[url=https://www.al-islam.org/hijab-muslim-womens-dress-islamic-or-cultural-sayyid-muhammad-rizvi/quran-and-hijab#:~:text=Islam has strongly emphasized the,and hijab as defined earlier]https://www.al-islam.org/hijab-muslim-womens-dress-islamic-or-cultural-sayyid-muhammad-rizvi/quran-and-hijab#:~:text=Islam%20has%20strongly%20emphasized%20the,and%20hijab%20as%20defined%20earlier[/url].
Selon cet expert, c’est Dieu lui-même qui exige la règle de décence (analogue chez les religieuses non défroquées et pour les mêmes raisons) du hijab. En conscience droite, les musulmans ont donc certainement le droit de travailler à l’amendement de la loi,, avec moyens de pression comme tout autre groupe social, tout en prenant garde de ne pas causer de tort disproportionné au bien commun, et en attendant militer pour l’école-maison ou l’école privée (probablement la meilleure solution de toute facon; l’avenir pourrait être à l’école privée ou maison, mieux placées au plan des valeurs, en moyenne, et jouissant d’une concurrence utile des familles).
Puisque le hijab est permis dans la rue, comme la soutane ou la kippa, et aussi bien dans les musées d’état, les stades d’état etc, l’exception des écoles semble difficile à soutenir car elle ampute un droit existant ailleurs sans bénéfice clair pour le bien commun. ON est dans un zone grise ou le droit individuel devrait primer à moins de preuve irréfutable de torts causés. Or pour évaluer ces torts possibles, Une approche comparative est nécessaire. Au USA, ou il y a stricte séparation des églises et de l’état, mais les écoles publiques permettent sans problème le hijab chez les élèves; seuls 3 états l’interdisent chez les enseignants. ON ne voit pas du tout en quoi le bien commun serait menacé, pas plus que si les juifs portaient la kippa.
Il n’est donc pas excessif de parler d’islamophobie latente de la loi de 2004, dérivant des excès de la loi de 1905, une péripétie francofrancais de L'histoire de toute facon.
Ce qui peut faire le jeu de l’Islam violent, lui donnant des arguments contre l’incohérence des infidèles (au sens étmologique : qui n’ont pas telle foi).