Bonjour,
je ne comprends pas que les gens qui se suicident - par suite d'une souffrance intenable - soient considérés comme damnés. Qu'est la position actuelle de l'Eglise sur cette question?
De même la position sur l'avortement m'étonne ; que l'Eglise condamne l'avortement, c'est normal et conforme à la raison; mais une personne coupable d'avortement est-elle impardonnable (il semble que la communion lui sera refusée et qu'il n'y ait pas de procédure pour restaurer sa communion ?) ??
Dernier problème de cette nature : l'euthanie suite à des souffrances intenables, que l'Eglise condamne aussi.
Ce qui m'étonne dans ces 3 cas, c'est que l'Eglise, représentante de l'amour infini, tient une position apparemment moins miséricordieuse que celle des humanistes - ou que celle de l'Eglise orthodoxe, qui semble prévoir un chemin de purification pour la femme coupable d'avortement, de façon ensuite à la réintégrer à la communion.