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 2 novembre : jour des défunts

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MessageSujet: 2 novembre : jour des défunts   jour - 2 novembre : jour des défunts EmptyDim 30 Oct - 18:47

Se réconcilier avec la mort
 
La médicalisation de la fin de vie, la promesse des technologies pour repousser l’ultime échéance ont transformé en profondeur notre rapport à la mort. La mort n’a pour ainsi dire plus de visibilité sociale : on meurt de plus en plus souvent à l’hôpital, loin des siens, plus ou moins bien accompagné humainement. Et plus la mort nous est étrangère, plus elle est source d’angoisse… D’où la demande de certains de pouvoir décider du moment de leur mort.

 
Dans cette société qui a occulté la mort de son horizon, il y a pourtant une tradition qui résiste : le passage au cimetière le jour de la Toussaint – même si ce n’est que le lendemain, le 2 novembre de chaque année, que l’Église commémore ses fidèles défunts. Au-delà de l’hommage rendu à ceux et celles qui nous ont précédés et que nous avons pu aimer, ce rituel d’automne rappelle que la mort fait partie de notre vie.


Les gestes simples que nous pouvons poser – nettoyer et fleurir une sépulture, poser une bougie allumée sur une tombe, se recueillir quelques instants – nous situent devant notre propre condition mortelle. C’est l’occasion de se dire que nous serons tous un jour ensevelis dans un lieu similaire.
 
Cette visite annuelle n’est certainement pas suffisante pour nous rendre la mort plus familière. La liturgie chrétienne nous offre d’ailleurs bien d’autres occasions d’évoquer la mort, de faire mémoire de nos morts. C’est le cas lors de chaque célébration eucharistique avec le mémento des défunts. Ou encore, pendant l’office des vêpres, à la fin de la prière d’intercession, quand nous demandons à Dieu qu’il se souvienne de nos morts et qu’il les accueille dans son Royaume.
 
Faire mémoire de nos morts est une manière de nous réconcilier avec notre propre mort, de lui faire une place dans nos vies, même si nous n’en savons ni le jour, ni l’heure. En dépit de tous les rêves d’immortalité, la mort demeure un passage obligé. Dans la foi, ce mot passage est lourd de sens : c’est la porte par laquelle le Christ Jésus est passé avant nous pour nous faire entrer dans la vie véritable.
 
La médicalisation de la fin de vie, la promesse des technologies pour repousser l’ultime échéance ont transformé en profondeur notre rapport à la mort. La mort n’a pour ainsi dire plus de visibilité sociale : on meurt de plus en plus souvent à l’hôpital, loin des siens, plus ou moins bien accompagné humainement. Et plus la mort nous est étrangère, plus elle est source d’angoisse… D’où la demande de certains de pouvoir décider du moment de leur mort.
 
Dans cette société qui a occulté la mort de son horizon, il y a pourtant une tradition qui résiste : le passage au cimetière le jour de la Toussaint – même si ce n’est que le lendemain, le 2 novembre de chaque année, que l’Église commémore ses fidèles défunts. Au-delà de l’hommage rendu à ceux et celles qui nous ont précédés et que nous avons pu aimer, ce rituel d’automne rappelle que la mort fait partie de notre vie.
 
Les gestes simples que nous pouvons poser – nettoyer et fleurir une sépulture, poser une bougie allumée sur une tombe, se recueillir quelques instants – nous situent devant notre propre condition mortelle. C’est l’occasion de se dire que nous serons tous un jour ensevelis dans un lieu similaire.
 
Cette visite annuelle n’est certainement pas suffisante pour nous rendre la mort plus familière. La liturgie chrétienne nous offre d’ailleurs bien d’autres occasions d’évoquer la mort, de faire mémoire de nos morts. C’est le cas lors de chaque célébration eucharistique avec le mémento des défunts. Ou encore, pendant l’office des vêpres, à la fin de la prière d’intercession, quand nous demandons à Dieu qu’il se souvienne de nos morts et qu’il les accueille dans son Royaume.
 
Faire mémoire de nos morts est une manière de nous réconcilier avec notre propre mort, de lui faire une place dans nos vies, même si nous n’en savons ni le jour, ni l’heure. En dépit de tous les rêves d’immortalité, la mort demeure un passage obligé. Dans la foi, ce mot passage est lourd de sens : c’est la porte par laquelle le Christ Jésus est passé avant nous pour nous faire entrer dans la vie véritable.




Edito de Dominique Greiner, rédacteur en chef de Croire-la Croix
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MessageSujet: Re: 2 novembre : jour des défunts   jour - 2 novembre : jour des défunts EmptyDim 30 Oct - 18:51

Que commémore-t-on le jour de prière des défunts ?

jour - 2 novembre : jour des défunts 9-1024x341



Le  2 novembre, après avoir célébré tous les saints, les catholiques prient pour leurs défunts. Dans la lumière de la Toussaint, cette journée est pour les chrétiens l’occasion d’affirmer et de vivre l’espérance en la vie éternelle donnée par la résurrection du Christ. C’est bien pour signifier cela, qu’à l’occasion de ces célébrations, un grand nombre de personnes se rendent dans les cimetières pour honorer leurs proches disparus et fleurir leur tombe.

L’Évangile de la messe du jour de prière pour les défunts rappelle ces propos du Christ :
Citation :
Tous ceux que le Père me donne viendront à moi ; et celui qui vient à moi, je ne vais pas le jeter dehors. Car je ne suis pas descendu du ciel pour faire ma volonté, mais pour faire la volonté de celui qui m’a envoyé. Or, la volonté du Père qui m’a envoyé, c’est que je ne perde aucun de ceux qu’il m’a donnés, mais que je les ressuscite tous au dernier jour. Car la volonté de mon Père, c’est que tout homme qui voit le Fils et croit en lui obtienne la vie éternelle ; et moi, je les ressusciterai au dernier jour.
(Jean 6, 37-40)

source :  C.E.F.
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MessageSujet: Re: 2 novembre : jour des défunts   jour - 2 novembre : jour des défunts EmptyDim 30 Oct - 18:53

Interview de Don Paul Denizot, recteur du Sanctuaire Notre-Dame de Montligeon, qui nous rappelle la signification et l'importance de la fête du 2 novembre, au lendemain de la Toussaint.






source :  C.E.F.
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MessageSujet: Re: 2 novembre : jour des défunts   jour - 2 novembre : jour des défunts EmptyDim 30 Oct - 18:56


Le père Herbach, prêtre du diocèse de Moulins, nous rappelle la signification et l'importance de la fête du 2 novembre, au lendemain de la Toussaint.
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MessageSujet: Re: 2 novembre : jour des défunts   jour - 2 novembre : jour des défunts EmptyLun 31 Oct - 19:00

Enterrement ou incinération ? Ce que dit l’Église


jour - 2 novembre : jour des défunts Web3-mourning-woman-coffin-funeral-de-syda-productions-i-shutterstock
Syda Productions I Shutterstock


Dominique Blot - publié le 24/10/18

Au cimetière, le respect des morts : sans condamner la crémation, l’Église recommande l’inhumation des corps. "Pour les chrétiens, les morts sont avec les vivants, car tous vivent dans le Seigneur."



En préparant les funérailles de leurs proches, beaucoup de Français choisissent l’incinération au lieu de l’enterrement. Les motivations de cette décision ne sont pas d’abord financières. Beaucoup plus complexes, elles s’expliquent par un affaiblissement de la foi en la résurrection des corps et la communion des saints.


Valoriser le corps


La résurrection des corps est une conviction de la foi chrétienne. La conséquence en est le grand respect pour le corps terrestre que l’on ne peut pas faire disparaître instantanément au risque de le dévaloriser. Le corps de cette personne humaine dans lequel a été semée la grâce du baptême, représente toute une histoire familiale, sociale, religieuse. Ce corps a été un lieu de bonheur mais aussi d’épreuves, de péché et de miséricorde — « temple de l’Esprit-Saint », dit saint Paul. C’est le corps de ma mère, de mon grand-père, de mon ami.


Le « lieu de l’attente »



À la résurrection, les corps rendus incorruptibles seront les corps de ces mêmes personnes que nous avons aimées. Leurs corps sont enterrés au « cimetière », vieux terme du haut Moyen-Âge, signifiant le « lieu de l’attente » : la résurrection des morts est intimement liée au retour définitif du Christ. Le monde chrétien se démarque du monde païen qui privilégiait la nécropole, la ville des morts, séparée de la ville des vivants, la Cité. Pour les chrétiens, les morts sont avec les vivants, car tous vivent dans le Seigneur. Les cimetières étaient souvent dans nos villages. Avec le Christ, la vie est partout, surtout chez « nos morts », beaucoup plus que nous le pensons malheureusement car notre foi en la promesse de Jésus de notre propre résurrection est bien trop faible.


Pensons aux jeunes qui assistent à ces crémations. Quels sentiments peuvent agiter leur esprit ? Il est permis de douter que la crémation soit la meilleure manière de leur transmettre notre foi en la Résurrection des corps et l’espérance chrétienne qui devrait nous habiter.

La communion des saints


La communion des saints affirme que les liens spirituels vont bien au-delà des apparences. Elle est une communion entre le monde invisible et visible. Cependant, nos relations humaines passent par le corps. Jusque dans la mort, les femmes ne se détachent pas de Jésus et vont au tombeau pour embaumer son corps. Elles pensent que c’est le dernier hommage qu’elles pourront lui donner. Elles se trompent. Elles verront encore pendant quarante jours le Ressuscité ! Le chrétien est dans l’espérance que l’hommage qu’il rend au corps de celui ou celle qu’il a aimé(e) ne sera pas le dernier mais qu’il pourra continuer dans la Vie Éternelle à l’aimer corps et âme. Au contraire, la violence de la crémation est le symbole que « tout serait fini » avec la mort.


Dans un acte de foi dans le Christ et sa Résurrection, l’Église invite à laisser de côté des raisons humaines plus ou moins légitimes en faveur de la crémation et à choisir l’enterrement du corps pour croire en la promesse que Jésus nous fait : il redonnera vie à notre corps et à celui de nos proches.


source : Aleteia
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MessageSujet: Re: 2 novembre : jour des défunts   jour - 2 novembre : jour des défunts EmptyLun 31 Oct - 19:04

Crémation : que dit l’Église ?


jour - 2 novembre : jour des défunts Pogrzeb-kremacja-cialo-prochy-urna-kosciol-katolicki-shutterstock_1934743247
katja kodba | Shutterstock


Isabelle Cousturié :cross: - publié le 27/10/16 - mis à jour le 28/10/22

Que dit l'Église au sujet de la crémation ? Sous quelles conditions l'accepte-t-elle ?


La tendance à la crémation ne cesse de grimper. Elle représente aujourd’hui un peu plus de 40% des obsèques en France. Mais que dit l’Église catholique à ce sujet ? La réponse à cette question se trouve dans Ad resurgendum cum Christosur la sépulture des défunts et la conservation des cendres en cas d’incinération. Dans cette instruction publié le 25 octobre 2016, la congrégation pour la doctrine de la foi réaffirme la préférence de l’Église pour l’inhumation des corps. La crémation est donc acceptée, mais « ni la dispersion, ni la conservation des cendres à domicile, sauf dans des cas exceptionnels et en attendant qu’un lieu sacré puisse accueillir les restes du défunt », précise-t-elle.

L’inhumation, « plus digne »


L’inhumation, « en souvenir de la mort, de la sépulture et de la résurrection du Seigneur, mystère à la lumière duquel se manifeste le sens chrétien de la mort », est d’abord et avant tout « la forme la plus idoine pour exprimer la foi et l’espérance dans la résurrection du corporelle », indique l’instruction. En ensevelissant les corps des fidèles, l’Église confirme la foi en la résurrection de la chair et veut mettre l’accent sur la grande dignité du corps humain, en tant que partie intégrante de la personne, dont le corps partage l’histoire ».

Grâce à la sépulture des corps dans les cimetières, « dans les églises ou les espaces réservés à cet usage », la tradition chrétienne préserve « la communion entre les vivants et les morts » contre la tendance de plus en plus répandue à « dissimuler ou privatiser l’événement de la mort ainsi que la signification qu’il revêt pour les chrétiens ». De la sorte, précise le texte, on évite « d’éventuels oublis et manques de respect qui peuvent advenir surtout après la disparition de la première génération, ainsi que des pratiques inconvenantes ou superstitieuses ».

La crémation oui, mais…


Mais si l’Église continue de préférer l’inhumation des corps, elle n’interdit pas la crémation. Il est à noter que par le décret du saint Office du 8 mai 1963, l’Église a ouvert la porte à la crémation en supprimant l’interdiction de funérailles religieuses pour ceux qui demandent à être incinérés. « Il ne s’agit pas d’une pratique intrinsèquement mauvaise ou, de soi, hostile à la religion chrétienne », précise le décret. L’urne contenant les cendres du défunt est alors déposée dans le caveau. Ainsi, l’Église ne voit pas « de raisons doctrinales pour prohiber cette pratique ». En effet, « la crémation du cadavre ne touche pas à l’âme et n’empêche pas la toute-puissance divine de ressusciter le corps », explique-t-elle.

En revanche, il n’est pas question de « tolérer des attitudes et des rites impliquant des conceptions erronées de la mort, considérée soit comme l’anéantissement définitif de la personne, soit comme un moment de sa fusion avec la Mère-nature ou avec l’univers, soit comme une étape dans le processus de réincarnation, ou encore comme la libération définitive de la “prison” du corps ».

Citation :

Pas de conservation des cendres à domicile, sauf dans des cas exceptionnels et en attendant qu’un lieu sacré puisse accueillir les restes du défunt.

Des circonstances graves et exceptionnelles « liées à des conditions culturelles à caractère local » sont admises pour conserver des cendres chez soi, mais sur stricte autorisation de « l’Ordinaire, en accord avec la Conférence épiscopale ou le Synode des évêques des Églises orientales ». Toutefois, précise l’instruction, les cendres « ne peuvent être distribuées entre les différents cercles familiaux » et les conditions de conservation doivent être « respectueuses et adéquates ».

Bientôt la Toussaint


La fête de la Toussaint approche. Juste après, la commémoration des morts, le 2 novembre. Les cimetières se remplissent de visiteurs, de fidèles qui viennent prier pour leurs défunts. Cette visite des cimetières est une profonde expression d’un article du Credo : la communion des saints. « Nous y allons pour prier pour les personnes chères qui nous ont quittés, comme une visite que nous leur rendons pour leur exprimer, encore une fois, notre affection, pour les sentir encore proches de nous (…) il y a un lien très étroit entre nous qui cheminons encore sur cette terre et tant de nos frères et sœurs qui ont déjà rejoint l’éternité », expliquait à ce propos Benoît XVI

Chaque année, à ces dates, le Pape invite « à penser à tous ceux dont personne ne se souvient, aux victimes des guerres, à ceux qui sont tués parce qu’ils sont chrétiens ». Il rappelle et insiste beaucoup sur ce lien entre  la Toussaint et la commémoration des morts, le 2 novembre. Deux fêtes « intimement liées tout comme la joie et les larmes trouvent en Jésus-Christ, une synthèse qui est le fondement de notre foi et de notre espérance », ne cesse de rappeler le pape François.


source : Aleteia
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MessageSujet: Re: 2 novembre : jour des défunts   jour - 2 novembre : jour des défunts EmptyLun 31 Oct - 19:06

Prière pour qu’un défunt aille au Ciel


jour - 2 novembre : jour des défunts WEB3-HEAVEN-SKY-CLOUDS-RAY-SUN-SUNSHINE-shutterstock_507277528
Thoom | Shutterstock


Philip Kosloski - publié le 27/10/20


Lorsqu’un proche décède, nous pouvons toujours prier pour qu’il arrive sain et sauf dans les bras de Dieu.



Perdre une personne qui nous est chère est toujours une épreuve difficile. Cette perte laisse en nous un gouffre infini de tristesse et de solitude. Mais malgré cela, la mort n’a pas le dernier mot, car elle n’est que le début de la vie éternelle. Dans la tradition catholique, nous croyons que nos prières peuvent accélérer l’arrivée des âmes vers le Ciel si celles-ci traverse les épreuves du purgatoires.

Voici la prière de saint Bonaventure de Bagnoregio (1217-1274), archevêque italien de York, pour confier les âmes du purgatoire à la Vierge Marie afin qu’elle les guide vers le ciel.


Citation :
Sainte Marie, mère de Dieu, consolatrice des affligés et secours des chrétiens ; douce Vierge, mère de notre Sauveur Jésus et de tous les fidèles, ô Vous qui êtes aussi la mère de toutes les pauvres âmes qui souffrent tant dans le purgatoire, j’implore avec confiance l’immense bonté de votre cœur, et je vous prie d’intercéder auprès de votre divin fils, afin que, par les mérites de son saint Sacrifice, les âmes qui sont châtiées et purifiées par le feu de la souffrance, comme l’or dans la fournaise, obtiennent le soulagement et la délivrance auxquels elles aspirent.



Ainsi soit-il.
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MessageSujet: Re: 2 novembre : jour des défunts   jour - 2 novembre : jour des défunts EmptyLun 31 Oct - 19:17

Commémoration des fidèles défunts - Prière universelle : 2 novembre


Publié par Jardinier de Dieu sur 31 Octobre 2022,

jour - 2 novembre : jour des défunts Image%2F0931903%2F20221031%2Fob_b70def_121796503Merci à l'auteur de cette image


Après la fête de la Toussaint où nous avons contemplé la promesse que tu nous fais Seigneur nous prions tout spécialement pour ceux qui nous devancent et nous te demandons de continuer à faire preuve de miséricorde pour eux et aussi pour nous

R/ Dans ta miséricorde, Seigneur, écoute-nous.
  • Pour ceux et celles  qui ont quitté la vie terrestre cette année : Seigneur  Dieu que tu les accueilles  (Sg 3, 6) à tes côtés dans notre famille commune du ciel. R/


  • Pour ceux et celles qui n’ont pas voulu, jusqu’à présent, entendre parler de toi : Seigneur Dieu, montre leur tes bontés et qu’ils les goûtent  [Ps 26(27), 13].  R/


  • Pour ceux et celles qui ont été malades presque toutes leurs vies terrestres : Seigneur Dieu, accueille les et aide leurs proches à découvrir que cette mort-là est engloutie dans ta victoire (1Co 15, 54). R/


  • Pour ceux et celles qui se sont suicidés : Seigneur Dieu, montre leur ta miséricorde, aide les à découvrir que ta miséricorde est toujours plus grande que les péchés humains. R/


  • Pour ceux et celles qui ont consacré leurs vies au service des autres : Seigneur Dieu, reçois-les à ta droite dans ton Royaume (Mt 31, 35). R/



Seigneur nous savons que tu es notre Père à tous et nous nous confions à toi avec grande confiance par Jésus le Christ Notre Seigneur.
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mandonnaud

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Inscription : 21/10/2006

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MessageSujet: 2 novembre commémoration des défunts.   jour - 2 novembre : jour des défunts EmptyMar 1 Nov - 18:22

https://reflexions.mandonnaud.net/liturgie-02-11-2022.phpjour - 2 novembre : jour des défunts Sainte52

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LA MISERICORDE DE JESUS EST INFINIE
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MessageSujet: Re: 2 novembre : jour des défunts   jour - 2 novembre : jour des défunts EmptyMar 1 Nov - 23:35

Journée de prière pour les défunts (2 novembre)




Je suis le Chemin…



jour - 2 novembre : jour des défunts Chemin




Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 14, 1-6
En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
« Que votre cœur ne soit pas bouleversé :
vous croyez en Dieu,
croyez aussi en moi.
Dans la maison de mon Père,
il y a de nombreuses demeures ;
sinon, vous aurais-je dit :
“Je pars vous préparer une place” ?
Quand je serai parti vous préparer une place,
je reviendrai et je vous emmènerai auprès de moi,
afin que là où je suis,
vous soyez, vous aussi.
Pour aller où je vais,
vous savez le chemin. »
Thomas lui dit :
« Seigneur, nous ne savons pas où tu vas.
Comment pourrions-nous savoir le chemin ? »
Jésus lui répond :
« Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ;
personne ne va vers le Père sans passer par moi. »
(AELF)




Méditation
À quelques heures de la Passion les disciples sont très inquiets car ils sentent le danger qui le menace. Quand saint Jean écrit son évangile, au premier siècle, il s’adresse à des communautés chrétiennes également désemparées. Les disciples du Christ sont pourchassés et mis à mort à cause de leur foi. Dans le monde d’aujourd’hui, les chrétiens doivent faire face à l’incroyance, l’indifférence, la dérision et, dans certains pays, la persécution.   

Tout cela, le Christ l’avait prévu. Le message qu’il adressait à ses disciples est aussi pour nous aujourd’hui. Tout au long de la Bible, nous lisons cette parole : "Ne crains pas… je suis avec toi." C'est aussi ce que Jésus nous redit. Il est avec nous tous les jours et jusqu'à la fin du monde. Quoi qu'il arrive, rien ne peut nous séparer de l'amour qui est en Dieu.   

Aujourd'hui, Jésus nous rappelle le sens de son départ imminent : "Je pars vous préparer une place dans la Maison de mon Père." Voilà une parole que nous oublions un peu trop facilement. Nous pensons plutôt à nous installer sur cette terre et à nous y comporter comme si c'était notre demeure définitive. C'est alors que Jésus vient nous rappeler le vrai but de notre vie. Il ne se contente pas de nous préparer une place. Il reste avec nous pour nous guider vers ce qu'il appelle cette Maison du Père.   

Tout 
l'Évangile vient nous rappeler que le grand projet de Dieu c'est de rassembler tous les hommes et qu'il leur réserve une maison où tous se sentiront accueillis avec amour. Pour avancer vers ce monde nouveau qui nous attend, c'est par le Christ que nous devons passer.  Il est lui-même LE chemin. Ses paroles sont celles de la Vie Éternelle. Grâce à lui et avec lui, notre vie terrestre retrouve tout son sens. Nous retrouvons en Jésus force et courage pour continuer notre route et marcher à sa suite.   
L'Évangile du jour: Journée de prière pour les défunts (2 novembre) (levangiledujour.com)
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