Obamagate: Un plan Obama et démocrate dévoilé contre Trump

Obamagate
Sommes devant un nouveau Watergate avec Obama et les milieux démocrates Clinton, à la place de Nixon ?

Des informations télévisées - sauf dans les médias du trust du multimilliardaire démocrate Soros ( CNN et ses fake news)qui censure l’information,
et des articles en font écho, traduits ici par le site Dreuz:
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Extraits:
« La publication de nouveaux SMS entre les deux agents anti-Trump du FBI met en cause Obama
7 fevrier 2018
Les noms de Peter Strzok et Lisa Page ne sont pas inconnus des lecteurs de Dreuz qui suivent mes chroniques sur la politisation– donc la corruption– à la tête du FBI dans les deux dossiers les plus importants de ces dernières années : le scandale des emails d’Hillary Clinton, et l’accusation de collusion entre Trump et la Russie pour remporter la présidentielle.

Ils ont tous deux travaillé pour l’enquête du conseiller spécial Robert Mueller sur une prétendue collusion entre la campagne Trump et la Russie.

Peter Strzok et Lisa Page faisaient partie de l’équipe Mueller. Robert Mueller s’est débarrassé du premier en douce (il a caché pendant plusieurs semaines avoir remercié Strzok, et n’a pas répondu aux demandes du Congrès sur les raisons de cette mise à pied), et la seconde a suivi, quand il a appris que Strzok échangeait avec sa maîtresse, l’avocate Lisa Page, également membre de l’enquête contre Trump, des SMS insultants contre le président, évoquait des réunions dans le bureau du directeur du FBI Andrew (Andy) McCabe pour se constituer une « assurance » pour le cas où Trump serait élu, et parlait de « réunions secrètes » en dehors du FBI pour faire destituer Trump, une fois qu’il a été élu.

La commission d’enquête du Congrès a ensuite réclamé au département d’Etat la production des SMS concernés. Le FBI a refusé. La commission du Congrès a haussé le ton. Le département d’Etat a cédé, mais a déclaré avoir perdu 5 mois d’échanges– précisément ceux qui couvraient les événements les plus sensibles de ce scandale. L’inspecteur général du département d’Etat les a retrouvés– le FBI mentait, ils n’étaient pas effacés. Il y avait plus de 10 000 SMS.

Et ils ont commencé à livrer leurs secrets…

Le sénateur Ron Johnson, ainsi que le comité sénatorial de la Sécurité intérieure et des Affaires gouvernementales, ont publié ces textos, de même qu’un rapport intitulé « The Clinton Email Scandal and the FBI’s Investigation of It » (le scandale des emails de Clinton et la façon dont le FBI a enquêté à son sujet).

» Obama veut savoir tout ce que nous faisons »

Dans les nouveaux messages entre Peter Strzok et Lisa Page, se trouve un échange sur la préparation de comptes rendus à remettre à l’ancien directeur du FBI, James Comey, destinés au président Obama, qui veut « savoir tout ce que nous faisons ».

Le message de Page à Strzok qui vient d’être découvert fait partie des milliers de textes échangés entre les deux amants, et passés en revue par les équipes mises sur pied par Fox News, car les autres grands médias ne veulent pas savoir ce que deux agents du FBI qui ont la haine de Trump et dont l’un, Strzok, a rédigé la note qui a permis d’éviter à Hillary Clinton des poursuites pénales, se sont dit.

Page a écrit à Strzok le 2 septembre 2016, sur une demande de réunion de Comey parce que « Potus [President Of The United States] veut être au courant de tout ce qu’on fait. »

Selon un rapport récemment publié par le Sénat, cet échange de SMS soulève de sérieuses questions sur l’implication personnelle, et les soupçons d’obstruction dont Obama fait l’objet dans l’enquête contre Hillary Clinton.

Ces soupçons s’inscrivent dans une continuité :

La secrétaire d’Etat à la justice d’Obama Loretta Lynch a clandestinement rencontré Bill Clinton dans le hangar d’un aérodrome la veille du jour où ses enquêteurs allaient interroger Hillary Clinton sur son serveur d’email,
James Comey a déclaré devant une commission du Sénat que la ministre Lynch lui a demandé un changement dans le vocabulaire de l’enquête criminelle contre Clinton qui lui a probablement évité la mise en accusation, lui demandant de remplacer les mots « enquête criminelle » par « sujet » dans la phrase « enquête criminelle contre Hillary Clinton ».
Peter Strzok, dont le président Obama a demandé d’être « au courant de tout ce qu’il fait », a modifié le libellé des charges retenues contre Hillary Clinton pour les remplacer par une définition qui échappe au Code pénal.
Dans des SMS que j’ai précédemment publiés, Strzok et Page ont montré leur haine pour les Républicains en général et pour Trump en particulier, le qualifiant de « putain d’idiot », entre autres insultes– et ils enquêtaient sur lui d’une façon qui était supposée être neutre et non partisane !

Les Républicains sont des « péquenauds ignorants »

Parmi les nouveaux textes divulgués, Strzok qualifie les Virginiens qui ont voté contre la candidate malchanceuse et épouse d’Andrew McCabe, le directeur adjoint du FBI avec qui il a eu des réunions pour trouver une assurance contre la victoire de Trump, « de péquenauds ignorants ». Jill, l’épouse d’Andrew McCabe, a reçu pour cette élection mineure, un don gigantesque de 750 000 dollars de la part des associés d’Hillary Clinton– alors que son mari enquêtait contre Clinton…

Ce texto a été envoyé par Strzok à Page le 4 novembre 2015, soit le lendemain de la défaite de Jill McCabe lors d’une élection au Sénat de l’État de Virginie.

Anthony Weiner et Huma Abedin

Les derniers SMS découverts révèlent un peu plus sur la façon dont Strzok s’y est pris pour innocenter Huma Abedin, la femme du détraqué sexuel Anthony Weiner, quand elle était la plus proche collaboratrice d’Hillary Clinton. Abedin a laissé sur l’ordinateur de la maison– dont se servait son mari pour montrer des photos de lui nu à des mineures– des emails classés top secret venant de la secrétaire d’Etat Hillary Clinton. C’est enquêtant sur Weiner que le FBI a découvert de « centaines de milliers » d’emails sur le portable de l’ancien député Anthony Weiner.

Le 28 septembre 2016, Strzok écrit à Page : » On a été appelé dans le bureau d’Andy [McCabe]… des centaines de milliers d’emails ont été retournés par les agents [du District sud de New York], y compris une tonne de choses de sa conjointe [Huma Abedin]. On envoie une équipe demain pour passer ça en revue… ça ne finira jamais. »

Selon le rapport du Sénat, ce message soulève des questions sur la façon et le moment où les responsables du FBI ont traité les emails relatifs à l’enquête sur le serveur privé d’Hillary Clinton présents sur l’ordinateur portable appartenant à Weiner.

Et un mois plus tard, le 28 octobre 2016, Comey informait le Congrès qu’en raison des récents développements, le FBI rouvrait son enquête sur le scandale des emails de Clinton.

Pourquoi Comey n’a-t-il été informé par son équipe d’enquêteurs et par son directeur McCabe que le 27 octobre, si la présence des emails top secret et confidentiels du département d’Etat de Clinton se trouvaient sur l’ordinateur portable de Weiner ?

» Oh mon Dieu, je suis si déprimé ! »

Le jour du dépouillement du scrutin qui donna la victoire à Trump, Page écrit à Strzok : « OMG THIS IS FUCKING TERRIFYING. » (Oh mon Dieu, putain c’est terrifiant)

Strzok lui répond : » Omg [Oh mon Dieu], je suis si déprimé. »

Plus tard ce mois-là, le 13 novembre 2016, Page écrit à Strzok : » J’ai acheté tous les hommes du président. J’ai besoin de rafraîchir le Watergate. »

Le lendemain, le 14 novembre 2016, Page écrit : » Dieu, être ici me met en colère. Beaucoup de discussions sur la sécurité nationale. En attendant, nous avons NOTRE tâche devant nous. »

Quelle tâche ? La réponse est probablement l’enquête du FBI sur l’hypothétique collusion du président avec la Russie que Strzok décrit dans un autre SMS comme une « police d’assurance » contre Trump.

Le dernier texte de Page à Strzok est du 23 juin 2017. Elle écrit : « S’il te plaît, ne m’envoie plus jamais de SMS. »

Etait-elle en colère contre son amant ? S’était-elle soudainement aperçue qu’ils avaient été découverts, eux et leurs milliers de SMS ?

Probablement : Peter Strzok était limogé de l’équipe de Mueller quelques jours plus tard, en juillet 2017. Page quitta à son tour l’enquête quelques jours plus tard.

Sur une autre note, le mémo Grassley qui a été publié ce lundi et dont j’ai parlé ici était, si vous vous en souvenez, très caviardé. Le sénateur Grassley s’était plaint auprès du directeur du FBI que son bureau avait exagérément exigé que de nombreuses parties soient noircies. Une version beaucoup moins caviardée a été publiée ce mercredi matin. Elle confirme que le sérieux et la rigueur du premier mémo publié par la commission d’enquête de Nunès. »

Source: Dreuz:
https://www.dreuz.info/2018/02/07/la-publication-de-nouveaux-sms-entre-les-deux-agents-anti-trump-du-fbi-met-en-cause-obama/?utm_content=buffer5f8f2&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=buffer

Avec autorisation de Jean-Patrick Grumberg

Les documents déclassifiés innocentent Trump et accusent les milieux démocrates
Libération:
http://www.liberation.fr/planete/2018/02/02/le-memo-nunes-vient-bousculer-l-enquete-sur-trump-et-la-russie_1627149

Extraits:
« Il accuse le département de la Justice et le FBI d’abus de pouvoir. Mi-octobre 2016, sous l’administration Obama, ils auraient obtenu de manière illégitime un mandat de mise sur écoute d’un responsable de la campagne de Donald Trump, Carter Page. Pour obtenir ce mandat, le FBI et le département de la Justice auraient affirmé à un juge de la Foreign Intelligence Surveillance Court (Fisa) avoir les éléments suffisants pour établir que Page avait des contacts illégaux avec des agents russes. Le mémo démontre que ces éléments étaient étayés par le fameux «dossier Steele», du nom d’un ancien agent du contre-espionnage britannique, Christopher Steele.

Or, accuse la note, ils n’ont pas précisé au juge que l’équipe de campagne de Hillary Clinton et le Comité national démocrate avaient contribué au financement des recherches qui ont alimenté ce dossier, comme l’a révélé le Washington Post en octobre. Ce rapport faisait état de nombreuses allégations compromettantes pour Trump, notamment des échanges d’informations pendant une décennie avec le Kremlin. Pour les républicains, le juge aurait été floué sur la crédibilité de Steele. Ce serait même la preuve, arguent-ils, de la partialité du FBI et de son biais anti-Trump dans sa conduite de l’enquête sur les soupçons d’interférences russes dans la campagne. Le mémo rappelle également que le numéro 2 du département de la Justice, Rod J. Rosenstein - qui a la main sur ce dossier depuis que l’Attorney General (ministre de la Justice), Jeff Sessions, s’est récusé de l’enquête sur les ingérences russes -, un républicain nommé par Trump, a autorisé la poursuite de la surveillance de Page.

Dans un tweet matinal vendredi, Trump a clairement livré le fond de sa pensée. Il a publiquement mis en cause l’intégrité des plus hauts responsables du département de la Justice et du FBI : il les accuse d’avoir «politisé» en faveur du camp démocrate les enquêtes sur l’ingérence russe. Trump a pourtant nommé Jeff Sessions, tout comme l’actuel directeur du FBI, Christopher Wray. Ce dernier a remplacé James Comey, limogé en mai par le président américain pour son zèle supposé dans l’enquête russe.

Il accuse : « «Les plus hauts responsables et enquêteurs du FBI et du ministère de la Justice ont politisé le processus sacré d’investigation en faveur des démocrates et contre les républicains».

Suite du scandale de l’Obamagate : qui est vraiment Robert Mueller, chargé d’enquêter sur le Président Trump sur la base du faux dossier russe ?
Un article de Dreuz
Avec autorisation par Jean-Patrick Grumberg

« Lorsque Robert Mueller a été nommé comme conseiller spécial pour mener l’enquête sur le président Trump en mai 2017, Politico a déclaré que « Mueller est le candidat le plus honnête et respectueux des lois– c’est un fonctionnaire respecté, non partisan, farouchement apolitique, et dont la seule motivation est la recherche de justice ».

En toute transparence, c’est aussi ce qu’ont pensé des commentateurs politiques pour qui j’ai beaucoup de respect, dont Bill O’Reilly et Newt Gingrich.

Moi pas.

Au moment où le directeur du FBI James Comey a déclaré devant la commission d’enquête du Sénat, en juin 2017, avoir illégalement fait passer des notes au New York Times dans le but de faire nommer un conseiller spécial (1) ; qu’un conseiller spécial a effectivement été nommé dans les heures qui ont suivi ; que ce conseiller spécial, Robert Mueller, est son ami ; que le secrétaire d’Etat à la Justice Jeff Sessions s’est retiré de l’enquête sur la collusion russe pour conflit d’intérêts (alors que la commission d’éthique a conclu qu’il n’était pas en conflit d’intérêts et qu’il n’avait pas à se retirer) ; que son numéro 2, Rod Rosenstein– qui est impliqué jusqu’aux oreilles dans le mémo publié vendredi par la commission présidée par Devin Nunès– a immédiatement nommé Mueller pour enquêter ; et que James Comey n’a jamais été poursuivi en justice ni inquiété pour avoir laissé filtrer des documents internes du FBI– ce qui est un grave délit pénal, inutile de vous faire un dessin– j’ai totalement cessé de croire dans l’honnêteté de Mueller.

Quand j’ai su que 15 des 16 enquêteurs dont Mueller s’est entouré sont des Démocrates, et qu’au moins 5 d’entres eux sont très actifs car ils ont fait des dons à Obama ou Clinton, je n’étais plus surpris : je savais que l’enquête de Mueller n’était pas la recherche de la justice, mais de faire tomber Trump pour le compte du marécage.

Lorsqu’enfin j’ai appris, en mars 2017 ce que vous venez d’apprendre, à savoir qu’un tribunal secret a autorisé le FBI à mettre la campagne de Trump sur écoute, au moyen du faux dossier Steele, que le FBI savait être faux, et financé par Clinton et les Démocrates– ce qui a été confirmé vendredi dernier par le compte rendu (le fameux mémo qui fait couler tant d’encre), il devenait clair pour moi que Robert Mueller était la créature du marécage destiné à se débarrasser de Trump.

Si vous suivez les médias de gauche américains, ou tous les médias français, la couverture médiatique n’a montré aucun doute sur la pureté de Mueller. Sauf que ces messieurs reprenaient en boucle les mêmes arguments comme une chambre d’écho, comme une information unique qu’on se refile en sous-main et que l’on publie pour valider celle des copains.

La vérité est que pendant les 11 années où il a été directeur du FBI, Robert Mueller a régulièrement violé la loi fédérale, a souvent été incompétent, et selon la valeur que l’on porte aux droits à la vie privée vs la sécurité publique, a fait des entorses à la Déclaration des droits :

Mueller a pris la direction du FBI une semaine avant les attentats du 11 septembre. Le 14 septembre 2011, Mueller déclarait : «Le fait qu’il y ait eu un certain nombre de personnes qui ont reçu une formation dans des écoles de pilotage est une information nouvelle, bien évidemment. Si nous avions compris que c’était le cas, nous aurions peut-être pu éviter cela.»
Trois jours plus tard, Mueller disait : «À ma connaissance, il n’y avait aucun signe d’alerte qui indiquait que ce type d’opération [allait se produire] dans notre pays.»
Mueller a dissimulé jusqu’au mois de mai suivant le fait que les agents du FBI de Phoenix et de Minneapolis avaient prévenu le siège de la présence suspecte d’Arabes dans les programmes de formation au pilotage.
L’analyse du Comité mixte du renseignement du Sénat et de la Chambre a conclu que l’incompétence et la négligence du FBI «ont contribué à ce que les États-Unis deviennent, dans les faits, une cible idéale pour les terroristes.»
L’erreur fatale du FBI poussait le Wall Street Journal, à l’époque, à réclamer la démission de Mueller, tandis que le New York Times titrait : « Le Congrès dit que ses erreurs jettent une ombre sur la crédibilité du chef du FBI. »
A part ça, quand vous lisez la presse ces temps-ci, ils vous serinent que Mueller est un fonctionnaire irréprochable…

Grâce au Patriot Act qu’il a réclamé, le FBI de Mueller a augmenté de manière exponentielle– jusqu’à 50 000 par an– le nombre de lettres de sécurité nationale (National Security Letters, ou NSL) qu’il a envoyé aux citoyens, aux entreprises et aux organisations à but non lucratif, et dont les destinataires se sont vu interdire de divulguer qu’ils ont été espionnés par le FBI. Les lettres de sécurité nationale ont autorisé le FBI à saisir des documents qui révélaient «où une personne gagne et dépense de l’argent, avec qui elle vit, avec qui elle a vécu auparavant, combien elle dépense dans les salles de jeux et dans les paris, ce qu’elle achète sur internet, ce qu’elle met en gage, l’argent qu’elle emprunte, où elle part en vacances, en voyages, comment elle investit son argent, ce qu’elle recherche et lit sur internet, qui lui téléphone, qui lui envoie des SMS à la maison et au travail, à qui elle téléphone, etc..». Le FBI a ainsi espionné des milliers de personnes avec une seule lettre de sécurité nationale– au mépris du Quatrième amendement de notre Constitution qui interdit les recherches déraisonnables sans mandat.
Encore une fois, le Patriot Act était une réaction au traumatisme du 11 septembre, et il existe largement de quoi argumenter qu’il vaut mieux que son droit à la vie privée soit un peu violé qu’être privé du droit de vivre. Mais le FBI de Mueller n’avait pas pour autant besoin de mentir à l’Amérique. Il a notamment minimisé le nombre de lettres de sécurité nationale que son bureau a émis, et il a nié que des abus ont eu lieu, dans le but de convaincre le Congrès de renouveler le Patriot Act en 2006.
L’année suivante, le rapport de l’Inspecteur général révélait le pot-aux-roses :
Des agents du FBI avaient émis des milliers de lettres de sécurité nationale illégales.
Peu après la publication du rapport, le juge fédéral Victor Marrero dénonçait le processus des NSL comme étant «l’équivalent législatif d’une introduction par effraction dans la vie des gens, avec un laissez-passer pour détourner les valeurs de la Constitution».
Et au lieu d’arrêter et de poursuivre en justice les agents du FBI qui avaient enfreint la loi, Mueller a créé un « bureau d’intégrité et de conformité » au sein du FBI.
L’Electronic Freedom Foundation, après avoir été contraint de faire des procès parce que le FBI refusait de lui remettre des documents, conformément à la loi sur la liberté de l’information, recueillait les rapports du FBI auprès d’un Conseil de surveillance fédéral, qui révélèrent que le FBI avait commis des «dizaines de milliers» de violations de la loi, de règlements et de décrets fédéraux entre 2001 et 2008.
Lors d’une audience sénatoriale publique d’avril 2005, la sénatrice Barbara Mikulski du Maryland a demandé à Robert Mueller : « Est-il vrai que la NSA (Agence de sécurité nationale) peut espionner les Américains ? » Mueller lui répondit : « Je dirais que, normalement, elle n’est pas autorisée à espionner ou à recueillir des informations sur les citoyens américains. » Depuis, Edward Snowden a montré que Mueller mentait. Près de neuf mois plus tard, le New York Times révélait que la NSA avait mis illégalement sur écoute environ 500 personnes à la fois à l’intérieur des États-Unis, et lu des millions de messages échangés entre Américains. Mueller n’avait eu aucun problème avec ça.
En 2011, Mueller témoignait devant la Commission du Sénat sur le renseignement (the Senate Intelligence Committee). La commission conclut que «le FBI interprétait [l’article 215] et l’utilisait au sens large». Mueller affirma que l’enregistrement téléphonique de tous les Américains était « pertinent » aux enquêtes sur le terrorisme. Plusieurs fois par an, Mueller signait des demandes de FISA (comme pour l’affaire de mise sur écoute de la campagne Trump) pour obliger continuellement les compagnies téléphoniques à livrer tous les relevés d’appels téléphoniques (y compris le jour, l’heure, la durée et la localisation des appels) à la NSA.
Un juge fédéral, Richard Leon, qualifia ce rassemblement de données de « presque orwellien », ajoutant « Je ne peux pas imaginer d’invasion plus aveugle et arbitraire que cette collecte systématique, ainsi que la conservation de données numériques personnelles sur presque tous les citoyens américains, pour les soumettre ensuite à l’étude et à l’analyse sans autorisation judiciaire préalable. »
Le 5 juin 2013, les fuites d’Edward Snowden ont mis fin à ce régime de surveillance abusif.
Conclusion

Si l’équipe de Mueller trouve un jour des preuves que Trump a été complice des Russes durant sa campagne présidentielle de 2016– ce qui semble de plus en plus improbable au fur et à mesure que le temps passe, sans parler du fait que l’armée des journalistes d’investigation employés à temps complet par les médias pour détruire Trump reviennent tous bredouille, une importante question viendra plomber les résultats de son enquête, et elle a été formulée par le plus violent média anti-Trump de tous, le Washington Post (2) :

Alors qu’il existait, parmi les 35 000 agents que compte le FBI, un nombre quasi illimité d’enquêteurs totalement apolitiques, neutres et au-dessus de tous soupçons, pourquoi Mueller a-t-il laissé l’équipe qu’il a constituée être contaminée par ne serait-ce que l’apparence d’un parti-pris anti-Trump ?

Pourquoi avoir recruté Peter Strzok, le sous-directeur du contre-espionnage qui a enquêté sur le serveur d’email privé de Clinton, et a modifié les résultats de l’enquête afin de l’exonérer de toute malversation et lui éviter des poursuites pénales ?
Pourquoi avoir laissé des agents qui ont versé des contributions à hauteur de 62 000 dollars au parti Démocrate et pour faire élire Hillary Clinton, enquêter contre celui qui a battu leur candidate ?
Pourquoi avoir pris dans son équipe l’avocate Jeannie Rhee, qui non seulement a fait un don de plus de 16 000 dollars aux Démocrates depuis 2008 (3), mais a également défendu la Fondation Clinton dans une affaire de racket, et Hillary Clinton elle-même, en 2015, contre une demande de publication de ses emails ?
Pourquoi avoir fait appel à James Quarles, l’avocat qui a fait des dons à hauteur de 33 000 dollars à Obama et Clinton ?
Ou l’avocate Kyle Freeny, qui a défendu l’administration Obama dans un procès d’immigration, et a fait des dons à Obama et Clinton durant leurs campagnes électorales !
De deux choses l’une : ou je suis un idiot fini, et j’accepte naïvement de croire la soupe que me servent mes copains de gauche, qui disent que Mueller ne savait pas que plusieurs de ses recrues sont activement Démocrates, mais dans ce cas je devrais immédiatement mettre en doute la capacité de Mueller à trier les agents qu’il recrute, ou alors je me dis que puisque ne serait-ce que l’ombre d’un soupçon de parti-pris dans l’enquête la plus critique que connaît les Etats-Unis peut avoir un effet disqualifiant sur toute l’enquête, Mueller a quelques explications à nous donner.

Sait-il que plusieurs membres de son équipe sont à ce point engagés à gauche ? Quand l’a-t-il su ? Pourquoi ne fait-il rien pour corriger le tir, à part avoir écarté Peter Strzok et sa maîtresse Lisa Page parce qu’ils ont, d’après les SMS qui ont été remis à la commission d’enquête du Sénat, échangé des propos qui transpiraient la haine de Trump, et évoquait la création d’une assurance contre l’élection de Trump, puis d’une « société secrète » de membres du FBI pour le faire destituer.

(1) James Comey, répondant à Susan Collins, Sénatrice du Maine et membre de la commission d’enquête du Sénat, qui lui demandait pourquoi il conservait ses notes de service, puis s’il en avait partagé le contenu à l’extérieur du ministère de la Justice lui déclare : « J’ai demandé à un de mes amis de partager le contenu de la note de service avec un journaliste. Je ne l’ai pas fait moi-même pour diverses raisons, mais je lui ai demandé de le faire, car j’ai pensé que cela pourrait inciter à nommer un conseiller spécial. » (washingtonexaminer) »

(2) washingtonpost

(3) businessinsider

https://www.dreuz.info/2018/02/05/suite-du-scandale-de-lobamagate-qui-est-vraiment-robert-mueller-charge-denqueter-sur-le-president-trump-sur-la-base-du-faux-dossier-russe%E2%80%89/?utm_content=buffer10b4c&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=buffer

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L’Obamagate et la crise morale en Occident, par Hélios d’Alexandrie:

extrait : « Dans vingt ou trente ans, les historiens et les penseurs désigneront l’Obamagate comme l’évènement déclencheur d’une remise en question profonde sur le plan moral.

Quand la poussière retombera et que la cacophonie cessera, les sociétés occidentales se retrouveront face à elles-mêmes à s’interroger, non seulement sur le pourquoi et le comment de ce scandale qui frappe les élites et les institutions, mais principalement sur le Tchernobyl moral qui l’a rendu possible.

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Le camp du bien

L’Obamagate est juché sur une montagne de fausses valeurs et de mensonges. À la base se trouve la conviction d’appartenir au camp du bien, celui qui est appelé à décider de l’avenir du pays, voire de l’Occident. Rien ne doit entraver sa mission salvatrice, et rien ne doit empêcher ses chefs et leurs lieutenants d’opérer en toute liberté. C’est pourquoi il leur était important de se saisir du pouvoir moral et de le garder, ce pouvoir est celui de désigner ce qui est bon et ce qui est mauvais pour la société, et il autorise d’élever ceux qui sont vertueux et de rabaisser ceux qui à leurs yeux ne le sont pas.

Parce que le camp du bien incarne la vertu, rien ni personne ne doit l’ébranler. Certes il ne s’appuie pas sur une philosophie ou sur un dogme religieux, car étant lui-même sa propre norme, il ne peut être autre chose que ce qu’il pense et dit de lui-même. Cependant l’autorité morale qu’il revendique ne s’impose pas d’elle-même, il lui faut les moyens puissants que procurent les médias, l’enseignement ou plutôt l’endoctrinement et la censure. Formater les esprits et éliminer la concurrence sont de nature à asseoir solidement son pouvoir moral... »

...


« Avec L’Obamagate le camp du bien à joué son va tout. L’enjeu était d’importance autrement il n’aurait pas eu recours à la dissimulation, à la calomnie, à l’abus de pouvoir et au coup d’État, aux fins d’invalider le processus démocratique et destituer un président légitime.

Trump sans le vouloir a forcé le camp du bien à jeter le masque et à se montrer dans toute sa laideur. Mais au lieu de garder le silence, faire son examen de conscience et tirer les leçons de l’évènement, le camp du bien a choisi la fuite en avant, refusant d’admettre ses égarements, persistant dans ses attaques vicieuses et faisant flèche de tout bois. En tentant par tous les moyens de cacher ses crimes derrière des écrans de fumée, il aggrave son cas et achève de perdre toute crédibilité.

Il y a un avant l’Obamagate et il y aura sans doute un après. L’avant malgré les zones d’ombre est bien connu, mais les contours de l’après sont flous et il est encore tôt pour prédire ce qui va se passer en Amérique et ailleurs en Occident suite à ce scandale. D’ailleurs seul le premier voile vient d’être levé et l’essentiel reste à venir; mais quelles que soient ses ramifications, son impact sur nos sociétés restera le même. C’est comme si le sortilège des imposteurs et des hypocrites était en train de s’évaporer, mais nos sociétés ne seront pas pour autant tirées d’affaire, le mal dont elles souffrent ne s’éliminera pas comme par enchantement et seul l’avenir dira si elles n’en garderont pas des séquelles permanentes. »
lire la suite:
Source:
https://www.dreuz.info/2018/02/04/lobamagate-et-la-crise-morale-en-occident-par-helios-dalexandrie/?utm_content=buffer16d03&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=buffer

Oui, on peut laisser ce sujet. Discuter de Donald Trump est intéressant.

Je trouve cela passionnant, c'est primordial dans ces temps ou le monde est en ébullition constante.
Trump est un revolutionnaire utile, qui bouleverse la bienpensance lénifiante de propagande, aux resultantes antioccidentales, et il tente de sauver le monde chretien.
On peux etre pour ou contre sa derniere declaration qui dit que le peuple americain est un peuple de croyants. ( ou un peuple ayant la foi, je traduit peut etre mal) il globalise mais il a raison sur le fond,
On jure sur la bible dans la loi americaine. Les athés americains l'acceptent majoritairement.
Cependant, mon sujet ne parle pas de foi, mais de politique, et il y ici de nombreux sujets de politiques tout aussi interessants.

Si il se confirme qu'Obama ait bafoue la loi, en placant des ecoutes, illégalement, ca serait un Obamagate aussi fort que le watergate.
Nous verrons bien..
Sauf qu'Obama n'est plus président, mais il perdrait sa credibilité politique, et les clinton avec.
Je pense que Trump est honnéte. Il a des valeurs.
Et puis' dés le début' je pose en fait la question, interrogative :
" Sommes nous devant un Obamagate ?"
C'est ma question, et je l'étaye avec des sources ensuite.
Libération conforte les articles amêricains traduits par Dreuz ( un site que je trouve personnellement assez fiable et quia rêvêlé plusieurs scandales divers, et que je ne juge pas d'extreme droite mais plutot pro-occidental et non neutre sur bien des domaines comme en politique internationale, engagé certes mais donnant ses sources)
Le journal Libération va dans le sens de ces sources, aussi. C'est un point important, et des informations televisees en France ont mentionné la mise a disposition de ces informations classifiées, au public, déclassifiées par Trump.
Donc Dreuz a dit vrai.
Si nos medias en parlent tres peu ensuite, c'est par la haine d'état anti-Trump psychiatrique et antiaméricanisme primaire.

Oui, il y a une chose qui est bien : il détruit le politiquement correct aux USA !

Le président Donald Trump est vraiment incohérent mais il ne le cache pas , au contraire de ses prédécesseurs . Il est spontané .

Ses résultats sont exceptionnels, c'est tout ce qui compte.

Rien qu'en faisant des surenchères verbales absurdes sur la hauteur du mur, il a fait chuter l'immigration clandestine de 40% !!!

Un Maître !