Je proposerais une manière foucaldienne d'introduire le sujet : s'intéresser d'abord à la façon dont les choses font problèmes. Certaines choses posent problème à la justice, elles nous permettent de cerner mieux la justice.
Si on étudie la justice des hommes, on arrivera probablement à un relativisme historico-géographique du genre "A l'âge classic, tenter de se défaire était illégal au regard de la justice - et puni de mort - et ce n'est plus le cas maintenant ; et peut-être qu'outre mer, tenter de se défaire est un honorable".
Pour ce qui est de la Justice divine, j'aurais tendance à dire qu'elle m'est étrangère, elle s'eclipse. Au mieux, je ne la reconnais que de dos (comme je ne reconnais Dieu que de dos).
J'avais le droit ou c'était pour Charles avant tout ?
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Quand un homme est en révolte contre la mort,
il s'empare d'un des attributs des dieux,
le pouvoir de la donner.
Hemingway.