Résultats record en 2024 du nombre de catéchumènes et baptisés en France

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Résultats record en 2024 du nombre de catéchumènes en France

À quatre jours de Pâques, l’une des deux fêtes les plus importantes pour les catholiques avec Noël, la Conférence des évêques de France (CEF) a présenté, mercredi 27 mars, les résultats 2024 de son enquête annuelle sur les « catéchumènes », ces adultes et adolescents baptisés chaque année le jour de Pâques, après s’être engagés dans le chemin d’initiation à la vie chrétienne appelé « catéchuménat ». Des résultats jamais atteints depuis la création de cette enquête par la CEF il y a plus de vingt ans, enquête faisant désormais référence.

À l’occasion d’une conférence de presse au siège de la CEF, avenue de Breteuil à Paris (75007), Catherine Chevalier, Directrice du Service national de la catéchèse et du catéchuménat (SNCC), a détaillé les quatre grandes tendances observées cette année :

Des catéchumènes de plus en plus nombreux

Comme l’an dernier, les diocèses de France (104 au total) enregistrent une forte hausse des catéchumènes. De +28% en 2023, cette croissance franchit en 2024 le seuil des 30%. Au total, 7 135 adultes seront baptisés à Pâques cette année, et plus de 5 000 adolescents (c’est-à-dire collégiens et lycéens uniquement, les élèves de primaire n’étant pas comptabilisés dans l’enquête).

Soit plus de 12 000 nouveaux baptisés adolescents et adultes sur la seule année 2024.

Des catéchumènes de plus en plus jeunes

La part des jeunes de 18 à 25 ans, en particulier des étudiants, parmi les catéchumènes adultes, continue d’augmenter en 2024, après la hausse très significative observée l’an dernier. Ils représentent désormais plus du tiers des adultes nouveaux baptisés (36% en 2024, vs 34% en 2023). A noter qu’ils ne représentaient que 23% des catéchumènes adultes avant le COVID.

Un regain de vitalité notable dans les territoires ruraux

La tendance observée l’an dernier dans les territoires ruraux se confirme, avec 29% des catéchumènes adultes vivant en zone rurale. En 2024, les trois provinces ecclésiastiques enregistrant les plus fortes hausses (+50%) sont Besançon, Dijon et Clermont, des provinces majoritairement rurales. Le diocèse de Saint- Claude (Jura) en particulier, enregistre cette année le record de hausse avec plus de 200% de catéchumènes par rapport à l’an dernier (27 en 2024 vs 8 en 2023).

Des catéchumènes de plus en plus exempts de toute culture chrétienne

Si une grande majorité des catéchumènes adultes sont issus de familles de tradition chrétienne, ce nombre diminue chaque année (61% en 2024, vs près de 69% en 2023). A l’inverse, les personnes se déclarant “issues de familles sans religion” augmentent significativement : elles représentent aujourd’hui le quart des catéchumènes adultes.

« Faire l’expérience que le bien vaut mieux que les biens »

Au cours de cette conférence de presse, Jean-Yves Lépine, « néophyte » (i.e. : baptisé l’an dernier) du diocèse de Versailles, a également apporté son témoignage : « Ce qui a été à l’origine, pour moi, du « chemin catéchuménal » que j’ai entrepris, ce sont clairement les rencontres : des prêtres à l’écoute, une communauté paroissiale joyeuse et dynamique. A travers eux, j’ai découvert une Église ouverte et accueillante, et extrêmement diverse ! Face à une société qui paraît de plus en plus matérialiste et semble promouvoir une forme d’individualisme consumériste, être chrétien et « catholique » (ie. universel, étymologiquement), c’est faire l’expérience que LE bien, c’est à dire le soin, l’attention, et plus largement l’Amour, vaut mieux que LES biens, c’est à dire la possession, la richesse le pouvoir ou la gloire ».

Zoom 2024 : l’influence du patrimoine religieux dans les conversions d’adultes

Chaque année, l’enquête « Catéchuménat » de la CEF approfondit une thématique particulière, afin de toujours mieux comprendre et appréhender les facteurs déterminants du chemin catéchuménal. En 2024, le thème de l’enquête portait sur l’influence du patrimoine religieux dans les conversions d’adulte, en lien avec les États généraux du Patrimoine religieux (EGPR) lancés en 2023 par la CEF.

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Qui sont les nouveaux baptisés en 2024 ?
27/03/2024

La Conférence des évêques de France a présenté ce jeudi 27 mars 2024 les résultats de son enquête sur les catéchumènes qui seront baptisés à Pâques.

Quel est le profil des nouveaux baptisés ?
Quels sont les éléments déclencheurs de ces demandes de baptême ?
Quels enseignements tirer de cette enquête ?

Trois questions à Catherine Chevalier, directrice du Service national pour la catéchèse et le catéchuménat de la Conférence des évêques de France (CEF).

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C'est une très bonne nouvelle ! :pompom:

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Constance de nous apporter cette bonne nouvelle.

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En Bretagne, de plus en plus d’adolescents et d’adultes se font baptiser

Par Anne-Cécile Juillet et Rebecca Arondel
Le 30 mars 2024 à 06h05

En Bretagne, le nombre de baptêmes d’adolescents et d’adultes a largement augmenté entre 2023 et 2024. Cette hausse, qui s’exprime aussi au niveau national, s’explique par des raisons très diverses.

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Les adolescents et adultes qui seront baptisés lors de la Vigile pascale, ce samedi soir, ont suivi une préparation de deux à trois ans. (Photo Olivier Corsan/Le Parisien)

En Bretagne, 387 adultes et adolescents vont recevoir le sacrement du baptême, ce week-end de Pâques. Une nette augmentation par rapport à 2023, où ils étaient 249. Rien qu’en Ille-et-Vilaine, ils seront 167, contre 90 l’an passé : quasiment le double. Le phénomène s’inscrit dans une tendance nationale. La Conférence des évêques de France (CEF) annonce 12 000 baptisés adultes et adolescents, cette année, soit une hausse de 50 % chez les adolescents et de 31 % chez les adultes.

Les quatre diocèses bretons, bastions historiques du catholicisme, se retrouvent parmi les territoires français où cette hausse est très marquée, entre 25 et 50 % de plus qu’en 2023.

Les adolescents et adultes catéchumènes (postulants au baptême) qui seront baptisés lors de la Vigile pascale, ce samedi soir, ont suivi une préparation de deux à trois ans.

Ils ont donc formulé leur demande de baptême en 2021-2022, en sortie de pandémie. « La hausse de cette année est peut-être liée à la plus grande disponibilité des gens pendant cette période, marquée par la covid, avance-t-on du côté du diocèse de Rennes. Ils ont sûrement eu davantage de temps pour réfléchir à la foi. En tout cas, ce n’est pas le fruit d’un investissement particulier de notre part. »

L’isolement forcé des confinements successifs a éveillé, chez certains, la soif de se regrouper, dans des structures fraternelles ou au service des plus faibles, détaille la CEF. « Dans une société où 80 % des jeunes n’ont pas reçu d’éducation religieuse, ces jeunes "appelés" ont peu d’idées préconçues sur l’Église, ils ont soif de formation, de repères, de fraternité et d’enracinement », assure le père Vincent Breynaert, directeur du service national Jeunes et vocations.

Les raisons qui mènent au catéchuménat sont multiples et de nature très diverses.

La CEF évoque plusieurs pistes : des épreuves de vie qui interpellent sur le sens que l’on veut y donner, une rencontre avec un croyant ou encore la volonté de s’inscrire dans un héritage familial qui avait peut-être été interrompu. « En Bretagne, la plupart des familles sont de tradition catholique. Des grands-parents peuvent sensibiliser à la foi leurs petits-enfants alors que la génération des parents y avait été indifférente… Il se produit alors une sorte de raccrochage », explique Georges Provost, historien du religieux en Bretagne.

Calvaires bretons ...

Le patrimoine religieux aurait aussi « un impact majeur sur la mise en route d’adultes vers le baptême » et pourrait « clairement jouer un rôle de déclencheur », affirme, de son côté, la CEF dans son enquête parue mercredi 27 mars. Ce patrimoine est omniprésent dans le paysage breton. « Demander à se faire baptiser, pour un jeune, en Bretagne, aujourd’hui, c’est se connecter à une tradition qui peut parler, par les églises, les chapelles, les calvaires, mais aussi les pardons, les pèlerinages, comme le Tro Breiz ou la langue bretonne », rappelle l’historien.

... et influenceurs sur les réseaux sociaux

Le père Nicolas Guillou, prêtre du diocèse de Rennes, avance une explication supplémentaire :

« De plus en plus d’adolescents se convertissent après avoir rencontré la foi sur YouTube ou sur les réseaux sociaux, par le biais d’influenceurs chrétiens ».

À la suite du Padreblog, premier du genre, apparu sur le web il y a plus de dix ans, des influenceurs comme le frère Paul-Adrien, avec ses 60 millions de vues et ses quelque 340 000 abonnés, ont émergé, ces dernières années. « Les jeunes abordent la question de la foi de façon plus décomplexée que les générations précédentes. »

Le Télégramme de Brest

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Bond des baptêmes chez les jeunes : l’Église saura-t-elle les garder ?

Par Claire Gallen/AFP
Le 30 mars 2024 à 06h07

Soif spirituelle ou besoin de fraternité, l’Église enregistre un bond des baptêmes chez les adultes et les jeunes, avec un défi majeur : comment accompagner ces nouveaux venus pour qu’ils ne disparaissent pas des radars après quelques années ?

La célébration de Pâques marquera, cette année, le baptême de 7 135 adultes (en augmentation de 31 %) et de 5 025 adolescents (hausse estimée à 50 %), selon une enquête de la Conférence des évêques de France (CEF) publiée mercredi. Les chiffres restent, certes, modestes, à l’image d’une Église qui ne baptise plus que 65 000 bébés par an (et 220 000 personnes au total, en moyenne), selon des chiffres de 2022.

Mais la hausse intervient après une année 2023 déjà marquée par une progression de 28 % des « catéchumènes » (postulants au baptême) adultes.

« Il ne s’agit pas d’un rattrapage » après la covid « mais d’une tendance de fond », assure Catherine Chevalier, chargée de la catéchèse et du catéchuménat à la CEF.

Surtout, la hausse est portée par le dynamisme des jeunes, qui avaient déjà été 45 000 à se rendre, depuis la France, aux JMJ (Journées mondiales de la jeunesse) à Lisbonne, l’an dernier. Les 18-25 ans représentent désormais 36 % des nouveaux baptisés.

Leurs parcours sont variés. « Mes parents ont été surpris que je retourne à l’église, ils sont un peu dans la logique "si on est intelligent, on ne croit pas en Dieu" », explique Sacha Stock, 28 ans, baptisé en 2023.

Mais « il y a un retour à la foi. Dans le monde compliqué qui est le nôtre, on a besoin de retrouver du sens », ajoute l’agent immobilier d’Igny (Essonne), dont la sœur s’est plus rapprochée de l’islam.

Il assure parler « facilement » de sa démarche avec ses amis, « sans honte ni scrupules ». Catherine Chevalier confirme cette tendance générationnelle : « Les jeunes abordent la question de la foi de façon plus décomplexée que les générations précédentes ».

« La majorité de mes collègues sont religieux, ça n’étonne personne », raconte Melvil C., technicien de 21 ans, originaire d’Orly (Val-de-Marne) et venu à l’Église « après un décès dans (sa) famille », même s’il y « réfléchissai(t) déjà avant ».

À Créteil, où il sera baptisé ce samedi soir, Ashley Jean-Baptiste, 16 ans, explique être allé voir « chez les chrétiens, chez les musulmans » avant de trancher : « J’ai ressenti, chez les catholiques, comme un appel profond ». Comme beaucoup, le lycéen d’origine haïtienne assure avoir trouvé sa voie « après la covid ».

« Un peu peur de la lassitude »

La CEF observe une hausse « significative » des baptisés issus de familles « sans religion » (un quart des catéchumènes adultes) et une augmentation des baptêmes en milieu rural (29 % du total). « Un certain nombre viennent de villages où il n’y a pas un seul chrétien ! », affirme l’évêque du Jura, Jean-Luc Garin, qui évoque un « déclic » dans le parcours de beaucoup de catéchumènes : « La moitié sont passés par des épreuves terribles qui ont déclenché une recherche spirituelle ».

Mais, pour l’Église, la difficulté est de garder ces nouveaux venus, dont beaucoup appréhendent de se retrouver livrés à eux-mêmes après deux ans de préparation intense. « J’ai un peu peur de la lassitude, de la difficulté à conserver ce feu », témoigne, à Créteil, Angèle Louise Fogaing, 17 ans, qui envisage d’« aller à l’église, s’entourer d’amis chrétiens, prier… ».

La CEF ignore combien de néophytes sont encore présents un an après leur baptême mais reconnaît « un véritable enjeu d’accompagnement dans les premières années de la vie chrétienne ». « Nous allons devoir ajuster nos pratiques », a affirmé, à Famille chrétienne, le président de la CEF, Éric de Moulins-Beaufort.

Catherine Chevalier évoque, elle, diverses initiatives prises dans les diocèses : fraternités, groupes de partage… voire, dans une paroisse, des « moments conviviaux » avec « des apéros, une fois par mois ».

Dans le Jura, Mgr Jean-Luc Garin a demandé aux anciens catéchumènes d’« apporter leur énergie » avec des suggestions. « Certains ont proposé "que la paroisse devienne comme une famille", d’autres "la messe, moins mais mieux"… C’est significatif d’un besoin de fraternité et de liturgie joyeuse », estime-t-il.

Le Télégramme de Brest

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Le nombre d'adultes qui doivent être baptisés à Pâques en 2024 est en hausse de près de 31% par rapport à 2023, selon des chiffres publiés mercredi 27 mars par la Conférence des évêques de France (CEF), une instance qui réunit les plus hauts représentants de l'Église catholique.

7.135 adultes doivent être baptisés lors de la fête de Pâques ce week-end, un chiffre en hausse de 31% par rapport à 2023. Cette augmentation est particulièrement marquée chez les jeunes adultes et les adolescents.

Une tendance qui se confirme. Le nombre d'adultes qui doivent être baptisés à Pâques en 2024 est en hausse de près de 31% par rapport à 2023, selon des chiffres publiés mercredi 27 mars par la Conférence des évêques de France (CEF), une instance qui réunit les plus hauts représentants de l'Église catholique.

Cette augmentation s'observe depuis 2021, année où 3.639 adultes ont été baptisés lors de la fête de Pâques, la plus importante chez les chrétiens.

Ce week-end, ils doivent être 7.135. La CEF souligne aussi que la hausse est particulièrement importante chez les jeunes de 18 à 25 ans cette année, qui représentent 36% des baptisés adultes, contre 23% "avant la période de pandémie".

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https://www.bfmtv.com/societe/religions/paques-le-nombre-de-baptemes-en-forte-hausse-en-2024-notamment-chez-les-jeunes-et-les-ados_AV-202403290367.html

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Une "quête de sens"

Pour le père Daniel Blaj, responsable du catéchuménat (l'accompagnement aux sacrements) des adultes en Alsace, "il y a une tendance de fond dans la société française, dans les jeunes générations qui abordent de manière plus décomplexée la question de l'expérience religieuse et la quête de sens".

"Je pense qu'on est en train de passer d'une société où on transmettait la foi à l'intérieur d'une tradition familiale: les parents initiaient leurs enfants à la foi et où ça se faisait de manière automatique. On passe maintenant à un autre modèle où l'expérience correspond à un questionnement"

Les jeunes "se sentent autorisés" à parler de religion, un sujet "moins tabou, peut-être que dans les générations précédentes", suggère de son côté Catherine Chevalier, directrice du Service national de la catéchèse et du catéchuménat de l'Église catholique française. Elle constate aussi "un vrai boom pour les adolescents": le nombre de baptêmes d'adolescents (11-17 ans) augmente de 50% en France en 2024.

Une dynamique dans les territoires ruraux

Les baptisés de 2024 sont majoritairement des femmes (62%). Certains diocèses enregistrent cette année une hausse des demandes particulièrement forte: c'est le cas de celui de Saint-Claude, dans le Jura, avec une augmentation du nombre de catéchumènes (les personnes baptisées lors de la nuit de Pâques) par rapport à l'an dernier de 200%.

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https://www.bfmtv.com/societe/religions/paques-le-nombre-de-baptemes-en-forte-hausse-en-2024-notamment-chez-les-jeunes-et-les-ados_AV-202403290367.html[/justify]

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Ce vendredi 19 avril, la rédaction de KTO vous propose une soirée dédiée aux nouveaux baptisés dans l'Église catholique. Toujours plus nombreux chaque année, ils sont 7 125 adultes et plus de 5 000 adolescents à avoir été baptisés à Pâques en 2024. Après deux années de catéchuménat, comment poursuivre l'accompagnement des néophytes et les aider à vivre leur foi dans leur vie quotidienne ? Faut-il ajuster les pratiques pastorales pour éviter que le lien avec l'Église ne s'étiole ?

Cette année, 7 135 adultes et plus de 5 000 adolescents ont été baptisés à la Vigile pascale ou le matin de Pâques. Un chiffre en hausse de 30% par rapport à 2023, année déjà exceptionnelle avec 28% de baptisés en plus par rapport à 2022. Après deux années de catéchuménat et de cheminement vers les sacrements de l'initiation chrétienne, comment accompagner au mieux ces néophytes et les aider à vivre leur foi au quotidien et lors des grands évènements de leur vie ? Si le temps pascal est un moment charnière pour tous ces nouveaux baptisés, comment les guider au mieux dans la durée ?

Pour en discutez, la rédaction de KTO reçoit Mgr Guillaume de Lisle, évêque auxiliaire de Meaux avec des nouveaux et des anciens baptisés. Une émission présentée par Étienne Loraillère.

Nouveaux baptisés, et après ?

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