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 Jeu de mirois pour montrer les maux, les tares de ce monde...

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MessageSujet: Jeu de mirois pour montrer les maux, les tares de ce monde...   Jeu de mirois pour montrer les maux, les tares de ce monde... Empty16/10/2016, 23:19

Mmm la prochaine elle sera pour les républicains, ça va leur piquer les yeux!

Celle-ci est ma tristesse pour mon pays mais aussi, quelque part, mon espérance, ce que j'aimerais que la France puisse un jour devenir...

Un France enfin capable de relever le tête, dignement et de vivre plutôt que survivre...

C'est aussi la Vérité qui dérange ceux qui sont du côté du diable, ceux pour qui le mal c'est le bien, ceux qui aiment la mort et vouent un culte aux ténèbres, ceux qui adorent le mensonge et ne jurent que par le faux témoignage... ceux-là sont visés et se sentiront concernés ceux qui auront un tort cité dans ce texte faisant partis d'un projet ayant pour but de dire la Vérité et de dire: "on peut faire autrement, on peut s'en sortir, on peut suivre un autre modèle... mais le chemin ne sera pas sans risques, il faudra être vigilent, plus que jamais."


...


Famille et Humanisme VS Ordre Moral/culture de mort famillicide.



(Véritable Humanisme et non une étiquette collée sur du poison!)




Contexte alternatif.

Année 1954 du calendrier illégitime en France (seconde guerre mondiale terminée depuis 1943 contre le régime nazi et depuis 1944 contre le régime communiste de l'URSS.) (Les nations de l'Alliance Vie/Alliance Humaniste, surpassaient déjà en connaissances, technologies, sciences et morale les plus importantes puissances du monde.)

Ils sont en 52 du calendrier légitime (57 ans après avoir lancé le premier objet dans l'espace.)



Quelque part dans le nord de la France, durant une journée ensoleillée, une très jeune mère surveillait son enfant qui dormait dans un berceau bleu marine. Elle était sur la terrasse d'un café.

Vêtue d'une ample robe verte claire arrivant légèrement plus haut que ses genoux en dévoilant ses bras, sans doute les autres avaient-ils jugé ses atours… indécents. Ses beaux cheveux châtains entouraient gracieusement son cou, retombant jusqu'à une poitrine que la naissance de son bébé avait fait quelque peu gagner en volume.

Considérée comme une fille souillée, sans dignité, par les mentalités qu'elle jugeait nocives, la jeune mère se fichait des mensonges faits contre elle sans aucune raison valable. Elle leur était indifférente et n'avait que du mépris pour eux. Ils la dénigraient sans aucune légitimité en exhibant fièrement ce qu'ils représentaient à ses yeux: un fléau responsable de nombreux maux. Telle était la façon dont l'adolescente les percevait.

La fille-mère ne leur cachait guère à quel point elle abhorrait ce qu'elle savait effroyables et qu'ils prônaient sans réfléchir ni se poser de question. Ils s'imposaient toujours partout où ils détenaient du pouvoir en se croyant tout permis envers et contre tous ceux qui ne n'étaient pas aux normes des traditions ou croyances dont ils étaient les fruits autant que les tares de leur société.

Lisant un ouvrage traitant sur le fonctionnement de l'univers dans l'infiniment grand et l'infiniment petit, son cerveau se nourrissait de connaissances avec une voracité aussi grande que sa curiosité. Les dernières découvertes, avancées et recherches théoriques laissaient à penser que la gravité était un champ de particules qui de ce fait se voyait régis par des lois radicalement différentes de celles qui s'exerçaient à l'échelle des planètes, des galaxie… de l'univers.

Il s'agissait d'un paradoxe que l'adolescente parvenait à comprendre car non conditionnée dans un carcan où elle se disait que ces choses étaient trop difficiles pour une fille ordinaire comme tant d'autres. Elle ne pensait pas que l'on se malmenait l'esprit pour un rien en laissant cela à une élite.

Bien que rejetant la médiocrité, son peuple n'était ni élitiste ni exigeant dans un couple en cherchant sans cesse un niveau toujours plus élevé dans le choix de la personne. Ils restaient des gens simples, humbles, ce qui leur permettait de vivre avec davantage de sérénité ainsi qu'un meilleur équilibre dans leur vie au sain d'une société restée incomprise par bon nombre de population sur Terre.

Des filles de son âge arrivèrent au bar. Les mauvais regards se braquèrent immédiatement sur elles. On les disait perdues, sales, c'était ainsi qu'ils les traitaient, conformément leurs dogmes chrétiens qu'ils prétendaient dotées de vertus sacrées universelles et parfaites qu'on ne devait pas critiquer. Ils avaient un nouvel os à ronger de leurs remarques malfaisantes typiques des états d'esprits liées à une moral religieuse en parfait accord avec leur doctrine considérée comme intouchable.

Elle n'éprouvait que dégoût et dédain pour la terrible abomination qu'elle réprouvait sans pitié. Ils n'étaient pas et ne seraient jamais capables de comprendre que ce qu'ils adoraient dévastait des vies, engendrait toujours beaucoup plus de mal que de bien, Hévie le savait. Comment une idéologie qu'elle constatait comme étant misogyne, haineuse, pourvue d'un ego sans bornes, pouvait construire une société saine de corps et d'esprit ? C'était totalement impossible.

Quelqu'un s'assit à côté du berceau de la jeune fille ayant fêté ses dix-sept ans quelques mois plus tôt. Il s'agissait de son père, un homme vif, élancé, sobrement accoutré d'agréables vêtements soulignant sa droiture morale tout comme son caractère autant sérieux que décontracté. Cheveux noirs assez courts, yeux bleu turquoises, visage carré aux traits marqués, masculin et élégants avec une certaine finesse, il faisait aisément entre cinq et dix ans de moins que ses quarante-quatre ans.

Par sa voix, douce, grave, pleine d'énergie positive ainsi que son allure, l'homme dégageait, une vigueur et une santé étonnantes. Il reçut en partie l'attention de sa fille qui cessa de lire afin d'écouter tout en gardant un œil sur son enfant.

–Bonjour ma chérie. Comment se passe ce séjour en France ?

Les adolescentes furent surprises du ton enjoué de ce père, qu'il vienne ainsi saluer sa fille en lui parlant si gentiment alors qu'elle devait être une honte avec cet enfant bâtard conçus hors mariage. Souriant, son doux et fin visage légèrement arrondis rayonnait de joie. Comme son père, elle vivait autant heureuse qu'épanouie pour une vie dont elle profitait pleinement. Cela se ressentait dans leur attitude, leurs traits, tout ce qui émanait d'eux.

Buvant quelques gorgées de sirop, elle répondit. Certaines filles les écoutaient ou les observaient par moments. Certaines comprenaient, ou comprendraient plus tard, ce qui faisait toute la différence entre ces gens venant d'un autre pays et la France chrétienne fière, orgueilleuse,prétentieuse et qui pourtant, sans le savoir ni en prendre conscience, fonçait droit dans le mur. Ce drame allait arriver si la France refusait obstinément d'entendre raison en dépit du fait que l'alarme était sonnée.

–Salut papa. Oh, tu sais, il y a de beaux paysages, de belles choses à voir mais… ces monuments ne sont que ruines d'un passé révolu, souvent fantasmés et idéalisés. Nous partageons bien plus que tous ces monuments que nous n'avons pas. Nos valeurs, notre histoire, notre culture. Mise à par ça, mon amoureux est un bon père, comme toi. Il n'existe rien tel avec ces… valeurs chrétiennes.

Tout en ayant un tendre regard sur sa petite-fille quand il se pencha avec précautions au-dessus du berceau, il répondit doucement à celle qui, dans son esprit, restait toujours son enfant même s'il la percevait aussi en tant que mère. Une partie de lui ne pouvait encore se résoudre à la voir grandir.

–Ton grand frère vit avec sa femme depuis deux ans maintenant, c'est allez vite entre eux mais, ils se sont bien trouvés. Quand l'un des deux commence, généralement, l'autre enchaîne.

Quels liens positifs existaient entre un bourreau jetant dehors la fille qu'il avait grossièrement engendré et sa victime qui subissait le poids d'une doctrine immorale responsable de ses malheurs ? Méritait-il le statut de père ? Non, ils n'avaient que pour seul rôle celui de vulgaires géniteurs. Il ne pouvait comprendre cette ignominie dénuée d'humanité, dépourvue de toute bonté, juste froide, dure, tranchante… faite dans le seul but de briser, d'humilier, de punir avec le plaisir de détruire.

Il se demandait sans cesse comment on arrivait à défendre de telles saletés sans être complètement stupide, ignare ou sans tout simplement être un mouton, un crétin ? Il existait plusieurs possibilités. Ces individus étaient soit naïfs, soit en conformité à leur idéologie qui rejetait et haïssent tout ce qui était en dehors. Ils osaient mentir, prétendre que le mal était le bien, lui donner des faux mérites, avancer de fausses solutions pour ce qui en réalité ne devraient jamais êtres des problèmes et encore moins traités comme tels.

Amusée par la remarque de son père, elle comprenait ce qu'il voulait dire et s'en amusait.

–C'est sûr, elle a huit ans de plus que lui et il en aura bientôt vingt-cinq dans à peine quelques mois. Je ne regrette pas mon choix. Ça c'est très bien passé parce que j'ai justement eu le choix dans de bonnes conditions. On m'a respecté. Ce n'est pas le cas quand une femme ou une fille comme moi est sauvagement forcée à subir une grossesse avec la culture de mort et de viol. C'est ignoble...

–Ils abusent de son corps, elle n'est pas consentante. Ils restent toujours dans le dénie de leurs crimes en méprisant leurs innombrables victimes. Voilà ce qu'il considèrent comme de l'amour, de la bonté, c'est leur fameuse compassion, voici ce qu'ils appellent une morale sans faille.

Son père ne pouvait s'empêcher de réagir car chez eux leur bon sens de la justice, du bien, la compassion, l'empathie pour les autres mais aussi envers les différentes êtres vivants sur cette planète, était plus grandes que les divers pays sur Terre. Les tribus dites « primitives » avaient la même sensibilité, si absente chez ceux qui se croyaient toujours plus civilisés que les voisins.

Son père continuât sans se gêner d'évoquer la réalité et la Vérité qui dérangeaient tant que le simple fait de les évoquer suffisait à s'attirer les foudres des individus qu'ils savaient hypocrites en plus de leur mauvaise foi aussi indéniable que leur dénie.

–Ils ne leur viendront pas en aide et n'éprouvent aucun remord pour tout le mal qu'ils font. Encore faudrait-il qu'ils aient une conscience mais force est de constater qu'il n'en n'est rien car cela n'a pas d'importance pour eux, ça ne le touche aucunement. Ils se vantent des atrocités qu'ils commettent, preuve de leur totale absence de compassion pour leurs victimes. Tu es ma fille. La simple idée qu'on te fasse subir ça m'est intolérable… on ne touche pas la famille.

Elle l’écoutait, recevant les émotions et les messages que son père lui envoyait. Elle savait à quel point il avait raison, à quel point elle avait une chance inouïe d'être née là-bas plutôt qu'ici dans un pays avec des lois dont elle et les siens connaissaient la nature meurtrières niée par orgueil et par mépris. Hévie répondit.

–Je ne suis ni une chose, ni une marchandise. Je ne suis pas juste bonne à être engrossée à tour de bras dans une maison devenue prison et cela d'une année sur l'autre. Être soumise à un homme, rester sous sa tutelle, rien de tel pour engendrer des sociétés aussi primaires et méprisables n'ayant pas le moindre respect de la dignité humaine et de la vie.

–Nos valeurs sont celles du bien, faites pour protéger la famille. Il ne faut pas s'étonner s'ils ont toujours été aussi misérables car leurs sociétés reposent sur le mensonge. Ils nieront tout en espérant vainement que cela suffira à occulter la misère. On reconnaît un arbre à son fruit, celui servant de fondations à leur système abominable qui joue grossièrement à l'arbre qui cache la forêt.

–Comme tu le dis papa, chez nous, la liberté de choisir a un sens, c'est sacré, il faut le respecter surtout pour celles qui n'ont pas la chance d'en bénéficier. Cela permet aussi de préserver la famille, de protéger d'innombrables femmes et filles de mon âge.

Toutes les possibilités étaient fournies avec le Famille Pérenne ou d'autres groupes formant des réseaux entre eux. Ils avaient le respect de la personne, de son choix, raison pour laquelle quand les gens allaient les voir, ils respectaient leur choix en faisant leur devoir. Ils fournissaient ce qui était demandé par les personnes venant les voir.

–Dans tous les cas, la décision ne revient qu'à toi, naturellement et fondamentalement. Il ne peut y avoir aucun compromis ni de débat là-dessus, sauf pour ceux qui sont les ennemis de ton statut d'être humain et veulent établir un esclavage d'une extrême violence et intrinsèquement misogyne.

Elle s'estimait très chanceuse d'avoir un père aussi exemplaire, doté d'autant de bienveillance. Personne n'avait le droit de toucher à sa famille, encore moins avec des lois iniques et destructrices ne faisant seulement que répandre la mort. Ils le savaient mieux que quiconque, ils le constataient.

Combien d'autres filles n'avaient pas eu la chance d'avoir un homme vrais, un père respectable plutôt qu'un vulgaire géniteur ? Elle était une survivante à l'ordre moral, à la culture de négation de la femme et de son corps, de son statut d'être humain en méprisant le respect de sa dignité et sa vie.

Elle éprouvait de la tristesse pour toutes celles qui subissaient une telle destruction, une mise à mort. Ils dominaient une mère soumise aux grossesses répétées, forcées, subit par résignation ou fatalité. Pour eux, une telle société méritait de disparaître. Elle souffrait pour toutes ces vies ravagées, pour celles réduites au silence qui n'avaient pas cette chance de naître dans un pays incarnant le chemin du bien, le bon et droit chemin.

–Soit on me considère et on me respect en tant qu'être humain, donc je suis libre de choisir, soit on ne me considère pas comme telle alors on peut faire de moi un objet, une chose, une esclave, une marchandise. Il n'existe que deux possibilités. C'est la seule Vérité. Le savoir, les recherches, les connaissances, ne cessent d'apporter des preuves indéniables et irréfutables.

Elle n'était ni fière ni honteuse d’être mère à son âge car ils avaient une morale sensée et raisonnée qui respectait la respectait en tous points. Ils se fichaient des regards haineux qui les fusillaient autant qu'il les condamnaient. Ces individus, trop limités pour comprendre le sens de cette discussion, vomissaient les clichés dans lesquels ils baignaient dans leur milieu toxique.

La société d'où venaient l'adolescente et son père se portait beaucoup mieux depuis toujours grâces à leurs valeurs sur la famille, du respect de la vie : l'Humanisme. Intransigeant, il répondit.

–Le sujet est clos. Rien ni personne n'est en droit de s'en mêler, de faire ingérence dans les affaires de nos pays et encore moins dans ta vie, dans ton intimité. Ils seront obligés d'entrer en guerre contre nous et massacrer d'honnêtes gens par dizaines de millions, d'envahir nos pays pour y établir leur culture de mort, de violeur et de psychopathe misogyne où le mal remplace bien.

Quelques murmures les entouraient mais ils n'en avaient cure. Les autres filles étaient ébahies de ce qu'elles entendaient tandis que les êtres primaires déversaient une hideuse bile avec toute leur morgue et une haine ni justifiable ni légitime ou pourvue d'un quelconque fondement valable.

Taxée de bip, de chienne diabolique, de criminelle tueuse d'enfants, de garce immorale, et lui de bip, de père indigne, d'irresponsable, de faible castré tenu en laisse par sa meurtrière de fille, ou encore accusé à tort d'être complice de meurtre, tout était permis sur eux. Ils pouvaient les calomnier à tort, médire à leur encontre, mentir, les accuser de tous les maux, les diffamer, les salir en toute ignorance, puisque les valeurs fondatrices de leur société en donnaient le droit et ils en faisaient usage sans retenue.

Pourquoi réfléchir, tout était marqué, donc c'était forcément vrai sinon ça ne serait écrit nulle part. Tout ce qui venait de ces horribles non croyants, ces odieux athées, était forcément mauvais. Sinon il ne seraient pas décrits comme les pires monstres pouvant exister.

Une femme enceinte qui ne faisait pas ses trente trois ans, s'exclama joyeusement derrière eux. Ils se retournèrent en les saluant. On donnait à peine vingt-deux ou vingt-trois ans à son homme qui la tenait par la main. Sa robe bleu claire descendait jusqu'à ses genoux, dévoilait également ses bras à la peau dont la pigmentation mate était modérée. Ses beaux et longs cheveux noirs parcourus de quelques belles ondulations tombaient sur son dos, ses épaules, sa poitrine guère plus volumineuse que celle de la jeune maman assise à côté du berceau. Ses yeux verts empreints de fraîcheur, son visage moins rond que celui la jeune fille, ses traits plus francs, la douceur qui en ressortait, tout chez elle envoyait du positif, du bien être, de la joie de vivre.

Ils se tenaient mains dans la main, bras enroulés l'un autour de l'autre, défiaient la bêtise et la niaiserie ambiante. Elle était plus grande que son compagnon dont le visage ressemblait fort à celui de son père assis à côté de sa petite sœur. Habillé d'un long jean bleu, d'une élégante chemise blanche, chaussé en conséquent de sa tenue, il arborait une joie vivre grisant des individus à d'autres tables. Ces hommes dits virils ne connaîtraient jamais de relation si belle et saine, avec une femme.

Soit mariés par défaut, soit ayant une vie misérable dans un semblant de couple qui n'était qu'une pitoyable façade, une image du paraître, la simple vue de ces gens si heureux et rayonnaient de bonheur, plus encore entre une femme plus grande et plus âgée que sont compagnon, exacerbait leur frustrations, décuplait davantage leur amertume. Cette vision était d'autant plus désagréable, insupportable pour eux, que la simple idée de voir des couples fonctionnant à merveille avec des valeurs contraires à celles qu'ils croyaient comme étant les meilleures, si vertueuses, si merveilleuses, leur faisait déverser des flots de médisances et d'insultes.

Ils ne supportaient pas de voir des gens « anormaux » qui rejetaient tout ce qu'ils adoraient comme valeur, vivre dans une telle harmonie avec des valeurs si opposées et inconciliables. Ni convertis, ni mariés, ils osaient, de surcroît, les mépriser avec un sentiment de légitimité implacable.

–Bonjour belle sœur, beau père et (se penche doucement sur le berceau puis, voyant le bébé dormir, chuchote gentiment) bonjour petite nièce que nous aimons et chérissons.

–Bonjour à vous très chers. Ma sœur, c'était à moi de commencer, d'avoir un enfant en premier, là quand même, c'est pas du jeu ! Mais, il est bon de ne pas se prendre au sérieux tout en étant sérieux.

Tout en s’asseyant ils rirent ensemble de la petite plaisanterie de Jean, se saluant dans la joie. Hévie ne fut ni jugée, ni condamnée ou dénigrée pour avoir eu un enfant à son âge en plus de ne pas être mariée. La famille s'était réunie afin d'accueillir la nouvelle venue qui jamais n'y serait perçue comme un crime, une honte, un déshonneur, une bâtarde illégitime. Telle était la morale religieuse coupable de tant de souffrances et de vies saccagées.

Comment ces gens avec des valeurs du bien, de compassion, de bienveillance, de bon sens… pouvaient-ils tolérer une doctrine anti femme et anti famille ? Pour les femmes, il n'y avais rien eu de bon, rien de positif, dans aucune société construite sur les bases d'une doctrine sectaire. Eux, des athées, décrits comme les pires criminels, les plus immoraux que le monde puisse connaître, avaient toujours été bien meilleurs que tous ceux qui les jugeaient avec des grimoires sacralisés à tort.

Jean et son aimée, Clarice, vivaient en paix au sain d'un beau pays sans que personne ne les jaugent d'un mauvais regard du fait qu'elle était plus âgée que son aimé… et plus grande. Ce qu'ils avaient comme valeurs étaient la source de la réussite des nations qu'ils avaient bâtits.

Le fait que pratiquement toutes les familles chez eux vivaient heureuses, épanouies, certes non sans parfois connaître quelques difficultés, sans nier la maigre minorité moins heureuse, parfois en souffrance, les rendait bien plus crédibles que les voisin proches ou lointains.

Tout ceci ne faisait qu'exacerber encore davantage la haine de certains car ces gens, ces sales athées, leurs montraient à quel point ils avaient tort et s'étaient toujours trompés, obstinés dans l'erreur. Mais ils croyaient en des mensonges, fuyaient la réalité en se réfugiant dans un imaginaire où plus rien ne les atteignait, où ils ne faisaient qu'afficher la plus totale indifférence face aux souffrances humaines qu'ils engendraient en rejetant toujours la faute sur autrui.

Comment des gens honnêtes, sensés, dotés d'une conscience, ayant une morale saine, pouvaient ne pas éprouver de mépris pour ces êtres obscurs qui préféraient leur bassesse, la facilité, le dénie qui les caractérisait, à la raison, l'intelligence, le bon sens, la logique... la conscience… ?

Les regards amplis de dédain les fusillaient autant que les frustration refoulées avec une terrible jalousie inavouée car bien trop lourde et douloureuse à porter pour leur ego dont ils faisaient une sainte idole. Ils se dissimulaient derrière tant des certitudes uniquement destinées à fuir la réalité qui les dérangeait et haïssaient ce que ces gens reflétaient : l'image d'une réussite, d'un idéal qu'ils ne seraient jamais en mesure d'atteindre et ne pourraient guère plus approcher.

Il s'agissait d'une lumière mettant en évidence tous leurs échecs, leurs torts… la noirceur qu'ils incarnaient. Ils se mentaient à eux-même, refusaient d'admettre la seule Vérité qui s'imposait à eux, la si fâcheuse réalité qui les poursuivait et les avait déjà rattrapé. Elle les rattraperait encore tant qu'ils resteraient dans l'obscurité qu'ils croyaient lumineuses.
La jeune femme eut alors ces mots qui résumaient un sinistre avenir pour la France :

« Ils peuvent encore agir, cesser de s'égarer, grandir… mais il est sans doute déjà trop tard car ils ne comprennent pas ce que nous sommes, ils ne l'ont jamais compris, ces moutons qui ne peuvent que suivre bêtement. Ils sont les architectes de leur propre destruction tandis que nous resteront spectateurs… et ils oseront toujours nous désigner coupables de tous leurs maux puisque nous avons toujours été les bouc émissaires calomniés à tort et sans raison légitime. »

La jeune fille ajouta alors d'autres paroles :

« Par leur faute, des centaines de millions de vies seront détruites, si ce n'est plus, mais ils seront encore dans le dénie. Quel terrible gâchis. Ce pays pourrait devenir tellement plus, une puissance que rien ne pourrait arrêter sur cette planète… comme nous... »




Aux nostalgiques du : « C'était mieux avant » je ne peux que répondre : « Ça aurait été tellement mieux ainsi… ! »
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