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 8 février : Sainte Joséphine Bakhita et Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite

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MessageSujet: 8 février : Sainte Joséphine Bakhita et Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite   8 février : Sainte Joséphine Bakhita et  Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite Empty7/2/2024, 18:17

Jeudi 8 février 2024

Sainte Joséphine Bakhita

Religieuse (+ 1947)

8 février : Sainte Joséphine Bakhita et  Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite Josephinebakhita

Giuseppina Bakhita (1869-1947), soudanaise, esclave puis religieuse.
La Mère Noire - ainsi l'appelaient affectueusement les gens qui la connaissaient - s'éteint le 8 février 1947.

Le pape Jean Paul II a béatifié Joséphine Bakhita le 17 mai 1992. Elle a été déclarée sainte le 1er octobre 2000.

- Se libérer de la servitude à l’exemple de Sainte Joséphine Bakhita, Pape François février 2019


- Bonté et ferveur missionnaire



- Une vidéo produite par le CFRT ... on peut demander son intercession lorsqu'on prie pour que cesse l'esclavage moderne...

En 1931 sort un livre intitulé: Histoire merveilleuse. Ce livre raconte la vie de Bakhita et montre ses photos. Il connaît un grand succès.

Mémoire de sainte Joséphine Bakhita, vierge. Née au Soudan dans la région du Darfour, elle fut enlevée toute jeune, vendue plusieurs fois à des marchands d'esclaves africains et subit une servitude cruelle. Enfin libérée, elle devint chrétienne puis religieuse à Venise chez les Filles de la Charité, passa le reste de sa vie dans le Christ à Schio, au pays de Vicence, en subvenant aux besoins de tous, et mourut en 1947.

Citation :
ô Seigneur, si je pouvais voler là-bas, auprès de mes gens et prêcher à tous à grands cris ta bonté: Oh, combien d'âmes je pourrais te conquérir! Tout d'abord ma mère et mon père, mes frères, ma sœur encore esclave... tous, tous les pauvres Noirs de l'Afrique, fais, ô Jésus, qu'eux aussi te connaissent et t'aiment!



https://nominis.cef.fr/contenus/fetes/8/2/2024/8-F%C3%A9vrier-2024.html


Dernière édition par Constance le 8/2/2024, 10:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: 8 février : Sainte Joséphine Bakhita et Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite   8 février : Sainte Joséphine Bakhita et  Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite Empty8/2/2024, 10:22

Pourquoi Joséphine Bakhita est un modèle d’espérance


8 février : Sainte Joséphine Bakhita et  Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite WEB3-Josephine-Bakhita-WIKI
Public Domain

Philip Kosloski - publié le 07/02/24

Sainte Joséphine Bakhita, fêtée le 8 février, a connu de grandes épreuves dans sa vie, mais elle a pu garder vivante dans son cœur l’espérance de Jésus-Christ.

Sainte Joséphine Bakhita est une femme africaine du XIXe siècle qui a vécu de nombreuses épreuves et horreurs. Très jeune, elle a été kidnappée, battue et vendue comme esclave. Elle a eu une vie difficile, mais lorsqu’elle s’est convertie au christianisme, elle a trouvé une profonde espérance dans l’amour de Jésus-Christ qui l’a aidée à surmonter toutes les souffrances et les épreuves qu’elle avait vécues.

Dans son encyclique sur l’espéranceSpe Salvi(2007), le pape Benoît XVI avait souligné son exemple :

Citation :
Jusqu’alors, [Joséphine Bakhita] n’avait connu que des maîtres qui la méprisaient et qui la maltraitaient ou qui, dans le meilleur des cas, la considéraient comme une esclave utile. Cependant, à présent, elle entendait dire qu’il existait un « Paron » [maître] au-dessus de tous les maîtres, le Seigneur des seigneurs, et que ce Seigneur était bon, qu’Il la connaissait, qu’Il l’avait créée elle aussi, et plus encore qu’Il l’aimait. Elle était aimée par le « Paron » suprême, face auquel tous les autres maîtres n’étaient que de misérables serviteurs. Elle était connue, aimée et elle était attendue. Ce Maître avait été lui-même battu et maintenant Il l’attendait « à la droite de Dieu le Père.

C’est cet amour de Dieu qui a donné à sainte Joséphine Bakhita une espérance que nulle personne ne pouvait atteindre seule :

Citation :
Désormais, elle avait une « espérance » – non seulement la petite espérance de trouver des maîtres moins cruels, mais une grande espérance. Elle se sait définitivement aimée et attendue par cet Amour quoi qu’il lui arrive. Par la connaissance de cette espérance, elle était « rachetée », elle ne se sentait plus esclave, mais libre fille de Dieu. Elle comprenait Paul qui rappelait aux Éphésiens qu’avant, ils étaient sans espérance et sans Dieu – sans espérance parce que sans Dieu.

Cette nouvelle espérance en Dieu habitait chaque partie de son être et elle la transmettait à tous ceux qu’elle rencontrait :

Citation :
Dans ses différents voyages en Italie, elle cherchait à encourager la mission : elle se sentait le devoir de transmettre au plus grand nombre de personnes la libération qu’elle avait obtenue à travers la rencontre avec Jésus Christ. Elle ne pouvait pas garder pour elle cette espérance qui était née en elle et qui l’avait rachetée. Cette espérance devait être transmise à beaucoup de personnes, elle devait rejoindre tout le monde.

Lorsque la vie devient difficile, souvenez vous de la vie de sainte Joséphine Bakhita, demandez lui son intercession et la vertu de l’espérance avec laquelle il est possible de supporter toutes les épreuves.


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MessageSujet: Re: 8 février : Sainte Joséphine Bakhita et Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite   8 février : Sainte Joséphine Bakhita et  Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite Empty8/2/2024, 10:28

L’audacieuse décision de Bakhita qui la libéra de l’esclavage et la mena jusqu’à Dieu




8 février : Sainte Joséphine Bakhita et  Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite Web3-saint-josephine-bakhita
© Public Domain
Sainte Josephine Bakhita

Aliénor Goudet - publié le 07/02/21 - mis à jour le 07/02/23

L’histoire de Joséphine Bakhita (1869-1947), l’esclave soudanaise devenue sainte, a ému de nombreux chrétiens dans le monde. Après avoir été asservie pendant plus de dix ans, Bakhita s’est elle-même affranchie de ses chaînes pour pouvoir connaître le Christ.

Venise, 1889. Il est encore tôt à l’Institut des catéchumènes où résident les Filles de la charité canossiennes. Toutes les sœurs et les pensionnaires dorment encore. Enfin, presque toutes. Bakhita, elle, n’a pas fermé l’œil de la nuit. Avant même le petit matin, elle s’est rendue à la chapelle. Assise sur un banc de bois, elle fixe d’un regard perdu le crucifix au-dessus de l’hôtel.

Bakhita ne se souvient pas de la dernière fois où elle a pleuré. Ses larmes n’ont jamais servi à rien. Elles ne faisaient qu’attiser la colère et les châtiments de ses premiers maîtres. Ces mêmes châtiments qui lui ont fait oublier son vrai nom et sa langue maternelle. Mais si ses yeux se rappelaient comment pleurer, c’est une rivière qui leur échapperait.

C’est aujourd’hui que madame Michieli doit venir les chercher, elle et sa fille, Alice dite Mimmina, dont Bakhita est la nounou. Non que ses maîtres ne lui déplaisent. Ils sont avec elle bons et indulgents. Et elle s’est beaucoup attachée à Mimmina. Mais les Michieli ont pour projet de repartir en Afrique, là où personne ne connaît le Christ.

Les sœurs ont été si généreuses de lui faire connaître le Très-Haut, la Vierge Marie et leur fils. Or Bakhita vient à peine de les rencontrer. Et voilà que déjà on veut l’emmener loin d’eux, vers une terre où elle ne pourra plus rien apprendre d’eux. Mais ici, le Christ la regarde avec des yeux doux et pleins d’amour. Il l’attend, elle en est sûre. Elle serre contre sa poitrine un petit crucifix d’argent, son bien le plus précieux et la seule chose qu’elle possède.

Citation :
– Mon maître, si pour vous connaître il faut du courage, alors je serai courageuse, murmure-t-elle.

Sur ce, elle se lève pour retourner dans sa chambre et défaire ses bagages.

En début d’après-midi, madame Michieli arrive enfin. Cette dernière est surprise de trouver sa fille les larmes aux yeux. Elle demande alors des explications.

Citation :
– Je vous remercie de m’avoir amené dans ce pays qui connaît Dieu, lui dit alors la jeune africaine. J’ai décidé de rester pour mieux le connaître. Mimmina et moi nous sommes dit au revoir.
– Comment ça, rester ? Je n’ai pas de temps à perdre pour des plaisanteries de mauvais goût. Viens donc. Nous sommes pressées.
– Non, madame. Je ne partirai pas.

Que c’est étrange de dire “je décide” après une vie de soumission. Bakhita tremble de l’intérieur, de peur qu’on ne l’emmène de force. Des souvenirs de chaînes et de coups envahissent son esprit. Mais la lumière qui l’appelle est plus forte. C’est là que sont la liberté et l’amour. Alors elle regarde droit dans les yeux madame Michieli qui s’empourpre de colère et exige que Bakhita la suive.

La mère supérieure et sœur Maria Fabretti viennent au secours de leur protégée, disant qu’elles ne peuvent refuser quelqu’un qui cherche Dieu. Furieuse, madame Michieli tourne les talons.

Pendant plusieurs mois, elle tente de faire intervenir ses relations pour faire valoir ses droits sur l’esclave et menace même les religieuses de prévenir la supérieure générale de la congrégation. En attendant, Bakhita poursuit son instruction religieuse, non sans angoisses.

Son salut arrive enfin sous la forme d’un procureur le 29 novembre. Celui-ci libère officiellement la jeune soudanaise car elle est majeure et que l’esclavage n’existe pas en Italie.

Bakhita est baptisé le 9 janvier 1890 par l’évêque Domenico Agostino (1825-1891) et prend le nom de Joséphine. Sa confirmation et sa première communion sont faites en parallèle. Trois ans plus tard, elle rejoint la congrégation et prononce ses vœux le 8 décembre 1896, pour son plus grand bonheur. Elle peut désormais accomplir son vœu le plus cher : servir et prier Dieu de toute son âme.

Joséphine Bakhita rend l’âme le 8 février 1947, après une vie de service et de simplicité qui a touché les cœurs de tous ceux qui ont croisé la “madre moretta” (petite mère noire). Elle est canonisée à Rome par Jean Paul II le 1er octobre 2000 où le saint pape fait l’éloge de son exemple de miséricorde et de réconciliation. 

Sainte Joséphine Bakhita est aujourd’hui la patronne des chrétiens opprimés.

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MessageSujet: Re: 8 février : Sainte Joséphine Bakhita et Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite   8 février : Sainte Joséphine Bakhita et  Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite Empty8/2/2024, 10:29

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MessageSujet: Re: 8 février : Sainte Joséphine Bakhita et Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite   8 février : Sainte Joséphine Bakhita et  Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite Empty8/2/2024, 10:36

Esclavage : l’appel du Pape face au fléau des temps modernes

8 février : Sainte Joséphine Bakhita et  Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite Esclavage-prisonnier
Shutterstock


La rédaction d'Aleteia - avec I.Media - publié le 04/02/24

Alors que l'Église prépare la Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite, qui se tiendra le jeudi 8 février, le pape François a plaidé la cause des personnes victimes de la traite dans le monde.


« Encore aujourd’hui, tant de nos frères et sœurs sont trompés par des fausses promesses et soumis à l’exploitation et aux abus » a dénoncé le pape François en s’adressant à la foule de la place Saint-Pierre, à Rome, ce dimanche 4 février.

 Unissant sa voix aux évêques de la Péninsule, il a ainsi lancé un appel à « dépasser les visions idéologiques, pour redécouvrir que toute vie humaine, y compris la plus limitée, a une valeur immense ». 

Le douloureux sujet de l’esclavage des temps modernes est au coeur des réflexions du Vatican alors que l’Église prépare la Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite, qui se tiendra le jeudi 8 février. 

Instaurée par le pape François en 2015, cette semaine de mobilisation et de prière a commencé cette année le vendredi 2 février et s’achèvera jeudi 8, afin de sensibiliser le monde entier contre la traite humaine.

Placée sous le patronage de sainte Joséphine Bakhita, ancienne esclave soudanaise devenue religieuse en Italie, elle manifeste la volonté du Vatican de sensibiliser le monde entier contre la traite humaine. 

Les prostituées ne sont pas les seules à compter parmi les captifs contemporains d’une époque qui n’a pas aboli toutes les formes de l’esclavage. 

À leurs côtés, il faut également citer dans cette sinistre liste tous ceux qui, victimes de la course au profit, peinent à vivre et à nourrir leurs enfants, mais également les ouvriers qui, en Asie et ailleurs, fabriquent nuit et jour les vêtements et autres objets vendus à bas prix dans les magasins occidentaux. 

« La traite des êtres humains est une plaie dans le corps de l’humanité contemporaine, une plaie dans la chaire du Christ, avait alors déclaré le souverain pontife. C’est un délit contre l’humanité. »
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MessageSujet: Re: 8 février : Sainte Joséphine Bakhita et Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite   8 février : Sainte Joséphine Bakhita et  Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite Empty9/2/2024, 10:43



La vie de sainte Joséphine Bakhita, patronne du Soudan et des chrétiens opprimés (1869-1947) /
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