Un homme, une femme,......une seule Flamme

Chers amis

Les campagnes d'éradication du couple et de la famille, tels que Dieu notre Père , dans son unique Sagesse les a voulus, sont en train de gagner énormément de terrain, c'est le moins que l'on puisse assurer.
Voici ce lien: http://www.mydailyprosperity.com/pour_une_meilleure_societe

où les auteurs chrétiens, recherchent au minimum un million de signatures pour faire obstacle au projet de loi en cours aux USA. Cela ne prend que 30 secondes de lectures + 3 secondes pour la signature.
Petite goutte d'eau certe, ùais pour que la flamme du couple créateur et co-créateur, la Flamme de l'Esprit Saint en la Famille voulue pas Dieu, continue à brûler sur notre monde angoissé.

amitiés
Christian

Cher Chrisrtian, On ne peut éradiquer une loi naturelle.

Elle revint au galop à la génération suivante.

Exemple: Dans les années 60, le MLF voulu éradiquer les différences homme-femme.

Le mouvement "ni putes, ni soumises" leur a répondu: "Nous ne vous voulons pas avec nous. Nous ne sommes pas contre l'homme et l'enfant, mais pour la complémentarité de l'homme et de la femme dans le respect.

Le "mariage" gai est une aberration. La tendance qui prévaut, parfaitement pernicieuse, consiste à mêler habilement intolérance (discrimination) et refus de ce type d'"union"! Or on peut se montrer parfaitement tolérant vis-à-vis de ceux qui cèdent à leurs déviances homosexuelles et vivent ensemble, et par ailleurs s'opposer clairement et fermement à la prétention de ces "couples" ainsi formés, à se marier, et, à plus forte raison, à adopter des enfants. En effet, ces derniers n'auront pour modèle structurant que celui de deux hommes ou de deux femmes : vers quel type de société voulons-nous aller, sachant que la famille en constitue le noyau essentiel? L'homosexualité est une pathologie que l'individu concerné traduit par un rejet de la différence, pathologie née, le plus souvent, durant l'enfance. Il est avéré que l'enfant élevé par un "couple" homosexuel se construira en fonction de la sexualité de ses "parents"... Merci, cher Christian, pour cette pétition : défi relevé! je la signe et je la fais connaître. Ce problème est capital. Bien amicalement.

Fanny a écrit:

vers quel type de société voulons-nous aller, sachant que la famille en constitue le noyau essentiel?

MDR. A t'entendre, on a l'impression que la société sera homosexuelle le lendemain.^^

Je ne m'inquiéte pas pour tout ça... Le mariage demandé par les homos pourrait très bien être une phénomène de mode... Il y aura toujours quelqu'un pour leur mettre des batons.

Et puis, il se peut très bien que plus tard une société devenue conservatrice à la manière de Bush interdise les mariages homos...

EDIT : ah oui, jusqu'à preuve de contraire, le mariage est une invention humaine.

Plusieurs pays ont déjà légalisé l'"union" homosexuelle ; c'est au tour de la Grande-Bretagne de "marier" (apparier?) ses homos, un certain Elton John en tête... Et d'envisager l'adoption. Ne sous-estimez pas le danger que cela fait courir à la famille conçue comme une complémentarité de l'amour, et un apprentissage de la différence... Quant au mariage, dans son sens profond, il a été voulu par Dieu : "Homme et femme Il les créa..." (de mémoire, dans la Genèse) ; Arnaud en a assez parlé : le sacrement est une chose, l'engagement en est une autre (cf. site sur les divorcés remariés). Enfin, une société à la Bush, parfaitement puritaine, n'a pas grand-chose à envier à une société laxiste à l'extrême : on va d'un excès à l'autre. Qu'en pensez-vous?

Cher Fanny, Cher Sousou,

D'après Tony Anatrella qui l'a étudié par le passé, il semble qu'il y a eu dans l'histoire des "modes " semblables. Et elle se sont toujours retournées ontre les milieux homosexuels à la génération suivante.

En attendant, une fois de plus, on fait des expériences sur des enfants. L'enfant ne peut se défendre.

Une remarque cynique:

Il est curieux de voir les avortements, faits en masse, et sans que personne ne proteste.

A côté de cela, la génération de ceux qui ont voté l'IVG a peur de voter une loi sur l'euthanasie: sans doute ont-ils peur que leurs enfants en profitent, au moment voulu, pour les pousser abusivement vers la mort ? Est-ce l'expérience de ce qui est arrivé aux plus petits?

Quel tragique retournement ce serait...

Oui. Arnaud, je le crois, c'est bien possible

Le Ciel vous entende, cher Arnaud...! A l'heure où les femmes se font congeler leurs ovules, en Grande-Bretagne entre autres pays, afin de pouvoir "faire carrière" avant d'envisager une maternité, les médecins qui les assistent sont tout aussi coupables que ces femmes de ne pas faire primer l'intérêt de l'enfant : où est l'amour, là-dedans? C'est l'égoïsme et des intérêts divers qui font que l'être humain, une nouvelle fois, joue à l'apprenti sorcier... A l'heure des Droits de l'enfant, il y a encore du pain sur la planche!! Faisons d'abord le ménage en Occident. Quant à votre remarque sur les IVG et sur l'euthanasie, il pourrait en effet se produire de ces retournements de situation! Les générations soi-disant "progressistes" risquent de subir les conséquences d'avoir joué avec le feu, ou plutôt avec la vie. Dieu seul donne la vie, et l'ôte...

J'ai l'impression que, quoiqu'elle fasse, la génération en nquestion vivra une approche de la mort terrible:

- Elle a peu d'enfants. Elle les a élevé dans le matérialisme.
- Elle est nombreuse et possède le magot. Les enfants pourraient trouver cela trop lourd...
- Elle n'aura pas la consolation de la religion qu'elle a rejeté...

Oui, merci, cher Arnaud. L'existence terrestre sans vie spirituelle aucune est un désert bien aride... Il est surprenant de noter (mais pas tant que cela, au fond) que nombre de familles, actuellement, demandent aux prêtres une absoute, ou une cérémonie "d'adieux" pour leurs défunts, alors qu'elles ne pratiquent pas et ne se disent pas croyantes..., ou alors "vaguement", ce qui revient au même. Obscurément, elles ressentent le besoin de mettre l'être cher qui vient de trépasser, sous l'égide du Ciel ; de la même manière que, dans les campagnes, on éprouvait le besoin de baptiser les enfants : "Nous ne sommes pas des bêtes!", me dit un jour une paysanne... Bien amicalement.