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 Sophia selon Jakob Böhme.

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MessageSujet: Sophia selon Jakob Böhme.   Sophia selon Jakob Böhme. EmptyDim 2 Jan - 22:01

Jakob Böhme

Chose étrange chez un homme si peu instruit, on trouve dans les écrits de Böhme de nombreuses analogies avec les théories philosophiques de l'Allemagne du XIXe siècle, et il peut être considéré comme un précurseur de Spinoza, de Schelling, de Hegel3 et son influence a été grande sur la pensée allemande et en particulier sur Franz von Baader et les romantiques.
Hegel appelait Jakob Böhme « le premier philosophe allemand». Avec Francis Bacon, et dans un genre opposé à lui, il représente selon Hegel l'une des deux sources de toute la philosophie moderne : son mysticisme contraste avec l'empirisme de Bacon.
Il a eu aussi une grande influence en Angleterre notamment sur George Fox, le fondateur du quakerisme, Milton et Newton. Il a été révélé en France par Louis-Claude de Saint-Martin au XVIIIe siècle, un autre illuministe, qui traduisit cinq de ses ouvrages, notamment L'Aurore à son lever, la Triple Vie et ses Trois Principes. Il était devenu un disciple de Böhme en 1788. Nicolas Berdiaeff tenait Jakob Böhme pour l'un des plus grands gnostiques chrétiens. Böhme eût aussi un influence considérable sur Raoul Vaneigem 6 et Guy Debord 7.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jakob_B%C3%B6hme



La Sophia représenta pour Böhme l'homme dans sa pureté, sa virginité et sa chasteté antérieure au pêché originel. Elle n'est pas séparable de sa conception de l'Androgyne, l'humanité pré-adamique intègre et intégrale des origines. Böhme affirme que la Sophia est incréée, elle est la sagesse divine en l'homme. Cette âme sophianique renvoie à la préexistence céleste de l'homme terrestre. La chute de l'homme est la perte de sa sophianité, de sa pureté, de sa virginité. À la perte de la Sophia céleste correspond la naissance de l'Ève terrestre, la féminité. La Vierge Marie représente particulièrement la Sophia et la sophianité de la Vierge renvoie à l'androgynie du Christ. Il y a donc une double polarité Vierge/Ève et Christ/Adam. Mais Böhme échappe à tout dualisme, car pour lui, « Christ vit en Adam et celui-ci dans le Christ ».
D'autre part, la sophianité rend fondamentale la naissance du Christ de la Vierge. Sur ce point, Böhme se distingue nettement de ses origines protestantes. La Mère de Dieu signifie rien moins que le retour sur terre de la Vierge-Sophia. La Vierge n'est pas vierge par Ève, mais par la descente de la Sophia qui s'incarne en Marie. Il y a donc une correspondance profonde entre la descente du Saint-Esprit et l'Incarnation du Christ et la descente de la Sophia en la Vierge Marie. En fait, la descente de la Vierge divine en Marie est l'action du Saint-Esprit. Il est donc primordial que Jésus naisse d'elle et de nulle autre. Ainsi, la naissance de Jésus d'une Vierge transfigure aussi la nature féminine en la libérant de la féminité négative. Chez Böhme, l'affranchissement de la sexualité terrestre implique le rétablissement de l'androgynie primitive. Cette doctrine de l'Androgyne céleste lui permet d'éviter les tentations ascétiques qui, dans le christianisme, marquent fortement les conceptions négatives de la sexualité. À l'impureté sexuelle, Böhme n'oppose pas l'ascétisme qui tend vers l'asexué, mais l'androgynie intégrale et originelle. Chez lui, la mystique sophianique est solidaire d'une anthropologie spirituelle qui renvoie dos à dos puritains et libertins.


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MessageSujet: Re: Sophia selon Jakob Böhme.   Sophia selon Jakob Böhme. EmptyLun 3 Jan - 20:05

Apparemment Loup Écossais a la même approche que Jakob Böhme su l'origine androgyne du premier Adam.

study


https://docteurangelique.forumactif.com/t6574-adam-et-eve-sont-il-un-symbole-androgyne?highlight=adam
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adamev

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MessageSujet: Re: Sophia selon Jakob Böhme.   Sophia selon Jakob Böhme. EmptyMar 4 Jan - 0:32

A votre avis Dieu est mâle ou femelle (j'entends bien au plan divin)?

_________________
Chrétien et Franc-Maçon.
Le Christianisme est universel et n'a pas de dogme.
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MessageSujet: Re: Sophia selon Jakob Böhme.   Sophia selon Jakob Böhme. EmptyMar 4 Jan - 2:53

adamev a écrit:
A votre avis Dieu est mâle ou femelle (j'entends bien au plan divin)?

Une "synthèse" Very Happy

Autrement comme je l'indiquais sur l'autre post "RER" le caractère androgyne de l’Édam primordial est un fait obligatoire si l'on s'en tient à la "chronologie" de la genèse.
L’encyclopédie wikipédia est sans ambiguïté, Ève:


Ève (en hébreu : Hawwa(h)) est le premier personnage féminin de la Torah pour les juifs et de l'Ancien Testament pour les chrétiens, mère de l'humanité (Genèse : 3-20). Des allusions à la femme d'Adam apparaissent aussi dans le Coran ; elle est nommée (Hawwâ’). Eve signifie "Homme femelle"

"Ève fut tirée d'un côté de l'Adam primitif androgyne (Dieu créa l'homme à son image, mâle et femelle (Génèse 1:27)). Selon certaines traductions, il ne s'agit pas d'un côté mais d'une côte (le mot pleura étant polysémique). Il ne s'agit pas d'une naissance et la femme est consubstantielle à l'homme."
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%88ve
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MessageSujet: Re: Sophia selon Jakob Böhme.   Sophia selon Jakob Böhme. EmptyMar 4 Jan - 9:18

adamev a écrit:
A votre avis Dieu est mâle ou femelle (j'entends bien au plan divin)?
A partir du moment où Dieu se révèle à l'homme, et à partir du moment où l'homme parle de Dieu, ces mots qui sont des mots pour les hommes ou des mots d'homme tendent à anthropomorphiser Dieu. C'est inévitable.

Dieu est PÈRE, et non MÈRE. Ce qui veut dire que c'est un mot masculin, et non féminin, qui caractérise le mieux, ce rapport entre Dieu et nous, et ce qu'Il est par rapport à nous, par rapport à notre nature.

Dieu est PÈRE, et non MÈRE, est un signe d'Autorité et de sévérité, ce qui veut dire, que pour une raison que l'on doit expliciter, la vie ne sera pas facile, et qu'il va falloir apprendre.
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MessageSujet: Re: Sophia selon Jakob Böhme.   Sophia selon Jakob Böhme. EmptyMar 4 Jan - 12:39

Dieu est Père et Tout-Puissant dans sa Maternité.?
N'a t'il créé l'homme et la femme.?
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MessageSujet: Re: Sophia selon Jakob Böhme.   Sophia selon Jakob Böhme. EmptyMar 4 Jan - 12:54

Non,
si l'homme (humain) est à l'image de Dieu,
l'homme et la femme en tant que part féminine et masculine n'est pas à l'image de Dieu,
c'est l'union d'amour d'un homme et d'une femme, le mariage, qui est à l'image de Dieu.

La maternité revient à Marie et l'Église.
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MessageSujet: Re: Sophia selon Jakob Böhme.   Sophia selon Jakob Böhme. EmptyMar 4 Jan - 13:06

Je n'ai pas le texte, mais Dieu n'a t'il pas dit:
comme une mère console son enfant sur ses genoux.?

Dieu, en tant que Père, n'a t'il pas cette maternité.?

C'est idiot ce que je dis, mais ne serait-ce pas l'ESPRIT SAINT?
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Lephenix

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MessageSujet: Re: Sophia selon Jakob Böhme.   Sophia selon Jakob Böhme. EmptyJeu 13 Jan - 0:33

quelques textes que je soumets à votre attention...si cela peut faire avancer le "chmilblic" !!
[Sophia selon Jakob Böhme. Sceau_10EXTRAIT du N° Spécial « LE VOILE D’ISIS »

sur JACOB BÖEHME - LE CORDONNIER – THEOSOPHE

Nous sommes au XVIème siècle. A la fin du siècle précédent Christian Rosenkreutz est mort plus que centenaire, annonçant qu’ « après six vingt ans son tombeau sera découvert ».

Qui était-il ? D’où venait-il ? Indiquons seulement quelques dates curieuses.

- La perte des Templiers est décidée en ……………………………………………………………… 1306

- Rosenkreutz naît 72 ans après, soit en …………………………………………………………… 1378

- Jacques de Molay, vingt-deuxième et
dernier Grand-Maître du Temple, est brûlé en .............................................. 1314

- Rosenkreutz recrute ses premiers disciples dans sa 36ème année en ………… 1413

- Il meurt à 108 ans et
son tombeau est découvert 120 ans après sa mort soit en ……………………… 1606

- C’est alors que les Rose+Croix se manifestent, ce qui est le
commencement de leur fin, 72 ans après, ils rentrent en Asie en ………… 1678

Mais revenons à leur mystérieux fondateur.

Peu après son départ de cette vallée de larmes naît l’un des plus grands de ses fils spirituels, Paracelse, l’un des hommes les plus extraordinaires de son époque.

Bouleversant toutes les données péniblement amassées par les cuistres, nasardant les pontifes officiels, il opère de véritables miracles, au grand scandale des bonnets pointus.

Thérapeute extraordinaire, mage, alchimiste, ses disciples enthousiastes voient en lui une manifestation nouvelle de l’esprit qui inspira Elie, le thaumaturge du Carmel.


Il meurt, épuisé de fatigues, abreuvé d’ignominies, mais ayant rénové l’art de guérir, resserrant un peu plus les liens qui depuis la mort du Christ sur la Croix enchaînent progressivement le Mauvais.

Un jour, justice lui sera rendue, et il sera vénéré comme l’un des plus grands bienfaiteurs des hommes.

Peu après sa mort naît l’une des plus grandes lumières qui aient paru dans notre Occident, manifestation nouvelle de l’esprit qui inspira Moïse.

J’ai nommé l’humble et doux cordonnier de Gorlitz, Jacob Boehme.

Sa vie, sa doctrine, de plus compétents que moi en parlent ici. Je me bornerai à un aperçu général.

Tout d’abord, précisons la partie de la Doctrine traditionnelle que Boehme a exposée.

La Sapience peut être envisagée sous un triple aspect, selon qu’elle se rapporte à Dieu, à l’Homme ou au Monde.

L’hermétisme du Moyen-Âge l’envisagea plutôt sous un aspect quadruple (Les Hindous envisagent la doctrine traditionnelle sous un aspect sextuplé : les six « darshânas » complétés par les six « angas ».) :

Théogonie
Androgonie Cosmogonie
Physiogonie

Avec les quatre arts correspondants :

Théurgie
Magie Astrologie
Alchimie

Cette dernière fut particulièrement pratiquée en Occident (on a bien écrit trois à quatre mille traités d’alchimie, dont le centième à peine a quelque valeur réelle).

Mais la partie doctrinale, la Physiogonie, n’avait jamais été exposée.

Moïse, dans son Sepher, traite seulement de l’Androgonie, et de la Cosmogonie.

Il était réservé à Boehme de combler cette lacune.

Tout son système est basé sur la Nature, et c’est à travers elle qu’il envisage Dieu, l’Homme et le Monde.

Qu’est-ce que la Nature ? C’est le lieu de tout ce qui est né, qui a un commencement, et par conséquent une fin.

L’archétype dans le monde céleste est la Vierge Marie.

Notre but n’est pas d’en parler ici, préférant renvoyer au bel ouvrage sur Lourdes du regretté Grillot de Givry (Disons seulement que la Vierge vient de Dieu comme Eve vient d’Adam. Du Sur-Être primordial, indifférencié proviennent l’Être, activité essentielle, et [par l’Être] la Vierge, passivité primitive.) .

La Vierge Marie est réalité, Maïa [en qui le R, signe de l’existence propre, est disparu] n’est qu’une illusion.

C’est la Nature Cosmique, substratum du tourbillon des cycles, du torrent des générations.

La nature terrestre, matérielle, déchue, a pour caractéristique la pesanteur. C’est le champ gravifique (Dont la différenciation produit le champ électrique et le champ magnétique tous trois perpendiculaires l’un à l’autre comme les plans d’un sphéroïde.) .

Le processus d’engendrement de cette triple Nature (C’est la triple Sophia des gnostiques. Quinze cents ans avant Boehme, Valentin décrit poétiquement le développement de la Nature.) est le même.

Voyons brièvement comment Boehme l’expose.

La Nature est essentiellement passive, inerte. Ce qui la met en mouvement est le désir d’union au principe actif [qui lui est antérieur, et de qui elle provient par extériorisation (L’engendrement de la Nature est proprement le Grand Mystère.) comme Eve provient d’Adam] .

Le désir a pour origine l’image du principe actif se reflétant dans la Nature comme dans un miroir ; image pure et parfaite dans la Vierge céleste, de plus en plus trouble et informe à mesure que la nature s’éloigne de la Divinité.

Ce désir, aveugle, inconscient, engendre une multiplicité de centres d’activité, ne cherchant qu’à s’accroître en attirant tout à eux.

Chacun est donc soumis à une double force ; il attire les autres, mais il est aussi attiré par eux, et résiste à cette dernière force.


Il en résulte un mouvement rotatoire, premier aspect de la vie, aspect ténébreux, égoïste et infernal.

Ces trois premières formes sont nommées par Valentin : Crainte, Chagrin et Anxiété, et par Boehme : Astringence, Amertume et Angoisse.

L’ensemble est la qualité « Tamas » des Hindous, la « Hoschek » de Moïse.

Cette obscurité ne peut changer par elle-même, cette rotation est éternelle.
« Un principe, procédant sans cesse en avant, dit Lodoïk (Lodoïk La Voix qui crie dans « le désert. Paris, Levrault, 1805, p. 20, Lodoïk est le pseudonyme de Samuel Porta, avocat à « Lausanne.), qui, ne trouvant rien qui puisse le réfléchir et lui donner le sentiment « de sa vie en le manifestant à lui-même, est obligé de se recourber sur lui-« même ; mais, ne trouvant non plus en soi qu’un néant ténébreux, il en sort et y « rentre sans cesse, constituant ainsi cette roue de désespoir et d’angoisse dont « la rotation tourbillonneuse continue jusqu’à ce qu’un autre principe indépendant « du premier vienne lui présenter une lumière à la faveur de laquelle l’être puisse « se sentir, se voir et se comprendre ».

Ces trois premières formes, cette qualité ténébreuse, sont proprement l’enfer, la matrice du Macrocosme, dit Paracelse.

Mais, attiré par ce vide, par cette béance, le principe actif va y descendre.

Appelé par les supplications de « Sophia », dit Valentin, « Soter » descend et s’unit à elle.

La quatrième forme, le Feu, exprime le mystère de cette union.

Feu qui détruit mais qui réchauffe également. C’est la qualité « Rajas » des Hindous (ce n’est pas le feu élémentaire).

Sous son influence, les trois formes primordiales sont transmuées, devenant dans la Clarté ce qu’elles étaient dans l’obscurité.

Boehme les désigne ainsi : Lumière, Son, Séité. C’est la qualité « Sattva » des Hindous, l’ « Aor » de Moïse.

Ce processus est le même pour tous les aspects de la nature

Dans le monde moyen, la Trinité manifestée (Brahma, Vishnou, Siva) s’unit à Maïa.

« Aum » exprime le mystère de cette union, dont le produit est « Hiranyagharba », l’œuf d’Or.

Dans celui-ci s’incarne le Créateur, « Prajapati », Seigneur des Créatures.

Il détermine les deux pôles de l’œuf, Purusha et Prakriti, entre lequels se produit le courant vital, le souffle, « Prana », par lequel existent tous les êtres.

Purusha et Prakriti s’unissent d’ailleurs selon un processus analogue dans le troisième monde (Les Sephiroth de la Cabale appartiennent uniquement au monde Céleste. Nous n’avons pas à en parler ici.) .

Les enseignements de Boehme concernant la création, la chute de Lucifer et de l’Homme, l’œuvre du Verbe, etc., ont été clairement exposés par ses disciples et ses admirateurs (Signalons le bel ouvrage de Koyré, qui n’a d’équivalent dans aucune langue. Sautreaux, professeur au lycée de Grenoble, a fait une traduction complète de Boehme, restée malheureusement manuscrite.) .

Le système du « gniaf sublime » est peut-être la plus vaste et la plus profonde synthèse qui ait paru en Occident depuis l’école d’Alexandrie.

Comme le dit si justement Sédir, « il vit des choses effrayantes de profondeur, « contemplant sous le voile de ses paupières baissées les fulgurantes splendeurs « de la Nature essentielle, et, merveille encore plus rare, il conserva l’humilité « christique. »

C’est lui qui nous rappelle le mieux Joseph, le charpentier de Nazareth (Selon le légendaire chrétien, la baguette d’amandier de saint Joseph porte trois fleurs de lys. Le sceau que s’était choisi Jacob Boehme représentait une main sortant du ciel et tenant une verge à trois lis.), simple artisan de condition fort modeste, lui aussi, mais qui mérita d’être appelé « Lumière des Patriarches » et d’être choisi pour époux de la Vierge Marie.

T. BASILIDE




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