Qui a écrit ce texte ?

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Bonjour SMP,

Le commentaire est intéressant. Mais ce qui me frappe c'est que, dans ces lignes, la traduction de ce Pater est ancienne : "Ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez nous du mal". Aujourd'hui la Liturgie catholique nous fait dire : «Et ne nous soumets pas à la tentations, mais délivre-nous du Mal.

En 1969, j'avais mis le Notre Père en musique et nous le chantions à l'église. Les mots étaient alors ceux que votre commentateur utilise. Pour ajuster ensemble paroles et musique j'avais écrit : «Soutiens-nous en tentation, ...» ce qui avait été accepté parce qu'étant très près et/ou l'équivalent de "ne nous laisse pas succomber à la tentation".
Avec la traduction actuelle, j'écrirais «Garde-nous des tentations ...» ce qui me semblerait demeurer dans l'esprit du texte nouveau.

Et pour revenir au commentaire de ces lignes, dans la traduction antérieure, c'est comme si nous disions «Père, tu permets au Malin de nous tenter, alors donne-nous ta grâce pour que nous ne succombions pas aux tentations "». Le nouveau texte demande au Père quelque chose d'assez différent ! «Permets, Père, que nous ne soyons pas tentés !» ... Il y a ici tout le mystère de l'épreuve.
L'expérience spirituelle permet d'affirmer que celui qui honore Dieu dans son coeur, celui en qui Dieu a établi son règne, celui qui se soumet en tout à la volonté de Dieu, à celui-là Dieu donne la nourriture spirituelle dont il a besoin chaque jour, Dieu pardonne entièrement toute faute, et finalement, gardant le Diable à distance, Dieu permet, par périodes plus ou moins longues, que celui-là ne soit pas soumis à l'épreuve de la tentation... La prière est véritablement exaucée. Congé de tentation !!!

Salutations !
Godefroy

Quand j'étais enfant, à l'école primaire, tous les jours, avant de commencer les cours, nous nous tenions debout, à coté de nos pupitre et nous récitions le "notre père" et le "je vous salue".

De mémoire, cela donne

Notre père, qui êtes aux cieux
Que ton nom soit sanctifié
Que ton règne vienne sur la terre comme au ciel
Donne nous aujourd'hui, notre pain de ce jour
Pardonne nous nos offenses
Comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés.
Ne nous soumets pas à la tentation
Délivre nous du mal
Amen

Je vous salue, Marie, pleine de grâce
Le seigneur est avec vous
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles est bénie
Sainte Marie, mère de Dieu
Priez pour nous, pauvres pêcheurs
Maintenant et à l'heure de notre mort
Amen

Si je ne me trompe pas, c'est comme cela que l'on nous les faisaient réciter

PS : c'était dans les années soixantes

Bonjour Florence_Yvonne,

À ce que je vois, la traduction nouvelle est arrivée plus rapidement à Mont...pellier qu'à Mont...réal !

Ciao !
Godefroy

Godefroy a écrit:

Bonjour Florence_Yvonne,

À ce que je vois, la traduction nouvelle est arrivée plus rapidement à Mont...pellier qu'à Mont...réal !

Ciao !
Godefroy

C'était à Pézenas, bon, c'est à cinquante kilomètres de Montpellier, je ne chipoterais pas.

Remarque, c'était peut-être une version adaptée aux petits enfants que nous étions.

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Quand je vois des gens qui mettent un jésus crucifié sur le mur de leur chambre, je suis très septique, comment peut-on dormir en présence de la représentation d'un cadavre torturé ?

Ces textes on été écrit par PAQUI dans les années 1925, le livre s'appelle Entretiens Célestes, préface de Jean Prieur

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