L'alcoolisme aujourd'hui .

Si certains sont trop sensibles avec ce fil, qu'ils participent pas c'est tout. Jouer à la police ou pire se comporter comme le Saint-Office mais de bas étage, NO WAY!

Encore une fois, merci Arnaud de faire la part des choses et j'abonde dans ce sens comme quoi des personnes en lisant des conseils, des idées, suggestions, n'est pas automatiquement vain.

Il y a quand même un petit problème de légalité. Si la publicité pour les médicaments est autorisée en France , elle ne l'est pas en Belgique , où réside Arnaud .

Arnaud Dumouch a écrit:

franc_lazur a écrit:

Arnaud Dumouch a écrit:

Mario, je ne comprends pas votre irritabilité contre ce sujet. En quoi aborder le problème de l'alcool de manière générale peut-il vous scandaliser ?

Mon cher ARNAUD, tu ne lis donc pas les MP que l'on t'envoie ?

Je t'ai expliqué longuement la situation aujourd'hui à 14 heures 17 ; puis je t'ai demandé le verrouillage à 16 heures 53 ; demande renouvelée à 17 heures 34 !.....

Et tu me demandes ce qui m'arrive ! Je suis déçu !!!!

Oui, je sais bien. Il peut y avoir des familles concernées dans ce forum.

Mais ce thème reste absolument GÉNÉRAL. Personne n'y est visé ...

Quoique ............. Et je te l'ai expliqué par MP , mais tu ne veux rien entendre !!!!

Arnaud Dumouch a écrit:

ysov a écrit:

Et ceux qui souffrent de l'alcoolisme d'un proche peuvent vraiment y trouver de bons conseil, ne serait-ce que dans ce médicament qui semble fabuleux et sans danger, le baclofène. !

Puique tu ne me lis pas, je me répète :

Un espoir, certes, mais qui n'est que dérision pour ceux ou celles qui sont dans le bain , car, l'article précise bien :

" Ce n'est pas une vraie autorisation, mais c'est une évolution certaine. Mercredi, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a admis pour la première fois que les médecins pouvaient prescrire désormais le baclofène dans le traitement de l'alcoolisme, mais seulement «au cas par cas». Ce médicament, utilisé habituellement comme décontractant musculaire en neurologie, pourrait réduire l'appétence pour l'alcool"

Donc il faut une ordonnance, donc il faut aller voir un médecin, donc il faut que le malade accepte d'aller se faire soigner en consultant un médecin, ce qui n'est quasiment jamais le cas !!!!!

Le problème le plus profond de l'alcoolisme est effectivement que l'alcoolique ne se reconnaît pas comme tel ( DE BONNE FOI ! , car il se persuade lui-même ) .

J'ai connu un collègue qui buvait au moins trois bacs de bière pendant sa prestation de 8 heures .
Il s'éclipsait aux toilettes , près du placard à balais où le livreur fournissait discrètement les bacs et enfilait à toute vitesse le contenu de plusieurs bouteilles . Il revenait ensuite à son poste en toute " innocence " .
Il disait toujours : " Je ne bois pas " .

Il a fallu deux ans avant qu'on ne découvre le stratagème .

Si un médicament peut ( tant mieux ! ) provoquer le dégoût de l'alcool , il ne résout pas le vrai problème de la personne alcoolique , qui est de ne pas s'accepter telle qu'elle est et même de refuser décidément d'être elle-même .

les médicaments sont des béquilles qui permettent de traverser le cap difficile du sevrage, sans doute.

je ne comprends pas les susceptibilités sur ce "fil". je n'y vois pas de moqueries. seulement des vérités. moi je suis boulimique et accro à la nourriture. pareil, on peut ouvrir un fil sur le sujet, et alors? faut savoir se regarder dans un miroir, avec nos imperfections. en prendre conscience, c'est déjà avancer.

ce n'est pas non plus la quantité d'alcool ingurgitée qui fait l'alcoolique, mais sa dépendance. dès lors qu'on ne peut se passer son unique verre quotidien, ily a dépendance. Bien sûr, les conséquences sont différentes sur l'attitude de la personne selon qu'il boit un verre ou un casier de bière.

l'alcoolique est une personne malade, moi aussi j'en connais, parmis des proches. Il n'y a pas lieu de s'en moquer, mais il ne faut pas non plus les infantiliser et les "chouchouter", ça ne les aide absolument pas à reconnaitre leur problème, premier pas vers une prise en charge responsable. personnellement, nous avions un proche alcoolique qui a toujours été dans le déni, et dont l'attitude relevait du manipulateur. on ne sait pas aider un manipulateur. c'est lui qui nous vide de notre énergie, malheureusement. mais c'est un cas vécu, et je ne généralise pas, chaque cas est différent.

boulo a écrit:

Si un médicament peut ( tant mieux ! ) provoquer le dégoût de l'alcool , il ne résout pas le vrai problème de la personne alcoolique , qui est de ne pas s'accepter telle qu'elle est et même de refuser décidément d'être elle-même .

Tout à fait exact....
Les alcooliques chroniques sont dans le déni de leur maladie, et n'ont plus qu'une idée en tête, plus importante pour eux, et de loin, que toute attache conjugale ou paternelle, c'est d'avoir à leur disposition bouteilles ou canettes en provision suffisante !!!...

Fraternellement

rebelle a écrit:

les médicaments sont des béquilles qui permettent de traverser le cap difficile du sevrage, sans doute.

je ne comprends pas les susceptibilités sur ce "fil". ..........

Tu ne peux évidemment pas les comprendre, mon cher Rebelle, n'étant pas au courant !

Seul notre Arnaud est au courant , mais cela le laisse froid !

Christina Grof , la femme du grand psychanalyste rankien Stanislav Grof , a dû subir une réunion de famille pendant laquelle tous ses arguments spécieux de déni d'alcoolisme ont dû être démontés par tout un groupe , soudé . C'est seulement comme cela qu'elle s'est rendue .

( lire : " A la recherche de soi " par Christina et Stanislav Grof , Editions du Rocher 1993 . Confession de Christina p p. 21 - 34 et 148 - 152 )

franc_lazur a écrit:

boulo a écrit:

Si un médicament peut ( tant mieux ! ) provoquer le dégoût de l'alcool , il ne résout pas le vrai problème de la personne alcoolique , qui est de ne pas s'accepter telle qu'elle est et même de refuser décidément d'être elle-même .

Tout à fait exact....
Les alcooliques chroniques sont dans le déni de leur maladie, et n'ont plus qu'une idée en tête, plus importante pour eux, et de loin, que toute attache conjugale ou paternelle, c'est d'avoir à leur disposition bouteilles ou canettes en provision suffisante !!!...

Fraternellement

Ce n'est pas vrai pour tous; chaque cas est particulier. Ce serait une façon de déshumaniser ces malades. Eux aussi souffrent ! Pas seulement l'entourage. D'ailleurs, il arrive que l'entourage ne soit pas du tout perturbé, et même parfois ignorant du problème. Il y a des gens qui "encaissent" bien !
Le baclofène ne provoque pas de dégoût, mais fait mieux, en supprimant le besoin.

Cécile a écrit:

franc_lazur a écrit:

boulo a écrit:

Si un médicament peut ( tant mieux ! ) provoquer le dégoût de l'alcool , il ne résout pas le vrai problème de la personne alcoolique , qui est de ne pas s'accepter telle qu'elle est et même de refuser décidément d'être elle-même .

Tout à fait exact....
Les alcooliques chroniques sont dans le déni de leur maladie, et n'ont plus qu'une idée en tête, plus importante pour eux, et de loin, que toute attache conjugale ou paternelle, c'est d'avoir à leur disposition bouteilles ou canettes en provision suffisante !!!...

Fraternellement

Ce n'est pas vrai pour tous; chaque cas est particulier. Ce serait une façon de déshumaniser ces malades. Eux aussi souffrent ! Pas seulement l'entourage.

Si le malade a sa dose d'alcool à sa disposition, il ne souffre pas ! Il ne souffre que s'il lui arrive de ne plus pouvoir s'approvisionner !

Citation :

D'ailleurs, il arrive que l'entourage ne soit pas du tout perturbé, et même parfois ignorant du problème. Il y a des gens qui "encaissent" bien !

La plupart ( sauf les "saintes", et c'est de celles-là auxquelles je pensais ) ne survivent qu'en devenant elles-même alcooliques !!! Ceci est connu par tous !

Citation :

Le baclofène ne provoque pas de dégoût, mais fait mieux, en supprimant le besoin.

Ce médicament n'est pas reconnu par le corps médical à 100 % et ses effets secondaires n'ont pas encore été étudiés ! Alors STP, laisse tomber ..

J'ai eu l'occasion de rencontrer beaucoup d'alcooliques quand je travaillais... Et je trouve scandaleux d'oser affirmer qu'ils ne souffrent pas s'ils ont de quoi boire !
C'est vraiment les ramener à un état bestial... Bien sûr, cela "arrange" les "victimes secondaires" de cet alcoolisme, qui préfèrent se présenter comme seules victimes innocentes et admirables...
Aucun médicament n'est plébiscité par tous les médecins ! Et les effets secondaires du baclofène sont bien connus. Comme tous les médicaments, ses effets secondaires ne concernent pas tout le monde; il y a bien des gens qui sont intolérants à l'aspirine, c'est pareil pour le baclofène.
Le baclofène a été mis sur le marché en 1974, commercialisé sous le nom de Lioresal, et destiné aux malades de la SEP. De nombreux alcooliques ont depuis été traités avec succès.
Qui donc a intérêt à ce que le malade alcoolique reste...alcoolique ?

Citation :

Qui donc a intérêt à ce que le malade alcoolique reste...alcoolique ?

un départ plus rapide dans l'autre monde si héritage à la clé, par exemple..... hé oui, c'est vilain ce que je dis, mais j'ai souvent des doutes quant aux "saintes" qui vivent sans broncher à côté d'un alcoolique. parfois, il s'agit d'un entourage qui a besoin d'assumer sa supériorité sur autrui, qui aime jouer les "sauveurs", les motivations sont diverses et variées, et rarement très "saines".
mais je ne nie pas qu'il y ait aussi de véritables Saint(e)s qui débordent d'amour sincère à l'égard de la victime de cette maladie. qui souffre, même quand elle son verre, car derrière cette "fuite", il y a une grande souffrance, des pardons qu'on ne s'est pas donné à soi même, par exemple.

Cécile a écrit:

J'ai eu l'occasion de rencontrer beaucoup d'alcooliques quand je travaillais... Et je trouve scandaleux d'oser affirmer qu'ils ne souffrent pas s'ils ont de quoi boire !
C'est vraiment les ramener à un état bestial... Bien sûr, cela "arrange" les "victimes secondaires" de cet alcoolisme, qui préfèrent se présenter comme seules victimes innocentes et admirables...
Aucun médicament n'est plébiscité par tous les médecins ! Et les effets secondaires du baclofène sont bien connus. Comme tous les médicaments, ses effets secondaires ne concernent pas tout le monde; il y a bien des gens qui sont intolérants à l'aspirine, c'est pareil pour le baclofène.
Le baclofène a été mis sur le marché en 1974, commercialisé sous le nom de Lioresal, et destiné aux malades de la SEP. De nombreux alcooliques ont depuis été traités avec succès.
Qui donc a intérêt à ce que le malade alcoolique reste...alcoolique ?

Il y a en effet des alcooliques qui désirent guérir car ils sentent qu'ils sont en train de détruire leur vie et celle de leurs proches ! Il existe des cures de désintoxication qui réussisent, J'en ai connu ! Hélas !! jusqu'à la rechute !!!!
Il y en a d'autres qui ne désirent pas guérir car ils ne se sentent pas malades et refusent toute hospitalisation ! et même toute visite médicale !.. Cela est la conséquence du déni dont on parlait plus haut ! Et si on leur donne du vallium, comme ils continueront à boire pendant leur traitement, le remède sera pire que le mal !!

Fraternellement

rebelle a écrit:

[
mais je ne nie pas qu'il y ait aussi de véritables Saint(e)s qui débordent d'amour sincère à l'égard de la victime de cette maladie. qui souffre, même quand elle son verre, car derrière cette "fuite", il y a une grande souffrance, des pardons qu'on ne s'est pas donné à soi même, par exemple.

Oui, c'est de ces saintes dont je parle .......

Le valium ne sert à rien dans l'alcoolisme.

Pour être une "sainte" auprès d'un mari alcoolique, que faut-il faire ?

Cécile a écrit:

Le valium ne sert à rien dans l'alcoolisme.

Sur ordonnance pourtant !!!

Citation :

Pour être une "sainte" auprès d'un mari alcoolique, que faut-il faire ?

Être très proche de Jésus et de la Saint Vierge .;;

Pouvoir aussi décompresser de temps en temps chez un ami !!!

franc_lazur a écrit:

rebelle a écrit:

[
mais je ne nie pas qu'il y ait aussi de véritables Saint(e)s qui débordent d'amour sincère à l'égard de la victime de cette maladie. qui souffre, même quand elle son verre, car derrière cette "fuite", il y a une grande souffrance, des pardons qu'on ne s'est pas donné à soi même, par exemple.

Oui, c'est de ces saintes dont je parle .......

Oui tu peut dire saintes , mon cher Mario !

Par exemple ma mere qui devais se cacher en dessous du lit quand mon grand pere virais ses crise de boisson !

et tirais avec un fusil de calibre 12 dans la boite au lettre et frappais les murs biensure ce n'est que du matériel mais ...

ma grand mere était déja très pauvre et prenais des pages blanche dans les cahiers d'école pour retapper les mur . Il leur disais vous etes des bon a rien vous ne ferai rien de bon dans la vie gang de bon a rien !!!

Pas pire hein pour des enfoirer ? ma mere travaille au niveau de la santer et service sociaux du québec ! et mes oncle les deux jumaux ont un exellent travaille , architecture , peinture ect

la soeur de maman professeur d'école !

Si mes oncles ma tante et ma mere et ma grand mere ne m'aurais pas parler de cela JAMAIS j'aurais penser cela de mon grand-pere !
Il est très calme je sais pourquoi comme dit ma grand mere '' parce qu'il na plus la santer pour feter '' .

Pour éviter les empoignades , il serait peut-être bon de chercher une définition commune du terme " alcoolique " . Pour le mouvement des Alcooliques Anonymes , c'est l'imprégnation telle
que toute ingestion d'alcool aussi minime soit-elle , oblige l'individu malade à aller jusqu'à l'ivresse .

C'est la seule définition objective que j'aie jamais entendue .

Les AA pensent qu'on ne guérit jamais de l'alcoolisme . Les membres s'engagent à ne plus jamais ingérer la première goutte .

Il est à noter que c'est à la suite d'une expérience religieuse que les AA ont été fondés ( cofondateur Bill Wilson ) . .

Bonjour Boulo , ma grand mere dit de cette organisation ''alcoalique anonyme '' que sa vaut rien!

Je ne les connais pas . J'ai seulement retenu la définition objective .

Tout dépend de l'animateur , je présume

Il existe une association française concurrente .

Jojo, toutes ces personnes de votre famille ont été des victimes, mais cela n'en fait pas des saintes ! Sinon, vous pouvez ajouter les enfants maltraités, les femmes battues, les personnes utilisées comme esclaves, etc...

boulo a écrit:

Il existe une association française concurrente .

Les AA existent aussi en France; il y a aussi "la croix d'or", et d'autres associations.
Comme dans toutes les associations, le "président" donne le ton selon sa personnalité; d'un endroit à l'autre l'ambiance peut être assez différente.

Il ne faut pas croire non plus que tous les alcooliques sont violents ! Et certains ne paraissent jamais ivres.

Cécile a écrit:

Jojo, toutes ces personnes de votre famille ont été des victimes, mais cela n'en fait pas des saintes ! Sinon, vous pouvez ajouter les enfants maltraités, les femmes battues, les personnes utilisées comme esclaves, etc...

Bonjour Cécile ,

Jésus veut nous ammener a la sainteter et meme les vidéo de Arnaud en parle , '' un premier purgatoire est sur la terre ''

1Pierre 1:15 Mais, puisque celui qui vous a appelés est saint, vous aussi soyez saints dans toute votre conduite, selon qu'il est écrit :
1Pierre 1:16 Vous serez saints, car je suis saint.

L’alcool est notre pire ennemi, fuir serait lâche !

Jean-Luc, notre pire ennemi est souvent... nous-même !

"Seigneur, délivre-moi de moi, pour que je fasse TA volonté"

Il faut faire très attention aux femmes. C’est encore plus traître que l’alcool.

( michel galabru )

Cécile a écrit:

Jean-Luc, notre pire ennemi est souvent... nous-même !

"Seigneur, délivre-moi de moi, pour que je fasse TA volonté"

boulo a écrit:

Je ne les connais pas . J'ai seulement retenu la définition objective .

Tout dépend de l'animateur , je présume

Il existe une association française concurrente .

Bonjour Boulot ,

Moi aussi je ne suis pas mieux placer que toi pour en parler je ne connais pas les aa .

C'est simplement ce que ma grand mere pensent de eux qu'il ne sont pas une tres bonne organisation !

Bonne journée

jean-luc a écrit:

L’alcool est notre pire ennemi, fuir serait lâche !

Je ne trouve rien de drole la dedans

Je n'est rien contre l'alccool puisque Jésus buvais du vin mais lui Jésus était résonnable puisqu'il a dit a un autre ''toi tu as garder le bon vin ''

jean 2
10 et lui dit : Tout homme sert d'abord le bon vin, puis le moins bon après qu'on s'est enivré ; toi, tu as gardé le bon vin jusqu'à présent.

Cécile a écrit:

Jojo, toutes ces personnes de votre famille ont été des victimes, mais cela n'en fait pas des saintes ! Sinon, vous pouvez ajouter les enfants maltraités, les femmes battues, les personnes utilisées comme esclaves, etc...

Ce qui est sûr, c'est que ces personnes "font leur purgatoire sur terre", et à ce titre ce sont des saints !

Et d'autant plus que ces femmes pourraient divorcer, mais par fidélité envers leur conjoint elles ne le font pas ....

Citation :

Et d'autant plus que ces femmes pourraient divorcer, mais par fidélité envers leur conjoint elles ne le font pas ....

faut pas idéaliser non plus, parfois on choisit de ne pas divorcer, pour éviter que l'alcoolique ait le droit de garde des enfants sans surveillance aucune. Alors il s'agit souvent d'un "sacrifice" pour pallier au mieux des enfants.

Il arrive aussi que la sainte femme n'ait pas les moyens financiers de quitter son mari...mais, c'est vrai, de moins en moins fréquent de nos jours.

Bref ........... Pour moi , le débat est clos ....

Bonne continuation les amis ...

franc_lazur a écrit:

Bref ........... Pour moi , le débat est clos ....

Bonne continuation les amis ...

Pour moi aussi

les femmes adorent se victimiser dés qu'elles le peuvent

Il a pas de scrupule à faire des allusion sur la gente féminine, alors qu'il devrait plutôt souligner
le mal islamique qui envahit peu à peu.

Quel rapport avec l'alcoolisme ?

Aucun, mais j'ai réagi à sa boutade (espérant que c'est bien cela) à propos de gente féminine,
qui sonne bien péjoratif à mes yeux. Voilà tout.

Mais pour le sujet en question, j'ai lu vos interventions et je dois dire que vous avez raison à mon sens, comme quoi entre autre certains semblent dénier la réelle souffrance de l'alcoolique. Bien-sûr je parle de l'alcoolique du 3ème degré.

Oui, le malade alcoolique souffre...En plus l'image que l'entourage lui renvoie souvent de lui n'arrange rien ! Si un homme souffre beaucoup d'un cancer par exemple, et devient exigeant, sa (sainte) femme lui pardonnera plus facilement qu'à un mari alcoolique, tout simplement parce qu'il ne lui fait pas honte.
J'étais infirmière en psychiatrie, et s'il y a une chose qui me choque, c'est la négation de la souffrance autre que physique. Je revois encore certains visages qui l'expriment pourtant nettement...

En effet, mais je dois ajouter que les personnes qui disent rien, réagissent peu ou pas du tout,
entretiennent ce mal. Donc, les saintes comme on peut les qualifier, faut être très prudent avec ça.

Les saintes ..

Pourquoi vous vous crampez de rire ?

Bien d'accord, surtout depuis quelques décennies. Autrefois les femmes en majorité étaient confinées à la maison à élever les enfants, faire le ménage, éduquer les enfants, une carrière
pleine et entière était pas bien vu par la société. Mais aujourd'hui c'est différent.

Etiez vous mariée de L'Église catholique avec cet homme oocitane ?