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 Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François

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MessageSujet: Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François   Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François EmptyJeu 12 Jan - 9:08

Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François


sur. https://www.lepoint.fr/monde/le-bras-droit-de-benoit-xvi-s-epanche-sur-les-tensions-avec-francois-12-01-2023-2504534_24.php

Les Mémoires de Mgr Georg Gänswein publiés ce jeudi évoquent les coulisses de la cohabitation inédite entre Benoît XVI et le pape François.


Avec le pape Francois, Benoit XVI avait des relations froides.

Une semaine à peine après les funérailles de Benoît XVI, son plus proche collaborateur, Mgr Georg Gänswein, publie jeudi des Mémoires très attendus où il égratigne le pape François en racontant les tensions ayant émaillé la cohabitation inédite entre son mentor et son successeur. Le livre, intitulé Rien que la vérité – Ma vie aux côtés de Benoît XVI, retrace l'ascension au trône de Saint-Pierre de Joseph Ratzinger, son pontificat (2005-2013) marqué par les scandales, et enfin sa retraite dans un monastère du Vatican après sa démission ayant surpris le monde entier.

Le Vatican n'a pas officiellement réagi aux griefs exprimés contre le pape argentin par Mgr Georg Gänswein dans son livre, mais au bout de plusieurs jours de publications des bonnes feuilles dans la presse, le prélat allemand de 66 ans a été convoqué lundi pour un entretien à huis clos avec François, dont rien n'a filtré. Mgr Gänswein, dont la belle prestance faisait les choux gras de la presse italienne au temps de sa splendeur, affirme entre autres que le pape argentin avait « brisé le cœur » de son prédécesseur en limitant le recours au latin que lui-même, conservateur, avait développé. Jusqu'à sa mort le 31 décembre à 95 ans, Benoît XVI était utilisé comme porte-étendard par l'aile conservatrice de l'Église, qui juge François trop progressiste.


«Choqué et sidéré »

À son poste de secrétaire particulier de Joseph Ratzinger depuis 2003, avant même son élection à la papauté, jusqu'à sa mort, Mgr Gänswein a été un témoin privilégié des coulisses de son pontificat. Après sa mort, c'est lui qui a accueilli les visiteurs lors de l'exposition du corps du pape émérite dans le cadre solennel de la basilique Saint-Pierre, et qui a ensuite baisé le cercueil de son mentor devant des dizaines de milliers de fidèles lors de ses funérailles place Saint-Pierre présidées par le pape François. Le prélat n'hésite pas à égratigner le chef actuel de l'Église catholique, son supérieur direct, en faisant état de la perplexité qu'ont suscitée chez le pape émérite certaines décisions de son successeur.


Après sa démission en 2013, la première d'un pontife depuis le Moyen Âge, Benoît XVI avait promis de vivre « retiré du monde », mais a brisé cette promesse plusieurs fois sur des sujets explosifs, comme le célibat des prêtres en 2020. Lors de cet épisode, Mgr Gänswein affirme avoir fait office de bouc émissaire : il fut en effet privé par François de tout rôle exécutif au sein du Vatican, ne gardant que son titre vidé de sa substance. « Restez à la maison à partir d'aujourd'hui. Accompagnez Benoît, qui a besoin de vous, et agissez comme un bouclier », lui aurait lancé le pape à cette occasion. Mgr Gänswein affirme avoir été « choqué et sidéré » par sa mise à l'écart. Lorsqu'il rapporta ces paroles à Benoît XVI, celui-ci fit ce commentaire mi-figue mi-raisin : « Apparemment, le pape François ne me fait plus confiance et fait de vous mon gardien. »

«Le beau Georges »

Benoît était alors intervenu auprès de François pour le faire revenir sur sa décision, mais en vain, écrit le prélat, originaire de Bavière comme son protecteur. « Un peu transgressif » dans sa jeunesse, il avait les cheveux longs et écoutait Pink Floyd. Ordonné prêtre en 1984, il devint le secrétaire du cardinal Joseph Ratzinger et le suivit au palais apostolique après son élection, devenant la coqueluche des médias avec son allure d'acteur hollywoodien. Surnommé « bel Giorgio » (« le beau Georges ») par la presse italienne, il apparut aussi en tenue de tennis dans des magazines people.


Ses relations étroites avec Benoît XVI suscitèrent bien des jalousies, écrit-il dans ses Mémoires. Avec le pape François en revanche, les relations restèrent froides, et la sortie de ce livre aux relents polémiques ne devrait pas contribuer à les améliorer. Selon les observateurs du Vatican, le pontife argentin pourrait nommer Mgr Gänswein à un poste d'ambassadeur, donc loin du Vatican et de ses intrigues.
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MessageSujet: Re: Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François   Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François EmptyJeu 12 Jan - 9:08

Les papolatres vont avoir des problèmes
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MessageSujet: Re: Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François   Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François EmptyJeu 12 Jan - 9:47

RenéMatheux a écrit:
Les papolatres vont avoir des problèmes : quel pape adorer?
OH René ! pourquoi dire cela? alors que vous savez très bien que nous n'ADORONS QUE DIEU SEUL !

D'ailleurs, voici un article du Vatican qui donne un autre "son de cloche" :


Entretien avec Mgr Ganswein: Benoît XVI a vécu en aimant le Seigneur jusqu'au bout

Dans un entretien accordé aux médias du Vatican, le secrétaire particulier de Benoît XVI, Georg Gansweïn livre un témoignage émouvant sur ses nombreuses années et sur ses dernières heures aux côtés du Pape émérite décédé le 31 décembre dernier.

Entretien réalisé par Silvia Kritzenberger - Cité du Vatican

Éprouvé, ému, mais en même temps en paix, l'archevêque Georg Gänswein, ex-préfet de la Maison pontificale et secrétaire particulier du cardinal Joseph Ratzinger puis du Pape Benoît XVI, est venu ce mercredi 4 janvier dans les studios de Radio Vatican. Il a raconté à notre micro les derniers moments de l'existence terrestre de l'homme qui a servi l'Église en tant qu'évêque de Rome de 2005 à 2013, avant de faire un choix historique en renonçant à la papauté il y a presque dix ans.


Des milliers de fidèles ont rendu hommage à la dépouille mortelle du Pape émérite. Vous avez passé une grande partie de votre vie avec lui, comment vivez-vous ce moment?


Humainement, je suis très mal. Je me sens mal, je souffre... Mais spirituellement, très bien. Je sais que le Pape Benoît est maintenant là où il voulait aller.

Dans quel état d'esprit Benoît XVI a vécu ces derniers jours ? Quels ont été ses derniers mots?


Je n'ai pas entendu ses derniers mots de mes propres oreilles, mais la nuit précédant sa mort, une des infirmières de garde les a entendus. 

Vers trois heures du matin, il a dit: «Seigneur, je t'aime».

 L'infirmière me l'a dit dès que je suis arrivé dans la chambre le lendemain matin, ce sont les derniers mots que j'ai vraiment compris. 

D'habitude, nous chantons les Laudes devant son lit. Ce matin-là aussi, j'ai dit au Saint-Père: «Faisons comme hier. Je prie à haute voix et vous vous joignez à moi spirituellement»

En fait, il ne lui était plus possible de prier à haute voix, il était vraiment fatigué. À ce moment-là, il a juste ouvert un peu les yeux -il avait compris la question- et a hoché la tête pour dire oui.

 Alors j'ai commencé. Vers 8 heures, il a commencé à respirer de plus en plus difficilement. 

Deux médecins étaient présents -le Dr Polisca et un réanimateur- et ils m'ont dit: «Nous craignons que le moment ne soit venu pour lui d'endurer son dernier combat sur terre»

J'ai appelé les Memores et Sœur Brigida aussi, je leur ai dit de venir parce qu'il était à l'agonie. À ce moment-là, il était lucide.

 J'avais préparé à l'avance les prières d'accompagnement pour le mourant, et nous avons prié pendant environ 15 minutes, tous ensemble, tandis que Benoît XVI respirait de plus en plus difficilement. De plus en plus, je voyais qu'il ne pouvait pas respirer correctement. 

Puis j'ai regardé un des médecins et j'ai demandé s'il était à l'agonie. Il m'a dit que c'était le cas: «Ça a commencé, mais nous ne savons pas combien de temps ça va durer». 

Et ensuite, que s'est-il passé?


Nous étions là, tout le monde a ensuite prié en silence, et à 9h34, il a rendu son dernier souffle. Puis nous avons continué les prières, non plus pour les mourants mais pour les morts. Et nous avons conclu en chantant "Alma Redemptoris Mater"

Il est mort à l'octave de Noël, sa saison liturgique préférée, le jour de l'un de ses prédécesseurs, saint Sylvestre, Pape sous l'empereur Constantin. 

Il avait été élu à la date à laquelle nous commémorons un Pape allemand, saint Léon IX, originaire d'Alsace; il est mort le jour d'un Pape romain, saint Sylvestre. 

J'ai dit à tout le monde que j'allais appeler le Pape François immédiatement pour qu'il soit le premier à le savoir. Je l'ai fait et le Pape m'a dit: «Je viens immédiatement !». Il est venu, je l'ai accompagné dans la chambre où Benoît XVI est mort et j'ai dit à tout le monde de rester. Le Pape a salué (ceux qui étaient là), je lui ai offert une chaise, il s'est assis près du lit et a prié. Il a donné la bénédiction et a ensuite pris congé. Cela s'est produit le 31 décembre 2022.

La salle de presse du Saint-Siège a rendu public, dans la soirée du samedi 31 décembre 2022, au jour de la disparition du Pape émérite, le testament qu'il avait rédigé le 29 août ...

Quels mots de son testament spirituel vous ont le plus touché?


Le testament en tant que tel m'a beaucoup touché. Choisir quelques mots est difficile, je dois dire. Mais ce testament avait déjà été écrit le 29 août 2006, en la fête liturgique du martyre de saint Jean-Baptiste. Il est écrit à la main, très petit mais lisible, dans la deuxième année de son pontificat. 

En allemand, il est écrit "O-Ton Benedikt", ce qui signifie "Il s'agit bien de Benoît". Si j'avais eu ce texte en tant que tel, sans en connaître l'auteur, je l'aurais reconnu. On y retrouve l'esprit de Benoît. En le lisant ou en le méditant, on peut voir que c'est le sien. Tout de lui est là-dedans, en deux pages.

C'est, en synthèse, une action de grâce à Dieu et à la famille? 


Oui, c'est une action de grâce, mais c'est aussi un encouragement pour les fidèles à ne pas se laisser égarer par des présupposés, que ce soit dans le domaine théologique, philosophique ou autre.

 En définitive, c'est l'Église qui communique. C'est l'Église, Corps du Christ qui vit, qui communique la foi à tous et pour tous.

 Parfois, même en théologie, s'il y a des théories très éclairées,ou des théories qui semblent l'être, il se peut qu'après un an ou deux, elles soient déjà passées. La foi de l'Église catholique est ce qui nous apporte véritablement la libération et nous met en contact avec le Seigneur.

Quel est le message le plus fort de son pontificat?


Sa force réside dans la devise qu'il a choisie lorsqu'il est devenu archevêque de Munich, en citant la troisième lettre de Jean:

 "cooperatores veritatis", c'est-à-dire "collaborateurs de la vérité", ce qui signifie que la vérité n'est pas une pensée, mais une personne: c'est le Fils de Dieu. 

Dieu s'est incarné en Jésus-Christ, en Jésus de Nazareth, et voici son message: 

ne suivez pas une théorie sur la vérité, mais suivez le Seigneur. "Je suis le chemin, la vérité et la vie". 

C'est son message. Un message qui n'est pas un fardeau. C'est plutôt une aide pour porter tous les fardeaux de chaque jour, et cela donne de la joie. 

Les problèmes sont là, mais plus la foi est forte, plus elle doit avoir le dernier mot.

Le monde n'oubliera jamais ce 11 février 2013, l'annonce de la renonciation. Certains continuent à dire que ce n'était pas un choix libre ou même qu'il voulait en quelque sorte rester Pape. Qu'en pensez-vous?


Cette question, je l'ai moi-même posée dans différentes situations. 

«Saint-Père, ils cherchent à savoir ce qu'il y a derrière votre annonce du 11 février après le consistoire. Ils cherchent, ils cherchent, ils cherchent...» et Benoît XVI affirmait: 

«ceux qui ne croient pas que ce que j'ai dit est la vraie raison du renoncement, ne me croiront pas, même si je dis maintenant "Croyez-moi, c'est ainsi !"». 

Cela est et reste la seule raison, et nous ne devons pas l'oublier. Il m'avait confié en amont cette décision. «Je dois le faire». J'ai été parmi les premiers à essayer de le dissuader. Et il m'a répondu sèchement. «Écoutez, je ne vous demande pas votre avis, mais je vous communique ma décision, sur laquelle j'ai prié, souffert. Elle a été prise "coram Deo" (face à Dieu)».

 Il y a ceux qui ne croient pas ou qui font des théories, disant qu'il «laisserait une partie mais garderait une autre partie» (des responsabilités), etc.: tous ceux qui disent cela ne font que des théories sur un mot ou un autre et en fin de compte ne font pas confiance à Benoît, à ce qu'il a dit. C'est vraiment un affront contre lui. 

Bien sûr, chacun a sa propre volonté, sa propre liberté, et peut dire des choses qui ont du sens ou qui en ont moins. Mais la vérité toute nue est la suivante: 

il n'avait plus la force de diriger l'Église, comme il l'a dit en latin ce jour-là. J'ai demandé: «Saint-Père, pourquoi en latin ?». Il a répondu: «C'est la langue de l'Église». Ceux qui pensent qu'ils peuvent ou doivent trouver une autre raison se trompent. Il a communiqué la vraie raison. Amen.

Quel aspect vous a le plus impressionné dans votre proximité avec Benoît XVI pendant sa longue période de Pape émérite?


Presque dix ans. Benoît -déjà en tant que cardinal, déjà en tant que professeur- avait un grand don. Beaucoup disent d'humilité.

 Oui, c'est vrai, mais aussi -ce n'était peut-être pas si apparent- une capacité à accepter quand les gens ne sont pas d'accord avec ce qu'il dit. En tant que professeur, c'est normal. Il y a la confrontation, le discours, le "combat" entre différents arguments.

 Dans ce contexte, on utilise également des mots forts, mais sans jamais blesser et, si possible, sans controverse. C'est une autre chose est quand on est évêque puis Pape. On prêche et on écrit non pas comme une personne privée, mais comme quelqu'un qui a reçu le mandat de prêcher et d'être le berger d'un troupeau. 

Le Pape est le premier témoin de l'Évangile, voire du Seigneur. Et là, nous avons vu que ses paroles, les paroles du successeur de Pierre, n'étaient pas acceptées. Mais cela nous dit que le leadership de l'Église ne se fait pas seulement en commandant, en décidant, mais aussi en souffrant, et cette part de souffrance n'était pas mince. Lorsqu'il est devenu émérite, il est certain que toute la responsabilité et tout le pontificat étaient terminés pour lui. 

Pensait-il qu'il vivrait aussi longtemps après sa renonciation?


Il y a environ trois mois, je lui ai dit: «Saint-Père, nous approchons du dixième anniversaire de mon épiscopat: Épiphanie 2013, Épiphanie 2023. Nous devons faire la fête». Mais cela signifie aussi dix ans depuis son renoncement. Certaines personnes me demande comment se fait-il que Benoît XVI ait renoncé en disant qu'il n'avait plus la force et qu'il vive encore dix ans. 

À cela il répondait: «Je dois dire que je suis le premier à être surpris que le Seigneur m'ait donné plus de temps. Je pensais une petite année tout au plus et il m'en a donné dix 95 ans est un bon âge, mais les années et la vieillesse ont aussi leur poids, même pour un "Pape émérite".  

Il affirmait également l'avoir «accepté et j'ai essayé de faire ce que j'avais promis : prier, être présent et surtout accompagner mon successeur dans la prière». C'est très beau.

 Je recommande également à ceux qui ont des problèmes avec sa décision de relire ce que Benoît a dit en remerciant le Pape François dans la salle Clémentine à l'occasion du 65e anniversaire de son ordination sacerdotale.

 Enfin, un jour en plaisantant, j'ai dit -pas très élégamment: «Saint-Père, ha fatto i conti senza l'oste (vous avez pris votre décision sans consulter les principaux intéressés); ce à quoi il a répondu: 


«Je n'ai pas fait cela. J'ai accepté ce que le Seigneur m'a donné. Il m'a donné ça, je dois le remercier. C'est ma conviction. D'autres peuvent avoir d'autres idées, théories ou convictions, mais c'est la mienne».

Quel a été le plus grand enseignement pour votre vie et qu'est-ce qui vous manquera le plus chez Joseph Ratzinger?


Le plus grand enseignement est que la foi écrite, la foi parlée et proclamée n'est pas seulement quelque chose qu'il a dit et prêché, mais quelque chose qu'il a vécu. 

C'est un exemple pour moi. La foi apprise, enseignée et proclamée est devenue la foi vécue. Et ceci pour moi en ce moment où je souffre, sans être le seul- est un grand soulagement.

Dans son testament, Benoît XVI écrit: «Si, à cette heure tardive de ma vie, je jette un regard sur les décennies que j'ai vécues, je vois tout d'abord combien de raisons j'ai de rendre grâce». Était-il un homme heureux et comblé?


C'était un homme profondément convaincu que dans l'amour du Seigneur on ne se trompe jamais, même si humainement on fait beaucoup d'erreurs. Et cette conviction lui a donné la paix et -on pourrait dire- cette humilité et aussi cette clarté. 

Il avait l'habitude de dire  que la foi doit être une foi simple, pas simpliste, mais simple. Parce que toutes les grandes théories, toutes les grandes théologies sont basées sur le fondement de la foi. Et ceci est et reste la seule nourriture pour soi et aussi pour les autres.

Merci d'avoir passé ce moment avec nous.


C'est moi qui vous remercie pour cette invitation. Je suis venu de très bon gré et je sais bien que le Pape Benoît s'est senti très soutenu et aussi -si je puis dire- aimé, aimé pour ce que vous avez fait et aussi entouré de votre affection.


https://www.vaticannews.va/fr/vatican/news/2023-01/entretien-mgr-ganswein-benoit-xvi-a-vecu-en-aimant-le-seigneur.html
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MessageSujet: Re: Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François   Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François EmptyJeu 12 Jan - 13:47

Espérance2 a écrit:
RenéMatheux a écrit:
Les papolatres vont avoir des problèmes : quel pape adorer?
OH René ! pourquoi dire cela? alors que vous savez très bien que nous n'ADORONS QUE DIEU SEUL !
Les croyants oui!
Mais les pseudo croyants qui veulent que certain pape ne se trompe jamais..........
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MessageSujet: Re: Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François   Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François EmptyJeu 12 Jan - 18:00

Plutôt que de "salir" le Pape Emérite Benoit XVI, les médias feraient mieux de regarder ce qu'il a dit et fait pour l'Eglise.


«Faire briller la lumière du Christ, et non sa propre lumière»


Au cœur du magistère de Benoît XVI se trouve le visage d'une Église qui ne cherche pas le pouvoir, le succès et de grands chiffres. Telle est la clé, pour Joseph Ratzinger de la "nouvelle évangélisation".

Andrea Tornielli

Benoît XVI est mort Pape émérite et a été enterré en tant que Souverain Pontife. 



Un océan de prières a accompagné le rite funéraire présidé par le Pape François sur le parvis de la basilique Saint-Pierre. 


Des prières de gratitude s'élèvent du monde entier, dans la certitude que Joseph Ratzinger peut enfin jouir du visage du Seigneur qu'il a aimé et suivi toute sa vie, et à qui il a adressé ses derniers mots avant d'entrer en agonie: 
«Seigneur je t'aime !».

Il y a un trait distinctif qui unit Benoît XVI à son successeur, et que l’on retrouve dans les mots formulés par le Pape émérite lors de son premier message Urbi et orbi, le matin du jour suivant son élection: 



«En entreprenant son ministère, le nouveau Pape sait que sa tâche est de faire briller la lumière du Christ devant les hommes et les femmes d'aujourd'hui: non pas sa propre lumière, mais la lumière du Christ». 


Pas sa propre lumière, son propre protagonisme, ses propres idées, ses propres goûts, mais la lumière du Christ. Car, comme l'a dit Benoît XVI,


 «l'Église n'est pas notre Église, mais son Église, l'Église de DieuLe serviteur doit rendre compte de la manière dont il a géré le bien qui lui a été confié. 
Nous ne lions pas les hommes à nous, nous ne cherchons pas le pouvoir, le prestige, l'estime pour nous-mêmes». 


Il est intéressant de noter que déjà en tant que cardinal, pendant des années, Joseph Ratzinger avait mis en garde l'Église contre une pathologie qui l'affligeait et l'afflige encore: celle de s'appuyer sur des structures, sur l'organisation. Celle de vouloir «compter» sur la scène mondiale pour être «pertinent».

En mai 2010, à Fatima, Benoît XVI a déclaré aux évêques portugais: 



«Lorsque, dans le sentiment de beaucoup, la foi catholique n'est plus le patrimoine commun de la société et qu'elle est souvent perçue comme une graine minée et obscurcie par les "divinités" et les seigneurs de ce monde, il lui est très difficile de toucher les cœurs par de simples discours ou des appels moraux, et encore moins par des rappels génériques des valeurs chrétiennes». Car «la simple énonciation du message n'atteint pas le cœur de la personne, ne touche pas sa liberté, ne change pas sa vie. Ce qui fascine avant tout, c'est la rencontre avec des personnes croyantes qui, par leur foi, attirent les gens vers la grâce du Christ, en témoignant de Lui». 


Ce ne sont pas les discours, les grands raisonnements ou les rappels vibrants des valeurs morales qui touchent le cœur des femmes et des hommes d'aujourd'hui. Les stratégies marketing et prosélytes ne sont pas nécessaires à la mission. 


L'Église d'aujourd'hui ne peut pas non plus penser vivre dans la nostalgie de la pertinence et du pouvoir qu'elle avait dans le passé. Bien au contraire, tant Benoît XVI que son successeur François ont prêché et témoigné de l'importance du retour à l'essentiel, à une Église riche uniquement de la lumière qu'elle reçoit librement de son Seigneur.

Et c'est précisément ce retour à l'essentiel qui est la clé de la mission. Joseph Ratzinger l'avait dit lorsqu'il était encore préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, lors d'une catéchèse en décembre 2000, citée ces jours-ci par le directeur de Fides, Gianni Valente. Joseph Ratzinger s'appuie sur la parabole évangélique du Royaume de Dieu, comparé par Jésus à la graine de moutarde, qui 



«est la plus petite de toutes les graines mais qui, une fois qu'elle a poussé, est plus grande que les autres plantes du jardin et devient un arbre». 


Évoquant la "nouvelle évangélisation" dans les sociétés sécularisées,  il soulignait qu’il fallait éviter 
«la tentation de l'impatience, la tentation de rechercher immédiatement le grand succès, de rechercher de grands chiffres". Parce que ce «n'est pas la méthode de Dieu». 


La nouvelle évangélisation, a-t-il ajouté, «ne peut pas signifier:


 attirer immédiatement, avec des méthodes nouvelles et plus raffinées, les grandes masses qui se sont éloignées de l'Église». 


L'histoire même de l'Église, observait encore le cardinal Ratzinger, enseigne que 


«les grandes choses commencent toujours par une petite graine et que les mouvements de masse sont toujours éphémères». Car Dieu «ne compte pas avec les grands nombres ; la puissance extérieure n'est pas le signe de sa présence. 


La plupart des paraboles de Jésus mettent en évidence cette structure de l'action divine et répondent ainsi aux préoccupations des disciples, qui attendaient du Messie des succès et des signes tout autres -des succès du type de ceux offerts par Satan au "Seigneur"».


 Les chrétiens, rappelle encore le futur Benoît XVI, 


«étaient de petites communautés dispersées dans le monde, insignifiantes selon les critères du monde. En réalité, ils étaient la graine qui pénétrait la pâte de l'intérieur et portaient en eux l'avenir du monde». Il ne s'agit donc pas d'«élargir les espaces» de l'Église dans le monde: 


«Nous ne cherchons pas une audience pour nous-mêmes, nous ne voulons pas augmenter le pouvoir et l'extension de nos institutions, mais nous voulons servir le bien des personnes et de l'humanité en donnant de l'espace à Celui qui est la Vie. Cette expropriation de soi, en l'offrant au Christ pour le salut de l'humanité, est la condition fondamentale d'un véritable engagement dans l'Évangile».

C'est cette conscience qui a accompagné le chrétien, théologien, évêque et Pape Benoît XVI tout au long de sa longue existence. Une prise de conscience qui trouve son écho dans une citation que son successeur - à qui il a toujours assuré sa "révérence et son obéissance"- a voulu inclure dans son homélie funèbre. 



Elle est tirée de la "Règle pastorale" de saint Grégoire le Grand: 


«Au milieu des tempêtes de ma vie, je suis réconforté par la confiance que tu me maintiendras à flot sur la table de tes prières, et que, si le poids de mes fautes m'abat et m'humilie, tu me prêteras le secours de tes mérites pour me relever». 


«C'est la conscience du berger, commente le Pape François, qui ne peut pas porter seul ce que, en réalité, il ne pourra jamais porter seul et, par conséquent, il sait s'abandonner à la prière et au soin des personnes qui lui sont confiées». 


Parce que sans Lui, sans le Seigneur, nous ne pouvons rien faire.



«Faire briller la lumière du Christ, et non sa propre lumière» - Vatican News
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MessageSujet: Re: Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François   Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François EmptyJeu 12 Jan - 18:07

Benoît XVI et la transmission de la foi, à l'ère du numérique


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Benoît XVI encourage les chrétiens à être des témoins numériques plutôt que des influenceurs, à transformer les réseaux sociaux en «portes de la vérité et de la foi». 


Et il ne le fait pas seulement avec des mots. 


Le 12 décembre 2012, pour la première fois, un Pape a publié un tweet via le compte @Pontifex ouvert quelques jours plus tôt. Ce geste est comparé par certains à la création de Radio Vatican, par Pie XI. 


Tout le monde n'approuve pas, craignant une exposition du Pape aux critiques et aux offenses, mais Benoît XVI est convaincu d'un choix qui va dans le sens de la nouvelle évangélisation. Une fois de plus, un Pape sait comment saisir le potentiel des innovations technologiques pour atteindre des personnes qui, autrement, resteraient exclues de l'annonce de l'Évangile.


Quelques semaines après l'ouverture du compte, Benoît XVI a renoncé à son ministère pétrinien, mais @Pontifex a été «réactivé» par François, qui atteint aujourd'hui - par ses tweets en 9 langues - plus de 50 millions de followers chaque jour. 


Si donc, pendant les presque huit années de son pontificat, Benoît XVI a communiqué en utilisant les langues les plus diverses avec créativité et courage, pendant les presque dix années en tant que Pape émérite, sa communication a pris une forme différente, invisible mais non moins efficace: la forme du silence et de la prière.




extrait de :  Benoît XVI et la transmission de la foi, à l'ère du numérique - Vatican News
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MessageSujet: Re: Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François   Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François EmptyLun 6 Fév - 17:39

« La mort de Benoît XVI a été instrumentalisée », dénonce François

Dans l’avion qui le ramenait d’Afrique, dimanche, le pape François est revenu sur ses liens avec Benoît XVI, et a révélé que le pape émérite avait fait travailler quatre théologiens pour réfléchir sur les unions civiles des couples de même sexe.

« J’ai pu parler de tout avec le pape Benoît, et j’ai pu échanger des opinions », a affirmé François, au cours de la traditionnelle conférence de presse qui clôt chaque voyage papal. 


Interrogé sur la mort de son prédécesseur par un journaliste, au retour de son voyage de six jours en République démocratique du Congo et au Soudan du Sud, le pape a affirmé que Joseph Ratzinger avait toujours été « à ses côtés »« S’il avait une quelconque difficulté, il m’en parlait. Et on en parlait. Et il n’y avait pas de problèmes », a assuré François.

« Je le consultais pour certaines décisions. Et lui était d’accord », a détaillé François. Avant de poursuivre : 
« Je crois que la mort de Benoît XVI a été instrumentalisée par des gens qui veulent apporter de l’eau à leur propre moulin. »


 Sans jamais citer la salve de critiques qui ont éclaté contre lui après la mort du pape allemand, notamment à travers des livres publiés en Italie, François a dénoncé ceux qui,


 « d’une manière ou d’une autre, ont instrumentalisé une personne si pieuse »« Ces gens-là n’ont pas d’éthique. Ce sont des personnes de parti, pas d’Église », a-t-il ajouté.

François a aussi révélé que le pape émérite avait fait travailler quatre théologiens sur la question des unions civiles entre personnes du même sexe, après que fut révélée, en 2020, une interview dans laquelle le pape argentin affirmait qu’il ne s’opposait pas aux unions civiles.

« La criminalisation de l’homosexualité est un problème »


« Une personne qui se croit un grand théologien est allée voir le pape Benoît par le biais d’un ami. Et il s’est plaint de moi, a raconté François. Benoît n’a pas été effrayé. Il a appelé quatre cardinaux théologiens de haut niveau. Il leur a dit “expliquez-moi ça”. Et eux, ils lui ont expliqué. Et l’histoire s’est finie comme ça. »


extrait de :

https://www.la-croix.com/Religion/Voyage-pape-mort-Benoit-XVI-ete-instrumentalisee-denonce-Francois-2023-02-05-
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MessageSujet: Re: Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François   Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François EmptyLun 6 Fév - 17:58

Espérance2 a écrit:

« La criminalisation de l’homosexualité est un problème »

Eh bien cela ne me plait pas du tout du tout! C'est aller vers la banalisation de l'homosexualité!

Or d'après la Bible, les homosexuels risquent de finir en enfer! Eh bien cela c'est bien plus grave que de passer devant un tribunal! mais le pape françois n'a pas l'air de prendre la bible aux sérieux!

Pour que ce soit clair : Je rappelle cette NDE du Père Jose Maniyangat sur https://imitationjesuschrist.forumactif.com/t2199-pere-jose-maniyangat-il-a-visite-le-ciel-le-purgatoire-et-l-enfer
Citation :
Il a visité le Ciel..le purgatoire et l’enfer !
A ce moment, mon Ange m’a dit :
« Je vais t’amener au Ciel, le Seigneur veut te rencontrer et te parler. »
Il a ajouté qu’en chemin, il voulait me montrer l’Enfer et le Purgatoire.
L’Ange m’a d’abord escorté en Enfer.

C’était une vision effroyable. J’ai vu Satan et les démons, un feu inextinguible aux environs de 2000° C., des vers rampant, des gens qui criaient et se battaient, et d’autres torturés par les démons. L’Ange m’a dit que toutes ces souffrances étaient dues à des péchés mortels sans repentir.
Puis, j’ai compris qu’il y avait sept degrés ou niveaux de souffrances selon le nombre et la sorte de péchés mortels commis dans leur vie terrestre. Les âmes paraissaient très laides, cruelles et horribles. C’était une expérience affreuse. J’ai vu des gens que je connaissais mais dont je n’ai pas la permission de révéler l’identité.
Père Jose Maniyangat : Il a visité le Ciel, le purgatoire et l'enfer ! Barrerouge
Les péchés qui les ont condamnés étaient principalement l’avortement, l’homosexualité, l’euthanasie, la haine, le refus de pardonner et le sacrilège.



Et c'est très sérieux parcequ'on fait tomber ainsi une des barrières qui retient les jeunes de tomber dans ce péché! Il se diront : "Pourquoi pas si c'est pas criminel et honteux? Pourquoi ne pas prendre mon plaisir?" Eh bien je pourrais être inquiet pour mes enfants si ils avaient connaissance de cela!
En fait c'est très grave!
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MessageSujet: Re: Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François   Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François EmptySam 11 Fév - 19:46

l'eglise est clairement dans un temps très trouble j'ai l'impression entre les affaires de pédophilie, et les différentes guerre en son sein.

Le progressisme est également un danger pour l'église, de vouloir se diriger vers les affaires du monde pour lui plaire plutôt que de plaire à Dieu. Alors que le monde lui est déja en l'état de déliquescence.

Bref je pense que nous ne sommes qu'au début du grand trouble de l'église

A noter que nous devons nous rapprocher des figures angéliques en étant bon, à l'écoute, attentif, aimant, pacifique, doux, bienveillant, attentionné, calme et non dans la fureur démoniaque qui vise à faire de la médisance, dire du mal d'autrui et créer du trouble.

Veiller et prier.

_________________
Celui qui me suit ne marche pas dans les ténèbres. Jésus Christ
Shemaʿ Yisrā'ēl YHWH elohénou YHWH eḥāḏ (« écoute Israël, l'Eternel [est] notre D.ieu, l'Eternel [est] un »),

Foi+Espoir+Amour.
L'amour a une voix, L'amour a un Nom, JESUS, JESUS

L'Eglise, dit Bossuet, c'est << Jésus-Christ répandu et communiqué >>.
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MessageSujet: Re: Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François   Le bras droit de Benoît XVI s’épanche sur les tensions avec François EmptySam 11 Fév - 19:52

Vincent01 a écrit:
A noter que nous devons nous rapprocher des figures angéliques en étant bon, à l'écoute, attentif, aimant, pacifique, doux, bienveillant, attentionné, calme et non dans la fureur démoniaque qui vise à faire de la médisance, dire du mal d'autrui et créer du trouble.

Veiller et prier.
 tout à fait et selon une belle formule de Paul Beauchamp, un bibliste jésuite : « C’est l’excès qui est à l’origine, c’est l’excès du bien qui seul peut vaincre l’excès du mal ».
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