Comète Tuttle-Giacobini-Kresák

Cette comète se rapproche actuellement de la terre et serait la cause de phénomènes électriques, observés en différentes régions du monde : durant la nuit, le ciel s'éclaire avec des flash bleus, bruits d'explosions.
Comment expliquer qu'une comète située à plusieurs dizaines de millions de km puisse produire des phénomènes ainsi localisés sur la terre (le 6 janvier en Russie, dans la région du Tartastan, le 17 janvier aux Etats-Unis,…) ?
Certains modèles cosmologiques (Alfven) affirment l'existence de tornades électriques entre corps célestes éloignés. Cela pourrait expliquer la localisation du phénomène ainsi que son intensité, comme si la comète frôlait la terre ou s'abimait dans son atmosphère.


Un documentaire sur l'actualité de cette comète (en anglais) :
https://www.youtube.com/watch?v=9fdP9XgB7dw

L'on commence à se rendre compte que les corps célestes , par leurs émissions de gaz à très haute charge électro-magnétique et très grande vitesse , peuvent créer de l'antimatière , laquelle , on le savait , annihile la matière lorsqu'elle la rencontre , en produisant des photons ( = lumière ) .

Merci pour la video , Nathan2 .

PS Selon Jean-Pierre Petit , le complexe militaro-industriel américain aurait réussi à obtenir en laboratoire des effets semblables et aurait déjà fait fabriquer des bombes à antimatière , imitant ces phénomènes naturels .

Alfven, le physicien qui a théorisé ce genre de phénomènes, a travaillé aussi sur l'antimatière. Il explique que matière et antimatière peuvent coexister car une barrière se crée à leur frontière. Je n'ai regardé ses conceptions que de loin mais effectivement il pourrait y avoir un rôle de l'antimatière dans les phénomènes liés aux corps célestes. Le tourbillon est peut-être lié à un effet de l'antimatière.
Alfven a été prix nobel de physique, mais a eut ensuite beaucoup de mal à faire connaître ses travaux, du fait de la structure à la fois pyramidale (l'orientation de la physique de son époque n'étant pas celle vers laquelle les travaux d'Alfven conduisaient) et démocratique de la recherche (les comités de lecture chargés de valider ses articles étaient souvent incompétents pour les comprendre). Cela m'incite à regarder ses travaux de plus près. Cela permettrait au minimum de nuancer les conceptions physiques dominantes.