| | Journée internationale des droits des femmes le 8 mars : cinq choses à savoir sur cette date symbolique | |
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Invité Invité
| Sujet: Journée internationale des droits des femmes le 8 mars : cinq choses à savoir sur cette date symbolique Lun 8 Mar - 15:39 | |
| La Journée internationale des femmes célébrée à travers le monde le 8 mars est, depuis plus d'un siècle, symbole de luttes et revendications pour le droit des femmes, contre le sexisme et les inégalités face aux hommes.
En cette journée particulière, nous avons souhaité revenir sur l'histoire de cette date et ses liens avec les luttes féministes en cinq questions.
La Journée internationale des femmes célébrée à travers le monde le 8 mars est, depuis plus d'un siècle, symbole de luttes et revendications pour le droit des femmes, contre le sexisme et les inégalités face aux hommes.
En cette journée particulière, nous avons souhaité revenir sur l'histoire de cette date et ses liens avec les luttes féministes en cinq questions.
Quelle est l'origine du 8 mars ? La toute première initiative en faveur d'une journée pour les femmes remonte à 1909. Elle émane alors du Parti socialiste américain.
Mais c'est à la Conférence internationale des femmes socialistes, en août 1910 à Copenhague, que l'Allemande Clara Zetkin fait voter le principe d'une Journée internationale, sans fixer de date.
À cette période, les revendications des femmes contre les discriminations dans l'emploi et pour le droit de vote prennent de l'ampleur dans les pays industrialisés.
Le mouvement des suffragettes pour revendiquer le droit de vote des femmes est né en 1903 au Royaume-Uni où les femmes obtiennent le droit de vote (à partir de 30 ans) en 1918.
À quand remonte la première édition ? La première édition de la Journée des femmes remonte au 19 mars 1911. Ce jour-là, plus d'un million de personnes manifestent pour le droit des femmes en Autriche, au Danemark, en Allemagne et en Suisse.
Dans les premières années, ces journées sont très liées aux mouvements ouvriers et socialistes. En 1914, c'est à la date du 8 mars que des femmes socialistes se rassemblent à Berlin, pour réclamer notamment le droit de vote pour les femmes. Cette date constituerait la première véritable manifestation du 8 mars.
Quel lien avec la révolution russe ? Mise en sourdine après le déclenchement de la Première Guerre mondiale en 1914, la Journée des femmes trouve un nouveau départ en Russie.
Le 8 mars 1917 (23 février dans le calendrier russe), se déroulent à Saint-Pétersbourg (alors nommé Pétrograd) des manifestations d'ouvrières qui réclament du pain et le retour des hommes du front.
C'est le premier acte des événements qui conduiront à l'abdication du Tsar et la révolution russe. En souvenir de ce "premier jour de la révolution russe", Lénine aurait désigné cette date comme jour officiel de célébration pour les femmes.
Après la Seconde Guerre mondiale, la journée du 8 mars devient dans tous les pays du Bloc de l'Est une célébration de la femme et du communisme.
Qui décide de faire du 8 mars une journée internationale ?
Dès le début des années 70, les mouvements féministes occidentaux s'emparent de cette date symbolique pour en faire un moment fort des revendications pour l'égalité des droits politiques et sociaux, pour la légalisation de l'avortement ou l'égalité au travail.
En 1977, l'Organisation des Nations unies (ONU), avec d'autres organisations internationales, fait de cette date la "Journée internationale des femmes" ("International women's day" en anglais).
Quelle édition spéciale pour les 100 ans ? Le 8 mars 2010 marque le centième anniversaire de la "Journée internationale des femmes". Pour l'occasion de nombreuses manifestations sont organisées sur les cinq continents.
Le thème officiel choisi par l'ONU met l'accent sur l'égalité au travail et dans la société: "droits égaux, opportunités égales : progrès pour tous".
En France, le 8 mars 2010 se double de célébrations pour les 40 ans de la création du Mouvement de libération des femmes (MLF), mouvement féministe qui revendique la libre disposition du corps des femmes et milite pour le droit à l'avortement.
https://www.midilibre.fr/2021/03/07/journee-internationale-des-femmes-le-8-mars-cinq-choses-a-savoir-sur-cette-date-symbolique-9413086.php?M_BT=351887930505#xtor=EPR-2-[newsletter]-20210308-[classique] |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Journée internationale des droits des femmes le 8 mars : cinq choses à savoir sur cette date symbolique Lun 8 Mar - 16:05 | |
| Et les femmes de plus en plus opprimées dans les pays islamiques, on n'en parle pas?
Par exemple sur https://www.valeursactuelles.com/faits-divers/enlevee-sequestree-et-tondue-parce-quelle-ne-voulait-plus-adherer-aux-traditions-de-sa-famille-129235
Enlevée, séquestrée et tondue parce qu’elle ne voulait plus adhérer aux traditions de sa famille
Une jeune femme de 20 ans dont la famille algérienne est traditionaliste, a tenté de s’en affranchir. Elle en a payé le prix. Elle s’appelle Kenza et a vécu un véritable calvaire le 20 janvier dernier. L’histoire nous est racontée par Le Parisien, le 7 mars. Celle de cette jeune femme de 20 ans, qui avait décidé de vivre comme elle l’entendait, et de mener donc une vie différente de celle de sa famille d’origine algérienne installée à Lyon. Tout avait changé pour elle au mois de mai dernier, « opprimée » dit-elle par sa famille et ses « valeurs traditionalistes ». Elle s’en était allée à Lille pour « s’amuser » comme elle le raconte dans Le Parisien, pour « rattraper le temps perdu ». Elle avait alors découvert le monde des « Escort-grils » et s’était réinscrite au lycée pour essayer d’avoir son bac.
Mais ce nouveau mode de vie n’a pas plu à sa famille, avec qui elle est restée en contact. Un jour de novembre 2020, elle n’a pas voulu que Kenza reparte à sa vie. Selon le quotidien, la jeune femme a alors fugué et s’est installée en région parisienne. Mais elle est revenue un mois plus tard, et lorsqu’elle a voulu partir, le ton est monté d’un cran. Carte d’identité confisquée, appel à la police … les ponts semblaient alors coupés, détaillent nos confrères. Jusqu’à cette date du 19-20 janvier. Chez elle en région parisienne où elle vit avec un ami, elle descend acheter des pizzas et des cigarettes. Au moment de rentrer, elle est kidnappée par deux hommes qui la « ligotent » , lui scotchent la bouche et la mettent sous une couverture avant de la « jeter dans le coffre d’une voiture ». Malgré cela, elle entend que la voiture se dirige en direction de Lyon et comprend rapidement le lien avec sa famille.
« Dans notre religion, on doit être mariée… »
Pendant toute une journée, elle va vivre au rythme de ses agresseurs qui ne la laissent pas manger, se laver ni aller uriner. « Ils m’ont dit de faire sur moi », concède-t-elle encore choquée par l’événement. Lui reprochant de ne « plus être vierge », ils vont la frapper et la gifler à tour de rôle une bonne partie de la nuit. Ils, ce sont ses sœurs, ses parents et ses frères dont un va la réveiller le 20 janvier au matin « à coups de pied », avant de la « tondre grossièrement » et de la frapper encore toute la journée. Un calvaire qui restera gravé à vie dans sa mémoire, dit-elle. Tout cela, à cause de la religion : « Ils me disaient que j’avais bien cherché tout ça. Que dans notre religion, on doit être mariée. Ils voulaient me marier et me ramener en Algérie ».
Finalement, grâce à son ami en région parisienne, les forces de police sont parvenues à localiser son téléphone et à intervenir pour la libérer. Une grande partie de la famille, ses parents, son frère, sa sœur et une autre femme, ont été mis en examen pour « arrestation, enlèvement, séquestration et détention arbitraire commis en réunion », précise Le Parisien. Le frère a d’ailleurs été incarcéré. L’avocat de la jeune femme dénonce une « radicalisation religieuse », mais Kenza a toujours peur pour sa vie, puisqu’elle le dit : « Dans la ville, on me reproche d’avoir envoyé la famille en prison ». Elle ne veut pas être « une femme battue et soumise » comme sa mère et compte partir à l’étranger après le procès.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Journée internationale des droits des femmes le 8 mars : cinq choses à savoir sur cette date symbolique Lun 8 Mar - 18:40 | |
| Première date: l'Évangile: tous les baptisés sont égaux, hommes ou femmes, selon Gal.3/28, Col.3/11 ou Gal.1/8-9. De plus, dans le mariage, la femme a un droit spécial:
3 Que le mari rende à sa femme ce qu'il lui doit, et que la femme agisse de même envers son mari. 4 La femme n'a pas autorité sur son propre corps, mais c'est le mari ; et pareillement, le mari n'a pas autorité sur son propre corps, mais c'est la femme.
33 et celui qui est marié s'inquiète des choses du monde, des moyens de plaire à sa femme.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Journée internationale des droits des femmes le 8 mars : cinq choses à savoir sur cette date symbolique Jeu 11 Mar - 16:06 | |
| Pour en finir avec le 8 mars et la “journée des femmes”sur https://www.valeursactuelles.com/societe/tribune-pour-en-finir-avec-le-8-mars-et-la-journee-des-femmes-129397 Par Auteur Les Antigones / Jeudi 11 mars 2021 à 14:48 4 Un clitoris géant gonflable, installé face à la Tour Eiffel à l'occasion de la journée des droits des femmes. La provoc', dernier refuge des féministes d'aujourd'hui ? Photo Stefano RELLANDINI / AFP Cette année le mouvement féminin des Antigones n’a encore une fois pas « fêté » le 8 mars, journée internationale des droits des femmes, et s'est contenté d’assister, dans la consternation, au festival des diatribes, des revendications et accusations habituelles des groupes féministes les plus en vue. La “journée internationale des droits de la femme”, avec ses manifestations toutes plus délirantes les unes que les autres, aura au moins eu le mérite de montrer au plus grand nombre les limites du féminisme contemporain, universaliste et intersectionnel. La convergence des luttes semble ainsi n’avoir pas réussi à Marguerite Stern, militante féministe menacée sur son compte Twitter par des « féministes trans » qui l’accusent depuis quelques temps déjà de les stigmatiser. Pendant ce temps-là, d’autres militantes installaient à Paris en face de la Tour Eiffel, rebaptisée pour l’occasion « phallus géant le plus connu de France », une sculpture de clitoris grande de 5 mètres.
Loin d’être anecdotiques, ces deux épisodes témoignent des impasses du féminisme français. Enferrés dans leurs certitudes idéologues, les groupes féministes contemporains se murent dans un silence coupable face à des violences pourtant inacceptables envers les femmes. Au nom de la soi-disant libération sexuelle, elles applaudissent majoritairement la castration chimique des jeunes filles dès leur puberté, la marchandisation des corps des femmes sur le marché de la séduction, ou encore la solitude croissante de femmes victimes du butinage amoureux de notre génération de consommateurs d’amour.
Enferrés dans leurs certitudes idéologues, les groupes féministes contemporains se murent dans un silence coupable face à des violences pourtant inacceptables envers les femmes Au nom du droit des femmes homosexuelles à un enfant, elles participent au diktat de la PMA, seul moyen pour ces dernières d’obtenir un enfant puisque leur stérilité ne résulte pas d’un problème de santé mais de leurs choix de vie. Elles alimentent ainsi le grand marché de la procréation, son commerce des ventres (la GPA suivra…) et des gamètes, au détriment de recherches et de protocoles de soin concernant la fertilité qui seraient respectueux du corps des femmes et de l’intimité des couples… mais ne bénéficieraient qu’aux couples hétérosexuels infertiles.
Au nom du droit des minorités « racisées », elles applaudissent l’arrivée en masse de populations exogènes qui menacent directement la sécurité des femmes européennes. Peut-être minoritaires face au nombre total des viols et agressions sexuelles, ceux commis par des clandestins sont un scandale dans la mesure où contrairement à ceux commis par des proches, ils auraient aisément pu être évités par des choix politiques de bon sens, c’est-à-dire un contrôle des frontières et un choix d’immigrations respectueuses de la culture du pays d’accueil. Toutes les féministes qui ont refusé de dénoncer les gangs de Pakistanais en Angleterre, les viols du nouvel an à Cologne, ou encore les agressions quotidiennes dont font l’objet les femmes françaises sont purement et simplement complices de ces violences.
face au délire des féministes françaises contemporaines, cristallisé chaque 8 mars, notre société a désespérément besoin de revaloriser des discours de bon sens sur les femmes et les relations entre les sexes.
Le dindon de cette triste farce, ce sont bien les femmes, qui ne demandent pour beaucoup finalement pas grand-chose de plus que le respect de leur dignité d’êtres humains et de leurs droits politiques de citoyennes. Leur sexe n’a pas à devenir ni un tabou ni un terrain de guerre. Il est une donnée du réel au même titre que celui des hommes, et implique de ce fait un certain nombre de différences dont la plupart ne concernent que leur liberté individuelle (habillement, rôles au sein du foyer, choix professionnels…). Ceux qui nécessitent d’être discutés par le politique sont uniquement ceux qui le concernent directement, soit parce qu’ils constituent une vulnérabilité objective, et donc nécessitent pour les femmes des protections particulières (physiques, médicales, économiques), soit parce qu’ils impliquent le devenir de la société sur le plan politique.
En somme, face au délire des féministes françaises contemporaines, cristallisé chaque 8 mars, notre société a désespérément besoin de revaloriser des discours de bon sens sur les femmes et les relations entre les sexes, aujourd’hui malheureusement minoritaires et peu soutenus et relayés. C’est ce travail de réflexion et de diffusion d’idées que nous tentons humblement de faire, en janvier autant qu’en mars ou qu’en novembre, depuis 7 ans, sans doute avec moins de unes médiatiques et de fracas, mais avec nous l’espérons un esprit d’honnêteté tout autre que celui des groupes féministes que nous venons de dénoncer, et surtout, en vue du Bien Commun au-delà des guerres de tranchées entre groupes militants.Paf! |
| | | boulo
Messages : 21076 Inscription : 25/12/2011
| Sujet: Re: Journée internationale des droits des femmes le 8 mars : cinq choses à savoir sur cette date symbolique Ven 12 Mar - 7:03 | |
| Une proche , militante du MLF et infirmière , a quitté le mouvement dans les années 1970 à cause du militantisme pour l'avortement , qui dans les faits , est , littéralement , un crève-coeur . _________________ Elargissement du Credo latin par Bardet en 1970 : Y H W H signe la Trinité , ne se prononce pas , se chante par l'Esprit , est UN MOUVEMENT , de toute éternité ( 24/05/2021 ) .
NB La couleur rouge est réservée à la modération .
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Journée internationale des droits des femmes le 8 mars : cinq choses à savoir sur cette date symbolique Ven 12 Mar - 16:11 | |
| Je milite contre l'avortement, je milite pour la contraception. |
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