Dans quel cas le mal complete l'amour de Dieu?

J'ai parcouru le forum et la question que je me suis posé est la suivante: Dans quel cas le mal complète l'amour de Dieu?

Je n'est qu'un exemple: la tentation que font les démons sur des saints... ceci dit, cela peut-être généraliser sur des personnes pas "saintes"

Le mal (ce qui est visé ici est la souffrance, pas le péché) ne complète pas en lui-même ce qui manque à la passion du Christ (comme le dit saint Paul).

C'est le mal de souffrance, lorsqu'il est offert à Dieu par amour, qui le fait.

En effet, en lui-même, le mal est mauvais.

dans 1 corinthiens 14-15 il est dit:

34 Que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis d'y parler ; mais qu'elles soient soumises, selon que le dit aussi la loi.

35 Si elles veulent s'instruire sur quelque chose, qu'elles interrogent leurs maris à la maison; car il est malséant à une femme de parler dans l'Eglise.

... ça me rappel un peu la religion musulman. Pourquoi privé la femme de cette liberté?

C'est tout à fait l'esprit d'il y a deux milles ans et plus.

En effet les envoyés de Dieu,ceux qui reçurent des prophéties,ne furent jamais que des hommes depuis des millénaires.

"l'intelligence spirituel" a évolué?

oui,

Pour les israélites:2 Corinthiens 3:15 Jusqu’à ce jour, quand on lit Moïse, un voile est jeté sur leurs coeurs;

Pour les chrétiens:

Hébreux 5:11 Nous avons beaucoup à dire là-dessus, et des choses difficiles à expliquer, parce que vous êtes devenus lents à comprendre.

Médite ceci:Daniel 12:4 Toi, Daniel, tiens secrètes ces paroles, et scelle le livre jusqu’au temps de la fin. Plusieurs alors le liront, et la connaissance augmentera.

ou:Eph 4:11 Et il a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme évangélistes, les autres comme pasteurs et docteurs,
12 pour le perfectionnement des saints en vue de l’oeuvre du ministère et de l’édification du corps de Christ,

13 jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus à l’unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, à l’état d’homme fait, à la mesure de la stature parfaite de Christ