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 14 septembre : la Croix Glorieuse

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MessageSujet: 14 septembre : la Croix Glorieuse   14 septembre :   la Croix Glorieuse EmptyMer 13 Sep - 22:02

La Croix glorieuse


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Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 3, 13-17
En ce temps-là,
Jésus disait à Nicodème :
    « Nul n’est monté au ciel
sinon celui qui est descendu du ciel,
le Fils de l’homme.
    De même que le serpent de bronze
fut élevé par Moïse dans le désert,
ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé,
    afin qu’en lui tout homme qui croit ait la vie éternelle.
    Car Dieu a tellement aimé le monde
qu’il a donné son Fils unique,
afin que quiconque croit en lui ne se perde pas,
mais obtienne la vie éternelle.
    Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde,
non pas pour juger le monde,
mais pour que, par lui, le monde soit sauvé. 
(AELF)

 Méditation


Les lectures de ce jour nous parlent de la croix. Cet objet dont nous avons l’habitude est devenu un signe pour les chrétiens. Cette croix, nous la retrouvons dans nos églises et nos maisons mais aussi aux carrefours de nos chemins ou encore sur les tombes de nos défunts. Dans bien des cas, elle fait partie des signes que les chrétiens des générations anciennes nous ont légués. Et Pour certaines personnes, la croix est devenue un bijou de grande valeur.     
   
Oui, bien sûr, mais cette croix, c’est aussi celle qui marque douloureusement la vie de millions d’hommes, de femmes et d’enfants. Nous pensons à tous ceux et celles qui vivent dans les pays en guerre, ceux et celles qui souffrent des injustices, de la violence et de la précarité. Cette croix c'est aussi celle qui s’appelle longue maladie, exclusion, souffrance physique ou morale, désespoir pour certains.
Cette croix si douloureuse pour beaucoup, Jésus l’a portée avant nous. En voyant cet instrument de supplice, nous pensons à la souffrance morale, l’accusation injuste, la haine. Les évangiles nous décrivent le mépris des accusateurs, la trahison de Judas, le reniement de Pierre, l’abandon des disciples.         

Mais en ce jour, l’évangile de saint Jean nous invite à regarder au-delà. Il nous montre Jésus élevé sur la croix. Cette élévation n’est pas seulement physique. Ici, c’est de son exaltation et de sa glorification qu’il s’agit. Nous regardons la croix non pour y voir l’horreur subie par le condamné mais la glorification du Messie.    
 


Pour nous aider à comprendre cela, l’évangile nous rappelle un événement très connu de l’Ancien Testament. Au cours de leur traversée du désert, les Hébreux se sont plusieurs fois révoltés contre Dieu. Or voilà qu’ils se sont trouvés dans une région infestée par des serpents venimeux. Il y eut de nombreux morts. Alors le peuple pense que la colère de Dieu s’est abattue contre eux et qu’ils sont punis à cause de leur péché. Ils demandent alors à Moïse d’intervenir en leur faveur auprès de lui.       

Moïse leur propose de la part de Dieu un geste symbolique : Faites-vous un serpent de bronze que vous mettrez au bout d’un étendard ; celui qui aura été mordu et le regardera avec foi sera sauvé. Entendons-nous bien : Ce n’est pas l’objet qui les sauvait mais Dieu vers qui ils se tournaient. Ils étaient invités à laisser de côté leur révolte et à renouveler leur confiance en Dieu sauveur et libérateur.        

Cet évangile nous rejoint aujourd’hui. Nous sommes tous plus ou moins malades, mordus par le péché, tentés par le serpent de la Genèse qui détourne l’homme de Dieu. Mais nous pouvons être guéris et sauvés en nous tournant vers la croix du Christ. Bien sûr, ce n’est pas un geste magique mais une démarche de foi et de confiance envers le Christ Vainqueur. Désormais, rien ne peut nous séparer de son amour. Avec lui, il n’y a pas de situation sans issue. 
       
Il arrive que, parfois, nous sommes désespérés ; nous n’avons plus la force ni l’envie de prier. C’est alors que nous pouvons nous arrêter bien simplement devant la croix du Christ et la regarder en silence. Et nous découvrons alors qu’elle nous rééduque spirituellement. Elle nous renvoie au courage du Christ mourant.


La croix nous rappelle que le Christ nous aime d’un amour passionné ; il veut nous combler bien au-delà de ce que nous pourrions imaginer. Il attend de nous une réponse libre, accueillante et aimante. Il nous attire à lui par le rayonnement de son amour, mais il respecte notre liberté. La décision nous appartient et personne ne peut la prendre à notre place. En regardant cette croix, nous apprenons à imiter le Christ. Lui-même nous a aimés jusqu’au don total de sa vie. C’est sur ce chemin du don de soi que nous sommes invités à le suivre jusqu’au bout. C’est à cette condition que nous pourrons prendre part à son exaltation et à sa glorification.         

Alors oui, prenons le temps d’accueillir cet amour fou de notre Dieu. Il n’a pas envoyé son Fils pour juger et condamner le monde mais pour le sauver. Jésus savait ce qu’il y avait dans le cœur de l’homme et lui seul pouvait juger. Mais on ne juge pas, on ne condamne pas ceux qu’on aime. Cette découverte nous renvoie à nous-mêmes : pourquoi nous acharner à vouloir condamner ce monde que nous disons pourri ? C’est vrai qu’il y a des pourris dans notre monde. Il y a aussi de la pourriture dans le raisin. Ça n’empêche pas de faire du bon vin. C’est ainsi que Dieu fait appel à ce qu’il y a de meilleur en nous.
Quand nous traversons un désert de souffrances, de peurs et de doutes, arrêtons-nous devant croix du Christ. A travers elle, c’est Dieu qui nous fait signe et nous invite à la confiance. En fêtant la Croix glorieuse, nous fêtons la résurrection de Celui qui s’y trouve suspendu. Cet instrument de torture et d’horreur est devenu Arbre de Vie.




https://www.levangiledujour.com/2023/09/la-croix-glorieuse.html


Dernière édition par Constance le Jeu 14 Sep - 10:02, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: 14 septembre : la Croix Glorieuse   14 septembre :   la Croix Glorieuse EmptyMer 13 Sep - 22:06

Fête de la Croix Glorieuse, le 14 septembre

14 septembre :   la Croix Glorieuse Pelerinage-300x196


Bessans (Savoie) : Pèlerinage à Notre-Dame de Tierce : Messe en plein air à 2973 m. d’altitude.



Le 14 septembre, l’Église célèbre une des sept fêtes du Seigneur au cours de l’année liturgique.


Une fête très ancienne


Cette fête s’enracine sans doute dans la célébration de la dédicace de la basilique constantinienne du Saint-Sépulcre, le 14 septembre 335. La fête de la dédicace, dont la célébration était marquée par des ostensions de la croix, se transforme rapidement en … fête de la Croix glorieuse.


Aujourd’hui


Dans la liturgie actuelle, la fête de la Croix glorieuse se situe au terme d’un parcours spirituel de quarante jours commencé le 6 août à la fête de la Transfiguration. La liturgie offre ainsi comme un « carême d’été » qui permet un cheminement au cours duquel les chrétiens sont appelés à progresser pour entrer dans la sagesse de Dieu. Ces quarante jours, vécus à partir de la Transfiguration du Seigneur, sont l’occasion d’approfondir un aspect essentiel du mystère chrétien.


Que nous apprend le langage de la Croix ? Le bois de la Croix rappelle le supplice du Seigneur et apparaît comme un symbole par excellence du Salut en marche. La Croix est le signe éminent de l’amour sauveur de Dieu qui donne sa vie, mais en même temps signe de victoire sur le péché, le mal et la mort, car ce don débouche sur la Résurrection et la gloire. Ainsi, les quarante jours qui conduisent de la Transfiguration à la fête de la Croix, nous incitent à changer notre regard sur la Croix pour y voir le désir de Dieu que « la vie surgisse à nouveau là où la mort avait pris naissance » (Préface).


Au lendemain de la Croix glorieuse, l’Eglise fête de la compassion de Marie avec la mémoire de la Bienheureuse Vierge Marie des Douleurs, qu’on a  souvent appelée Notre Dame des sept douleurs.


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14 septembre

LA CROIX GLORIEUSE

Fête

C’est au lendemain de la Dédicace de l’église de la Résurrection, érigée à Jérusalem sur le tombeau du Christ (335), que nous célébrons la Croix glorieuse. La croix du Christ est le trophée de sa victoire pascale sur la mort. La tradition y voit aussi le signe du Fils de l’homme, qui apparaîtra dans le ciel pour annoncer son retour (Mt 24, 30).


https://liturgie.catholique.fr/celebrer-dans-le-temps/le-temps-ordinaire/291575-fete-de-croix-glorieuse-14-septembre/
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MessageSujet: Re: 14 septembre : la Croix Glorieuse   14 septembre :   la Croix Glorieuse EmptyMer 13 Sep - 22:13

pourquoi fêter la Croix glorieuse?

Pourquoi une fête pour un instrument de torture infamant, sur lequel le Christ a connu la souffrance et la mort ? C’est que sur la Croix, Jésus a vaincu la mort, et en a fait le signe glorieux de la résurrection.



14 septembre :   la Croix Glorieuse Croix-levant_0

Croix au levantL GERD ALTMANN DE PIXABAY


Dans la symbolique chrétienne, la croix présente un double visage. Dans le contexte de la passion et de la mort violente de Jésus, les évangiles évoquent la croix en tant qu'instrument de torture et gibet d'infamie. A cet égard, la croix ne mérite évidemment pas de devenir un objet de vénération.


Très tôt, les chrétiens ont vu dans la croix, plutôt qu'un accessoire meurtrier, l'image du sacrifice par lequel Jésus nous affranchit du péché et de la mort. L'apôtre Paul, déjà, écrit en conclusion de son épître aux Galates : « Pour moi, il n'y a pas d'autre titre de gloire que la croix de notre Seigneur Jésus Christ » (6,14). Dans l'hymne au Christ qui ouvre l'épître aux Colossiens, on peut lire : « II a plu à Dieu de faire habiter (en son Fils) toute la plénitude et de tout réconcilier par lui et pour lui, sur la terre et dans les cieux, ayant établi la paix par le sang de sa croix » (1,20). En ce sens, la croix du Christ peut être dite « glorieuse » : telle est la signification de la fête d'aujourd'hui.

L'évangile de la fête joue sur le double sens du verbe « élever » : élever sur la croix et élever dans la gloire. La référence à Moïse et au serpent d'airain sert ici de parabole prophétique. Dans l’évangile de Jean, Jésus déclare : « Quand j'aurai été élevé de terre, j'attirerai à moi tous les hommes », et l'évangéliste d'ajouter : « Par ces paroles, il indiquait de quelle mort il allait mourir » (12,32-33). En même temps qu'elle donne la mort, la crucifixion symbolise la victoire sur la mort.

La « Croix glorieuse »


Lorsque Jésus en fut chargé pour monter au calvaire, sa croix n'avait rien de glorieux, c'était l'instrument de supplice le plus avilissant. Paul, comme citoyen romain (Ac 22,25), avait eu droit à la forme la plus élégante de mise à mort, l'épée. Mais Jésus n'était qu'un vulgaire condamné, livré a l'occupant romain. Ce fut la grande prouesse de Dieu, que de transformer cet odieux instrument de supplice en croix glorieuse, par la résurrection. Même la croix du bon larron devint glorieuse, car elle fut, elle aussi, porte d'entrée du paradis (Lc 23,43).

Les croix des premières églises étaient glorieuses, comme celle que l'empereur Constantin aperçut dans sa vision. C'était une croix de lumière, signe de résurrection. Plus tard, lorsqu'on représenta le Christ en croix, c'était d'abord comme ressuscité, ou dans l'habit du grand prêtre (He 4,14-15).
Au Moyen Âge, les misères des populations incitèrent à exprimer la solidarité de Jésus avec les souffrances humaines. De symbolique, l'image devint réaliste. Mais le temps est venu de représenter à nouveau le Christ ressuscité et glorieux sur les croix de nos églises.


https://www.la-croix.com/Definitions/Fetes-religieuses/Croix-glorieuse/14-septembre-pourquoi-feter-la-Croix-glorieuse
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MessageSujet: Re: 14 septembre : la Croix Glorieuse   14 septembre :   la Croix Glorieuse EmptyJeu 14 Sep - 9:31

Frère Patrick-Dominique Linck
Couvent Sainte Marie du Chêne à Nancy


Prédestinés à aimer


Dans ce passage, Jésus répond à Nicodème. Lucide, cet homme sait combien il est difficile de renaître, de repartir à zéro. Jeunes et moins jeunes se demandent quelle est la volonté de Dieu sur eux. Eh bien la volonté de Dieu c’est que nous soyons sauvés ! Il est venu à Noël pour sauver tous les hommes.

Depuis la chute de nos premiers parents l’homme ne cesse de se cacher aux yeux de Dieu et Dieu ne cesse de le chercher et de l’appeler : « Adam où es-tu ? » (Gn 3, 9). Dieu a envoyé ses prophètes pour que les hommes se détournent du mal, mais cela n’a pas suffi. Pour trouver l’homme, il fallait que Dieu se fasse homme afin que l’homme retrouve l’intimité avec Dieu. Il fallait que Dieu prenne une nature humaine semblable à la nôtre. Jésus est venu pour nous sauver en donnant sa vie par amour de tous les hommes. Nous sommes tous prédestinés au salut, nous sommes tous aimés de Dieu d’un amour infini. Il faut vraiment que nous y mettions de la mauvaise volonté pour ne pas réaliser le plan de Dieu qui est le salut de tout homme.

Le Seigneur respecte notre liberté, il ne nous forcera jamais à entrer dans son plan de salut. Mais si nous le voulons, si nous acceptons le salut en Jésus-Christ, c’est-à-dire si nous croyons en lui, si nous lui remettons toute notre vie, alors nous obtiendrons la vie éternelle. Cette vie éternelle qui est déjà commencée, qui est cette présence intime de Dieu en notre corps : « Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? » (1Co 3, 16). 

Extrait de Lumières dans la Bible (2020)


Ecouter la prière du jour avec les Dominicains de Bordeaux :
https://www.prierdanslaville.org/office/425?utm_campaign=meditation_pdlv_14_09_2023&utm_medium=email&utm_source=newsletter
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MessageSujet: Re: 14 septembre : la Croix Glorieuse   14 septembre :   la Croix Glorieuse EmptyJeu 14 Sep - 10:00

Laissons-nous contempler

Publié par Jean-Luc Fabre, compagnon jésuite sur 14 Septembre 2023, 08:16am


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Merci à l'auteur de cette image


Nous sommes à environ six mois de la célébration du passage du Seigneur, cette pâque dont nous ne cessons de vivre chaque jour, percevant sans cesse l’action du Ressuscité dans le quotidien de nos vies. Et, en cette fête de la Croix Glorieuse, il nous est donné de laisser notre intelligence être touchée par le mystère pascal. L’intelligence, c’est cette capacité en nous les êtres humains de reconnaître et même d’établir des liens entre les choses, et de nous introduire ainsi dans les causalités qui régissent le monde et son déploiement…

L’échange avec Nicodème, au tout début de l’Evangile selon saint Jean, est l’occasion pour Jésus d’exposer d’une manière intime et amicale les diverses conditions du salut, les conditions humaines, christiques et divines.

Et tout d’abord le fait paradoxal que le salut, c’est-à-dire la montée au ciel, la relation intime avec le mystère de Dieu ne peut être directement de notre fait, aucun effort par nous-même ne nous permet d’y accéder. Seul celui qui est descendu du ciel, de Dieu, peut aller librement à Lui, retourner à Lui… « Nul n’est monté au ciel sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme ». Dès lors, un chemin nouveau pour nous et notre humanité ne peut surgir seulement qu’à partir de lui, le Christ.

Il s’agira ainsi pour nous en ce chemin de laisser notre cœur se transformer par la contemplation de ce que Jésus déploie en son humanité : la manifestation de l’amour en donnant sa vie, en la donnant jusqu’au bout. Jésus Christ s’offrira de ce fait pour que nous puissions croire à cet amour et pour que nous, comme tout homme qui croit, nous ayons alors la vie éternelle car seul l’amour manifesté et qui demeure, peut être digne de foi !

Et cela sera aussi, plus profondément, la manifestation de l’amour de Celui qui a envoyé le Fils, qui envoie le Fils, qui envoie en Lui ses frères et ses sœurs vers tous les hommes et toutes les femmes, la manifestation du Père.

Nous percevons cette logique, nous la comprenons même. Qu’il soit donné à chacun de nous d’en vivre. Continuons notre célébration ! Laissons-nous porter par la liturgie de l’Eglise. Amen !

Jean-Luc Fabre, compagnon jésuite


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