Marche contre l’antisémitisme du 12 novembre

Marche contre l’antisémitisme : l’Église catholique sera « représentée »

Le président de la Conférence des évêques de France (CEF), Mgr Éric de Moulins-Beaufort a expliqué mercredi 8 novembre que l’Église catholique sera représentée à la marche contre l’antisémitisme prévue dimanche 12 novembre, sans toutefois donner de consignes aux fidèles sur leur participation.

« La Conférence des évêques sera représentée, au moins par le directeur du service des relations avec le judaïsme », a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse à l’issue de l’Assemblée plénière de la CEF à Lourdes.

L’évêque de Reims a justifié cette position en soulignant que « chaque citoyen est capable de se déterminer tout seul, je suis toujours assez réticent à donner des consignes politiques comme si les citoyens étaient des mineurs », a-t-il ajouté.

Les catholiques « armés pour se déterminer par eux-mêmes »

Mgr Éric de Moulins-Beaufort a affirmé que « les catholiques sont armés pour se déterminer par eux-mêmes sur le mode d’actions qu’ils veulent avoir pour que la société résiste à ces extrêmes ». Il a également souligné l'« appel très fort pour que chacun résiste à l’antisémitisme ou aux propos ou attitudes antimusulmanes » lancé par les évêques à Lourdes.

« Nous apportons une contribution très forte pour guérir notre société de l’antisémitisme et cela me paraît plus décisif que d’appeler à participer à une manifestation », a-t-il ajouté.


extrait de : https://www.la-croix.com/religion/Marche-contre-lantisemitisme-lEglise-catholique-sera-representee-2023-11-08-

« C’est un échec collectif » : marche contre l’antisémitisme, l’unité impossible
Provocations de Jean-Luc Mélenchon, présence de Marine Le Pen, conditions posées par les uns et les autres… La manifestation de dimanche ne se déroulera pas dans une atmosphère de concorde mais plutôt sous le signe de la tension politique.
https://www.leparisien.fr/politique/cest-un-echec-collectif-marche-contre-lantisemitisme-lunite-impossible-08-11-2023-C7AIIOYCVZHRHNPZFWOE5AJIN4.php

Serge Klarsfeld, souvent il n’argumente que faiblement et on en fait vite le tour..
mais là il dit juste.

Raphaël Glucksmann s'est indigné à l'instant sur LCI, en disant que Le Pen Jean-Marie est un ancien SS alors qu'il a essayé de s'engager à la FFI durant la SGM, c'est bien documenté.
De plus Jean Ma a toujours été sioniste et reaganien (libéral) contrairement aux socialistes nazis.
Le niveau de réflexion pavlovien de Raphaël Glucksmann est très limité et pauvre.

https://www.lexpress.fr/politique/quand-le-pen-voulait-rejoindre-les-ffi_463702.html

Excusez l'expression mais les politiques passent pour des tocards à se préoccuper de leurs petites boutiques face à un problème d'une telle ampleur.

Marche contre l'antisémitisme: "C'est une manifestation qui vise à normaliser le soutien inconditionnel au nettoyage ethnique qui se passe à Gaza" selon David Guiraud, député LFI

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jean marie lepen n’a jalais été sioniste.
Je lisais parfois National Hebdo, dont il tenait la ligne editoriale, et les articles insultaient israel.
J’avais une fois téléphoné au telephone d’information du FN , et un des messages etait:
«  Météo: le temps est maussade »
Je me souviens aussi de ses copinages avec Dieudonné..

Non, l'ADN de Jean Ma est sioniste et libéral.


Globalement, jusqu'à la fin des années 1960, Israël est vue à l'extrême droite comme un bastion de l'Occident contre le communisme et les Arabes, voire, dans les rangs radicaux, comme ayant réalisé l'utopie d'une nation de paysans-soldats en mobilisation permanente. Lors du conflit de Suez (1956), l'officier Jean-Marie Le Pen n'aurait pas caché son admiration pour l'armée israélienne.

De plus, les partisans de l'Algérie française reçoivent divers soutiens depuis Israël. Ce n'est pas par hasard si, dans les années 1980, Pierre Sergent, qui fut l'un des principaux chefs de l'OAS, est aussi celui qui, au sein du Front National, condamne sans discontinuer toute ambiguïté antisioniste, antisémite ou négationniste.

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Mitterand, le pape de la gauche, était à Vichy, alors que le Pen tentait de rejoindre les FFI, la Résistance.
Dimanche, le RN s'y rendra , fièrement, à la manif, la collaboration de la gauche n'est plus à démontrer, la Résistance de droite nationale non plus :


Quand la gauche collaborait 1939-1945

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« Quand l’extrême droite résistait »

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Des tags à caractère antisémites ont été découverts sur un des murs de l’hôpital Bichat (AP-HP) à Paris. Une plainte a été déposée par l’établissement et une enquête a été ouverte.
Un tag antisémite a été découvert ce mercredi matin sur les murs de l’hôpital Bichat, à Paris, indiquant : “décolonisons la médecine”. “Face à cet acte inacceptable et insupportable, à l’image de ce que notre pays connaît depuis quelques semaines, nous devons réagir avec la plus grande fermeté”, a indiqué en réaction le directeur de l’AP-HP, Nicolas Revel, dans un mail envoyé à l’ensemble du personnel qu’Egora a pu consulter. Il précise que l’hôpital Bichat a porté plainte et qu’une enquête a été ouverte par les services de police.

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La tension en France monte aussi fort que lors de l'affaire Dreyfus ...

Pas vraiment, c'est la même situation qui dure depuis un moment, depuis la vague d'attentats islamistes contre Charlie hebdo, la bataclan, l'assassinat de Samuel Paty etc ...
En ce moment, il y a juste une crise d'antisémitisme, à la suite des attaques terroristes du 7 octobre en Israel.

1159 actes antisémites recensés en France en un mois, annonce Gérald Darmanin

C'est la stratégie du terrorisme islamique de semer le chaos dans les sociétés occidentales pour faire des adeptes.

Gauche Gollabo a écrit:

Mitterand, le pape de la gauche, était à Vichy, alors que le Pen tentait de rejoindre les FFI, la Résistance.

D'ailleurs voici un rappel salutaire de grande importance :

Marche contre l’antisémitisme


Face à l’explosion des actes anti-juifs, des responsables catholiques et protestants ont annoncé leur présence à la marche contre l’antisémitisme, dimanche 12 novembre à Paris. Les responsables du culte musulman, à quelques exceptions près, ne souhaitent pas s’associer à la manifestation.

Plusieurs milliers de personnes sont attendues, dimanche 12 novembre, à une marche contre l’antisémitisme, lancée à l’initiative des présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat.

Du côté des catholiques, plusieurs responsables ont déjà annoncé leur présence, à l’instar du père Hugues de Woillemont, secrétaire général de la Conférence des évêques de France, ou de Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre et ancien aumônier des parlementaires.

Le diocèse de Paris sera représenté par Mgr Philippe Marsset, évêque auxiliaire, et par le père Thierry Vernet, délégué de l’archevêque pour les relations avec le judaïsme. Le père Christophe Le Sourt, directeur national pour les relations avec le judaïsme pour l’épiscopat, sera également présent.


Les responsables protestants répondront également présent, notamment le président de la Fédération protestante de France, Christian Krieger, invité par le cabinet de Yaël Braun-Pivet. « Même sans être invité, j’y serais allé », a-t-il expliqué à l’AFP. Le Conseil national des évangéliques de France (Cnef) a, lui, invité dans un communiqué à se joindre à la marche, à laquelle participera son président Erwan Cloarec.

Plusieurs figures religieuses musulmanes seront toutefois présentes à ces marches contre l’antisémitisme. 

Pour Tareq Oubrou, grand imam de Bordeaux, qui se rendra avec d’autres imams de la région à une manifestation organisée dans sa ville par la Licra, dimanche 12 novembre, c’est même « un impératif moral et citoyen face à l’augmentation des actes antisémites, qui plongent nos concitoyens juifs dans la peur et la panique ». Il appelle ses coreligionnaires à « ne pas mélanger les genres, (ne pas) rentrer dans la surenchère victimaire ou importer le conflit israélo-palestinien », en France.

Hassen Chalghoumi, imam de Drancy, très critiqué au sein de la communauté musulmane, a annoncé, lui, qu’il participera à la marche à Paris. « Dimanche, nous serons tous juifs ! », a-t-il déclaré.

Extrait de La Croix

Mgr Jean-Marc Eychenne au rassemblement du dimanche 12 novembre à Grenoble, en compagnie de nombreux citoyens, responsables politiques, d'associations et de cultes religieux.