Peut-on réellement parler de théologie au singulier, ou en fait de théologies au pluriel, y compris théologies catholiques?
Pour ma part son étude est trop complexe et aride, mais j'ai cependant l'impression qu'il y a autant de théologies que de théologiens!... :-)
les théologies ne menacent-elles pas parfois l'unité de la foi? Les théologiens n'ont-ils pas ce grand pouvoir de modifier la foi, même s'ils ne le font pas toujours?
Je me pose la question car je ne suis pas sûr que la théologie soit le meilleur moyen pour réconcilier les gens dans l'oecuménisme conciliaire, car nous ne sommes pas de purs esprits, nous avons un corps-temple.
On a l'exemple trsè intéressant et rare du Chemin Neuf, qui lui, a pris le chemin de vivre ensemble à la suite du Christ, et je trouve cette démarche beaucoup plus vraie, sérieuse, joyeuse, fraternelle et réaliste. L'étude de la théologie vient après ce choix d'état de vie, et je pense que c'est ce qui fait toute la différence réelle, incarnée quoi.
Pensez-vous que créer d'autres fraternités oecuméniques locales, de quartier et villageaoise, soit une perspective missionnaire souhaitable et fructueuse qui réjouisse le Coeur de Dieu? Ou devons-nous continuer à vivre dans nos enclos respectifs et échanger de temps en temps?