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 Manuel Valls remet la Légion d’honneur à Jean Vanier et reçoit sa « bénédiction »

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MessageSujet: Manuel Valls remet la Légion d’honneur à Jean Vanier et reçoit sa « bénédiction »   Manuel Valls remet la Légion d’honneur à Jean Vanier et reçoit sa « bénédiction » EmptySam 3 Déc - 11:28

premier ministre Manuel Valls a remis vendredi soir la Légion d’honneur à Jean Vanier, le fondateur de l’Arche, au cours d’une cérémonie pleine d’une rare émotion, et dans ce qui sera peut-être son dernier acte publique à la tête du gouvernement.

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Avec aplomb, Déborah interrompt le premier ministre et l’embrasse chaudement : « Je voulais te remercier pour le truc que tu as fait pour Jean », glisse la jeune trisomique. Le « truc », c’est la Légion d’honneur que Manuel Valls vient de remettre à son parrain, Jean Vanier, pour l’ensemble de ses actions en faveur des personnes ayant une déficience mentale. Magie de l’Arche. L’ambiance n’avait plus rien de solennel ni de compassé, vendredi soir, dans les salons de l’Hôtel de Matignon investis par les membres des foyers de Trosly, du Val-Fleuri et de Paris.

Dans un discours ponctué de leurs approbations bruyantes et de leurs rires, le premier ministre a exprimé la « gratitude » de la République à l’égard de ce « sage » à la « grande force intérieure » qui, dans un monde marqué par « l’individualisme » et « la peur » susceptible de « conduire au rejet de l’autre, à l’enfermement, à la guerre », a su mettre au centre la fraternité. Jean Vanier avait déjà reçu la Légion d’honneur à Matignon, des mains d’Édouard Balladur, puis à l’Élysée, de Jacques Chirac.

« La belle histoire de l’Arche »

Comme le veut l’exercice, Manuel Valls a retracé la vie de cet homme de 88 ans ainsi que « la belle histoire de l’Arche » fondée il y a demi-siècle. Forte aujourd’hui de près de 150 communautés dans le monde, cette « aventure exigeante », « école de l’humilité » selon le premier ministre, rassemble en France 1 300 personnes handicapées aux côtés de 850 assistants et de 350 volontaires en service civique.

Le matin même, Manuel Valls s’était rendu à Nancy (Meurthe-et-Moselle) à l’occasion du comité interministériel du handicap. Il y avait présenté de nouvelles mesures destinées à renforcer l’intégration des personnes handicapées, appelant à « cesser de voir les handicaps simplement comme des déficits à compenser, cesser de penser uniquement en termes de structures dédiées ». « Je disais qu’il fallait que notre société change de regard sur le handicap », a-t-il redit vendredi soir.

« Merci pour l’occasion d’accueillir des personnes qui ne fréquentent pas forcément les hôtels de la République. C’est cela, ce message de fraternité dont nous avons tous besoin : nous ouvrir les uns et les autres », a-t-il ajouté.

Peut-être le dernier acte politique de Manuel Valls en tant que premier ministre

Les deux hommes s’étaient entretenus auparavant en privé pendant une demi-heure. « Il y a tellement de façades, de masques, de peurs, qu’on n’arrive pas toujours à rencontrer l’autre », a rappelé avec douceur le fondateur de l’Arche, disant à Manuel Valls combien il avait été « touché » par leur rencontre. « Vous m’avez donné une demi-heure, je suis sûr que vous avez autre chose à faire. Ce qui m’a touché, c’est que j’ai rencontré un homme qui a une fonction importante, mais aussi la personne plus profonde. Nous portons en chacun de nous un secret », a-t-il dit devant le premier ministre qui semblait fendre l’armure. « Pour moi, le sens dans un monde marqué par tant de conflits, c’est d’être ensemble, on apprend des uns et des autres, de nos fragilités, et on apprend à pardonner », a poursuivi Jean Vanier, avant d’adresser sa bénédiction au premier ministre manifestement très ému : « Que Dieu vous donne le courage, la force, la sagesse. Que Dieu vous donne cette force pour continuer ».

Cette rencontre entre les deux hommes, prévue depuis un an mais reportée à plusieurs reprises, était peut-être le dernier acte politique de Manuel Valls en tant que premier ministre. Après le renoncement de François Hollande, l’ancien maire d’Évry devrait annoncer très prochainement sa candidature à la présidentielle.

« Cette rencontre est providentielle au moment où le premier ministre va quitter ses fonctions pour une autre aventure, et il ne pouvait y avoir de plus beau rendez-vous que celui-là », a commenté vendredi soir Dominique Potier, député socialiste et fondateur du cercle politique Esprit civique, lui-même catholique. « Peut-être que la force dont parle Jean Vanier sera celle qu’il aura comme candidat à la présidentielle dans quelques heures, dans quelques jours. La force de porter, à côté de l’autorité de l’État, cette sensibilité à la vulnérabilité et cet optimisme qui se dégage de la fréquentation des personnes les plus fragiles », a-t-il poursuivi.

Dominique Potier a été l’artisan de la rencontre entre Manuel Valls et Jean Vanier. « Il faisait partie des héros de mon enfance. Lorsque j’ai été élu député, j’ai pris contact avec l’aumônerie des parlementaires. Le P. Laurent Stalla-Bourdillon a organisé un déjeuner avec Jean Vanier, qui m’a dit à la sortie : J’aime bien ton premier ministre, mais il lui manque quelque chose de très important… » Qu’aura dit Jean Vanier à Manuel Valls en privé ? On ne le saura pas. Dominique Potier a simplement dit « espérer que Manuel Valls a goûté l’expérience, ce soir, de personnes qui se parlaient sans rapports de force, simplement dans leurs fragilités ».

Céline Hoyeau

http://www.la-croix.com/Religion/France/Manuel-Valls-remet-la-Legion-d-honneur-a-Jean-Vanier-et-recoit-sa-benediction-2016-12-03-1200807792

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MessageSujet: Re: Manuel Valls remet la Légion d’honneur à Jean Vanier et reçoit sa « bénédiction »   Manuel Valls remet la Légion d’honneur à Jean Vanier et reçoit sa « bénédiction » EmptySam 3 Déc - 12:19

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MessageSujet: Re: Manuel Valls remet la Légion d’honneur à Jean Vanier et reçoit sa « bénédiction »   Manuel Valls remet la Légion d’honneur à Jean Vanier et reçoit sa « bénédiction » EmptySam 3 Déc - 14:41

Jean Vanier, le grand-père de l’Arche

Anne-Bénédicte HOFFNER, le 10/02/2012 à 17h20

Fondateur en 1964 de la communauté accueillant des personnes handicapées mentales, ce Canadien veille toujours sur l’Arche, vivant à quelques pas du foyer de Trosly-Breuil, dont il est toujours membre

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Jean VANIER, fondateur de la Communauté de l'Arche. / Ouzounoff/Ciric

Tout de suite, il tutoie, s’enquiert de la longueur du trajet, propose un café, le tout d’une voix douce et chaleureuse. Rencontrer Jean Vanier, c’est d’abord faire l’expérience de cette incroyable présence aux autres. Lui qui a tellement pensé la question du corps – et notamment du corps blessé – s’impose d’abord par son physique.

Comment un tel géant peut-il dégager une telle impression de douceur ? Comment ses mains – plus grandes même que des battoirs – peuvent-elles saluer, embrasser, remercier avec tant de chaleur ?

Dans la petite maison dans laquelle il vient tout juste d’emménager à Trosly-Breuil (Oise) – un ancien foyer de l’Arche, situé non loin de celui qu’il a habité pendant trente-six ans, et qu’il a transformé pour lui – le vieil homme mène le visiteur vers son bureau : une petite pièce qui s’ouvre, par une grande baie vitrée, sur le jardin et sa cabane à oiseaux. 

Le fondateur de l’Arche (1), âgé aujourd’hui de 83 ans, y a déjà retrouvé ses repères : un fauteuil bleu dans lequel il s’assoit pour réfléchir, lire, écrire, répondre au téléphone et devant lequel les dossiers sont éparpillés sur des petites caisses en plastique retournées, faisant office de lutrins. Le numéro de La Croix du jour, avec son dossier sur les 22 cardinaux que vient tout juste de nommer le pape, trône en évidence sur le canapé. Pour « impressionner la journaliste », glisse-t-il malicieusement.
 
Canadien né en Suisse

Ce qui impressionne davantage, c’est la variété des sujets que ce Canadien, né en Suisse et qui n’a appris le français qu’à 21 ans, suit de près : qu’il s’agisse du nombre d’Italiens au sein du Sacré Collège, des pourparlers engagés avec le responsable de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X – « y a-t-il une vraie conversion du cœur ou simplement le désir de prouver que l’on est le seul à avoir raison ? » – ou encore de la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens. Une initiative ancienne, reconnaît-il, mais qui, « dans la culture actuelle, hypercompétitive et rivalisante », doit aider les catholiques « à voir l’autre (chrétien) comme une valeur en soi ».

Mais Jean Vanier ne suit pas que l’actualité religieuse : en plus d’être un « fan » du billet d’Alain Rémond, ce fervent pèlerin de la Terre sainte (2) est également passionné par l’actualité israélo-palestinienne et désormais syrienne…

Juste à côté de lui, à sa droite, est posée une représentation d’Aung San Suu Kyi, envoyée par « un cousin du mari » de celle-ci, une femme « de vérité, de dignité, de justice ». « Ce qui me frappe, c’est cette capacité à vivre sans peur, avec seulement la lumière de la vérité », dit-il de cette grande figure de la résistance birmane.

« Elle n’a pas besoin d’être agressive, la lumière attire si on en parle humblement. » 

À sa gauche, les photos des grands « anciens » de l’Arche l’accompagnent : Barbara, sa secrétaire pendant quarante ans, le psychiatre de la communauté pendant vingt-cinq ans, non croyant mais « qui disait l’humain comme rarement », Sœur Marie-Madeleine, une carmélite « qui a donné sa vie pour l’Arche », mais aussi le P. Thomas Philippe, dominicain et cofondateur de l’Arche, son père spirituel décédé en 1993, et les si précieuses Claire de Miribel et Jacqueline d’Halluin…

« Ecouter les souffrances »


C’est dans ce cadre à la fois confortable et habité que Jean Vanier continue à veiller sur la communauté qu’il a fondée il y a quararante-sept ans.

De ses fenêtres, on aperçoit la Ferme, le lieu d’accueil et de prière fondé par le P. Philippe, où lui-même anime des retraites pour les personnes sans domicile fixe, divorcées et remariées, ou encore homosexuelles… Un public « blessé », dont le fondateur de l’Arche sait « écouter les souffrances », puisant dans sa longue expérience auprès des personnes handicapées mentales.

Il n’a que quelques pas à faire pour se rendre au foyer du Val-Fleuri, dont il est encore membre et où il prend ses repas. En 1964, lorsqu’il la découvre, cette belle maison bourgeoise accueille et fait travailler des hommes vivant avec une déficience intellectuelle, et le P. Thomas Philippe en est l’aumônier. C’est là, après la découverte choquante du dénuement et de la détresse des patients d’un hôpital psychiatrique voisin, qu’il fonde son premier foyer, avec deux d’entre eux.

Exception dans le monde des communautés nouvelles, Jean Vanier s’est aujourd’hui retiré de toute fonction dirigeante : il a quitté le conseil international à 75 ans, et décidé que l’assemblée générale de l’Arche, à Calcutta en octobre 2009, était la dernière à laquelle il participerait. « Sinon, quand est-ce qu’on s’arrête ? Je dois aider les gens à se centrer sur les nouveaux dirigeants, à créer avec eux des liens d’affection profonde », expose-t-il. 

« Grand-père »

L’Arche internationale, aujourd’hui dirigée par Jean-Christophe Pascal, offre l’exemple d’une transition réussie. De même, il a quitté toute fonction de responsabilité au sein de Foi et lumière, dont il est cofondateur avec Marie-Hélène Mathieu. D’autres fondateurs sont-ils venus solliciter ses conseils et profiter de son expérience en la matière ? « Pas beaucoup », reconnaît-il dans un sourire.

Entre ses activités d’écriture, les conférences qu’il donne encore – comme à l’Unesco, avec sa grande amie Julia Kristeva, elle-même mère d’un enfant handicapé –, celui qui a dans sa jeunesse renoncé à la prêtrise, mais opté pour le célibat, estime jouer aujourd’hui à l’égard de sa communauté un rôle « de grand-père », recevant les plus proches, mais aussi les nouveaux directeurs de communautés en formation…

« Je ne suis plus dans un rapport de pouvoir, ils viennent m’aider », résume-t-il, avouant se sentir aussi « beaucoup plus fatigable ». 

Lui qui a inlassablement appelé ses semblables à se faire « petits comme les plus petits » voit dans sa vulnérabilité actuelle « la suite » logique du combat de sa vie. « J’aime la réalité, même difficile.

Si on la fuit, on fait plus de mal », esquisse-t-il après un silence, avant de raconter l’échange qu’il a eu la veille avec une personne sans domicile fixe qui a sombré dans l’alcool après que sa fille eut été violée et tuée. « Lorsque j’entends parler d’une communauté qui manque d’assistants, je peux écouter, prier, mais ce n’est pas à moi d’intervenir. Ceux qui portent l’Arche désormais ont 40 ou 50 ans et ils sont extraordinaires. »

40 pays, 137 communautés

Le fondateur de cette œuvre désormais internationale, présente dans 40 pays à travers 137 communautés, et qui fut proche de Mère Teresa, ne prétend pas avoir toutes les réponses. Ni théoriser son expérience. Il est certaines questions auxquelles il ne sait pas répondre : sommes-nous tous capables d’être assistants à l’Arche ? Devons-nous tous nous faire « faibles parmi les faibles » ? « I do not know », sourit-il, avant de poursuivre : « Tout le monde, à un moment, poussera ce cri ‘‘j’ai besoin d’aide !’’ » 

Et si faire cette expérience de sa fragilité ne « sert » à rien, elle seule, à ses yeux, permet d’« être dans la vérité ». Tout de même, n’a-t-il pas lui-même démontré une grande force pour maintenir le cap au milieu des épreuves qui ont parfois failli emporter l’Arche à ses débuts ?

« Ma force, c’est ma confiance », réfléchit-il. « J’ai toujours eu confiance que nous étions sur un chemin de vérité, sur le chemin de l’Évangile. »

Dans son humilité et sa simplicité, ce géant se réjouit d’être rejoint par d’autres : qu’il s’agisse des « invités au festin », des foyers nés à Besançon pour les personnes souffrant de maladie mentale, des appartements « Val Giros » où cohabitent personnes insérées et sans domicile fixe, ou les foyers « Simon de Cyrène » qui accueillent des personnes cérébro-lésées. 

« Trop de gens ont peur »

Le film Intouchables, qu’il est allé voir au cinéma à Compiègne, l’a emballé : « C’est l’Afrique qui vient au secours de l’Europe malade ! »« Beaucoup de gens ont peur des personnes en difficulté. Ils ont parfois raison : certaines, qui sortent de prison par exemple, peuvent être dangereuses. Mais dans un monde focalisé sur la compétition, le succès, trop de gens ont peur. La voix de l’Église doit être celle de la confiance. » Là encore, le fondateur de l’Arche se garde d’aller trop loin, ne souhaite pas dire si celle-ci porte la voix assez loin. Et préfère ne pas choisir celui des candidats qui rejoint le plus ses combats : « Ici, c’est facile d’être confiant. Je ne suis entouré que de gens heureux, des ‘‘ressuscités’’. »

Sur ces entrefaites, Jean Vanier rejoint le foyer de l’Ermitage tout proche où il a été invité à déjeuner. Attablé au milieu des jeunes assistants et de certains des pensionnaires les plus anciens de l’Arche – Jean-Abdallah, qui l’a rejointe en 1969 et dont il est le parrain, Michel, Étienne ou Alberto –, il laisse rayonner sa présence lumineuse et chaleureuse. 

Pour chacun, il a un mot, sur son travail ou sur ses vacances, parfois un simple sourire. Comme lorsque Michel l’apostrophe sur la bénédiction de sa maison, organisée la veille : « Eh Jean Vanier, chez toi hier il n’y avait rien à manger, il n’y avait pas de goûter ! » Dans l’ambiance familiale de ce foyer dirigé par la toute jeune Émilie, 22 ans, sa théologie, si difficile à transcrire en mots, prend corps.

(1) http://www.larche.org et http://www.foietlumière.org
(2) Jean Vanier commente l’évangile de Jean, en Terre sainte : Saint Jean : l’Évangile de la relation, coffret 4 DVD, distribué par La Ferme de Trosly. Tél. : 03.44.85.34.78. ou http://www.lafermedetrosly.com

Anne-Bénédicte HOFFNER

http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Jean-Vanier-le-grand-pere-de-l-Arche-_EP_-2012-02-10-767293
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