| | Mettez la "science" à la poubelle | |
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Invité Invité
| Sujet: Mettez la "science" à la poubelle 5/10/2018, 16:05 | |
| Quand je dis la science, il s'agit de pseudo sciences qui ont le toupet de se faire appeler science, bien sûr!
Mais ne vous y trompez pas, cela peut même toucher des sciences prestigieuses comme la physique. Exemple : le réfutation hallucinante du big bang par Fred Hoyle (considéré comme un grand scientifique) dans les années 50
Viols canins, sextoys thérapeutiques... des revues scientifiques piégées par des études bidonssur http://www.lefigaro.fr/international/2018/10/04/01003-20181004ARTFIG00359-etats-unis-trois-auteurs-piegent-des-revues-intersectionnelles-avec-des-articles-bidons.php
S'interroger sur la «culture du viol» omniprésente entre les chiens des parcs de Portland ; voilà l'un des thèmes absurdes des papiers que trois auteurs ont réussi à faire publier dans des revues scientifiques, pour dénoncer la dérive à l'œuvre dans la recherche américaine postmoderne.
Pour que le bodybuilding cesse d'être oppressif envers les personnes grosses, ne faudrait-il pas imposer une nouvelle discipline: le «fat bodybuilding», ou «bodybuilding pour obèse»? La thèse a tout d'une mauvaise blague ; elle a pourtant été publiée le 10 avril dernier - avant d'être retirée — dans «Fat studies», une revue universitaire anglosaxonne qui se consacre à l'étude de la perception du corps et des discriminations qu'elle induirait. Le canular était signé par une journaliste, Helen Pluckrose, et deux universitaires, James A. Lindsay et Peter Boghossian, respectivement docteur en mathématiques et professeur associé de philosophie. Dans un long article publié sur le magazine Areo, dont Helen Pluckrose est rédactrice en chef, les trois auteurs reviennent en détail sur la supercherie.
Dans leur collimateur, les «cultural studies» ou les «identitity studies» Ils entendent dénoncer la dérive à l'oeuvre, selon eux, dans des pans entiers de la recherche académique en sciences humaines. Dans leur collimateur, les «cultural studies» ou les «identity studies», toutes ces disciplines universitaires postmodernes qui ont émergé à la fin des années 1960. On y trouve en bonne place les «gender studies», les «postcolonial studies» ou les «fat studies»... Des disciplines qu'ils regroupent sous le terme générique de «grievance studies», ou «études récriminatoires».
«Une culture émerge dans laquelle seules certaines conclusions sont autorisées : comme celles qui désignent systématiquement la blancheur de peau ou la masculinité comme la cause du problème.»
«Soyons clairs, nous ne pensons pas que les sujets comme le genre, la race ou la sexualité ne méritent pas d'être étudiés», explique James Lindsay dans une vidéo. «Le vrai problème, c'est la façon dont ces sujets sont actuellement étudiés. Une culture émerge dans laquelle seules certaines conclusions sont autorisées: comme celles qui désignent systématiquement la blancheur de peau ou la masculinité comme la cause du problème.» Ainsi, certains universitaires seraient prêts à publier n'importe quel travail de recherche, tant que celui-ci sert la cause qu'ils défendent. Et ce au détriment de l'éthique universitaire la plus élémentaire.
Pour joindre la parole à l'exemple, ils ont donc écrit à partir d'août 2017 une vingtaine d'articles bidons qu'ils ont soumis à plusieurs revues universitaires dotées d'un comité de relecture par des pairs. Résultat: sept papiers ont été acceptés, et quatre ont été publiés. Dans le journal Gender, Place & Culture, ils ont par exemple réussi à faire passer un papier intitulé: «Réactions humaines face à la culture du viol et performativité queer dans les parcs à chiens de Portland, Oregon».
Dans cet article, Helen Wilson (un nom d'emprunt) assure avoir passé un an à observer les «inconduites sexuelles» des chiens dans les parcs de Portland. Elle y dénonce une «culture du viol» omniprésente, et «lance un appel à prendre conscience de la façon dont les chiens sont traités sur la base de leur genre et de leurs comportements ‘queers'»... En concluion, elle appelle à traiter «le problème urgent» posé par «cette situation de viol chronique et pérenne» à l'encontre des chiennes. L'article a depuis été retiré.
Combattre son «homohystérie» par l'usage d'un sextoy À la suite de cette publication, l'expérience des trois auteurs tourne court. Les thèses du papier sont tellement extravagantes qu'elles provoquent de vastes moqueries sur internet, et attirent l'attention d'une éditorialiste du Wall Street Journal . Celle-ci tente de contacter «Helen Wilson» pour lui demander des précisions. Mais c'est James Lindsay qui lui répond, et lui confirme la supercherie qu'elle présentait.
Entretemps, d'autres revues se sont fait piéger. Dans un papier accepté et publié dans Sexuality & Culture, les auteurs affirment qu'un homme peut combattre son «homohystérie» et sa transphobie par l'usage d'un sextoy. Dans un papier accepté par Hypatia, un journal de philosophie féministe, ils avancent que les blagues ne devraient pas viser les groupes minoritaires comme les femmes et les LGBT.
Le même journal étudiait une autre proposition d'article particulièrement absurde, voire dangereuse: invoquant la discrimination positive appliquée à «l'intersectionnalité», les chercheurs écrivaient que les garçons blancs au collège ne devraient pas être autorisés à parler en classe, ni même obtenir de réponses à leurs emails adressés aux professeurs.
L'article évoque la possibilité de les «inviter» à «s'asseoir parterre» ou à «porter des chaînes factices sur leurs épaules, poignées ou chevilles pendant la durée du cours», afin de les confronter à la «fragilité de leur privilèges». Envoyé en relecture, le papier avait reçu des retours plutôt enthousiastes. «Les deux relecteurs anonymes d'Hypatia n'ont pas objecté que ces propositions de méthodes d'enseignement étaient abusives», relève l'éditorialiste du Wall Street Journal.
Une démarche critiquée James Lindsay n'en était pas à son coup d'essai. En mai 2017, il avait fait publier un papier aussi bidon qu'incohérent dans un journal assez marginal, le Cogent Social Sciences. Par son article, titré «Le pénis conceptuel en tant que construction sociale», il entendait déjà démontrer les dérives de la recherche chez les «constructivistes radicaux». Mais son expérience avait été largement critiquée, dans la mesure où le journal en question, peu réputé, faisait payer les auteurs pour les publier.
Pour cette nouvelle expérience, les trois auteurs se sont fixé trois règles: ne pas payer pour publier, ne viser que les journaux les mieux classés parmi leurs pairs, et dévoiler immédiatement la supercherie si les relecteurs émettaient le moindre doute pendant le processus de validation. Leur coup d'éclat a cependant soulevé de nouvelles critiques: pour certains, cette supercherie aurait pu réussir dans bien d'autres domaines universitaires, et démontre en réalité le manque de sérieux généralisé des revues scientifiques censées être garanties par les pairs.
Mais pour Pluckrose, Lindsay et Boghossian, le fond du problème est ailleurs. «La plupart des gens ne liront jamais la moindre production universitaire de toute leur vie», reconnaissent-ils dans Aeromagazine. Pourtant, «tous ces concepts finissent par arriver dans la culture», poursuivent-ils. Et de citer l'exemple de la notion de «white fragility» ou «fragilité blanche», forgée en 2011 par Robin DiAngelo. L'universitaire américaine désigne par ce terme le fait que les personnes blanches seraient devenues fragiles à cause de leurs privilèges, et se comporteraient comme des enfants gâtés quand ceux-ci sont remis en cause. Sept ans plus tard, en 2018, elle a décroché un gros contrat d'édition pour en faire un livre destiné au grand public. Progressivement, le terme s'est installé dans le langage courant. Il est aujourd'hui largement utilisé sur les réseaux sociaux, où l'on ironise sur les «white male tears» (les larmes des hommes blancs), ou, la «white fragility» (fragilité blanche) de ceux qui oseraient remettre en cause cette nouvelle grille de lecture identitaire, uniquement basée sur la dichotomie entre les privilèges et l'oppression. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 5/10/2018, 16:08 | |
| Je l'ai dit : cela touche à peu près toutes les sciences! Sauf les maths! Même la physique. Alors imaginez ce que cela peut être pour les sciences à conséquences idéologiques, évolution, histoire climat..... Là l'article du fiagaro portait sur les sciences humaines...... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 5/10/2018, 16:09 | |
| Alors ne croyez jamais ce qu'on vous dit! Surtout si c'est les médias qui le disent. Vérifiez tout! |
| | | Miles Templi
Messages : 3308 Inscription : 03/07/2014
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 5/10/2018, 16:20 | |
| La Souris truquée
L'Imposture scientifique en dix leçons | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 5/10/2018, 17:03 | |
| Moi, ce sont les messages de RM que je met à la poubelle et sans les avoir lu. |
| | | Arnaud Dumouch
Messages : 93452 Inscription : 19/05/2005
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 5/10/2018, 17:16 | |
| Ce sont les falsifications de la science, pas la science qu'il faut jeter. _________________ Arnaud
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 5/10/2018, 18:30 | |
| C'est bien ce que j'ai dit!
Et aussi qu'il ne faut absoluement pas croire tout ce que raconte les médias. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 5/10/2018, 18:33 | |
| - florence_yvonne a écrit:
- Moi, ce sont les messages de RM que je met à la poubelle et sans les avoir lu.
Pauvre chérie! Depuis que j'ai fait remarquer qu'elle avait pris pour avatar lucifer sur son forum (avatar qu'elle tente de cacher derrière une image de Marie sur celui ci) elle ne m'aime pas! Et aussi parce que j'avais fait remarquer que ses phrases du genre "la viande pour chien c'est assez bon pour les vietnamiens", ne dénotait pas l'amour du prochain qu'elle prétend avoir! |
| | | dims
Messages : 7204 Inscription : 27/01/2009
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 5/10/2018, 21:05 | |
| Quand on voit le lobby de l'agro-alimentaire qui influence directement les études scientifiques pour vous faire manger de la m...., on peut penser à juste titre que tout fonctionne ainsi. Que ce soit dans le domaine de la santé, de l'alimentation ou autre. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 6/10/2018, 15:56 | |
| Sans compter les laboratoires pharmaceutiques qui obtiennent la mise en vente de médicaments dangereux pour la santé. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 6/10/2018, 16:20 | |
| Le même sur le monde https://www.lemonde.fr/sciences/article/2018/10/04/culture-du-viol-chez-les-chiens-un-vaste-canular-trompe-des-revues-scientifiques-americaines_5364706_1650684.html
« Culture du viol chez les chiens » : un canular trompe des revues scientifiques américaines Reprenant les codes des « études de genre », trois Américains sont parvenus à faire publier des articles totalement farfelus dans les revues les plus en vue du domaine.
LE MONDE
Peter Boghossian et James Lindsay sont de petits farceurs. En 2017, ces deux Américains – le premier enseigne la philosophie à l’université d’Etat de Portland (Oregon), le second, titulaire d’un doctorat en mathématiques, est essayiste – avaient piégé la revue Cogent Social Sciences en lui faisant publier une pseudo-étude tendant à montrer que le pénis ne devait pas être considéré comme l’organe masculin de la reproduction mais comme une construction sociale. Au fil de cet article, que ses auteurs décrivirent ensuite comme « un papier de 3 000 mots d’inepties totales se faisant passer pour de l’érudition universitaire », on caricaturait certaines études de genre en expliquant notamment que le pénis était la source d’une culture du viol, y compris du viol de la nature, et donc en partie responsable du réchauffement climatique…
Ce canular, assez facile car dirigé contre une revue de peu d’envergure, a donné des idées à Peter Boghossian et James Lindsay, qui ont décidé de pousser la farce un cran plus loin, avec l’aide d’Helen Pluckrose, la rédactrice en chef d’Areo. Cette revue en ligne a publié, mardi 2 octobre, un long article signé des trois comparses expliquant comment, depuis un an, ils étaient passés, avec un certain succès, à la phase industrielle du canular en sciences humaines et sociales, rédigeant vingt études bidon en l’espace de dix mois et les soumettant à des revues plus réputées que Cogent Social Sciences.
Les journaux ciblés publient essentiellement des travaux sur les questions du genre, de la sexualité, de l’identité ou de l’origine ethnique, un champ d’étude que Boghossian, Lindsay et Pluckrose estiment « corrompu », au sens où l’idéologie y aurait pris le pas sur la recherche de la vérité. Selon ce trio, ces disciplines sont gangrenées par une culture du « grief », c’est-à-dire une obsession à attribuer les discriminations dont souffrent certaines personnes (en raison de leur sexe, de la couleur de leur peau ou de leur orientation sexuelle) aux machinations d’un groupe dominant – les hommes blancs hétérosexuels, pour schématiser.
Les trois auteurs se sont donc glissés dans le moule qu’ils critiquent, s’imprégnant des notions, du vocabulaire et des codes de ces « études de grief » et flattant « les préconceptions idéologiques des éditeurs », comme l’écrivait le physicien Alan Sokal après son retentissant canular de 1996.
Seules six études rejetées Le bilan de l’expérience est à la fois édifiant et inquiétant. Sur les vingt études en question, seulement six ont été rejetées. Sept autres ont été acceptées pour publication – quatre d’entre elles sont effectivement parues et trois autres étaient sur le point de l’être quand les auteurs sont sortis du bois –, et les sept dernières étaient en cours de révision/correction.
Les articles publiés flirtent souvent avec le grotesque. L’un d’eux met ainsi en scène une chercheuse inventée étudiant, dans les parcs canins, la culture du viol chez les chiens et se demandant s’il est possible de réduire les tendances aux agressions sexuelles des hommes en les dressant comme on dresse leurs compagnons à quatre pattes. L’étude a été publiée par Gender, Place & Culture et l’un de ses relecteurs a écrit à son sujet : « C’est un papier merveilleux, incroyablement novateur, riche en analyses et extrêmement bien écrit et organisé », etc.
Autre exemple, une étude parue dans Sexuality & Culture, qui encourage les hommes hétérosexuels à s’introduire des godemichés dans l’anus pour faire baisser leur homophobie… Un des reviewers s’est enthousiasmé pour ce « travail », assurant qu’il s’agissait d’« une contribution incroyablement riche et passionnante à l’étude de la sexualité et de la culture, et en particulier l’intersection entre masculinité et analité ». Sic.
« Nous n’aurions pas dû pouvoir publier l’un de ces si mauvais articles dans un journal, encore moins sept », écrivent Boghossian, Lindsay et Pluckrose, qui soulignent à quel point le sacro-saint système de relecture par les pairs est inopérant dans ce domaine. Ils révèlent d’ailleurs avoir été sollicités à quatre reprises pour relire et évaluer les articles de véritables chercheurs. Ils ont décliné de le faire pour des raisons éthiques. Le compte rendu de leur canular dans Areo se termine par un appel « aux plus grandes universités à commencer un examen méticuleux de ces domaines d’étude (…) de façon à séparer les spécialistes et les disciplines qui produisent du savoir de ceux qui produisent du sophisme constructiviste ». Bref à renouer avec la méthode scientifique. |
| | | dims
Messages : 7204 Inscription : 27/01/2009
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 6/10/2018, 23:48 | |
| - florence_yvonne a écrit:
- Sans compter les laboratoires pharmaceutiques qui obtiennent la mise en vente de médicaments dangereux pour la santé.
Tous les médicaments sont dangereux pour la santé. Soit vous reprenez votre santé en main (cela nécessite une discipline pour redresser la barre) ou soit vous la donnez à la "médecine moderne" (continuer ses habitudes délétères en espérant le miracle allopathique). | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 7/10/2018, 18:01 | |
| Oui, mais quand ont utilise un médicament destiné à la lutte contre le diabète comme coupe-faim, il ne faut pas s'étonner d'avoir des problèmes. (Médiator pour ne pas le citer) |
| | | dims
Messages : 7204 Inscription : 27/01/2009
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 7/10/2018, 19:46 | |
| Par principe tout ce qui n'est pas naturel est néfaste. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 8/10/2018, 18:05 | |
| Les vaccins sont néfastes ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 9/10/2018, 18:50 | |
| Si l'on considère le nombre de personnes sauvées par un traitement médicamenteux et qu'on le compare au nombre de personne sans traitement, il n'y a pas photo.
Combien de maladie éradiquées grâce aux vaccins ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 9/10/2018, 18:57 | |
| - Arnaud Dumouch a écrit:
- Ce sont les falsifications de la science, pas la science qu'il faut jeter.
On pourrait ajouter que les dimensions métaphysiques de la "science" ne sont pas une chasse gardée pour "scientifiques". |
| | | dims
Messages : 7204 Inscription : 27/01/2009
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 9/10/2018, 20:05 | |
| - florence_yvonne a écrit:
- Les vaccins sont néfastes ?
Oui ! | |
| | | dims
Messages : 7204 Inscription : 27/01/2009
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 9/10/2018, 20:08 | |
| - florence_yvonne a écrit:
- Si l'on considère le nombre de personnes sauvées par un traitement médicamenteux et qu'on le compare au nombre de personne sans traitement, il n'y a pas photo.
Combien de maladie éradiquées grâce aux vaccins ? On vous enfume avec la vaccination. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 10/10/2018, 16:52 | |
| - dims a écrit:
- florence_yvonne a écrit:
- Les vaccins sont néfastes ?
Oui ! Tu sais combien de vies sauvées par les vaccins ? comment crois-tu que l'on a éradiqué la polio ? |
| | | humanlife
Messages : 30760 Inscription : 07/11/2013
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 10/10/2018, 17:23 | |
| Piéger des revues scientifiques, est-ce honnête comme démarche? | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 10/10/2018, 17:42 | |
| C'est à moi que tu parles ? |
| | | Mister Li
Messages : 424 Inscription : 23/12/2018
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 27/12/2018, 23:08 | |
| pourquoi mettre la science à la poubelle ? et si la théorie de l'évolution était bien vraie ?
Espèce humaine :
- La mutation CCR5 Δ32 confère une résistance à l'infection par le VIH (source : Wikipedia) - Une mutation entraînant une persistance de la lactase, permettant à son porteur de digérer le lait (et donc une nouvelle source d'alimentation) (source : Science Etonnante) - Une mutation du gène EGLN1 permet aux Tibétains de mieux supporter la vie en haute altitude (source :Le Figaro)
Autres exemples hors espèce humaine :
- Une mutation des criquets de l'île de Kauai modifie leurs ailes, ce qui les rend silencieux et les évite ainsi d'être repérés par une espèce parasitaire qui les identifie justement au bruit (source : It's Okay to be Smart, sous-titres français disponibles) - L'exemple classique des phalènes du bouleau : des mutations modifient la couleur des ailes de ce papillon (sombres ou claires), ce qui les avantage dans certains milieux (activité à faire soi-même des Editions Didier, niveau lycée) | |
| | | Mister Li
Messages : 424 Inscription : 23/12/2018
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 27/12/2018, 23:10 | |
| une mutation, c'est une modification dans une séquence d'ADN ou d'ARN.
Un gène comme CCR5 ou EGLN1 est formé d'une succession de nucléotides, dont il existe quatre types. Une mutation de ce gène consiste en une modification dans la séquence de nucléotides
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| | | Mister Li
Messages : 424 Inscription : 23/12/2018
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 27/12/2018, 23:11 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 27/12/2018, 23:36 | |
| Moi, je me suis faite vacciner contre la grippe. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 27/12/2018, 23:38 | |
| Je vais peut-être enlever RM des ignorés, car il m'a été rapporté par MP qu'il dit des ignominies sur mon compte et j'ai bien l'intention de me défendre. |
| | | Mister Li
Messages : 424 Inscription : 23/12/2018
| Sujet: Re: Mettez la "science" à la poubelle 28/12/2018, 11:46 | |
| Notre corps est constitué de milliards de cellules. Pourtant, jadis, les êtres vivants étaient unicellulaires. Il a donc fallu que des êtres unicellulaires s'assemblent entre eux pour former les êtres pluricellulaires. Alors : Est-ce que les êtres unicellulaires ont une âme ? Et que devient celle-ci lorsqu'ils s'assemblent pour pour former des êtres pluricellulaires ? Si j'ai une âme, est-ce que chacune de mes cellules conserve aussi son âme individuelle ?
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