Hélène et Nelly Emont

Je précise que je n'ai absolument pas parlé de repentance, ni de près de loin, que je n'en 'n'ai pas écrit le mot et que le sujet de mon poste portait sur l'importance du travail accompli par Hélène, ce dont je me félicitais. Mais puisque la porte est ouverte, voici donc une définition de la chose, extraite d'un "dictionnaire de morale catholique'" écrit par Jean-Louis Brugues. Je précise qu'au XIIIème siècle, les mots repentance et repentir étaient synonymes et que c'est peut-être pour son manque de connotation religieuse, qu'il a été de préférence choisi (il fait "moins peur").
"La contrition ou repentir, marque une étape décisive dans la démarche de conversion. Le remorts enferme la conscience dans la douleur et le sentiment de l'irréparable. La contrition indique à celle-ci une issue : en reconnaissant sa faute, dans un aveu personnel, en mesutant sa responsabilité, le pécheèur peut solliciteer le pardon et s'engager à réparer les conséquences de son acte : réviser toute sa vie. Elle comporte une doble attitude : l'humilité de la reconnaisssance de soi et de sa misère : ("J'ai péché contre le Seigneur" confesse David en 2 S. 12, 13)et l'espérance en la miséricorde infinie du Sauveur. Elle offre un versant proprement moral, mais aussi un versant théologal, lorsqu'elle prend la mesure du péché en contemplant la bonté de celui qui a été offensé. L'importance relative de chacun de ces versants détermine les deux formes de la contrition. On dira que la contrition est parfaite, lorsque le repentir et le retour sur soi sont animés par un mouvement de charité, un amour de Dieu pour lui-même.
Le vrai repentir ne se berce pas d'illusions. Il ne cherche pas à nier le passé, il ne travestit pas par la puissance de l'imaginaire ; il l'assume. Il accepte la réparation sous toutes ses formes. Il fait cesser le ressentiment que nourrit le pécheur envers lui-même. Il ne rêve pas d'une libération instantanée. Il sait que celle-ci requiert une lutte constante conctre les inclinations au mal avec le secours de la grâce. Mais il espère : Dieu n'abandonne jamais celui qui crie vers lui. (Ps 10, 17 ; 77, 2) 'p. 103).

Noel a écrit:

Dans ce cas relisez le post d'Hélène cité par Nelly.
Moi si je m'étais repenti je n'aurais pas reservi le couvert.

vous avez lié le sens du repentir avec la remarque de Nelly, or sa remarque n'avait pas de lien ni dans le fond, ni dans la forme, avec le véritable sens du repentir sur lequel Cécile vous questionnait.

Clotilde a écrit:

Noel a écrit:

Dans ce cas relisez le post d'Hélène cité par Nelly.
Moi si je m'étais repenti je n'aurais pas reservi le couvert.

vous avez lié le sens du repentir avec la remarque de Nelly, or sa remarque n'avait pas de lien ni dans le fond, ni dans la forme, avec le véritable sens du repentir sur lequel Cécile vous questionnait.

Noel a écrit:

Pour ma part je me suis abstenu, par charité chrétienne et/ou maçonnique, de faire preuve de la même "patience" qu'Hélène. Bien m'en a pris. Je n'ai aucun goût pour les choses mortes (et c'est un euphémisme). Je préfère de beaucoup l'air balsamique des sapins.

De plus Cécile a parfaitement compris. Relisez ses posts.

Peut-être voulez-vous que je vous explique l'expression "repasser le couvert"?

Cécile vous dis:

je crains que vous ne vous mépreniez sur le sens exact de la « repentance » exprimée en Église, tant par le Pape que par chacun…

Vous répondez quant au sens exact de la repentance, que Nelly vient d'en donner la réponse. Vous avez lié le sens du repentir avec la remarque de Nelly, or sa remarque n'avait pas de lien ni dans le fond, ni dans la forme, avec le véritable sens du repentir sur lequel Cécile vous questionnait....et Nelly le confirme elle-même dans son tout dernier message.

Noel a écrit:

[b]Pour ma part je me suis abstenu, par charité chrétienne et/ou maçonnique, de faire preuve de la même "patience" qu'Hélène.

il me semble bien cependant que vous avez relevé aussi des phrases qu'elles (Nelly et Hélène) ont tenu pour expliquer en quoi elles vous avez attaqué et en quoi il était justifié que vous vous défendiasses ( ) non?

Clotilde a écrit:

Cécile vous dis:

je crains que vous ne vous mépreniez sur le sens exact de la « repentance » exprimée en Église, tant par le Pape que par chacun…

Vous répondez quant au sens exact de la repentance, que Nelly vient d'en donner la réponse. Vous avez lié le sens du repentir avec la remarque de Nelly, or sa remarque n'avait pas de lien ni dans le fond, ni dans la forme, avec le véritable sens du repentir sur lequel Cécile vous questionnait....et Nelly le confirme elle-même dans son tout dernier message.

Noel a écrit:

[b]Pour ma part je me suis abstenu, par charité chrétienne et/ou maçonnique, de faire preuve de la même "patience" qu'Hélène.

il me semble bien cependant que vous avez relevé aussi des phrases qu'elles (Nelly et Hélène) ont tenu pour expliquer en quoi elles vous avez attaqué et en quoi il était justifié que vous vous défendiasses ( ) non?

Dans des posts en réponse directe... Pas, comme Hélène, dans un réquisitoire à charge auquel, d'ailleurs, par charité chrétienne et maçonnique, je me suis abstenu de répondre y compris sous la forme d'une repasse de couvert.

Je crois que vous vous trompez dans l'ordre des événemets : c'est Hélène qui vous répondait en relevant toutes vos phrases charitables, chrétiennes et maçonniques.....

Nelly Emont a écrit:

Je crois que vous vous trompez dans l'ordre des événemets : c'est Hélène qui vous répondait en relevant toutes vos phrases charitables, chrétiennes et maçonniques.....

C'est en effet la même raison chrétienne et charitable pour laquelle je me suis abstenu de jouer l'éboueur et d'alimenter ce fil jusqu'à votre retour toutes fanfares repentissantes sorties.

Très bien ! continuez !

Je crois que vous ètes plusieurs à m'attribuer une phrase qui n'est pas de moi...mais de Fanny. (En page 2)

En effet, je n'ai pas reçu de lien pour ce fil depuis longtemps, et je suis surprise de le voir redémarrer.