En communion avec Alain Rioux, prière.

Je voudrais inviter tous les membres de ce forum à prier de tout le coeur pour les 22 jeunes chrétiens évangéliques coréens pris en otage par des Talibans fanatisés en Afghanistan.

Leur jeune pasteur a déjà été exécuté.

Les talibans réclames la libération de 22 prisonniers talibans.

Le pape Benoît XVI prie aussi pour cette intention grave et les talibans lui ont fait répondre:

"Condamnez d'abord les bombardement des Occidentaux sur des civils afghans".

O DIEU tout-puissant, Roi de tous les rois, et suprême Arbitre de toutes choses, à la puissance duquel nulle créature ne peut résister, et à qui il appartient de punir les pécheurs comme ils le méritent, et de faire grâce à ceux qui se repentent véritablement; Nous te supplions humblement de nous sauver et de nous délivrer de la main de nos ennemis; abats leur orgueil, désarme leur malice, et confonds leurs desseins; afin qu'armés du bouclier de ta protection, nous soyons toujours garantis de tout danger, pour te glorifier, ô toi qui es le seul dispensateur de toute victoire; par les mérites de ton Fils unique, Jésus-Christ notre Seigneur. Amen.

Et ce fil me permet de rappeler la reconnaissance que nous devons au courage de nos frères évangéliques qui ont pris en main le commandement de Jésus: "Allez dans le monde entier" et qui annoncent l'amour de Dieu.

Ces jeunes femmes, en allant en Afghanistan, ont toutes pensé à la possibilité du martyre.

Reste avec moi! C’est l’heure où le jour baisse.
L’ombre grandit…Seigneur, attarde-toi!
Tous les appuis manquent à ma faiblesse:
Force du faible, ô Christ, reste avec moi!


Le flot des jours rapidement s’écoule;
Leur gloire est vaine et leur bonheur déçoit;
Tout change et meurt, tout chancelle et s’écroule…
Toi qui ne changes point, reste avec moi!

J’ose implorer plus qu’un regard qui passe;
Viens, comme à tes disciples, autrefois,
Plein de douceur, de tendresse et de grâce,
Et pour toujours, Seigneur, reste avec moi!

Heure après heure, il me faut ta présence!
Le tentateur ne redoute que toi;
Qui donc prendrait contre lui ma défense?
Dans l’ombre ou la clarté, reste avec moi!

http://www.cyberhymnal.org/non/fr/resavmoi.htm

Union de Prières.

Implorons le Seigneur pour nos frères retenus prisonniers, pour leurs familles et pour leurs gardiens.

Sachons aussi être interpellés par l'exemple de ces chrétiens, nous disciples du Christ occidentaux...

Ce matin, un deuxième otage a été tué.

Ils ne s'attaquent pas aux femmes. Peut-être n'osent-ils pas. Espérons le.

PSAUME 24

Vers toi, j’élève mon âme,
mon Dieu, en toi je me confie.
Que je ne sois pas confondu,
que mes ennemis ne se réjouissent pas,
aucun de ceux qui espèrent en toi ne sera confondu,
ceux-là seront confondus qui sont infidèles sans motif.
Seigneur, fais-moi connaître tes voies,
enseigne-moi tes sentiers.
Fais-moi marcher dans ta vérité et instruis-moi,
en toi tout le jour je me fie, Dieu mon Sauveur !
Souviens-toi, Seigneur, de ta miséricorde et de ta bonté,
car elles sont éternelles.
Ne garde pas le souvenir des fautes de ma jeunesse et de mes égarements,
mais souviens-toi de moi selon ta miséricorde, à cause de ta bonté.
Le Seigneur est droit et plein de miséricorde,
il montre le chemin aux égarés.
Il fait marcher les humbles dans la justice,
il enseigne aux petits ses sentiers.
Tous les chemins du Seigneur sont miséricorde et vérité,
pour ceux qui recherchent son alliance et ses lois.
À cause de ton Nom, Seigneur, tu pardonneras,
si grand que soit mon péché, tu l’effaceras !
Est-il un homme qui craigne le Seigneur ?
Il lui montre la voie qu’il doit choisir.
Son âme repose dans le bonheur
et sa postérité possédera la terre.
Le Seigneur est la force de ceux qui le craignent,
il leur fait connaître ses mystères.
Mes yeux sans cesse sont tournés vers le Seigneur,
c’est lui qui délivre mon pied des lacets.
Tourne ton regard vers moi et prends pitié de moi,
car je suis seul et malheureux.
Les angoisses de mon cœur se sont accrues,
de ma détresse délivre-moi, Seigneur !
Vois ma misère et ma peine,
efface tous mes péchés.
Vois la multitude de mes ennemis,
vois la haine violente qu’ils nourrissent contre moi.
Garde mon âme et délivre-moi !
Que je ne sois pas rejeté quand je cherche en toi un abri !
L’intégrité et la droiture seront mon bouclier. car j’espère en toi ;
délivre-nous, Dieu d’Israël, de toutes nos angoisses.

Psaume récité dans l'Office de consolation en temps de détresse


Sylvie

O DIEU, miséricordieux et compatissant, qui es toujours prêt à entendre les prières de ceux qui mettent leur confiance en toi; écoute-nous favorablement, nous qui t’implorons dans notre présente nécessité, et veuille nous accorder ton puissant secours; par Jésus-Christ, notre Seigneur. Amen.

Ma prière:
Je pense a ses 22 prisonniers et je pense aussi à tous ceux qui, parcequ'ils ont de l'espoir dans le coeur, se retrouvent en enfer, rattrapés par la folie humaine.

Invocations récitées tous les soirs à la source :

VIERGE DES PAUVRES,

- Conduis-nous à Jésus, Source de la grâce.

- Sauve les Nations

- Soulage les malades

- Soulage la souffrance

- Prie pour chacun de nous

- Nous croyons en Toi

- Crois en nous

- Nous prierons beaucoup

- Bénis-nous

- Mère du Sauveur, Mère de Dieu, Merci !


En union de prières.

Citation :

L'innocent, le barbare et le soldat occidental. Publié le 03 août 2007Actualisé le 03 août 2007 : 10h29


Vingt-trois Sud-Coréens, dont dix-huit femmes, ont été kidnappés par des talibans au sud de Kaboul. Très vite l'affaire a tourné au drame puisque deux hommes du groupe ont été déjà « exécutés ». Les talibans ont dit qu'ils continueraient leurs assassinats si le gouvernement de Kaboul ne répondait pas à leur exigence de voir libérer huit de leurs combattants.


La toile de fond de cette affaire est, côté coréen, les efforts que font les Églises protestantes du pays en direction du Moyen-Orient en crise, comme au Liban, en Irak ou en Afghanistan.


Deux mille de ces chrétiens sud-coréens sont partis en Afghanistan en 2006 et beaucoup ont été expulsés ; mais cela n'a pas empêché plusieurs centaines d'autres de revenir en 2007. Étonnant activisme, vu d'une Europe occidentale, où la pratique et la foi religieuse se sont tant réduites...


On estime à 17 000 le nombre de Sud-Coréens partis à l'étranger, portés par leur foi vers des activités humanitaires, mais aussi à la rencontre des autres, pour tenter de leur faire découvrir le christianisme...


Le gouvernement de Séoul a tenté de dissuader ces volontaires, qui semblent parfois se faire concurrence les uns les autres, de partir pour un pays comme l'Afghanistan. Il a souligné les dangers encourus, le fait que les talibans étaient implantés dans divers endroits du pays et notamment au Sud. On imagine mal d'ailleurs que les Églises sud-coréennes ne savaient pas que, pour les fanatiques musulmans, la renonciation à la foi en l'islam était un crime qui méritait la mort.





Les tentatives du gouvernement d'empêcher ces départs, les efforts de ces groupes protestants pour tourner ces interdictions ou ces recommandations négatives expliquent d'ailleurs qu'une certaine froideur soit perceptible dans une partie du public de Séoul à l'égard de ces missionnaires.


On raconte ainsi dans la ville que les missionnaires se seraient fait prendre en photo à l'aéroport d'Inchon, en groupe, faisant le « V » de la victoire sous un panneau rappelant les régions du monde que le gouvernement déconseillait de visiter pour des raisons de sécurité...


Le fait que l'Église presbytérienne à laquelle appartiennent les Sud-Coréens kidnappés n'est guère attachée à la politique américaine (nombre de ces évangélisateurs enthousiastes étaient ainsi favorables au boycottage d'Israël du fait de ses actions militaires au Liban-Sud notamment) ne semble pas avoir troublé les fanatiques.


Pas plus d'ailleurs qu'ils n'ont tenu compte du travail social auquel se livraient les Coréens - travail humanitaire ou médical.


Un élément important et inquiétant joue aussi contre les malheureux Sud-Coréens : le président afghan, Hamid Karzaï, a depuis longtemps déclaré qu'il ne voulait plus d'échanges d'otages contre des prisonniers talibans. Refuser l'échange est naturellement pour le président Hamid Karzaï une preuve d'autorité étatique.





Mais sur cette question précise du prosélytisme d'une autre religion en pays déclaré terre d'islam, Hamid Karzaï ne veut pas non plus de reproche de la part des talibans. Il se veut un bon musulman face à d'autres musulmans qui, eux, ont dérapé dans l'excès et la violence.


Il sait quel crime représente la conversion à une autre foi pour un musulman et lui non plus n'approuve pas que ces Sud-Coréens soient venus en Afghanistan pour inciter des hommes et des femmes à commettre un des pires crimes contre l'islam.


Dans ces conditions, il ne faut, hélas, pas trop compter sur l'administration de Kaboul pour trouver une solution et l'on peut craindre pour la vie des otages, en tout cas celle des otages masculins. Ces fanatiques se sont toujours montrés en effet mal à l'aise quant à la conduite à adopter à l'égard des femmes. D'où l'espoir, malgré tout, que nous conservons avec ferveur de les voir libérer. D'où la nécessité de mobiliser l'opinion publique mondiale pour sauver les otages sud-coréens.


La légèreté et la naïveté qui semblent avoir caractérisé leur conduite - humaine, amendable, témoignant même d'une certaine innocence - sont une chose. Le meurtre de sang-froid d'otages en est une autre. Inhumaine. Il se situe à une tout autre échelle et reflète une vision du monde où l'on tient pour nulle la vie, surtout la vie de qui n'appartient pas à son groupe.


La conduite barbare des talibans rappelle à ceux qui en douteraient en Occident que les soldats américains, australiens ou européens qui se battent là-bas défendent non pas les « croisés », les routes du pétrole ou les ambitions américaines, mais une certaine idée de la civilisation. (Le Figaro)

Cher Saint Hibou,

Ceci prouve que l'Esprit Saint souffle où il veut.

Et l'esprit de la mission souffle puissamment sur toutes les Eglises de Corée.

Merci au Seigneur de ne pas complètement retirer sa force à ses fidèles de la terre.

Aujourd'hui sur Cyberpresse

Le vendredi 03 août 2007


Otages sud-coréens: les talibans refusent la visite d'une équipe médicale

Agence France-Presse

Ghazni, Afghanistan

Les talibans ont refusé vendredi la visite d'une équipe médicale afghane pour les 21 otages sud-coréens qu'ils détiennent depuis deux semaines en Afghanistan, affirmant par ailleurs que la tenue d'une rencontre avec des émissaires sud-coréens butait sur le lieu.




«Nous voulions dépêcher des médecins pour les otages parce que nous sommes inquiets pour leur santé, mais les talibans ont refusé», a déclaré à l'AFP Alishah Ahmadzai, le chef de la police provinciale de Ghazni (140 km au sud de Kaboul) où le groupe a été enlevé le 19 juillet.

«On n'a pas besoin de médecins. S'ils sont inquiets pour la santé des otages, ils doivent relâcher deux des nôtres qui sont prisonniers en échange des deux otages qui sont très malades», a confirmé par téléphone à l'AFP Youssouf Ahmadi, porte-parole des talibans, soulignant que les rebelles «ne pouvaient pas faire confiance» aux médecins.

Ce porte-parole a une nouvelle fois déclaré que les talibans étaient prêts à rencontrer «n'importe quand la délégation sud-coréenne dans des zones sous (leur) contrôle».

«Mais le gouvernement (afghan) veut que nous rencontrions les Coréens dans la ville de Ghazni», a-t-il dit soulignant que les talibans étaient cependant prêts à rencontrer les émissaires sud-coréens «dans d'autres pays ou des villes comme Kaboul, Ghazni ou Kandahar si les Nations unies offrent des garanties de sécurité aux négociateurs» talibans.

La préparation d'une telle rencontre, annoncée la veille par le gouverneur de Ghazni, n'a cependant toujours pas été confirmée par la Corée du Sud.

À Séoul, la présidence sud-coréenne a rappelé vendredi qu'elle n'était pas en mesure «de donner une réponse directe aux exigences des talibans pour que certains des leurs, prisonniers, soient échangés contre des otages coréens».

Kaboul refuse «par principe» d'échanger des prisonniers talibans contre des otages afin de ne pas «encourager» les enlèvements. Les talibans affirment que Washington fait pression sur Kaboul pour qu'il refuse un tel échange.

La Corée du Sud tente de son côté de convaincre les États-Unis d'intervenir dans le dossier et huit parlementaires sud-coréens sont partis jeudi pour ce pays.

L'envoyé spécial de la présidence sud-coréenne, Baek Jung-chun, était lui jeudi à Islamabad pour demander l'aide des Pakistanais dans cette affaire.

«Certains éléments» des services secrets pakistanais sont accusés par Kaboul de soutenir les talibans et certains des dirigeants rebelles ont trouvé refuge dans les zones tribales pakistanaises.

Vingt-trois Sud-Coréens, pour la plupart des femmes, qui circulaient à bord d'un autocar privé sur l'axe Kaboul-Kandahar, l'un des plus dangereux d'Afghanistan, avaient été enlevés le 19 juillet. Deux des otages ont été exécutés depuis.

Ce sont des membres de l'Eglise presbytérienne Saem-Mul venus en Afghanistan pour effectuer des travaux humanitaires.

Les talibans affirment par ailleurs détenir un ingénieur allemand de 62 ans et quatre de ses collègues afghans, enlevés le 18 juillet dans la province de Wardak (100 km au sud de Kaboul).

Seigneur Jésus, je te prie pour la vie de ces Coréens : protège-les ; que leurs gêoliers se rendent compte de la valeur de la vie humaine : de la leur propre, et de celle de leurs otages. Toi qui est source de lumière, éclaire ces gêoliers, afin qu'ils sachent se comporter avec plus de sagesse

Citation :

Afghanistan: une otage sud-coréenne présumée appelle à l'aide

KANDAHAR (AFP) - Une femme se présentant au téléphone à l'AFP comme un des 21 otages sud-coréens détenus depuis plus deux semaines en Afghanistan a lancé samedi un appel à l'aide alors que les négociations sur le sort des captifs n'ont toujours fait aucun progrès.
(publicité)
"S'il vous plaît sauvez-nous, nous sommes tous des gens innocents venus ici pour aider les malades, mais maintenant c'est nous qui sommes malades. Je ne sais pas combien de temps nous allons survivre", a déclaré en anglais une femme, présentée comme une otage du nom de "Sing Jo-hin", lors d'un entretien téléphonique avec l'AFP organisé par les talibans.

"Nous ne voulons pas mourir, nous voulons rentrer à la maison", a-t-elle dit, la voix brisée par l'émotion, en assurant être détenue avec trois autres otages et ne pas savoir si ses autres compatriotes étaient "encore en vie".

Elle a appelé le secrétaire général de l'ONU, le Sud-Coréen Ban Ki-moon, et le pape Benoît XVI, à intervenir pour aider à la libération des otages.

Deux des otages ont été exécutés par les talibans depuis le rapt du groupe, des membres de l'église presbytérienne Saem-Mul en mission humanitaire, le 19 juillet dans la province de Ghazni (140 km au sud de Kaboul).

Cet entretien a été organisé par les rebelles alors que, selon un responsable de l'ambassade sud-coréenne, les discussions avec les ravisseurs n'ont fait "jusqu'à maintenant aucun progrès". Il ne pouvait confirmer l'organisation d'une rencontre en tête à tête avec les ravisseurs, annoncée la veille par les talibans et le gouverneur de Ghazni.

"Les discussions sont maintenant principalement menées par les Sud-Coréens", en contact avec les talibans par téléphone et par le biais de chefs tribaux et religieux, a pour sa part déclaré à l'AFP le député Mahmoud Gailani, de retour à Kaboul après avoir passé plusieurs jours à Ghazni pour les négociations.

Interrogé sur les déclarations des talibans ayant évoqué des pressions de Washington pour que Kaboul refuse leur demande d'un échange de prisonniers, M. Gailani a répondu: "il n'y a pas que les Américains qui sont opposés à un échange de prisonniers. Cela va à l'encontre de la politique du gouvernement (afghan)".

Les Sud-Coréens, qui cherchent à faire intervenir les Américains dans ce dossier, "ne peuvent que discuter d'argent, du versement d'une rançon", a-t-il dit.

Un porte-parole des talibans avaient affirmé la veille que les talibans étaient prêts à rencontrer n'importe quand les émissaires sud-coréens, dans des zones sous leur contrôle ou hors de leur contrôle si les Nations unies offrent à leurs négociateurs des garanties de sécurité.

Les talibans exigent la libération de certains des leurs, prisonniers, en échange de celle des 21 otages sud-coréens. Deux otages ont été tués par les talibans depuis.

Mais le président afghan Hamid Karzai avait juré qu'il n'y aurait plus d'échanges de prisonniers après celui ayant permis en mars la libération du journaliste italien Daniele Mastrogiacomo.

Les Américains avaient fustigé cet échange, une première depuis le début de l'insurrection, craignant qu'il n'incite les rebelles à multiplier les rapts.

http://fr.news.yahoo.com/afp/20070804/twl-afghanistan-coreesud-enlevement-3caf257_1.html

Sorry pour le retard, je viens seulement de découvrir le sujet du fil