Vatican II, et ses textes sur l'islam

Vatican II, et ses textes sur l'islam :

Citation :

16 Enfin, quant à ceux qui n'ont pas encore reçu l'Evangile, sous des formes diverses, eux aussi sont ordonnés au peuple de Dieu(18 ). et, en premier lieu, ce peuple qui reçut les alliances et les promesses, et dont le Christ est issu selon la chair (cf. Rom. 9, 4-5 ), peuple très aimé du point de vue de l'élection, à cause des pères, car Dieu ne regrette rien de ses dons ni de son appel (cf. Rom. 11, 28-29 ). Mais le dessein de salut enveloppe également ceux qui reconnaissent le Créateur, en tout premier lieu les musulmans qui professent avoir la foi d'Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, futur juge des hommes au dernier jour.

La religion musulmane

Citation :

3. L'Eglise regarde aussi avec estime les musulmans, qui adorent le Dieu Un, vivant et subsistant, miséricordieux et tout-puissant, créateur du ciel et de ta terre (5), qui a parlé aux hommes. Ils cherchent à se soumettre de toute leur âme aux décrets de Dieu, même s'ils sont cachés, comme s'est soumis à Dieu Abraham, auquel la foi islamique se réfère volontiers. Bien qu'ils ne reconnaissent pas Jésus comme Dieu, ils le vénèrent comme prophète; ils honorent sa mère virginale, Marie, et parfois même l'invoquent avec piété. De plus, ils attendent le jour du jugement où Dieu rétribuera tous les hommes ressuscités. Aussi ont-ils en estime la vie morale et rendent-ils un culte à Dieu, surtout par la prière, l'aumône et le jeûne.

Si, au cours des siècles, de nombreuses dissensions et inimitiés se sont manifestées entre les chrétiens et les musulmans, le Concile les exhorte tous à oublier le passé et à s'efforcer sincèrement à la compréhension mutuelle, ainsi qu'à protéger et à promouvoir ensemble, pour tous les hommes, la justice sociale, les valeurs morales, la paix et la liberté.

Et l'Eglise n'est pas naïf en regardant AUSSI ce que contient l'islam de positif et de préparant le coeur des hommes au Messie.



Cela n'empêche pas le bon sens sur le danger actuel de l'islam, d'abord pour lui-même, puis pour le monde entier, par sa tentation conquérante et nihiliste



Face à l’islam, A mon avis, il faut deux attitudes :



D'abord, certains points des deux fois sont irréconciliables (la Trinité, Jésus et sa divinité, sa mort sur la croix, la charité théologale).

Mais d'autres points sont communs et l'islam constitue une préparation qui s'achèvera lorsque le Christ les invitera à passer du statut de serviteur à celui d'almi.



D'où cette phrase de Jean-Paul II aux jeunes musulmans à Casablanca en 1985.

Citation :

« Nous croyons au même Dieu, le Dieu unique, le Dieu vivant, le Dieu qui crée les mondes et porte ses créatures à leur perfection »,

Et en vidéo :


Vatican II, Leçon 9 : Les autres religions (18 mn)
Elles ne donnent pas le salut. Mais elles ont reçu des semences de l’Esprit saint pour préparer le salut par Jésus Christ.

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Citation :

Cela n'empêche pas le bon sens sur le danger actuel de l'islam, d'abord pour lui-même, puis pour le monde entier, par sa tentation conquérante et nihiliste

Oui, il y a un risque que Dieu permet et canalisera au besoin. Le monde est très loin de tourner autour de l'islam, rien que l'Hindouisme comporte presque autant de fidèles. Le plus grand danger est l'acharnement contre les Chrétiens persécutés, et pour les musulmans eux même qui souffrent de leur religion, notamment les femmes dans de nombreux pays.
Ailleurs l'islam est inexistant.

La position de l'Eglise est juste et équilibrée, elle enjolive volontairement les choses pour calmer les tensions. Je ne doute pas que le discours puisse radicalement se durcir au besoin.
En attendant, ayons cette fierté de ne pas succomber à la haine pure et simple et d'encourager au respect des personnes, en condamnant l'erreur doctrinale.

Le Pape a cherché une ouverture bien qu'il soit parfaitement conscient que l'islam a une vision appauvrie et meurtrie de Dieu. Je préfère ce genre d'attitude plutôt qu'un appel à égorger les infidèles version barbarie islamique.

[quote="Rose"]

Citation :

Le Pape a cherché une ouverture bien qu'il soit parfaitement conscient que l'islam a une vision appauvrie et meurtrie de Dieu. Je préfère ce genre d'attitude plutôt qu'un appel à égorger les infidèles version barbarie islamique.

La dernière fois que l'église a parlé vrai au sujet de l'islam, ce fut lors du discours prononcé à Ratisbonne le 12 septembre 2006.

Il s'agissait de trois malheureux paragraphes insérés au milieu d'un discours beaucoup plus long. Evidemment, seuls ces paragraphes ont retenu l'attention et les musulmans, toujours si prompts à jouer les victimes se sont dits "offensés". Ils ont évidemment oublié de préciser en quels termes une foule de prédicateurs musulmans remplis de haine parlent des chrétiens (et des juifs) tous les vendredis dans leurs mosquées. Si les chrétiens avaient vent ne serait-ce que du centième de ce qui s'y raconte, ils auraient le droit d'être non seulement offensés mais franchement inquiets.

Comme souvent, la plupart des critiques musulmans se sont exprimés après avoir pris connaissance du passage concerné du discours ouï-dire et en ignorant complètement de quoi il s'agissait. Une habitude bien ancrée dans tout le monde musulman.

Si encore le monde musulman s'était limité aux habituelles rodomontades des Al-Quaradaoui et autres "lumières de l'islam". Mais il a évidemment fallu que les foules excitées (par qui?) aillent foutre le feu à des églises ne représailles.

Rose a écrit:

Citation :

Cela n'empêche pas le bon sens sur le danger actuel de l'islam, d'abord pour lui-même, puis pour le monde entier, par sa tentation conquérante et nihiliste

Le plus grand danger est l'acharnement contre les Chrétiens persécutés, et pour les musulmans eux même qui souffrent de leur religion, notamment les femmes dans de nombreux pays.

Petit détail en passant: les chrétiens ne sont pas les seuls à subir les persécutions des musulmans et sur ce plan, il n'y a pas à opérer de distinction entre les victimes selon leur religion ou leur race ou n'importe quel autre critère.

Citation :

Petit détail en passant: les chrétiens ne sont pas les seuls à subir les persécutions des musulmans et sur ce plan

C'est exactement ce que j'ai dis. Il faut lire toute la phrase sans en altérer le sens ou l'extraire de son contexte.

Lebob a écrit:

La dernière fois que l'église a parlé vrai au sujet de l'islam, ce fut lors du discours prononcé à Ratisbonne le 12 septembre 2006.

Il s'agissait de trois malheureux paragraphes insérés au milieu d'un discours beaucoup plus long. Evidemment, seuls ces paragraphes ont retenu l'attention et les musulmans, toujours si prompts à jouer les victimes se sont dits "offensés". Ils ont évidemment oublié de préciser en quels termes une foule de prédicateurs musulmans remplis de haine parlent des chrétiens (et des juifs) tous les vendredis dans leurs mosquées. Si les chrétiens avaient vent ne serait-ce que du centième de ce qui s'y raconte, ils auraient le droit d'être non seulement offensés mais franchement inquiets.

Comme souvent, la plupart des critiques musulmans se sont exprimés après avoir pris connaissance du passage concerné du discours ouï-dire et en ignorant complètement de quoi il s'agissait. Une habitude bien ancrée dans tout le monde musulman.

Si encore le monde musulman s'était limité aux habituelles rodomontades des Al-Quaradaoui et autres "lumières de l'islam". Mais il a évidemment fallu que les foules excitées (par qui?) aillent foutre le feu à des églises ne représailles.

Vous vous trompez. Ces trois paragraphes n'étaient pas la position de l'Eglise mais la citation d'un ouvrage : un dialogue entre un empereur byzantin et un calife.

Arnaud Dumouch a écrit:

Lebob a écrit:

La dernière fois que l'église a parlé vrai au sujet de l'islam, ce fut lors du discours prononcé à Ratisbonne le 12 septembre 2006.

Il s'agissait de trois malheureux paragraphes insérés au milieu d'un discours beaucoup plus long. Evidemment, seuls ces paragraphes ont retenu l'attention et les musulmans, toujours si prompts à jouer les victimes se sont dits "offensés". Ils ont évidemment oublié de préciser en quels termes une foule de prédicateurs musulmans remplis de haine parlent des chrétiens (et des juifs) tous les vendredis dans leurs mosquées. Si les chrétiens avaient vent ne serait-ce que du centième de ce qui s'y raconte, ils auraient le droit d'être non seulement offensés mais franchement inquiets.

Comme souvent, la plupart des critiques musulmans se sont exprimés après avoir pris connaissance du passage concerné du discours ouï-dire et en ignorant complètement de quoi il s'agissait. Une habitude bien ancrée dans tout le monde musulman.

Si encore le monde musulman s'était limité aux habituelles rodomontades des Al-Quaradaoui et autres "lumières de l'islam". Mais il a évidemment fallu que les foules excitées (par qui?) aillent foutre le feu à des églises ne représailles.

Vous vous trompez. Ces trois paragraphes n'étaient pas la position de l'Eglise mais la citation d'un ouvrage : un dialogue entre un empereur byzantin et un calife.

Exact. Mais la citation était extrêment pertinente. Et a fait mal à l'endroit sensible à voir les réactions dont je faisais état.

http://www.alertadigital.com/2012/03/12/el-director-de-una-mezquita-en-holanda-dice-a-unos-alumnos-que-los-ninos-no-musulmanes-son-perros-y-las-autoridades-holandesas-lo-consideran-un-desafortunado-lapsus/

Quelqu'un a entendu parler de ça ? :evil: Mais c'est horrible et cette photo ? Mais qu'est ce que c'est que ça ?!