19-20 juillet 1972:
Nous, soussignés sommes témoins du fait que l'état du corps d'Ivan Moîsséieff ne confirme pas le diagnostic du certificat de décès indiquant "asphyxie mécanique par noyade".
Nous affirmons que la mort est intervenue à la suite de violences préméditées.
Nous le confirmons par des photographies et des documents: Mon coeur a été transpercé six fois, mes jambes et ma tête fortement battus, brûlures sur la poitrine.
Suivent 23 signatures des témoins, habitants du village de Volontirovka.