre question pertinente.
A laquelle, je peux répondre plus clairement :
NON, Car Abraham possédait une Foi inébranlable ...
Romains 4
19 Sans faiblir dans la foi, il n’a pas considéré que son corps était déjà usé, puisqu'il avait près de 100 ans, ni que Sara n'était plus en état d'avoir des enfants.
20 Il n’a pas douté, par incrédulité, de la promesse de Dieu, mais il a été fortifié par la foi et il a rendu gloire à Dieu, 21 car il avait la pleine conviction que ce que Dieu promet, il peut aussi l'accomplir. 22 C'est pourquoi cela lui a été compté comme justice. 23 Or ce n'est pas pour lui seulement qu'il est écrit que la foi a été portée à son compte, 24 mais c'est aussi pour nous. Elle sera portée à notre compte, puisque nous croyons en celui qui a ressuscité Jésus notre Seigneur, 25 lui qui a été donné à cause de nos fautes et qui est ressuscité à cause de notre justification. ______________________________
Si Dieu est puissant pour accomplir ce qu’Il a promis (verset 21), l’homme de son côté est totalement incapable de remplir ses propres obligations.
C’est pourquoi les promesses faites à Abraham (et au chrétien) ne comportent aucune condition… Il suffit de croire.
Toutes les apparences semblaient contredire ce que Dieu avait assuré à Abraham.
Mais celui-ci« ne forma point de doute… étant pleinement persuadé… » (versets 20, 21).
D’où lui venait cette foi inébranlable ?De ce qu’il connaissait Celui qui lui avait fait les promesses et lui accordait une confiance totale.
La foi croit les promesses parce qu’elle croit Dieu qui les a faites (versets 17 et 3 ; comparer 2 Timothée 1. 12). Elle s’empare des grandes vérités affirmées par sa Parole : la mort du Seigneur Jésus pour expier nos fautes, sa résurrection pour nous donner une justice (verset 25).
Quant à l'âge avancé d’ Abraham, nous savons aujourd'hui grâce à la science, que les spermatozoïdes d'un homme sont féconds jusqu'à sa mort.
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Excellente réponse et cela d'autant plus qu'Abraham prit encore une femme, nommée Ketura. 2 Elle lui enfanta Zimran, Jokschan, Medan, Madian, Jischbak et Schuach. 7 Voici les jours des années de la vie d'Abraham : Il vécut cent soixante quinze ans.
Si donc maintenant on veut aller dans le domaine du spirituel, peut-on reposer la question de savoir par rapport à quoi Abraham ne douta pas, et qui le fit rire dans son coeur ?
Pour commencer je dirais qu'il y a deux manières de lire la bible : Une de façon littérale et une autre qui est selon l’Esprit.
Pour celui qui lit ou plutôt qui comprend la pensée de l’Esprit qui est cachée dans la lettre, il y a un problème qui est qu’il ne peut rien prouver à celui qui est uniquement dans la lettre, justement parce que ce dernier a pour lui l’écrit seul, et que l’autre c’est par l’Esprit dans son esprit qu’il reçoit ce qui est de Dieu et qu’il n’y a donc rien de prouvable à ce niveau.
De ce fait celui qui est dans la pensée de l’Esprit n’a aucun moyen de se défendre devant celui qui lui oppose la lettre seule. Son seul secours c’est son Seigneur. Il n’y a qu’en Lui qu’il peut se réfugier et y trouver des forces.
Voilà ce que je tenais à dire depuis longtemps.
------------ J’en viens maintenant à cette question qui est de savoir si par rapport à ce qu’a dit Paul dans sa lettre aux Romains et ce qu’a dit l’auteur de la lettre aux hébreux, Abraham considérait que son corps était usé quand L'Eternel lui fit cette déclaration que de lui sortirait un fils.
Dans ces deux lettres, il est bien montré qu’Abraham n’a pas considéré l’usure de son corps, mais alors pourquoi le verset 17 de Genèse 17 « semble» montrer le contraire ? C’est la question que je m’étais d’ailleurs posée à moi-même, car ces textes semblaient se contredire entre eux.
Genèse 17 v 17 Abraham tomba sur sa face ; il rit, et dit en son cœur : Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans ? Et Sarah, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle ?
Ici lu de façon littérale on peut y voir effectivement comme une interrogation ; interrogation négative s’entend. Interrogation qui appelle une réponse du genre : Non cela n’est pas possible qu’il naisse un fils d’un homme de cent ans. Pour tout vous dire, c’est aussi de cette manière qu’avant j’interprétais ce verset.
-------- Maintenant Romains 4 : 19 Et, sans faiblir dans la foi, il ne considéra point que son corps était déjà usé, puisqu'il avait près de cent ans, et que Sarah n'était plus en état d'avoir des enfants.
Là par rapport à ce que je comprenais « avant » du verset 17 de Genèse, je suis obligée d’y voir une contradiction, car elle y est effectivement si je m’en tiens à la lecture selon la lettre seule. --------- Même contradiction apparente dans Hébreux 11 : 11 Par la foi aussi, Sara reçut la vertu de concevoir et, malgré son âge, elle enfanta, parce qu'elle crut à la fidélité de celui qui avait fait la promesse. 12 C'est pourquoi d'un seul homme, déjà usé de corps, naquit une postérité nombreuse comme les étoiles du ciel, comme le sable qui est sur le bord de la mer et qu'on ne peut compter.
Voilà pour les trois textes.
Voilà maintenant ce que je vous propose en tant que compréhension mais sans rien imposer à celui ou celle qui n’en voudra pas. L’homme a été créé homme libre et je respecte cette décision de Dieu.
Pour avoir la réponse sur cette réaction de Abraham, il me faut remonter au chapitre 15.
Voici ce qui s’est passé : 1 Après ces événements, la parole de l'Eternel fut adressée à Abram dans une vision, et il dit : Abram, ne crains point ; je suis ton bouclier, et ta récompense sera très grande. 2 Abram répondit : Seigneur Eternel, que me donneras-tu ? Je m'en vais sans enfants ; et l'héritier de ma maison, c'est Eliézer de Damas. 3 Et Abram dit : Voici, tu ne m'as pas donné de postérité, et celui qui est né dans ma maison sera mon héritier. 4 Alors la parole de l'Eternel lui fut adressée ainsi : Ce n'est pas lui qui sera ton héritier, mais c'est celui qui sortira de tes entrailles qui sera ton héritier. 5 Et après l'avoir conduit dehors, il dit : Regarde vers le ciel, et compte les étoiles, si tu peux les compter. Et il lui dit : Telle sera ta postérité. 6 Abram eut confiance en l'Eternel, qui le lui imputa à justice.
Voilà pour cette première partie. C’est clair, net et concis : L’Eternel promet à Abraham que de lui sortira son héritier, et l’homme en qui « foi » était a cru à la parole de l’Eternel qui imputa cette confiance à justice.
Malheureusement arrive l’épisode où Sarah voyant qu’elle n’arrivait toujours pas à concevoir poussa son mari dans les bras de sa servante et le résultât fut catastrophique pour Abraham.
Genèse 16 v 16 Abram était âgé de quatre-vingt-six ans lorsqu'Agar enfanta Ismaël à Abram. ----
Vient enfin le chapitre 17 où je trouve enfin trouver le verset qui m'intéresse. 1 Lorsqu'Abram fut âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans, l'Eternel apparut à Abram, et lui dit : Je suis le Dieu tout-puissant. Marche devant ma face, et sois intègre.
Spoiler:
Donc la conception d’Ismaël a eut pour effet que l’Eternel n’apparu plus à Abraham pendant 13 ans. De quatre-vingt-six, à quatre-vingt-dix neuf, soit treize ans.
[size=16]Après n’être plus apparu à Abraham pendant 13 ans afin de lui montrer jusqu’où peuvent nous conduire nos erreurs, et ici celle d’avoir quitté le chemin de la foi pour céder aux instances de sa femme, l’Eternel clos ce chapitre et ce mauvais rêve pour Abraham en lui disant : Abraham désormais marche devant ma face et sois intègre. Ne recommence plus ce que tu as fais et dont tu en as vu les conséquences désatreuses.
Abram est confondu de voir tant d’amour de la part de son Dieu envers lui et, dans une position d’adoration on le voit tomber sur sa face v 3, lui qui se sait être un homme impie comme le confirme l’apôtre Paul dans sa lettre aux Romains ch 4 v 5
En fait ce que l’Eternel est en train de faire ici, c’est aussi ce qu’il fera pour son peuple quand celui-ci sera composé et qu’il se trouvera à la frontière du Jourdain pour le traverser et entrer dans le pays promis à Abraham.
Dans les derniers chapitres du livre du Deutéronome et le début du livre de Josué, on y lit avec force détails que l’Eternel ferme comme une parenthèse sur les 40 années de loi passées dans le désert. On revient comme au point de départ, c'est-à-dire à la foi.
Le peuple quitte l’Egypte dans le mois des épis et il entre dans le pays de la promesse dans le temps de la récolte. La pâque partielle se fait dans le désert car la pâte n’était pas encore levée, et ici à peine on entre sur le territoire de Canaan que les épis sont là prêts à être ramassé pour faire enfin la pâque en l’honneur de l’Eternel. Il y a donc un chapitre de 40 ans qui vient de se fermer.
C’est la même chose qui a été faite envers Abraham, lui le précurseur et celui qui allait devenir le père des croyants ayant une foi venant de la même source que la sienne.
Au chapitre 17 en demandant à Abraham de marcher devant Lui et de rester intègre désormais, je vois l’Eternel en train de jeter derrière Lui ce mauvais épisode de la vie de son homme: Oui il ferme cette mauvaise parenthèse de ce qui s’est passé avec la conception d’Ismaël et de ce fait Abraham se retrouve maintenant dans la position où il était avec son Dieu en Genèse 15.
Sans aucun doute que maintenant je peux enfin comprendre cette réaction d’Abraham quand au verset 17 du chapitre 17 il est écrit qu’il rit, et dit en son cœur : Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans ? Et Sarah, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle ?
Oui pourquoi Abraham a-t-il rit dans son cœur en même temps qu’il disait ces choses ?
Je vous partage ce que j’ai compris et je fais comme si c’était Abraham lui-même qui parlait :
Mais que je suis bête pensa t-il en riant dans son coeur: Comment est ce que j’ai pu écouter ma chair qui me faisait croire jusqu'à douter que ce n’était plus la peine d’essayer d’avoir des rapports sexuels avec Sarah et que cette même chair avec le péché en elle, me faisait penser qu’à 100 ans, il ne m’était plus possible d’engendrer et d’avoir un fils.
Mais que j’ai été bête d’écouter mes raisonnements et de prêter mon oreille au doute sur ce que Dieu m'a pourtant promis.
Le rire d’Abraham dans son cœur correspond pour moi à un rire qui venait de son homme intérieur le plus profond, c’est un rire qu’il offrait à Dieu; il lui montrait sa joie d’avoir découvert ce que la chair était décidée à lui faire croire, même au mensonge.
Donc pour moi le rire d’Abraham était en rapport avec lui-même, il se moquait de lui-même et ce rire maintenant était un rire de bonheur, un rire d’avoir mis à jour ce que la chair est capable de faire croire à un homme.
Quand au : Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans, là il est en train de mettre à la lumière ce que sa chair lui faisait croire ?
Ce verset 17 est donc un rire moqueur et une parole de victoire envers l’adversaire de l’avoir démasqué, et pas une interrogation sur lui même et sa capacité de pouvoir encore engendrer. C'est ainsi que je l'ai compris et que je ne vous impose pas. C'est le Saint Esprit qui convainc pas un homme ou une femme.
Abraham révélait ainsi au grand jour, ce que sa chair, son moi, son égo lui faisait croire et la preuve en est que dans la lettre aux Romains l’apôtre Paul ne manque pas d’écrire :
20 Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu ; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu, 21 et ayant la pleine conviction que ce qu'il promet il peut aussi l'accomplir.
S’il est écrit qu’il ne douta pas par incrédulité, c’est bien que l’incrédulité cherchait à lui faire croire qu’il ne pourrait plus avoir d’enfant à cause de son âge et que sa chair encore elle lui donnait à croire que son corps était usé ; or ça c’est faux puisqu’après la mort de Sarah, Abraham prit une autre femme, eut des enfants avec elle et vécu jusqu’à 175 ans.
Ces choses sont aussi pour nous ; elles nous montrent ce que notre chair et nos raisonnements cherchent à nous faire croire, alors que c’est totalement faux.
Ici dans ce verset 20 de Romains 4, on voit que Abraham est maintenant revenu dans sa position initiale, celle qu’il avait en Genèse 15 quand l’Eternel lui avait promis un fils qui sortirait de ses entrailles et que Abraham crut en ce qui lui était dit, d’où l’imputation de justice.
Spoiler:
[size=16]Dans Genèse 17, Abraham n’a pas oublié ce que l’Eternel lui avait promis, avant qu’il aille concevoir Ismaël. L’Eternel étant revenu vers lui après ces 13 ans privés de sa présence, le cours des choses reprend normalement avec les promesses de Dieu induites à l’intérieur.
Et c’est là qu’Abraham se remémore ce que la chair avec ses raisonnements bien humains, cherchait à lui faire croire qui est que pour lui, il était inutile d’insister auprès de Sarah pour avoir des rapports sexuels avec elle pour recevoir d'elle la postérité promise, puisqu’il devenait de plus en plus vieux selon elle (sa chair) et qu’en plus Sarah n’était plus en âge d’avoir des enfants.
En fait c’est le diable qui travaillait et se cachait derrière la chair d’Abraham car il savait que dès l’instant où la postérité promise arriverait, ça en serait fini pour lui.
Donc pour le diable tous les arguments qu’il pouvait mettre dans la balance c’était tout bon pour lui et la meilleure façon c’était de faire croire à Abraham qu’il était vieux et que de ce fait son corps était usé. Dit autrement ne te fatigues pas pour rien, c’est peine perdue.
Notre côté chair en nous n’abandonnera jamais la partie et l’usure du temps est une arme de destruction massive pour l’adversaire de Dieu qui s’en sert pour essayer de faire sombrer notre foi.
Mais non voyons Abraham n’insiste pas, lui disait-elle cette force de la chair, tu vois bien qu’avant toi tes pères n’engendraient plus à l’âge que tu es parvenu…. mais ce qu’elle oubliait cette chair c’est que le Dieu d’Abraham est revenu vers lui et qu’Il lui a réitéré les mêmes promesses que celle faite en Genèse 15.
Que pouvait faire d’autre Abraham à part rire et se moquer de ce que sa chair cherchait à lui faire croire : Ah oui ma chair, tu es même allée jusqu’à me faire me poser cette question sur moi et sur Sarah, mais non, pour moi je m’en tiens à ce que Dieu m’a dit et promis. Je vais aller vers ma femme et il me donnera ce qu’il m’a promis. ---------
Dans Genèse 18 à propos de Sarah qui n’était pas au courant de ce que l’Eternel avait dit à son mari sur elle, quand elle a entendu la parole de l’ange 12 Elle rit en elle-même, en disant : Maintenant que je suis vieille, aurais-je encore des désirs ? Mon seigneur aussi est vieux.
Ce rire à la différence de celui d’Abraham qui avait ri dans son cœur c'est-à-dire dans son être intérieur tout heureux d’entendre que l’Eternel lui réitérait la promesse d’avoir un fils qui sortirait de ses entrailles, Sarah elle c’est en elle-même qu’elle rit.
Ce rire était donc un rire d’incrédulité ; un rire moqueur envers ce qu’elle entendait mais pas un rire dans le bon sens du terme. Mais le côté dramatique de la chose c'était que ce qu’elle entendait et qui la faisait rire était directement lié à Celui qui lui parlait à travers la tente ; oui parce qu’à ce moment-là elle ne croyait pas encore à la promesse que l’Eternel avait faite à son mari et qu’elle n’avait pas entendu. D’où un rire d’incrédulité qui celui-là ne venait certainement pas de son cœur, mais de sa chair avec ses raisonnements humain. Elle était encore dans la position de celle dans laquelle elle avait été quand elle envoya son mari vers Agar.
Qu’est ce qui a fait que Sarah a changé et qu’ensuite elle aussi crut à la promesse que l’Eternel avait faite à son mari ? Eh bien parce qu'à la différence de toutes les autres fois, c’est à elle de manière personnelle que l’Eternel s’adresse même si c’est par le moyen de son mari qui n’est encore pour l’instant que le seul à être dans la foi dans cette affaire.
Donc qu’est ce qui a fait que Sarah a changé et à quel moment cela s’est-il produit ? Eh bien la réponse se trouve de suite après, c'est-à-dire 13 L'Eternel dit à Abraham : Pourquoi donc Sarah a-t-elle ri, en disant : Est-ce que vraiment j'aurais un enfant, moi qui suis vieille ? 14 Y a-t-il rien qui soit étonnant de la part de l'Eternel ? Au temps fixé je reviendrai vers toi, à cette même époque ; et Sarah aura un fils. 15 Sarah mentit, en disant : Je n'ai pas ri. Car elle eut peur. Mais il dit : Au contraire, tu as ri.
Là voilà la réponse. L’Eternel fait savoir de manière insistante à Sarah qu’il connaît ce qui est en elle et c’est ça qui lui a fait peur. Est qu’Il lui reproche quelque chose ? Non, mais il pose la question de savoir pourquoi elle a ri: Question qui est là pour qu'ensuite ce soit elle qui se pose cette même question: Qu'est ce qui m'a fait rire de cette bien mauvaise manière: Qui est celui qui se cache derrière ce rire ?
Alors cette fois-ci et pour que les choses soient enfin claires pour elle, à travers la toile de la tente, l’Eternel lui fait savoir que dans un an, elle sera mère et ça, elle ne l’avait jamais entendu auparavant, car jusque là, c’est à l’homme Abraham que l’Eternel parlait, pas à Eve, la femme.
Je termine en mettant ce verset qui est dans Romains 10 et qui convient très bien à ce qui s'est passé dans cet instant précis où l'Eternel a parlé à Sarah
16 Mais tous n'ont pas obéi à la bonne nouvelle. Aussi Esaïe dit-il : Seigneur, qui a cru à notre prédication ? 17 Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ.
Il est évident que Sarah a entendu puis cru à la parole de Christ lui parvenant par la bouche de l'Eternel et que la foi est enfin venue en elle la rendant capable de donner à son mari le fils tant attendu.
Hébreux 11 C'est par la foi que Sarah elle-même, malgré son âge avancé, fut rendue capable d'avoir une postérité, parce qu'elle crut à la fidélité de celui qui avait fait la promesse.[/size]
Qu'est ce que je peux dire pour conclure ? Eh bien c'est le manque de foi en Sarah qui l'empêchait de procréer. C'est triste oui d'entendre ce genre de chose, mais d'un autre côté on apprend que ce que Dieu a décidé il l'obtient si cela va dans le sens de son dessein éternel.
Abraham rit dans son coeur, alors que pour ce qui concerne Sarah plus tard, c'est en elle même et pas en son coeur qu'elle a ri.
Monique
Genèse 17 16 Je la bénirai, et je te donnerai d'elle un fils; je la bénirai, et elle deviendra des nations; des rois de peuples sortiront d'elle.
17 Abraham tomba sur sa face ; il rit, et dit en son coeur : Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans ? et Sara, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle ?
18 Et Abraham dit à Dieu: Oh! qu'Ismaël vive devant ta face !
pour moi rire en son cœur signifie que l'on se trouve surpris et amusé de soi-même et la situation en sachant que Dieu va encore faire une chose impossible (a notre raison psychique) mais Abraham donne priorité au spirituel et donc on s'amuse en Esprit que notre âme se débatte en se disant " ha encore une chose impossible qui va se faire " en fait ce n'est pas un doute , mais un acquiescement , qui se reconnait dépassé et fait sourire sachant que Dieu Est Souverain et va Accomplir Sa Promesse ! tant pis pour nos sagesses !! y a de quoi arrivé a plus de 80ans de s'entendre dire " tu vas avoir un enfant toi et ta femme " Sara en riant "en elle-même" fait que ce rire est plus une domination psychique qu'un authentique acquiescement spirituel (donc son bien a elle), en gros elle juge cela assez grotesque et pour moi elle agit en conséquence en voulant que Abraham aille vers la servante (ce qui a vu humaine est moins grotesque) !
on voit la Droiture en Esprit de Dieu qui ne fera pas l’économie envers Sara de lui rappeler son rire ( chose qui ne sera pas faite a Abraham car il a cru même si cela l'a amusé dans le fond car c'est une situation cocasse a vu humaine) ! la Vérité ne fera pas l'Economie de la Vérité dérangeante sinon Elle ne serait plus Vérité !!
17 Abraham tomba sur sa face ;il rit, et dit en son cœur :Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans ? Et Sarah, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle ?
Pour moi, cela veut dire que a cent ans Abraham avait toujours des rapports sexuels et que à quatre-vingt-dix ans, Sarah n'était toujours pas ménopausée.
17 Abraham tomba sur sa face ;il rit, et dit en son cœur :Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans ? Et Sarah, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle ?
Quant à l'âge avancé d’ Abraham, nous savons aujourd'hui grâce à la science, que les spermatozoïdes d'un homme sont féconds jusqu'à sa mort.
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Excellente réponse et cela d'autant plus qu'Abraham prit encore une femme, nommée Ketura. 2 Elle lui enfanta Zimran, Jokschan, Medan, Madian, Jischbak et Schuach. 7 Voici les jours des années de la vie d'Abraham : Il vécut cent soixante quinze ans.
Si donc maintenant on veut aller dans le domaine du spirituel, peut-on reposer la question de savoir par rapport à quoi Abraham ne douta pas, et qui le fit rire dans son coeur ?
A propos des bonnes œuvres que Dieu a préparées d'avance pour ceux qui l'aiment (aiment Dieu) afin que nous marchions en elles (en ces œuvres) comme c'est écrit dans Ephésiens 2 dans plusieurs versions, je voudrais continuer à parler de l'homme Abram justement à propos des oeuvres bonnes dans lesquelles lui même a marché.
Il y a de cela quelques jours en arrière, je repensais à ce passage où Melchisédek dit à Abram: 19 : Béni soit Abram par le Dieu Très haut, maître du ciel et de la terre ! 20 Béni soit le Dieu Très haut, qui a livré tes ennemis entre tes mains ! Et Abram lui donna la dîme de tout.
Il est vrai que c’est bien Abram qui par la foi qui était en lui a fait la démarche d’aller après les rois et leurs troupes pour délivrer Lot de leurs mains, mais si la victoire a eu lieu, c’est parce qu’elle est venue de l’Eternel.
Oui c’est bien l’Eternel qui a livré entre les mains d’Abram ceux que Melchisédek appelle les ennemis d’Abram, alors qu’avant cela Abram n’avait jamais eu de contacts avec ces rois et leurs armées.
Si donc il est parlé des rois en tant qu’ennemi d’Abram, cela ne peut venir de ce qu’ils ont vu dans la démarche de cet homme qui malgré qu’ils fussent en tout petit nombre, n’ont pas hésité d’aller au contact pour délivrer Lot de leurs mains.
Les rois eux, faisaient des prisonniers alors qu’Abram lui, faisait tout le contraire. Il délivrait et rendait à la liberté tous ceux qui avaient été fait captifs et c’est en cela que ces rois étaient des ennemis d’Abram. Ils n’étaient pas dans le même esprit que celui d’Abram.
Venons-en maintenant à ces fameuses œuvres que Dieu a préparées d’avance pour ceux qui l’aiment (aiment Dieu) et qu’ils y marchent à l’intérieur.
Au chapitre 13 du livre de la Genèse après qu’il soit écrit que Lot se fut séparé d’Abram pour dresser ses tentes jusqu’à Sodome, l’auteur du livre ajoute que les gens de Sodome étaient méchants, et de grands pécheurs contre l'Eternel.
Selon la façon dont la chose est présentée dans le texte, on commence à entrevoir qu’à un moment donné, les retombées de cette parole par rapport à Sodome vont être rendues visibles.
Et Lot qui après avoir installé ses tentes à la limite de la ville y était finalement entré, va automatiquement se trouver impliqué avec les gens de Sodome dans le jugement de Dieu. Il est très important de ne pas se tromper sur cet homme et se mettre plutôt du côté de Dieu quand on le lit. En effet dans ses lettres Pierre parle du juste Lot, alors que ce qui est écrit dans le livre de la Genèse me montre tout le contraire. Et d'ailleurs si Lot a été sorti de Sodome pour sa vie sauvé c'est en réponse à la prière d'Abram comme c'est écrit dans Genèse 19:
29 Lorsque Dieu détruisit les villes de la plaine, il se souvint d'Abraham ; et il fit échapper Lot du milieu du désastre, par lequel il bouleversa les villes où Lot avait établi sa demeure.
---- Après que la séparation entre Lot et Abram se soit faite en Genèse 13, il est écrit 18 qu’Abram vint habiter parmi les chênes de Mamré qui sont près d'Hébron.
Et il bâtit là un autel à l'Eternel. Mamré voulant dire = « force, vigueur » Hébron voulant dire = « Ami »
Spoiler:
C’est là dans ce lieu et au milieu de ces gens qu’Abram s’était installé et qu’il bâti là un autel à l’Eternel. De ce Mamré qui était un Amoréen, il est écrit au chapitre 14 v 13 que lui et ses frères Eschcol et Aner, avaient fait alliance avec Abram. A noter que ce n’est pas Abram qui avait fait alliance avec Mamré et ses frères, mais le contraire. Il est très important de noter ce point car lorsque Abram est allé après les rois et leurs armées pour délivrer Lot de leurs mains, Mamré et ses deux frères étaient aussi là avec Abram.
Et c’est là que je vois que dès l’instant où Lot s’était séparé d’Abram pour aller s’installer à la limite de Sodome, l’Eternel a commencé de mettre en place l’œuvre pour laquelle Abram allait s’investir.
L’Eternel connaissait son homme, Il savait qu’il ne resterait pas inactif quand on viendrait lui annoncer la capture de son frère/neveu. Alors une aide venue de personnes qui avaient un cœur honnête et droit lui fut donnée de la part de l’Eternel pour venir en secours à Lot. Ce n’est pas pour Lot que l’Eternel avait tout préparé à l’avance pour le moment venu, c’était pour Abram car il connaissait son homme.
A noter aussi comme c’est écrit, que ce n’est pas Abram qui a été chercher son secours dans l’homme puisque c’est Mamré et ses frères qui ont traité une alliance avec Abram, pas le contraire. C’est Dieu qui mettait en place les moyens pour la victoire future de son serviteur Abram.
Voilà pourquoi Melchisédek n’attribue pas la victoire aux hommes qui sont venus en aide à Abram mais à Dieu qui a livré ses ennemis entre ses mains en ayant mis en place dès longtemps en avance tous les éléments pour que la victoire soit là.
En fait oui comme c’est écrit, Abram a marché dans ce qui avait été mis en place par un Autre que lui et qui est appelé une œuvre bonne.
Ainsi dans notre vie, on traverse des situations dont on n’a même pas conscience de leur valeur, alors que celles-ci sont pourtant de l’ordre du divin puisque Dieu les a déjà préparées et mises en place bien afin qu’elles soient vécues par nous au moment où Dieu estime que c’est le moment qu’elles arrivent. --------
Pour moi je tiens à dire que je continue à m’intéresser à Abram car il y a dans le livre d’Esaïe une parole qui m’a interpelé et que je vous livre ici. Il est écrit :
51 v 1 Ecoutez-moi, vous qui poursuivez la justice, qui cherchez l'Eternel ! Portez les regards sur le rocher d'où vous avez été taillés, sur le creux de la fosse d'où vous avez été tirés. 2 Portez les regards sur Abraham votre père, et sur Sarah qui vous a enfantés ; car lui seul je l'ai appelé, je l'ai béni et multiplié.
Ici il est question de porter les regards sur le rocher duquel nous avons ainsi qu’Abraham, été taillé. Mais comment tirer instruction d’un rocher ? Est-ce que cela est possible ? Non, mais par contre je vois qu’à la suite il est fait mention d’Abraham duquel je suis aussi appelée à porter mes regards sur lui.
En fait porter mes regards sur Abraham est une formule qui me convient très bien, parce que c’est en lui que je suis, étant de sa postérité, mais il ne me faut surtout pas oublier ou perdre de vue qu’avant d’être Abraham, il y avait l’homme Abram.
Au moment où j’en suis aujourd’hui, c’est sur lui Abram que je porte mes regards.
Je porte mes regards sur Abram parce qu’en le lisant, je trouve tout ce que Dieu aime et cherche à voir dans un homme.
Je n’oublie pas que de cet homme de foi, le prophète Esaïe dit de lui que l'Eternel l’a racheté, qu’il a aussi été le seul à être appelé, de même que choisi car il était connu de Dieu. Ce n’est pas rien quand même de savoir toutes ces choses qui sont écrites sur lui Abram et la place prépondérante qu’il a dans le cœur de son Dieu.
On voit bien que Dieu connaît tout du cœur de cet homme et le connaissant parfaitement, Il m’invite à porter mes regards sur lui Abram, afin de voir si je me retrouve en lui dans ses pensées, ses paroles et ses actions.
De mémoire Abram est le seul homme de la bible dont l’Eternel nous invite à porter les regards sur lui. Dit autrement avant la venue de Jésus Christ en chair, l’Eternel invitait les siens à prendre un homme pour modèle et ce modèle c’est en premier Abram.
Sans Abram, Abraham n’aurait jamais existé et nous n’aurions pas été tirés de lui en tant que sa postérité.
Dans ce texte de Genèse 14, on voit très bien la façon dont Dieu s’y prend pour mettre en place les pièces du puzzle qui serviront à l’œuvre qui sera faite par l’homme dans le temps que Lui a prévu.
Pour Mamré et ses frères qui avaient fait alliance avec Abram c’était eux qui étaient les pièces du puzzle mis en place d’avance par l’Eternel, en vue d’aller combattre avec lui les rois, et de cela ni Abram ni Mamré et ses frères ne pouvaient le savoir. Seul l’Eternel savait ce qui allait se passer pour Lot et les gens de Sodome de leur capture par les rois et de leur délivrance par Abram l’homme de foi.
_________________ Elargissement du Credo latin par Bardet en 1970 : Y H W H signe la Trinité , ne se prononce pas , se chante par l'Esprit , est UN MOUVEMENT , de toute éternité ( 24/05/2021 ) .
NB La couleur rouge est réservée à la modération .
Quant à l'âge avancé d’ Abraham, nous savons aujourd'hui grâce à la science, que les spermatozoïdes d'un homme sont féconds jusqu'à sa mort.
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Excellente réponse et cela d'autant plus qu'Abraham prit encore une femme, nommée Ketura. 2 Elle lui enfanta Zimran, Jokschan, Medan, Madian, Jischbak et Schuach. 7 Voici les jours des années de la vie d'Abraham : Il vécut cent soixante quinze ans.
Si donc maintenant on veut aller dans le domaine du spirituel, peut-on reposer la question de savoir par rapport à quoi Abraham ne douta pas, et qui le fit rire dans son coeur ?
Merci pour vos réponses.
Monique
A 80 ans, Robert de Niro à eu son dernier enfant,
oui avec Tiffany Chen, si lui a 80 ans, elle en a 45.
la sexualité des hommes est bien plus simple que celle des femmes, les hommes n'ont pas de règles, et les hommes effectivement peuvent resté féconds jusqu'a leur mort.
c'est donc bien l'âge encore assez jeune de Tiffany Chen qui a permis a Robert de Niro d'avoir un enfant à 80 ans, et oui contrairement aux idées reçus les hommes ne peuvent pas avoir d'enfants tout seul (même a plusieurs s'il faille préciser) et aussi fécond soit-il , nous ne sommes pas des batraciens .
17 Abraham tomba sur sa face ;il rit, et dit en son cœur :Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans ? Et Sarah, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle ?
Pour moi, cela veut dire que a cent ans Abraham avait toujours des rapports sexuels et que à quatre-vingt-dix ans, Sarah n'était toujours pas ménopausée.
ça je pense que c'est possible, mais ce serait nier le caractère miraculeux.
remarque les miracles ce cache souvent derrière des choses parfaitement rationnel, elle n'était pas ménopausée peut-être a cause d'un miracle malgré tout, ménopausée ou pas cela peu ce vérifier, le miracle lui-même pas forcement.
c'est comme les sept plaies d'Egypte, qui auraient apriori détruit l'empire Egyptien et le règne de Ramses, beaucoup d'historien et de biologiste et autres expert ce sont penché sur la question, et beaucoup de ses plaies ont été résolu rationnellement, par exemple l'eau changé en sang serait du a une prolifération de bactérie ayant ensuite attiré les crapauds, les eaux ouvertes par Moïses ont aussi droit a leur explication parfaitement rationnel, libre a nous de croire au caractère miraculeux ou pas de ses événements.
d'ailleurs même sans parler de ce "simple" miracle qui est de rendre une femme âgé capable d'enfanter, rien que ça, la première phrase :
Lorsqu'Abram fut âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans, l'Eternel apparut à Abram, et lui dit : Je suis le Dieu tout-puissant. Marche devant ma face, et sois intègre.
voilà, c'est déjà un miracle, l'Eternel a parlé a un mec, un éleveur de mouton, il a parlé quoi ! c'est incroyable, je pense qu'il faut déjà commencer par croire en de toute petite chose comme celle-ci, pour ce qui est de déplacer les montagnes c'est pour plus tard.
Comment expliquer ce qui s'est passé en Genèse 27 ?
Isaac a-t-il été ou non trompé par Jacob quand il l'a béni, alors que celui-ci s'était présenté en tant qu'Esaü ?
Monique
Au chapitre 27 de la Genèse, Rebecca va inciter Jacob à tromper son père Isaac pour voler la bénédiction que devait recevoir son frère Esaü.
Dans ce passage de la Bible, nous comprenons : Qu'il n'est jamais bon d'interférer dans les plans de Dieu. Qu'il n'est jamais bon de mentir.
Genèse 27. 1 à 29 Quand la vision spirituelle est obscurcie
Voilà une famille où Dieu est connu, et pourtant les convoitises, les fraudes et les mensonges s’y montrent très tristement. Isaac est devenu aveugle et il l’est aussi spirituellement. Il a perdu le discernement au point qu’un repas savoureux compte davantage pour lui que l’état moral de ses enfants. Sans chercher la pensée de Dieu, il s’apprête à bénir le fils qu’il préfère. Rebecca de son côté conseille à Jacob de dépouiller son frère de cette bénédiction et de tromper son père.
Seul Ésaü pourrait nous paraître sympathique dans cette famille.
Mais Dieu connaissait son cœur profane, et, à travers cette injustice apparente, sa volonté s’accomplissait. Isaac doit le reconnaître (fin du verset 33).
Jacob parvient à ses fins. Avec la complicité de sa mère, il obtient la bénédiction à laquelle il attachait tant de valeur.
Mais s’il s’était confié en Dieu pour la lui donner au lieu d’agir par supercherie, ne l’aurait-il pas tout de même reçue ?
Dieu qui avait déclaré : « le plus grand sera asservi au plus petit » (chapitre 25. 23), ne pouvait renier sa parole ni permettre d’erreur.
Jacob se serait épargné bien des peines et bien du temps perdu. Le chemin du Seigneur pour nous est toujours simple, mais que de fois nous le compliquons par nos interventions malencontreuses (Psaume 27. 11)
Jacob se serait épargné bien des peines et bien du temps perdu. Le chemin du Seigneur pour nous est toujours simple, mais que de fois nous le compliquons par nos interventions malencontreuses (Psaume 27. 11)
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Tout à fait et d'ailleurs il n'y a qu'à lire pour cela le chapitre 48 du livre de la Genèse où là Israël est dans la même position que son père Isaac a été.
1 Après ces choses, l'on vint dire à Joseph : Voici, ton père est malade. Et il prit avec lui ses deux fils, Manassé et Ephraïm.
2 On avertit Jacob, et on lui dit : Voici ton fils Joseph qui vient vers toi. Et Israël rassembla ses forces, et s'assit sur son lit……
8 Israël regarda les fils de Joseph, et dit : Qui sont ceux-ci ?
9 Joseph répondit à son père : Ce sont mes fils, que Dieu m'a donnés ici. Israël dit : Fais-les, je te prie, approcher de moi, pour que je les bénisse.
10 Les yeux d'Israël étaient appesantis par la vieillesse ; il ne pouvait plus voir. (pareil qu’Isaac son père)
Joseph les fit approcher de lui ; et Israël leur donna un baiser, et les embrassa…..
12 Joseph les retira des genoux de son père, et il se prosterna en terre devant lui.
13 Puis Joseph les prit tous deux, Ephraïm de sa main droite à la gauche d'Israël, et Manassé de sa main gauche à la droite d'Israël, et il les fit approcher de lui.
14 Israël étendit sa main droite et la posa sur la tête d'Ephraïm qui était le plus jeune, et il posa sa main gauche sur la tête de Manassé : Ce fut avec intention qu'il posa ses mains ainsi, car Manassé était le premier-né.
Voyons qu’ici Jacob/Israël a de manière intentionnelle croisé les mains, et de ce fait n’a pas imposé les mains sur la tête des fils de Joseph tel que celui-ci les lui présentait.
15 Il bénit Joseph, et dit : Que le Dieu en présence duquel ont marché mes pères, Abraham et Isaac, que le Dieu qui m'a conduit depuis que j'existe jusqu'à ce jour, 16 que l'ange qui m'a délivré de tout mal, bénisse ces enfants ! Qu'ils soient appelés de mon nom et du nom de mes pères, Abraham et Isaac, et qu'ils multiplient en abondance au milieu du pays !
17 Joseph vit avec déplaisir que son père posait sa main droite sur la tête d'Ephraïm ; il saisit la main de son père, pour la détourner de dessus la tête d'Ephraïm, et la diriger sur celle de Manassé.
18 Et Joseph dit à son père : Pas ainsi, mon père, car celui-ci est le premier-né ; pose ta main droite sur sa tête.
19 Son père refusa, et dit : Je le sais, mon fils, je le sais ; lui aussi deviendra un peuple, lui aussi sera grand ; mais son frère cadet sera plus grand que lui, et sa postérité deviendra une multitude de nations.
20 Il les bénit ce jour-là, et dit : C'est par toi qu'Israël bénira, en disant : Que Dieu te traite comme Ephraïm et comme Manassé ! Et il mit Ephraïm avant Manassé.
Ce qui veut dire que sur le tard, Jacob devenu Israël avait compris que le fait de s’être déguisé en Esaü n’était pas utile. Ce n’est pas parce que son père n’y voyait plus qu’il était incapable d’exercer un bon jugement.
Quant à l'âge avancé d’ Abraham, nous savons aujourd'hui grâce à la science, que les spermatozoïdes d'un homme sont féconds jusqu'à sa mort.
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Excellente réponse et cela d'autant plus qu'Abraham prit encore une femme, nommée Ketura. 2 Elle lui enfanta Zimran, Jokschan, Medan, Madian, Jischbak et Schuach. 7 Voici les jours des années de la vie d'Abraham : Il vécut cent soixante quinze ans.
Si donc maintenant on veut aller dans le domaine du spirituel, peut-on reposer la question de savoir par rapport à quoi Abraham ne douta pas, et qui le fit rire dans son coeur ?
Merci pour vos réponses.
Monique
A 80 ans, Robert de Niro à eu son dernier enfant,
oui avec Tiffany Chen, si lui a 80 ans, elle en a 45.
la sexualité des hommes est bien plus simple que celle des femmes, les hommes n'ont pas de règles, et les hommes effectivement peuvent resté féconds jusqu'a leur mort.
c'est donc bien l'âge encore assez jeune de Tiffany Chen qui a permis a Robert de Niro d'avoir un enfant à 80 ans, et oui contrairement aux idées reçus les hommes ne peuvent pas avoir d'enfants tout seul (même a plusieurs s'il faille préciser) et aussi fécond soit-il , nous ne sommes pas des batraciens . Mon grand-père a eu sa fille avec sa seconde femme, il avait 65 ans et elle 30 (l'âge de mon père)
Le sujet est sur Abram et ensuite Abraham c'est à dire en rapport avec les choses d'en haut.
Pour moi, ce qui m'importe c'est ce que l'Esprit veut m'enseigner mais si les choses persistent en l'état, je pense que je ne vais pas tarder à me retirer de manière définitive.
Un peu ça va, mais trop c'est trop. Quand sous le prétexte de l'amour on accepte ce genre de situation, c'est comme donner son aval à la personne qui met du trouble et qui sans le savoir fait le jeu du diable.
Il y a un exemple dans le livre des actes des apôtres ou au bout d'un certain temps l'apôtre Paul est intervenu dans ce même genre de situation.
17 Abraham tomba sur sa face ;il rit, et dit en son cœur :Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans ? Et Sarah, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle ?
Pour moi, cela veut dire que a cent ans Abraham avait toujours des rapports sexuels et que à quatre-vingt-dix ans, Sarah n'était toujours pas ménopausée.
recherche dans la genèse et leur histoire , Sara dit " comment aurai-je un enfant moi qui n'ai plus ce que les femmes ont l'habitude d'avoir ? " elle dit ailleurs que ni elle ni lui n'ont plus de désirs ! donc ils sont témoins contre eux-mêmes que tout cela c'est accomplit par la Volonté de Dieu et non parce qu'ils étaient de chauds lapins de 80 et 100ans !