Invité Invité
| Sujet: Droits de l'homme et chariah 3/12/2009, 01:32 | |
| http://gloria.tv/?media=40889 L'islam est vraiment répugnant :x :evil: ! Bravo aux Suisses !
Dernière édition par Paul le 4/12/2009, 00:39, édité 2 fois |
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Tourterelle
Messages : 4803 Inscription : 27/11/2005
| Sujet: Re: Droits de l'homme et chariah 3/12/2009, 01:39 | |
| Ton lien me mène à "page introuvable"... | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Droits de l'homme et chariah 3/12/2009, 01:45 | |
| Comprends pas... je l'ai pourtant regardé avant En gros, il est question des droits de l'homme dans l'islam, ceux-ci étant subordonnés à la charia. S'ensuivaient des images "sublimes" de mains et de pieds coupés, d'étudiantes chrétiennes décapitées, de femmes battues. Ça se terminait par du chant grégorien. Vraiment beau! J'espère que la vidéo sera remise... |
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Pierre75
Messages : 1023 Inscription : 07/01/2009
| Sujet: Re: Droits de l'homme et chariah 3/12/2009, 02:16 | |
| Bonjour Paul, à voir sur un sujet proche, le reportage essentiel de Caroline Fourest sur DURBAN II ; reportage passé sur Arte, que l'on doit pouvoir visionner sur le net. | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Droits de l'homme et chariah 4/12/2009, 00:42 | |
| Le lien est de nouveau fonctionnel, vous pouvez donc regarder le vidéo! |
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Tourterelle
Messages : 4803 Inscription : 27/11/2005
| Sujet: Re: Droits de l'homme et chariah 4/12/2009, 22:34 | |
| Merci Paul... | |
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Mécréant-LV
Messages : 3438 Inscription : 08/04/2006
| Sujet: rée 5/12/2009, 00:23 | |
| - Paul a écrit:
- En gros, il est question des droits de l'homme dans l'islam, ceux-ci étant subordonnés à la charia.
POUR RAPPEL : - Citation :
- 70. A l’instar du Gouvernement, la Cour estime que le système multi-juridique, tel que proposé par le R.P., introduirait dans l’ensemble des rapports de droit une distinction entre les particuliers fondée sur la religion, les catégoriserait selon leur appartenance religieuse et leur reconnaîtrait des droits et libertés non pas en tant qu’individus, mais en fonction de leur appartenance à un mouvement religieux.
Selon la Cour, un tel modèle de société ne saurait passer pour compatible avec le système de la Convention, pour deux raisons : D’une part, il supprime le rôle de l’Etat en tant que garant des droits et libertés individuels et organisateur impartial de l’exercice des diverses convictions et religions dans une société démocratique, puisqu’il obligerait les individus à obéir, non pas à des règles établies par l’Etat dans l’accomplissement de ses fonctions précitées, mais à des règles statiques de droit imposées par la religion concernée. Or, l’Etat a l’obligation positive d’assurer à toute personne dépendant de sa juridiction de bénéficier pleinement, et sans pouvoir y renoncer à l’avance, des droits et libertés garantis par la Convention (voir, mutatis mutandis, l’arrêt Airey c. Irlande du 9 octobre 1979, série A n° 32, p. 14, § 25). D’autre part, un tel système enfreindrait indéniablement le principe de non-discrimination des individus dans leur jouissance des libertés publiques, qui constitue l’un des principes fondamentaux de la démocratie. En effet, une différence de traitement entre les justiciables dans tous les domaines du droit public et privé selon leur religion ou leur conviction n’a manifestement aucune justification au regard de la Convention, et notamment au regard de son article 14, qui prohibe les discriminations. Pareille différence de traitement ne peut ménager un juste équilibre entre, d’une part, les revendications de certains groupes religieux qui souhaitent être régis par leurs propres règles et, d’autre part, l’intérêt de la société toute entière, qui doit se fonder sur la paix et sur la tolérance entre les diverses religions ou convictions (voir, mutatis mutantis, l’arrêt du 23 juillet 1968 en l’affaire « linguistique belge », série A n° 6, pp. 33-35, §§ 9-10, et l’arrêt Abdulaziz, Cabales et Balkandali c. Royaume-Uni, série A n° 94, pp. 35-36, § 72). 71. Quant au second groupe des moyens retenus par la Cour constitutionnelle, celle-ci a estimé que le R.P. avait l’intention d’instaurer la Charia (la loi islamique) comme droit commun et comme droit applicable à la communauté musulmane. Or, pour la Cour constitutionnelle, la Charia serait l’antithèse de la démocratie, dans la mesure où elle se fonde sur des valeurs dogmatiques et est le contraire de la suprématie de la raison, des conceptions de la liberté, de l’indépendance, ou de l’idéal de l’humanité développé à la lumière de la science. Dans plusieurs interventions publiques des membres du R.P. mentionnés par la Cour constitutionnelle, l’objectif d’aboutir à un régime fondé sur la Charia avait été évoqué, parfois explicitement. - Citation :
- 72. A l’instar de la Cour constitutionnelle, la Cour reconnaît que la Charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictées par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques. La Cour relève que, lues conjointement, les déclarations en question qui contiennent des références explicites à l’instauration de la Charia sont difficilement compatibles avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention, comprise comme un tout. Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la Charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses. En outre, les déclarations qui concernent le souhait de fonder un « ordre juste » ou un « ordre de justice » ou « ordre de Dieu », lues dans leur contexte, même si elles se prêtent à diverses interprétations, ont pour dénominateur commun de se référer aux règles religieuses et divines pour ce qui est du régime politique souhaité par les orateurs. Elles traduisent une ambiguïté sur l’attachement de leurs auteurs pour tout ordre qui ne se base pas sur les règles religieuses. Selon la Cour, un parti politique dont l’action semble viser l’instauration de la Charia dans un Etat partie à la Convention peut difficilement passer pour une association conforme à l’idéal démocratique sous-jacent à l’ensemble de la Convention.
L'arrêt, dans son intégralité :]http://cmiskp.echr.coe.int/tkp197/view.asp?action=html&documentId=702044&portal=hbkm&source=externalbydocnumber&table=1132746FF1FE2A468ACCBCD1763D4D8149] | |
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Tourterelle
Messages : 4803 Inscription : 27/11/2005
| Sujet: Re: Droits de l'homme et chariah 5/12/2009, 09:20 | |
| http://www.bing.com/videos/search?q=suisse+minaret&docid=1481628385343&mid=83DDC7FD5DC81E8C393783DDC7FD5DC81E8C3937&FORM=LKVR28#
Je ne connais pas ce monsieur "Oskar Fresinger" mais il exprime très bien ma pensé.. | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Droits de l'homme et chariah 5/12/2009, 17:51 | |
| Faire entrer la charia dans nos sociétés, c'est retourner à l'âge de pierre. Les peuples doivent adopter la loi de l'Évangile, fondée sur l'amour et le pardon et non la loi du talion, arriérée, rétrograde et dépassée. |
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Lephenix
Messages : 1308 Inscription : 21/07/2007
| Sujet: Re: Droits de l'homme et chariah 10/12/2009, 23:01 | |
| En fait, le titre de ce fil aurait dû être : Droits de l'homme et charabia ! _________________ " Allumeur de Réverbères "
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| Sujet: Re: Droits de l'homme et chariah | |
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