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 27 novembre : fête de la Médaille Miraculeuse

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MessageSujet: 27 novembre : fête de la Médaille Miraculeuse   27 novembre : fête de la Médaille Miraculeuse EmptySam 27 Nov - 11:33

Histoire de la Médaille




Du bon usage d’une médaille

Porter une médaille n’est donc pas de la superstition. Au Concile de Trente, en 1563, l’Eglise a fixé le bon usage des images, statues, médailles, scapulaires, rappelant aux chrétiens que, bien entendu, quand nous vénérons des images du Christ, de la Vierge et des Saints, nous ne mettons pas notre confiance dans les images. L’honneur que nous leur rendons se rapporte à la personne qu’elles représentent.

Chose bien différente de la superstition, laquelle attribue à un objet un effet occulte, automatique mais vain. La médaille, née de l’apparition de la Sainte Vierge à Catherine en cette chapelle, n’est qu’une petite pièce de métal. Elle ne doit pas être considérée par nous comme un talisman ou une amulette au pouvoir magique, ce qui serait de notre part vaine crédulité.

Petit mémorial de l’amour de la Vierge, elle nous aide à le garder vivant dans notre cœur et dans notre esprit, car nous avons la mémoire courte et la volonté défaillante ! La médaille, rappel de la foi qui nous est donnée, nous stimule à montrer notre reconnaissance par une conduite digne d’un enfant de la Vierge Marie.
L’Eglise d’ailleurs bénit ces objets de piété, en rappelant qu’ils ont pour rôle de nous rappeler l’amour de Jésus-Christ et d’augmenter notre confiance dans l’aide de sa Mère, qui est aussi notre Mère.



Médaille miraculeuse
La médaille miraculeuse présente quatre spécificités. D’abord elle a été comme « dessinée » par la Vierge elle-même ! Celle-ci en effet en a montré la forme ovale, l’invocation à graver, son effigie à poser sur une face et au revers les motifs symboliques. De ce fait, la Vierge en a donné le contenu ; le message, explicite et implicite, de sa propre identité, sa Conception Immaculée, de sa coopération au salut donné par son divin Fils, et de sa maternité universelle.

Ensuite la Sainte Vierge en a donné le mode d’emploi : « Ceux qui la porteront avec confiance », on trouve là comme un écho des paroles de Jésus à la femme guérie après avoir touché son manteau  : « Va, ta foi t’a sauvée ».

Enfin, la Vierge en assigne le but : recevoir de grandes grâces,  nous rappelant ainsi la miséricorde de  Dieu et la primauté de la vie spirituelle.

La Sainte Vierge attribue à sa médaille une efficacité particulière. L’Eglise a d’ailleurs toujours admis que l’on attribue à des reliques, à des statues, à des médailles, à des scapulaires, des miracles. Sainte Jeanne de Chantal n’a-t-elle pas été guérie miraculeusement en 1618 par l’imposition des reliques de saint Charles Borromée par les mains de saint François de Sales ? Saint Maximilien Kolbe, en 1912, n’a-t-il pas sauvé son pouce droit de l’amputation par l’application d’eau de Lourdes ?

Certes c’est Dieu qui fait les miracles mais Il veut les faire, quelquefois, au moyen d’objets de piété bien matériels, par l’intercession de ses fidèles serviteurs, les saints, et sa Mère en premier ! Le message de la médaille est un appel à la confiance en l’intercession de la Sainte Vierge. Acceptons humblement  de demander des grâces par ses mains !

Une fulgurante diffusion
Après les apparitions, Catherine connaît sa mission : faire frapper une médaille. Elle la confie au Père Aladel, lazariste. 

Pas d’écho. Nommée à Reuilly, un quartier pauvre de Paris, sœur Catherine se trouve au service des vieillards de l’hospice d’Enghien. Comme la voix intérieure continue d’insister, Catherine, un jour s’enhardit : « La Sainte Vierge est mécontente car vous ne l’écoutez pas » dit-elle à M. Aladel. 

Saisi par cette admonestation, ce dernier se décide à agir et, avec l’accord de son supérieur, se rend en haut lieu. Surprise ! L’Archevêque de Paris, Mgr de Quélen, ne voit nul inconvénient à faire frapper la médaille demandée par la Vierge Marie. Il exprime aussi le désir de recevoir l’une des premières.

n février 1832 éclate à Paris une terrible épidémie de choléra, qui fera plus de 20 000 morts. En juin, les premières médailles réalisées par l’orfèvre  Vachette sont distribuées par les Filles de la Charité. Aussitôt guérisons, conversions, protections se multiplient. C’est un raz-de-marée. Le peuple de Paris appelle la médaille de l’Immaculée la « médaille miraculeuse ».

Les miracles provoquent des questions sur l’origine de la médaille. Une première brochure est publiée début 1834 par l’abbé Le Guillou, conseiller de l’archevêque de Paris. Enfin, M. Aladel se décide à écrire : La Notice paraît en août 1834. Tirée à 10 000 exemplaires, elle s’épuise en moins de deux mois, la deuxième édition d’octobre disparaît plus vite encore, et la troisième…

En même temps se répandent des relations des miracles obtenus, des peintures, des gravures et des images qui illustrent l’événement. Mais sainte Catherine reste dans l’ombre et continue son service incognito. A sa mort en 1876, on compte plus d’un milliard de médailles.



Les bulles pontificales 

En 1835, devant le « succès » de la médaille, Mgr de Quélen décide l’ouverture d’un procès canonique qui est confié au Chanoine Quentin, Vicaire général.

En effet, la reconnaissance officielle d’une apparition se fait habituellement par l’Evêque du lieu qui doit rencontrer personnellement le ou la voyant(e). Après quoi, s’il le juge à propos, il poursuit son enquête et la transmet au Saint-Siège via la Nonciature .

Or dans le cas de Catherine, toute cette procédure s’avère impossible car Mgr Quentin se heurte à sa volonté de garder l’anonymat et le silence. 

Le procès reste donc inachevé.  En 1842, à Rome, Alphonse Ratisbonne, un jeune banquier juif alsacien s’est laissé convaincre par un ami de mettre la Médaille  dans sa poche. Le lendemain, en l’église S. Andrea delle Fratte, la Vierge de la Médaille Miraculeuse lui apparaît. Sa conversion soudaine a un immense retentissement. Elle fait l’objet d’un procès canonique qui sera l’acte le plus officiel en la matière. La reconnaissance officielle des Apparitions de la Vierge Marie à  Catherine s’est faite… grâce à la médaille elle-même !

En 1854, Pie IX dans la bulle « Ineffabilis Deus » définit le dogme de l’Immaculée Conception. Il semble faire une allusion voulue à la Médaille Miraculeuse en disant de Marie qu’elle était « apparue dans le monde, avec son Immaculée Conception, comme une splendide aurore qui répand ses rayons de toute part ».

 En 1894, Léon XIII approuve la messe de la fête Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse, composée par les lazaristes. 

En 1897, Léon XIII accorde le couronnement de « la statue de l’Immaculée Conception dite de la Médaille Miraculeuse ». En 1947, après un procès qui comprend une enquête sur les apparitions, Pie XII déclare Catherine sainte.


Les témoins et …
Parmi ceux qui, les premiers, éprouvèrent l’efficacité de la foi à travers la médaille donnée par la Vierge Marie, on peut citer  Mgr de Quélen qui, après une minutieuse enquête sur les faits affirmés, en devient un propagateur convaincu. Il obtient personnellement des guérisons inespérées.

Le Pape Grégoire XVI a la médaille à la tête de son lit.

En 1833, le P. Perboyre, lazariste, relate la guérison miraculeuse, attribuée à la médaille, d’un confrère. Une fois arrivé en Chine, où il mourra martyr en 1839, il distribue beaucoup de médailles et rapporte de nombreux miracles dans ses lettres.

En 1833, Frédéric Ozanam porte la médaille lorsqu’il fonde à Paris les Conférences de Saint-Vincent-de-Paul.

Le plus enthousiaste encore fut peut-être le Curé d’Ars. Dès 1834 il fait l’acquisition d’une statue de Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse et la place sur un tabernacle dont la porte reproduit le revers de la médaille. Le 1er mai 1836, il consacre sa paroisse à « Marie conçue sans péché ». Il devient un apôtre zélé de la Médaille, et distribue avec elle des centaines d’images sur lesquelles il marque de sa main la date et le nom de ceux qui se consacrent à l’Immaculée.

En 1843, M. Etienne, Supérieur des Lazaristes et des Filles de la Charité, évoque les apparitions comme source du renouveau des vocations et de la ferveur nouvelle qui anime les deux familles.

En 1845 un pasteur anglican John Newman, qui portait la médaille depuis le 22 août se convertit le 9 octobre. Il devient prêtre et cardinal.


Les apôtres de la médaille 
Sainte Bernadette, à Lourdes, portait la médaille avant les apparitions de la Vierge, que l’on raconte à sœur Catherine en lui décrivant :  « C’est la même » dit-elle.

Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus portait sur elle, au Carmel, la Médaille Miraculeuse.

En 1915 naît aux Etats-Unis, à Philadelphie à l’initiative du Père Joseph Skelly, l’Apostolat marial avec la Neuvaine perpétuelle de la Médaille Miraculeuse.

Une nouvelle impulsion est donnée à la diffusion de la Médaille Miraculeuse grâce au Père Kolbe. Ce franciscain, né en Pologne, est ordonné prêtre à Rome en 1919. Il veut célébrer sa première messe à San Andrea delle Fratte où l’Immaculée a converti Ratisbonne.

En 1917 il fonde la Milice de l’Immaculée, placée sous le patronage de la Vierge de la Médaille Miraculeuse, développe un journal marial, « Le chevalier de l’Immaculée » qui connaît un succès foudroyant. En partance pour le Japon en 1930, il traverse la France et se rend rue du Bac, à Lourdes et à Lisieux. Il distribue généreusement des médailles : « Ce sont mes munitions » dit-il.
Fait prisonnier au camp d’Auschwitz, il meurt martyr le 14 août 1941 en donnant sa vie en échange de celle d’un père de famille.
Aujourd’hui, des milliers de pèlerins passent rue du Bac chaque année. La multitude anonyme des apôtres de la Médaille Miraculeuse est répandue à travers le monde.



https://www.chapellenotredamedelamedaillemiraculeuse.com/apparitions-et-medaille/medaille-miraculeuse/histoire-de-la-medaille/
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MessageSujet: Re: 27 novembre : fête de la Médaille Miraculeuse   27 novembre : fête de la Médaille Miraculeuse EmptySam 27 Nov - 11:37

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MessageSujet: Re: 27 novembre : fête de la Médaille Miraculeuse   27 novembre : fête de la Médaille Miraculeuse EmptySam 27 Nov - 11:44

Prière de Saint Jean Paul II à « Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse »



Voici la Prière « Ô Marie conçue sans péché, Tu es bénie entre toutes les femmes ! » de Saint Jean Paul II lors de sa venue en 1980 à la Chapelle Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse rue du Bac à Paris.



La Prière de Saint Jean Paul II à Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse « Ô Marie conçue sans péché, Tu es bénie entre toutes les femmes ! » :

« Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous » : Telle est la prière que tu as inspirée, ô Marie, à sainte Catherine Labouré, en ce lieu même, voilà cent cinquante ans ; et cette invocation, désormais gravée sur la Médaille, est maintenant portée et prononcée par tant de fidèles dans le monde entier ! Tu es bénie entre toutes les femmes ! Tu as été associée intimement à toute l'œuvre de notre Rédemption, associée à la Croix de notre Sauveur ; ton cœur a été transpercé, à côté de son cœur. Et maintenant, dans la gloire de Ton Fils, tu ne cesses d'intercéder pour nous, pauvres pécheurs. Tu veilles sur l'Eglise dont tu es la Mère. Tu veilles sur chacun de tes enfants. Tu obtiens de Dieu, pour nous, toutes ces grâces que symbolisent les rayons de lumière qui irradient de tes mains ouvertes, à la seule condition que nous osions Te les demander, que nous approchions de Toi avec la confiance, la hardiesse, la simplicité d'une enfant. Et c'est ainsi que Tu nous mènes sans cesse vers Ton divin Fils. Ainsi soit-il. »


Saint Jean-Paul II (1920-2005)

27 novembre : fête de la Médaille Miraculeuse Medaille-Miraculeuse-1


Discours de Saint Jean-Paul II dans la Chapelle de la Médaille Miraculeuse à paris le samedi 31 mai 1980 lors de son voyage apostolique à paris et lisieux du 30 mai au 2 juin 1980 :

« Je vous salue, Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes, et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amen ».

Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous !

Telle est la prière que tu as inspirée, ô Marie, à sainte Catherine Labouré, en ce lieu même, voilà cent cinquante ans; et cette invocation, désormais gravée sur la médaille, est maintenant portée et prononcée par tant de fidèles dans le monde entier !

En ce jour où l’Eglise célèbre la visite que tu fis à Elisabeth alors que le Fils de Dieu avait déjà pris chair en ton sein, notre première prière sera pour te louer et te bénir! Tu es bénie entre toutes les femmes ! Bienheureuse, toi qui as cru ! Le Puissant fit pour toi des merveilles ! La merveille de ta maternité divine ! Et en vue d’elle, la merveille de ton Immaculée Conception ! La merveille de ton fiat !

Tu as été associée si intimement à toute l’œuvre de notre Rédemption, associée à la croix de notre Sauveur ; ton Cœur en a été transpercé, à côté de son Cœur. Et maintenant, dans la gloire de ton Fils, tu ne cesses d’intercéder pour nous, pauvres pécheurs. Tu veilles sur l’Eglise dont tu es la Mère. Tu veilles sur chacun de tes enfants. Tu obtiens de Dieu, pour nous, toutes ces grâces que symbolisent les rayons de lumière qui irradient de tes mains ouvertes. A la seule condition que nous osions te les demander, que nous nous approchions de toi avec la confiance, la hardiesse, la simplicité d’un enfant. Et c’est ainsi que tu nous mènes sans cesse vers ton divin Fils.

En ce lieu béni, j’aime te redire moi-même, aujourd’hui, la confiance, l’attachement très profond, dont tu m’as toujours fait la grâce. Totus tuus. Je viens en pèlerin, après tous ceux qui sont venus dans cette chapelle depuis cent cinquante ans, comme tout le peuple chrétien qui se presse ici chaque jour pour te dire sa joie, sa confiance, sa supplication. Je viens comme le bienheureux Maximilien Kolbe : avant son voyage missionnaire au Japon, voilà juste cinquante ans, il était venu ici chercher ton soutien particulier pour propager ce qu’il appela ensuite « la Milice de l’Immaculée » et entreprendre son œuvre prodigieuse de rénovation spirituelle, sous ton patronage, avant de donner sa vie pour ses frères.

Le Christ demande aujourd’hui à son Eglise une grande œuvre de rénovation spirituelle. Et moi, humble Successeur de Pierre, c’est cette grande œuvre que je viens te confier, comme je l’ai fait à Jasna Gora, à Notre-Dame de Guadalupe, à Knoch, à Pompei, à Ephèse, comme je le ferai l’an prochain à Lourdes.

Nous te consacrons nos forces et notre disponibilité pour servir le dessein du salut opéré par ton Fils. Nous te prions pour que, grâce à l’Esprit Saint, la foi s’approfondisse et s’affermisse dans tout le peuple chrétien, pour que la communion l’emporte sur tous les germes de division, pour que l’espérance soit ravivée chez ceux qui se découragent.

Nous te prions spécialement pour ce peuple de France, pour l’Eglise qui est en France, pour ses Pasteurs, pour les âmes consacrées, pour les pères et mères de familles, pour les enfants et les jeunes, pour les hommes et les femmes du troisième âge. Nous te prions pour ceux qui souffrent d’une détresse particulière, physique ou morale, qui connaissent la tentation d’infidélité, qui sont ébranlés par le doute dans un climat d’incroyance, pour ceux aussi qui subissent la persécution à cause de leur foi.

Nous te confions l’apostolat des laïcs, le ministère des prêtres, le témoignage des religieuses. Nous te prions pour que l’appel de la vocation sacerdotale et religieuse soit largement entendu et suivi, pour la gloire de Dieu et la vitalité de l’Eglise en ce pays, et celle des pays qui attendent toujours une entraide missionnaire.

Nous te recommandons particulièrement la multitude des Filles de la Charité, dont la Maison Mère est établie en ce lieu et qui, dans l’esprit de leur fondateur saint Vincent de Paul et de sainte Louise de Marillac sont si promptes à servir l’Eglise et les pauvres dans tous les milieux et dans tous les pays. Nous te prions pour celles qui habitent cette Maison et qui accueillent, au cœur de cette capitale fiévreuse, tous les pèlerins qui savent le prix du silence et de la prière.


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Arnaud Dumouch

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MessageSujet: Re: 27 novembre : fête de la Médaille Miraculeuse   27 novembre : fête de la Médaille Miraculeuse EmptySam 27 Nov - 12:23

1- L’apparition de Notre Dame à la rue du Bac, France, 1830
L’apparition de la rue du Bac (55 mn).

Analyse de quelques symboles de la médaille miraculeuse.
Sa signification théologique eschatologique reprise par CEC 675 à 677 prouve l’intérêt de ces apparitions pour mieux comprendre la Révélation et son application dans notre histoire.

_________________
Arnaud
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