Marie, dans l'année liturgique

Marie dans l’année liturgique

Marie est de toutes les fêtes. Elle est présente comme des jalons tout au long du chemin de l’année. 

Elle nous rappelle la manière de rencontrer le Christ sauveur dans notre vie. Elle est présente à l’intérieur-même du mystère chrétien déployé dans la liturgie. 

En plus de ce cycle liturgique, il y a une sorte de cycle des fêtes et c’est là qu’on va trouver la fête de la Visitation, la fête de la naissance de la Vierge, le 8 septembre, la fête de l’Immaculée conception, le 8 décembre, l’Assomption. 

Ce sont là les fêtes de la Vierge. Marie est donc d’une certaine manière deux fois présente dans le cycle liturgique : 

une fois dans ce qu’on appelle le temporal et une fois dans le sanctoral. 

Par son parfait consentement aux oeuvres de Dieu en elle et en son fils, Marie est le modèle de notre participation à la liturgie.

 Nos célébrations nous rapprochent de Marie, entrée en gloire depuis son assomption. 

C’est ainsi que la liturgie de la terre participe à la liturgie céleste.UNE PRODUCTION CAT PRODUCTIONS AVEC LA PARTICIPATION DE KTO 2019 - Réalisé par Armand Isnard

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Mince alors !

Essayez celle-ci :

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Merci, ça marche bien.

J'ai aimé ce passage :
Il y a le fiat de la création du monde, le Père dit: fiat Lux , que la lumière soit et la lumière fut au matin du monde, et il y a le fiat de Marie qui a fait surgir le créateur, plus puissant que le   fiat du créateur qui a fait surgir la créature

C'est comme si un jour, l'homme pourra créer un robot qui fera naître nos futurs bébés ! Inimaginable.

Cette semaine, la Foi Prise au Mot vous propose d’aborder la figure de Marie, mais d’une manière un peu différente, en nous demandant si celle-ci peut ou doit véritablement faire office de modèle pour toutes les femmes. 

Une certaine image de Marie, perçue à bien des égards aujourd’hui comme péjorative est souvent véhiculée : une femme souvent idéalisée par les hommes, se soumettant à l’ange ainsi qu’à son mari, qui reste discrète, voir silencieuse et médite pieusement sur tout ce qu’elle a vu. 

Cette image pourrait d’ailleurs se résumer en deux mots : soumission et silence. Mais est-ce vraiment ainsi qu’est décrit le personnage de Marie dans le Nouveau Testament ? 

« Marie ne restait pas là, assise, les bras croisés, à regarder Jésus ! Son silence signifie qu’elle reçoit le Mystère, qu’elle en possède l’intelligence. » affirme Soeur Marie-Madeleine Caseau, prieure des Bénédictines au Monastère Sainte-Bathilde de Vanves. 

« C’est une figure qui nous dit quelque chose sur ce que c’est de croire en dépit des épreuves et de la souffrance, sur ce qu’est le véritable cheminement humain de la foi » ajoute Agnès von Kirchbach, pasteure de l’Église protestante unie de France. 

Retrouvez la suite de cet échange dans ce nouveau numéro de la Foi Prise au Mot.

Marie modèle pour toutes les femmes, et pour tous les hommes.
Marie a obéi à Dieu, à sa volonté, et tout être doit obéir et accepter la volonté divine.
Marie est notre Dame comme Jésus est notre Seigneur.
Elle est de la maison de Dieu, elle est la porte aux cieux.