je sais pas si les chrétiens croient au nde
je vais juste en donner une mais j'en ais plusieurs qui parle de l'attristement ou de la souffrance de Dieu,je vais donner qu'un bout de son nde,le passage que je met en gras sur la souffrance de cette nde est dur ne lisait pas si vous sentez que ça peut vous faire mal mais ça finit bien
Le juge est Dieu ,J’aimerais que vous puissiez le voir et le vivre comme moi, juste un éclair qui contiendrait cependant le savoir que tout va bien se passer. Je vais ajouter autant d’éléments que possible, mais ils proviennent de ce que j’ai finalement écrit au sujet de l’expérience : ********** « Un rictus sinistre s’insinua sur le visage du Procureur. Tout ce que j’avais entendu sur sa soif de culpabilité était vrai, puis il déclara : « Monsieur le Président, l’accusée est coupable de plusieurs chefs d’inculpation pour meurtre. Je souhaite présenter à la cour la liste des victimes pour le procès. ». Il tenait un épais dossier brun à la main. Il a marché vers la barre et l’a tendu au Juge.
En un geste que même Michael Jordan n’aurait pu contrer, j’ai levé la main. Sans même quitter le dossier des yeux, le Juge fit : « Oui ? »
« Je proteste absolument. Je ne peux avoir tué autant de personnes. Non seulement je l’aurais remarqué mais je suis tout à fait sûre que la police et la presse auraient évoqué un tueur en série. »
« Objection acceptée. »
Sans attendre une seconde, j’ai poursuivi : « En fait, qui ai-je tué exactement. Comment les ai-je tués ? Quelles armes ai-je utilisées ? Qu’ai-je fait de tous les cadavres ? » J’étais certaine que mon éclat n’allait pas être très efficace pour convaincre le Juge de mon innocence, mais j’étais hors de moi. Quelle-était cette farce ?
Le Juge, maintenant exaspéré, lut dans le dossier : « Il est mentionné ici que vous avez mordu Annette au bras, le 18 octobre 1975 à 11h 48, sur la cour de récréation de l’école primaire. »
« Et elle en est morte ? Je ne pense pas qu’elle en soit morte !!! » J’étais offensée et troublée.
« Pourquoi l’avez-vous mordue ? »
« Vous plaisantez ? Pourquoi l’ai-je mordue ? J’ai demandé si elle est morte de cette morsure et vous voulez maintenant savoir pourquoi je l’ai mordue. Je suis tout à fait certaine qu’elle était à l’école le lendemain. »
Le Juge attendait.
J’ai protesté : « J’étais en primaire ! » Toujours silencieux, il attendait. « Objection sur le fait qu’Anette ne soit pas morte de ma morsure. » J’étais écœurée. Mes remarques passionnées avaient pour effet que le Juge me fixe agressivement de l’autre côté de la barre. J’ai immédiatement compris que je n’étais pas sur la bonne ligne, bien que j’en ai ignoré la raison.
« Annette n’est pas morte de votre morsure. Vous oui. »
Chapitre Deux
« Je vous demande pardon ? »
Le Procureur grimaça un sourire. Il m’avait emmenée là où il le souhaitait. Matraquée, aveuglée, entre un rocher et un mur. Je n’allais jamais pouvoir le battre si je ne comprenais pas les règles du jeu. Avec une satisfaction sereine, il attendit les explications du Juge.
« Sommes-nous d’accord sur la définition de la loi ? » m’a demandé le Juge. Je n’en étais en fait pas certaine mais je ne savais pas comment le dire.
« C’est une simple question de « oui » ou « non » » suggéra le Procureur avec un sourire suffisant. J’ai imaginé ses yeux enflammés aspergés d’eau, mais cela ne m’a pas aidée. J’ai soupiré.
« Non. Nous ne sommes pas d’accord sur la définition de la loi parce qu’à l’évidence je ne comprends pas. Toute cette affaire semble ridicule. Je ne suis pas une personne si mauvaise. »
Le Procureur attaqua vicieusement : « Vraiment. Alors pourquoi avons-nous des dossiers et des charges aussi complets contre vous ? » Il pointait vers les tables derrière lui. Là se trouvaient des boîtes et des boîtes de dossiers bruns sur et sous plusieurs rangées de tables.
« Qu’y a-t-il dans toutes ces boîtes ? »
« Des preuves. Il est rare qu’on commette des crimes toute une vie en laissant peu de traces. « Amasser pour soi des trésors » etc. Voilà vos trésors, bien amassés et qui vous attendent. »
J’ai tourné les yeux vers le Juge : « Je ne comprends rien à tout cela. »
« Vous comprenez davantage que vous ne le pensez, » suggéra le Juge avec sympathie. « Seuls le temps et le procès détermineront si vous avez utilisé correctement ce savoir. Afin de pouvoir défendre votre cause avec succès devant cette cour, il faut régler certains points de définition. » m’informa le Juge.
Sa déclaration fut plus qu’un choc pour moi : « Vous voulez dire que vous souhaitez vraiment que je l’emporte ? »
« Comment pouvez-vous en douter ? » me demanda-t-il sur un ton qui trahissait sa propre surprise.
L’air hostile et les yeux quasi clos, le Procureur intervint prestement « Ce qu’il veut dire, c’est qu’il a le sentiment qu’il vous faut bénéficier de tous les avantages possibles. ».
J’ai reporté mon regard sur le Juge, craignant que la déclaration du Procureur ne contienne une vérité cachée. Ses yeux scrutaient intensément ceux du Procureur, mais il m’a directement adressé la parole. « Ne crois jamais le serpent qui déguise ma vérité afin de me ravir ma joie. »
« Vous faites allusion au jardin d’Eden ? » demandais-je en tremblant.
Le regard sévère du Juge s’adoucit lorsqu’il me fixa à nouveau. « Le don de perspicacité que je vous ai accordé vous a bien servi dans le passé. Restez-y fidèle maintenant. Effectivement, je faisais référence à Eve. »
Le Procureur lissa son costume une fois de plus. « Revenons à la définition de la loi. » marmonna-t-il.
« J’imagine que je ne comprends pas la définition de la loi selon le Juge. » Répondis-je, ma réponse cachant à peine mes sarcasmes.
« La loi est une règle de conduite contraignante, reconnue par une communauté comme étant imposée et applicable par une autorité. Sommes-nous d’accord sur ce point ? »
« Oui. Je pense que oui. » Je ne savais pas vraiment. Je voulais me dérober afin de voir si je pouvais tirer de cette définition de la loi une échappatoire au meurtre.
« Qu’est-ce qui vous trouble ? »
« Qui est l’autorité et qui décide de la règle de conduite ? » La réponse fut immédiate, me laissant sans plan ni recours.
« JE SUIS l’autorité. Je décide des règles de conduite. C’est MOI. »
J’ai alors fait une pause, non plus pour me dérober mais pour réfléchir. « Je vois. Donc si vous créez une loi, alors tout le monde doit y obéir juste parce que vous pensez qu’il doit en être ainsi. Voilà votre explication de la manière dont j’ai tué quelqu’un par morsure même si je n’étais qu’une gamine ? »
« En mordant Annette vous l’avez blessée. Lorsqu’on blesse quelqu’un, on diminue l’état de fraternité dont toute personne a besoin pour grandir. La plupart des graines mourront ou deviendront trop faibles pour être très productives si on leur enlève l’eau, la terre ou le soleil. De même, une personne mourra ou deviendra trop faible pour être très productive si certaines choses, comme la fraternité, sont diminuées ou totalement étouffées. Cela vous paraît-il sensé ? »
C’était logique au point que j’en étais contrariée, mais à ce moment-là je ne me préoccupais pas de sens. Je cherchais une excuse, n’importe laquelle, pour que les choses tournent en ma faveur. Je savais où il voulait en venir et aussi que je n’allais trouver aucune excuse pour tous les actes de ma vie. Je ne comprenais pas totalement la partie meurtre, je me suis donc dit que j’allais utiliser cette approche pour un temps.
« Bien, comment la charge pour meurtre fonctionne-t-elle ? Comment passez-vous d’une morsure à un meurtre ? Je ne suis pas certaine de comprendre. »
« Etre en colère contre quelqu’un, c’est la même chose qu’assassiner quelqu’un, ainsi qu’il est dit dans Matthieu 5:22 Ne pas pardonner, c’est comme retirer le soleil à une graine. Comme le soleil nourrit la graine pour qu’elle pousse, le pardon nourrit l’âme de l’homme. Quand on est tellement en colère qu’on agit par colère ou qu’on ne pardonne pas, on se prive soi-même de nourriture mais on prive également son prochain de nourriture. »
« S’il en est ainsi, alors j’ai été en colère contre beaucoup de monde. Mais cela signifie-t-il que je sois coupable de les avoir tous assassinés. Je n’arrive pas à comprendre ce point. »
« Que signifie le mot meurtre ? »
« Est-ce selon votre définition ou selon la mienne, parce que la vôtre semble très éloignée ? »
« Bien, commençons par votre définition. »
« Je ne sais pas, tuer quelqu’un ? »
« Bien. Que se passe-t-il si on tue ? »
Ce devait être une question piège. J’ai pensé qu’il valait mieux répondre lentement. « Euh, on meurt… »
« Bien, selon votre propre définition, le meurtre mène à la mort, est-ce exact ? »
« Je sais que cela va se retourner contre moi, mais oui, le meurtre mène à la mort. »
*************
Pourquoi les choses nous arrivent-elles. « Quand ce moment fut passé, il m’adressa à nouveau la parole : « Tu m’as détesté pendant des années parce que tu savais dans ton cœur que j’étais là. Tu pensais que j’aurais dû faire quelque chose mais tu ne t’es pas rendu compte que je l’avais fait. J’ai porté le poids de ta souffrance à ce moment-là. Je t’ai portée pour la traverser, te permettant de n’en subir qu’une partie.
Des trahisons telles que celles-ci tuent totalement. Des graines germent en de tels instants, elles étouffent la vie de toute part en ton être. Elles poussent vite et s’étendent tel un cancer de l’âme. Tu as raison. Tu n’avais que quatre ans. J’étais là. J’y étais pour protéger l’enfant que j’aimais du péché de désobéissance d’un autre, le péché malade de quelqu’un.
Une de mes lois comporte le libre arbitre. Je ne peux briser mes propres lois. Je ne peux maîtriser les pensées, les actions et les esprits des autres. S’il en allait autrement, tous m’aimeraient et m’adoreraient, mais cela n’aurait aucun sens. Quoi qu’il en soit, à ce moment-là, en tous ces moments-là, je t’ai aussi fait le don de moi-même. Si tu m’avais recherché, j’aurais pu te faire traverser n’importe quoi. Il n’est de traversée si grande dont la main du Seigneur Vivant ne puisse supporter la charge de toute éternité. Je t’apprends que si tu me recherches, tu me trouveras. En ma main est la force. Ce jour-là je t’ai sauvée de la mort absolue. »
Je pleurais alors de manière incontrôlable. Je me sentais comme une enfant de quatre ans implorant les merveilles de l’univers, à qui l’on montrait ensuite cet acte horrible de haine. Je me sentais tellement petite. J’ai tout vu de ces terribles instants de mon enfance, chacun d’eux gelé dans le temps, me volant ma valeur et l’estime de moi-même. Chacun d’eux en un film complet bloqué sur une seule image, celle-ci en révélant malgré tout l’intégralité. J’ai regardé ce montage d’odieuse perversion et de ruine, faisant écho aux tourments douloureux tandis que j’étais violée toute mon enfance. D’abord par un ami de la famille, puis par mon père et enfin par mon frère aîné. Cela semblait être un cycle infini d’agressions, de maltraitances et de trahisons. A chaque scène, je me suis vue mourir un peu à l’intérieur, une petite partie de mon âme arrachée.
Là où je m’étais sentie tellement seule et sans protection, à chaque moment d’agression, j’ai alors découvert toute la scène. Il m’a prêté ses yeux, ses perspectives et pire, son cœur. J’ai senti la douleur au plus profond de son âme tandis qu’il ressentait le viol avec moi. Jamais je n’avais su que le Juge avait vécu ma douleur avec moi, l’âme autant violée et fracassée que moi.
Il était resté là tout le temps, sa main toujours présente et tenant la mienne, sa force suppléant les défaillances de la mienne. Il a tendu la main à travers le temps, la distance et l’espace pour m’offrir son abri et son réconfort. Il s’est penché sur moi en murmurant à mon esprit fragile et délicat une seule parole qui a pulvérisé les plus sombres instants de ma vie : « Espoir ». C’est tout ce qu’il a dit. Chaque fois qu’il le disait, la lumière devenait de plus en plus brillante, jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus être éteinte par l’obscurité qui cherchait à la consumer. A nouveau il a parlé, non pas des paroles de jugement mais de vérité. « Au lieu de ma force et de ma lumière, tu as laissé l’obscurité te définir. Pourquoi as-tu fait cela ? »
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Nous sommes tous responsables de ce que nous faisons les uns aux autres : « Ceux qui t’ont blessé seront jugés pour ce qu’ils ont fait. Toi seule doit répondre de tes charges ; eux seuls répondront des leurs. »*****************
« Quelle note étais-je censée atteindre ? »
« Je l’ai déjà expliqué. » répondit-il.
« Oui, Je sais. J’étais censée t’aimer de tout mon corps, mon esprit et mon âme, aimer mon prochain comme moi-même. Deux choses me viennent à l’esprit. Premièrement, que se passe-t-il si personne ne me montre comment aimer mon prochain ? De qui est-ce alors la faute ? Que se passe-t-il si je me déteste moi-même ? Dans ce cas n’ai-je pas satisfait à tes deux attentes ? » demandais-je. J’étais fière de moi pour avoir finalement détecté une lacune dans la définition du Juge.
« Dis-moi comment tu pourrais-tu détester alors que je t’ai créée à mon image ? » me questionna le Juge.
La réponse franchit mes lèvres plus que facilement : « Personne ne m’a jamais traitée comme si j’avais été créée à ton image. Comment aurais-je pu savoir que je comptais ? Comment aurais-je été censée traiter qui que ce soit différemment de la manière dont on m’avait traitée? »
****************Il y a bien autre chose, mais vous pouvez vous en faire une idée… Oui, je n’ai décidé de raconter ce que je sais qu’après une autre EMI provoquée par une attaque le 28 février 2010. « La mort est cet instant quintessentiel durant lequel toutes nos éventualités, nos potentialités se terminent. L’irrévocabilité des dernières chances perdues et des rêves jamais réalisés est la tragique réalité à laquelle nous sommes tous confrontés. Rares sont ceux qui peuvent repousser le sinistre contact avec la grande faucheuse. Toutefois c’est précisément ainsi, en ayant moi-même réchappé de justesse, que je suis entrée en collision frontale avec potentialités et éventualités.
Aux premières heures matinales du 28 février 2011, la somme de mes espoirs et de mes rêves non réalisés s’est embrochée sur le pal de l’incertitude. J’ai émergé d’un sommeil irrégulier, comprenant immédiatement que quelque chose n’allait pas. J’avais une attaque et j’ai miraculeusement pu appeler les Urgences. Quand le brancard a passé précipitamment les portes de l’ambulance, puis le long des murs de l’hôpital, j’ai éprouvé une sensation bizarre de trouble et de panique. Je me concentrais sur une seule chose : rester en vie. C’était un désir impérieux et violent de vivre, montant du plus profond de mon ventre, se répercutant à travers tout mon être.
J’ai entendu les paroles de l’infirmière par-dessus le tumulte des Urgences, renvoyées par les murs stériles du bloc « Mary, Savez-vous où vous êtes ? ». J’ai tenté de répondre mais un ennemi invisible m’avait dérobé la voix. « Mary, savez-vous en quel mois nous sommes ? ». Sa voix était lointaine, comme provenant de l’autre face d’un miroir.
J’ai pensé : « On est en juillet. » maudissant le fait qu’on m’ait volé la voix. « On doit être en juillet parce que c’est l’anniversaire d’Amara. ». Quelque chose clochait. Il y avait de la neige sur le sol. Je me suis rendu compte que je ne savais pas. J’ai également réalisé que j’étais en train de mourir.
J’étais au bord du précipice de mon existence. Je ne pouvais que me repentir de ma propre infertilité. Le gaspillage avait été ma seule acquisition dans le vaste océan des possibilités. Puis, du marécage confus de la dissolution émergea un mot : février.
Soudain, la netteté s’est mise à couler à flot dans la cohérence, concentrant mon esprit obscurci. J’ai commencé à lutter contre le bourbier de lexpulsion et j’ai découvert un nouveau mot : espoir. L’espoir s’est drapé de passion et d’autorité. La vue et le mouvement se sont ajoutés à la soupe de mon âme. On accordait une seconde chance à ma seconde chance. L’éventualité m’avait découverte dans un bloc opératoire à 4 heures du matin. J’ai juré de changer de chemin tandis que mes forces se renouvelaient. J’avais des dons, des idées et des solutions à offrir au monde, je me suis promis de passer chaque instant qui me restait à le faire. Mon propre potentiel pouvait cesser un jour, mais les possibilités que je laisserais aux autres allaient me survivre.
Ce qui s’est produit pendant votre expérience comportait : Un contenu absolument pas conforme aux croyances que vous aviez au moment de votre expérience Je ne croyais PAS vraiment au paradis, à l’enfer, à Jésus ou à Satan… j’étais plutôt du genre New-Age.
Comparez le degré de précision de votre souvenir de l’expérience avec le souvenir d’autres évènements qui se sont produits à l’époque ? Je me souviens plus précisément de l’expérience que d’autres évènements de ma vie à l’époque
Veuillez expliquer tout changement qui aurait eu lieu dans votre vie après votre expérience : Je veux VIVRE réellement avant de mourir, aider autrui à faire de même.
Mon expérience a directement entraîné : De grands changements dans ma vie
Après s’être produite, votre expérience a-t-elle provoqué des changements dans vos valeurs ou vos croyances ? Oui J’ai cessé d’avoir peur de tenter ma chance et de vivre, vivre pour aider autrui à vivre.
Après votre expérience, possédiez-vous des facultés paranormales, sortant de l’ordinaire ou autres que vous n’aviez pas avant l’expérience ? Oui cela semble stupide et je sais qu’on va me critiquer pour cela, mais je sais des choses concernant des personnes au sujet d’évènements qui n’ont pas encore eu lieu. J’ai accumulé un tel palmarès de ce que ma sœur qualifie de voyance. La liste est trop longue. La plupart du temps je pense que je suis folle, mais les choses se réalisent tellement que c’est difficile à réfuter. Cela peut paraître dément de dire que je l’entends de Dieu, pourtant je crois bien que c’est possible.
Avez-vous raconté cette expérience à quelqu’un ? Oui Des années plus tard.