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Sujet: Bienheureux Charles de Foucauld Jeu 1 Déc 2016 - 12:50
Mon Dieu, je m'abandonne à toi. Fais de moi ce qu'il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j'accepte tout, pourvu que ta volonté soit faite, en moi, en toutes tes créatures ; je ne désire rien d'autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains ; je te la donne, mon Dieu, avec tout l'amour de mon cœur, parce que je t'aime et que ce m'est un besoin d'amour de me donner, de me remettre entre tes mains, sans mesure, avec une infinie confiance, car tu es mon Père. Amen !
Frère Charles
Invité Invité
Sujet: Re: Bienheureux Charles de Foucauld Jeu 1 Déc 2016 - 14:29
J'aime bien aussi cette prière, merci Simon
Invité Invité
Sujet: Re: Bienheureux Charles de Foucauld Jeu 1 Déc 2016 - 21:43
L’héritage à multiples facettes de Charles de Foucauld
Anne-Bénédicte Hoffner, le 01/12/2016 à 16h19
Ancien militaire, explorateur au Maroc, Charles de Foucauld a également été trappiste, avant de devenir ermite en Terre sainte et finalement de « moine missionnaire » en Algérie, au service du peuple et de la culture touarègues.
Toutes ces facettes de son œuvre et de sa personnalité sont soulignées à l’occasion du centième anniversaire de sa mort, le 1er décembre 1916 à Tamanrasset
Cent ans après sa mort le 1er décembre 1916 à Tamanrasset en Algérie, l’héritage multiple du Bienheureux Charles de Foucauld est célébré dans l’Église catholique et au-delà.
Ce week-end est le point culminant d’une année de manifestations en tous genres en France, en Terre sainte et en Algérie notamment, commémorant ses nombreuses vies, celle de militaire, d’explorateur, de trappiste, d’ermite puis enfin de « moine missionnaire » dans le Sahara, au milieu des Touaregs.
Au cours de sa messe matinale jeudi 1er décembre, dans la chapelle Sainte-Marthe, le pape François, qui avait prêché sur les résistances à l’appel de Dieu, a mentionné ce centième anniversaire de l’assassinat du bienheureux Charles de Foucauld. « C’était un homme qui a vaincu tant de résistances et a donné un témoignage qui a fait du bien à l’Église », a-t-il dit. « Demandons qu’il nous bénisse du ciel et nous aide à marcher sur son chemin de pauvreté, de contemplation et de service des pauvres. » Frère universel
Le diocèse de Strasbourg, où il est né, avait pris de l’avance : une journée a été organisée le 17 septembre réunissant « toutes les personnes qui sont proches de la spiritualité du Frère Charles de Jésus » et à laquelle a été associé Mgr Claude Rault, évêque de Ghardaïa (Algérie).
À Nancy, où il a vécu adolescent chez ses grands-parents, le spectacle de Francesco Agnello « Charles de Foucauld, frère universel » est présenté le 1er décembre à 20h30 au Domaine de l’Asnée. Dimanche, une messe sera célébrée par l’évêque, Mgr Jean-Louis Papin, à la basilique du Sacré-Coeur. D’autres manifestations sont prévues dans le mois, à l’initiative notamment de la paroisse Charles-de-Foucauld.
Non loin de l’église parisienne Saint-Augustin où il s’est converti, une table ronde animée par le P. Bernard Ardura postulateur de la cause de canonisation sera suivie, jeudi 1er décembre, d’une messe présidée par Mgr Laurent Dognin, évêque de Quimper et de Léon, membre de la fraternité sacerdotale Jésus Caritas.
À Viviers (Ardèche) où il a été ordonné le 9 juin 1901, une série de conférences et de retraites se sont succédé pendant l’année éclairant les différentes facettes de son œuvre. Dimanche 4 décembre, Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille, président de la Conférence des évêques de France et membre lui aussi de la fraternité sacerdotale Jésus Caritas, viendra présider la messe à la cathédrale.
Le Centre culturel algérien, à Paris accueille un colloque international sur le thème « Charles de Foucauld, pluriel : une vie, une œuvre, une postérité », organisé par le laboratoire « Lexiques, Dictionnaires, Informatique » de l’Université Paris XIII qui souhaite par là rendre hommage à son travail de « linguiste et lexicographe ». « Outre son œuvre spirituelle, à laquelle ses biographes ont fait la part belle, Charles de Foucauld a réalisé une œuvre scientifique d’envergure. Son Dictionnaire touareg-français dialecte de l’Ahaggar fait aujourd’hui encore autorité », précisent les organisateurs.
Enfin, en Algérie, une messe sera célébrée par le cardinal Philippe Ouédraogo, archevêque de Ouagadougou, vendredi 2 décembre à la basilique Notre-Dame d’Afrique à Alger. Le cardinal donnera ensuite une conférence sur le thème : « L’Église et la pluralité des religions aujourd’hui. Réponses théologiques et pastorales », puis Dominique Casajus, chercheur à l’Institut des Mondes Africain interviendra sur « L’œuvre scientifique du P. de Foucauld et son rayonnement aujourd’hui ».
Spectacle musical
Un spectacle musical intitulé « Comme un voyageur dans la nuit », de Benoît Weeger et Bruno Durand conclura la journée.
Béatifié par Benoît XVI, le 13 novembre 2005, Charles de Foucauld a laissé de nombreux écrits, notamment des lettres à sa famille et à ses proches, et des ’cahiers' dans lesquels il met sur papier ses réflexions quotidiennes aussi bien que ses publications scientifiques.
Son témoignage, qui a inspiré de nombreux livres à l’occasion de ce centenaire, nourrit aujourd’hui les quelque 13 000 membres de sa famille spirituelle.
>A lire aussi : Le message de Charles de Foucauld Sur les traces de Charles de Foucauld
Sujet: Re: Bienheureux Charles de Foucauld Jeu 1 Déc 2016 - 21:45
Le message de Charles de Foucauld
Publié le 12 septembre 2016à 0h01
L’écriture de Charles de Foucauld n’est pas d’accès facile. Ce livre, élaboré par sept religieux et religieuses appartenant à diverses communautés qui vivent de son message et de son esprit, veut y remédier en permettant à chacun d’accéder directement à sa vie et à ses intuitions.
Charles de Foucauld, mon frère. Rencontre à thèmes,
par un groupe de petites sœurs et petits frères,
Nouvelle Cité, Coll. Spiritualité, 180 p., 15 €
« Conscients de la grande distance qui existe entre le style de Charles et la culture de nos contemporains, nous avons travaillé sur des textes en faisant des extraits par juxtaposition », et en supprimant de nombreuses répétitions, précisent les auteurs. Ces extraits choisis parmi ses écrits spirituels et sa correspondance sont ordonnés en quinze thèmes : Beauté, Joie, Chemin de croix, Eucharistie, Solitude, Travail…
Le désert, passage indispensable
Au chapitre « Désert », relevons simplement ces quelques mots tirés d’une lettre au P. Jérôme datée de 1898 : « Il faut passer par le désert et y séjourner pour recevoir la grâce de Dieu : c’est là qu’on se vide, qu’on chasse de soi ce qui n’est pas Dieu et qu’on vide complètement cette petite maison de notre âme pour laisser toute la place à Dieu seul. Les Hébreux ont passé par le désert, Moïse y a vécu avant de recevoir sa mission, saint Paul au sortir de Damas a été passer trois ans en Arabie, saint Jérôme, saint Jean Chrysostome se sont aussi préparés au désert. C’est indispensable. C’est un temps de grâce. C’est une période par laquelle toute âme qui veut porter des fruits doit nécessairement passer… » C’est dans un désert – celui du Sahara – que Charles est violemment tué le 1er décembre 1916.
Dominique Greiner > Lire aussi : Charles de Foucauld, une existence hors du commun
la-Croix.com
Erkos
Messages : 608 Inscription : 23/01/2014
Sujet: Re: Bienheureux Charles de Foucauld Jeu 1 Déc 2016 - 23:17
Chrysostome a écrit:
Mon Dieu, je m'abandonne à toi. Fais de moi ce qu'il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, je te remercie. Je suis prêt à tout, j'accepte tout, pourvu que ta volonté soit faite, en moi, en toutes tes créatures ; je ne désire rien d'autre, mon Dieu. Je remets mon âme entre tes mains ; je te la donne, mon Dieu, avec tout l'amour de mon cœur, parce que je t'aime et que ce m'est un besoin d'amour de me donner, de me remettre entre tes mains, sans mesure, avec une infinie confiance, car tu es mon Père. Amen !
Frère Charles
Erkos
Messages : 608 Inscription : 23/01/2014
Sujet: Re: Bienheureux Charles de Foucauld Jeu 1 Déc 2016 - 23:22
Dans la forte personnalité de Charles de Foucauld beaucoup d’aspects peuvent nous attirer et nous aider dans nos vies chrétiennes. L’un d’entre eux me touche tout particulièrement : Charles a été, depuis sa petite enfance si marquée par le malheur et l’austérité, un chercheur d’absolu.
Le Bienheureux Charles de Foucauld vient secouer le « bon catho estampillé » de sa torpeur, de ses tiédeurs. Certes, à l’image d’un saint Augustin, il s’est d’abord trompé dans sa quête d’absolu, le poursuivant dans une débauche esthétique et provocante. Cette vie de luxure le mènera, tel le fils prodigue, à un dégoût de lui-même et des autres… Il se lancera, éperdu, vers l’aventure extraordinaire de la découverte du Maroc interdit – comme quelques-uns de nos contemporains se lancent dans l’humanitaire ! -. Mais ce n’est qu’auprès de Dieu, grâce à une famille chrétienne et aimante, grâce à la présence providentielle du bon abbé Huvelin, qu’il parviendra à la seule et unique aventure, la plus prodigieuse qui nous soit proposée : devenir ami de Dieu !
Dans cette nouvelle équipée, c’est peu à peu l’appel du désert – géographique, physique, moral, spirituel – qui surgit. C’est le dépouillement du vieil homme, absolu, sans retour en arrière, dans la pauvreté d’une vie en apparence vouée à l’échec. Et c’est ce chemin désertique qui porte, des dizaines d’années après les fruits que nous savons. Mon ami, Charles, aide-moi je t’en prie, à me dépouiller chaque jour un peu plus, conduit-moi avec toi, dans ces déserts où l’on rencontre Dieu, donne-moi la force d’être un chrétien, un vrai, loin des tiédeurs nauséabondes du respect humain qui se cachent sous l’apparence de sagesse humaine, loin des compromis qui se transforment toujours en compromissions. Oui, mon ami Charles, dans ces temps troublés, prie le Seigneur pour que je sois, à mon tour, un chercheur d’Absolu !
Erkos
Messages : 608 Inscription : 23/01/2014
Sujet: Re: Bienheureux Charles de Foucauld Jeu 1 Déc 2016 - 23:31
Sur la page de garde du bréviaire de Charles de Foucauld était inscrite cette prière : « Pense que tu dois mourir martyr, dépouillé de tout, étendu à terre, méconnaissable, couvert de sang et de blessures, violemment et douloureusement tué, et désire que ce soit aujourd’hui […] considère que c’est à cette mort que doit aboutir toute ta vie. » Rédigée en 1897, alors que Foucauld était encore à Nazareth, dans un lieu où sa vie n’était pas encore menacée, cette prière semble prophétique.
Invité Invité
Sujet: Re: Bienheureux Charles de Foucauld Ven 2 Déc 2016 - 18:56
En Terre sainte, héritiers de Charles de Foucauld
Mélinée Le Priol, à Nazareth (Israël), le 02/12/2016 à 9h49 Charles de Foucauld a été assassiné il y a 100 ans. En Israël et Palestine, vingt-cinq Petits frères et sœurs de Jésus marchent encore dans les pas de « Frère Charles ».
Animée par la dissonante mélodie des klaxons et la clameur des commerçants postés devant leurs boutiques aux devantures criardes, Nazareth n’est plus la paisible bourgade galiléenne qui plut tant à Charles de Foucauld à l’aube du XXe siècle. À l’époque, la ville où a grandi le Christ abritait à peine 6 000 habitants, dont deux tiers de chrétiens et un tiers de musulmans.
Les Nazaréens sont aujourd’hui 76 000, dont 30 % de chrétiens et 70 % de musulmans. La plupart de ces Arabes israéliens ignorent tout de l’étonnant religieux français qui séjourna dans leur ville entre 1897 et 1900, comme un ermite, après l’avoir découverte au cours d’un premier pèlerinage début 1889.
Cent ans après sa mort, l’héritage de « Frère Charles » perdure modestement en Terre sainte, où vivent encore 25 religieux de sa famille spirituelle, dont 18 femmes. Aussi bien côté israélien que palestinien, ces Petits frères et sœurs de Jésus assurent depuis le début des années 1950 une présence aimante, respectueuse et détachée de toute ambition prosélyte. Ils restent en ce sens fidèles à la vocation de discrétion de Charles de Foucauld – une dimension qu’il a particulièrement explorée au cours des trois années passées chez les clarisses de Nazareth. Car cette ville de Galilée était pour lui synonyme de l’existence encore anonyme du Christ, le « divin ouvrier ». Avant sa « vie au désert » et sa « vie publique », Nazareth avait été le théâtre de la « vie cachée » de Jésus jusqu’à ses 30 ans.
Une petite maison ordinaire du centre-ville de Nazareth
« Dans cette ville, le Christ vivait au milieu des gens et avait sûrement une relation personnelle avec chacun », avance Sœur Lucile, Petite sœur de Jésus à Nazareth. « Alors, comme Frère Charles, nous cherchons à l’imiter : comment le Christ agirait-il aujourd’hui ? C’était ça, l’intuition de Charles de Foucauld, vivre de l’Évangile pour devenir un Évangile vivant. »
En Terre sainte depuis 1970, cette septuagénaire française vit avec deux sœurs, une Vietnamienne et une Sud-Coréenne. Elles habitent une petite maison du centre-ville de Nazareth où une pièce a été aménagée pour la chapelle. Comme tous les héritiers spirituels de Charles de Foucauld en Israël et dans les Territoires palestiniens, ces religieuses vivent dans une maison ordinaire, et non dans un monastère.
À une exception près : l’ancien couvent des clarisses de Nazareth. C’est là, dans un havre de verdure et de silence, à quelques enjambées de la basilique de l’Annonciation, que Frère Charles passa trois années de sa vie, de 39 à 42 ans. Logé dans une simple cabane de planches, il priait, lisait, écrivait et faisait des petits travaux domestiques.
Un demi-siècle plus tard, en 1949, les clarisses ont à nouveau ouvert leurs portes, cette fois à Petite Sœur Madeleine, la fondatrice des Petites sœurs de Jésus. Elle a bientôt installé en ce lieu emblématique une fraternité, qui a néanmoins dû en partir en 1996 : les Petites sœurs n’étaient plus assez nombreuses pour faire vivre le couvent. Il est aujourd’hui occupé par trois Italiens, des Petits frères de Jésus Caritas (l’une des 18 familles spirituelles de Charles de Foucauld).
Ses voisins ne savent pas qu’il est prêtre
Faute de relève, nombreuses sont les fraternités à avoir fermé leurs portes ces dernières années : Béthanie, Ramallah, Gaza… « Mais l’essentiel n’est pas de se lamenter sur ce qui était », réagit vivement Sœur Bernadette. Cette Française est en Terre sainte depuis 1956 et vit aujourd’hui à Jérusalem-Est, dans un quartier palestinien traversé par le mur. Là, elle et ses sœurs mènent une « vie ordinaire », aidant notamment à la maison de retraite voisine, désireuses de vivre « des amitiés respectueuses de chacun ».
Si la maîtrise de la langue (que ce soit l’arabe ou l’hébreu) semble un prérequis indispensable à tous ces religieux, ceux-ci doivent aussi s’adapter aux coutumes locales. Les Petites sœurs de Jésus sont ainsi de rite oriental, grec-catholique. De son côté, Petit Frère Yohanan Elihai a été le premier prêtre à célébrer une messe latine en hébreu, dès 1957. Ce nonagénaire est arrivé en Israël il y a six décennies, par amour pour le peuple juif. Pour ne pas heurter ses amis israéliens, il a arrêté il y a longtemps de porter sa croix car celle-ci évoque encore, chez certains, le souvenir des persécutions. Ses voisins ne savent pas qu’il est prêtre, ni même chrétien… Côté palestinien, « les musulmans sont habitués à cohabiter avec des chrétiens, explique Sœur Bernadette à Jérusalem-Est. Alors notre habit n’est pas un obstacle à la rencontre, au contraire. »
La prière occupe une place centrale dans la vie de ces contemplatifs
Conscients d’être moins visibles que les autres ordres monastiques en Terre sainte, les Petits frères et sœurs de Jésus revendiquent cette discrétion, voire cette apparente « inutilité » chère à Charles de Foucauld. La prière occupe une place centrale dans la vie de ces contemplatifs qui ne possèdent aucune œuvre – ni école, ni orphelinat. S’ils ont toujours travaillé, c’est essentiellement au milieu des gens qu’ils étaient venus rencontrer, que ce soit à l’usine, aux champs, à l’hôpital ou à l’atelier. Frère Yohanan résume ainsi sa vocation : « Être quelqu’un qui prie et qui essaie d’aimer les gens autour de lui. »
Or aimer, dans cette région déchirée par les murs de haine et d’incompréhension, cela peut vouloir dire créer des ponts : le religieux a passé sa vie à écrire des dictionnaires et des méthodes de langue hébreu-arabe palestinien. Difficile de ne pas penser à Charles de Foucauld qui, à Tamanrasset, s’obstina à apprendre le touareg et à en faire des dictionnaires.
Le 20 juillet 1898, ce dernier écrivit depuis sa cabane de planches du couvent des clarisses : « C’est votre vie de Nazareth, recueillie, silencieuse, pauvre, effacée, laborieuse… Faites-moi, ô Jésus, la mener parfaitement, en Vous, par Vous et pour Vous !… Faites la même grâce à tous vos enfants en vue de Vous ! » ––––––––––––___________________________ Bibliographie
De nombreux ouvrages ont été publiés cette année sur Charles de Foucauld (certains ont été recensés dans les pages du supplément livres de La Croix ou sur le blog Lire pour croire).
Charles de Foucauld : 1858-1916. Biographie. Pierre Sourisseau, Salvator, 29,90 €. Une biographie très fidèle et très complète par l’archiviste de la cause de canonisation de Charles de Foucauld.
Charles de Foucauld, mon frère. Rencontre à thèmes, par un groupe de petites sœurs et petits frères, Nouvelle Cité, coll. « Spiritualité », 180 p., 15 €. L’ouvrage présente des extraits choisis parmi ses écrits spirituels et sa correspondance, ordonnés en 15 thèmes : beauté, joie, chemin de croix, Eucharistie, solitude, travail…
Passer par le désert. Sur les traces de Charles de Foucauld. Sébastien de Courtois, Bayard, 190 p., 17,90 €. Un témoignage personnel, très bien mis en scène par cet écrivain et journaliste vivant à Istanbul, sur Charles de Foucauld « l’aventurier ».
Charles de Foucauld explorateur. Alexandre Duyck, Paulsen, 140 p., 19,50 €. Journaliste, passionné d’alpinisme et de montagne, l’auteur s’intéresse ici au géographe qui, bravant le danger, décide de parcourir et de cartographier le Maroc, déguisé en rabbin…
Charles le libéré. Foucauld rendu à lui-même. Jean-François Six, Salvator, 2016, 224 p., 18,90 €. Prêtre de la Mission de France, spécialiste de Charles de Foucauld, Jean-François Six continue son patient travail pour faire découvrir ou redécouvrir le vrai visage du « frère universel ».