« Dans l’ancien Testament, j’ai envoyé à Mon peuple des prophètes avec de la foudre. Aujourd’hui, je t’envoie vers l’humanité entière avec ma miséricorde. Je ne veux pas punir l’humanité endolorie, mais je désire la guérir en l’étreignant sur mon coeur miséricordieux.
C’est un signe pour les derniers temps (2016 ?), après viendra le jour de la justice (2017 - ... ?). Tant qu’il en est temps, que les hommes aient recours à la source de ma miséricorde, qu’ils profitent du sang et de l’eau qui ont jailli pour eux. Avant de venir comme juge équitable, j’ouvre d’abord toutes grandes les portes de ma miséricorde. Qui ne veut pas passer par la porte de ma miséricorde, doit passer par la porte de ma justice…Je veux répandre mes grâces inconcevables sur les âmes qui ont confiance en ma miséricorde. Qu’elles s’approchent de cet océan de miséricorde avec une très grande confiance: les pécheurs obtiendront justification et les justes seront affermis dans le bien. Celui qui a mis sa confiance en ma miséricorde, à l’heure de la mort, j’emplirai son âme de ma divine paix.
Les grâces de ma miséricorde se puisent à l’aide d’un unique moyen – et c’est la confiance. Plus sa confiance est grande, plus l’âme reçoit. Les âmes d’une confiance sans bornes me sont une grande joie, car je verse en elles le trésor entier de mes grâces. Je me réjouis qu’elles demandent beaucoup, car mon désir est de donner beaucoup et de donner abondamment.
L’âme qui fait confiance à ma miséricorde est la plus heureuse car je prends moi-même soin d’elle. Aucune âme faisant appel à ma miséricorde n’a été déçue ni n’a éprouvé de honte. Je me complais particulièrement dans l’âme qui a fait confiance à ma bonté.
… Je te donne trois moyens pour exercer la miséricorde envers le prochain: le premier – l’action, le deuxième – la parole, le troisième – la prière; ces trois degrés renferment la plénitude de la miséricorde et c’est la preuve irréfutable de l’amour envers moi. De cette manière, l’âme glorifie et honore ma miséricorde.
… Sache, ma fille – dit-Il à sœur Faustine – que mon cœur est la miséricorde même. De cet océan de miséricorde, les grâces se répandent sur le monde entier (…) Ma fille, je désire que ton cœur soit la demeure de ma miséricorde. Je désire que cette miséricorde se répande sur le monde entier par ton cœur. Que quiconque t’approchera ne te quitte pas sans cette confiance en ma miséricorde que je désire tant pour les âmes. »