Rejugée pour "escroquerie en bande organisée", la scientologie aborde aujourd'hui même un second procès, au cours duquel la justice ne prétend pas la condamner sur les croyances en elles-mêmes, mais principalement, du point de vue juridique, donc condamnable, sur les abus financiers que ses activités et son prosélytisme supposent. A-t-elle abusé de la faiblesse, voire même de la naĩveté de certaines personnes convaincues d'avoir adhéré à une religion et d'ailleurs peut-elle en être une?