À l'heure de notre mort, est-ce que c'est vraiment le Christ glorifié qui vient à nous ?

je dirai à l'intelligence de la manipulation des textes et des écritures.

bientôt jésus sera le nouveau pharaon,le nouveau Caïn,le nouveau Abel et le nouveau Abraham.

je me disais aussi que l'encens est nocif pour les neurones ce qui est prouvé scientifiquement.

non,loin de ma pensée;l'encens dans un lieu trés vaste ne pose aucun problème;par contre dans un lieu trés fermé, l'encens peut être et est nocif.
il ne vaut mieux pas en fumer à la maison.

jean-luc56 a écrit:

je dirai à l'intelligence de la manipulation des textes et des écritures.

bientôt jésus sera le nouveau pharaon,le nouveau Caïn,le nouveau Abel et le nouveau Abraham.

je me disais aussi que l'encens est nocif  pour les neurones ce qui est prouvé scientifiquement.

Je ne manipule pas, j'interprète, j'apporte l'éclairage d'en Haut

l'éclairage d'en Haut?
il me semble que certaines ampoules de votre lustre ont claqué.

le problème dans les écritures c'est justement les multiples interprétations d'interprétations.....
à force d'interpréter,on manipule sans le savoir, c'est triste.

jean-luc56 a écrit:

je dirai à l'intelligence de la manipulation des textes et des écritures.

bientôt jésus sera le nouveau pharaon,le nouveau Caïn,le nouveau Abel et le nouveau Abraham.

je me disais aussi que l'encens est nocif  pour les neurones ce qui est prouvé scientifiquement.

Ah bon? Dites m'en plus, s'il vous plait. Il se trouve que j'en utilise moi-même, à raison d'un bâtonnet ou d'une demi-cuiller sur un charbon ardent (par contre, je n'utilise pas de papier d'Arménie) . Une bonne odeur dans la maison favorise l'introspection et la méditation mais je ne savais pas que ça pouvait avoir des effets nocifs.

jean-luc56 a écrit:

l'éclairage d'en Haut?
il me semble que certaines ampoules de votre lustre ont claqué.

le problème dans les écritures c'est justement les multiples interprétations d'interprétations.....
à force d'interpréter,on manipule sans le savoir, c'est triste.

Sauf quand on est ordonné ministre de la Parole chargé par le Christ et son Eglise, de donner l'éclairage d'en haut, ne vous en déplaise

Loup Ecossais a écrit:

petero a écrit:

Sauf quand on est ordonné ministre de la Parole  chargé par le Christ et son Eglise, de donner l'éclairage d'en haut, ne vous en déplaise

Je suis ordonné et armé "Chevalier du Christ". Pour autant, je ne me sens pas investi d'une mission divine. Je défends la veuve et l'orphelin...

Mouais enfin, il faut quand même respecter les Evangiles et pas les expurger à votre sauce et vous fabriquer un Christ gaulois.

petero a écrit:

jean-luc56 a écrit:

l'éclairage d'en Haut?
il me semble que certaines ampoules de votre lustre ont claqué.

le problème dans les écritures c'est justement les multiples interprétations d'interprétations.....
à force d'interpréter,on manipule sans le savoir, c'est triste.

Sauf quand on est ordonné ministre de la Parole  chargé par le Christ et son Eglise, de donner l'éclairage d'en haut, ne vous en déplaise

ah il est vrai que vous êtes diacre permanent. Une très lourde et très belle tâche au sein de l'Eglise.

Je relisais justement ce passage :

Le diacre doit porter en soi-même cet esprit de force et de générosité, cet esprit d’amour ardent et impétueux qui était en saint Etienne, le premier diacre de l’Église, et qui parut dans son martyre, pour servir de modèle à tous les diacres et pour leur faire connaître quel doit être leur esprit.
Un diacre, non plus qu’un prêtre qui a l’Évangile entre les mains et qui le porte dans son cœur, ne doit rien craindre, parce qu’il a en lui une force divine qui le rend invincible. Il n’a que faire de châteaux, de bastions, ni de défenses ; il est invulnérable ; il se moque des feux, des gibets et des roues ; il se rit des bourreaux et de tous les tyrans ; il se joue des démons et de tout l’enfer ; il demeure ferme au milieu des plus grandes tempêtes ; rien n’est capable d’ébranler sa constance.

Extrait de Salve Regina - Auteur : Jean-Jacques Olier, Traité des Saints Ordres, 1657